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Mobilité

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3327 documents trouvés, affichage des résultats 2001 à 2010.

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(16/03/2009 17:05:39)

Sybase prêt à débourser jusqu'à 500 M$ pour renforcer sa technologie

La trésorerie dont dispose l'éditeur américain Sybase lui permet d'envisager des acquisitions. Selon Bloomberg News, le PDG de la société, John Chen, a déclaré la semaine dernière à New-York qu'il pourrait débourser jusqu'à 500 M$ pour procéder à des achats lui permettant de renforcer sa technologie. Le dirigeant n'a pas souhaité précisé quels domaines étaient plus particulièrement explorés, mais Bloomberg rappelle que la société investit en ce moment dans les technologies lui permettant de déployer des applications de banque en ligne pour utilisateurs nomades (mobile banking). En janvier dernier, Sybase a ainsi acquis l'Allemand Paybox Solutions AG qui a développé une solution de paiement mobile. Editeur d'une base de données déclinée dans une version mobile, Sybase a largement développé, depuis 2000, son expertise dans les solutions middleware (dites iAnywhere) destinées aux applications de mobilité. Il vient d'ailleurs de signer avec SAP un partenariat pour multiplier les possibilités d'accéder à l'offre de gestion SAP Business Suite à partir de divers assistants numériques ou smartphones (iPhone, Blackberry, terminaux sous Windows Mobile...). Sybase a terminé son année fiscale fin décembre 2008 sur un chiffre d'affaires en hausse de 10% à 1,13 Md$ (pour un bénéfice net en légère baisse à 138,6 M$), mais l'éditeur est surtout à la tête d'un trésor de guerre en cash d'environ 620 M$. (...)

(16/03/2009 12:04:00)

Le Grenelle des antennes se tiendra finalement en avril

Repoussé une première fois du 19 au 26 mars pour cause de mouvements sociaux, le Grenelle des antennes, proposé par Nathalie Kosciusko-Morizet, n'aura finalement lieu que le 23 avril prochain (mise à jour). La secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique a en effet proposé de réunir autour du thème de la dangerosité potentielle des émissions d'ondes électro-magnétiques de la téléphonie mobile (téléphones et antennes), les opérateurs télécoms, les associations idoines de défense de l'environnement, les collectivités territoriales, etc. Le projet est finalement confié par le Premier ministre, François Fillon, à trois ministres : Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé et des Sports, Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie et Nathalie Kosciusko-Morizet. La table ronde prend le nom officiel de « Radiofréquence, santé et environnement » et doit permettre de « faire le point sur les connaissances scientifiques, ainsi que sur la réglementation en vigueur. L'objectif est d'identifier d'éventuelles mesures complémentaires en matière de recherche, d'expertise scientifique, d'information du public, de réglementation ou d'engagements volontaires. » Y sont conviés l'Etat et les organismes publics, les élus et représentants des collectivités territoriales, les opérateurs, les associations, les scientifiques et personnalités qualifiées. Les opérateurs reçus, les associations laissées dans l'ignorance Selon l'AFP, Chantal Jouanno devrait recevoir les opérateurs télécoms sur le sujet, dès le 26 mars. De leur côté, les associations Priartem et Agir pour l'environnement s'indignent dans un communiqué commun de ne pas avoir été prévenues du nouveau report de la réunion. Elles « demandent à être reçues par les ministres organisatrices de ce Grenelle de la téléphonie mobile » et « appellent l'Etat à organiser un débat multi-acteurs, sans exclusive, sans a priori et sans tabou. » Selon elles, « cette façon de procéder semble laisser entendre qu'il y aurait des acteurs plus légitimes que d'autres. » (...)

(13/03/2009 15:44:49)

Avec Google Voice, les messages vocaux se lisent

Avec son nouveau service Google Voice, Google transcrit les messages vocaux sous forme de textes, accessibles directement dans sa boite Web ou sur son téléphone portable en SMS. Ils seront, comme les courriers électroniques reçus sur Gmail, archivés - « à vie » précise Google - et indexés pour faciliter la recherche. Les messages envoyés seront également archivés et indexés. Google précise que ce service est le premier du genre à reposer sur une transcription totalement automatisée de la voix en texte. Ce service est basé sur la technologie de GrandCentral, une société de télécommunication californienne achetée par Google en juillet 2007. Comme l'offre GrandCentral, Google Voice permettra de disposer d'un numéro unique permettant de renvoyer les appels vers tous ses abonnements téléphoniques (fixe ou portable), et de passer des communications longue distance à moindre coût. Aux États-Unis, l'offre comprendra un service de renseignement gratuit, pour trouver un professionnel (livraison de pizza, plombier, coiffeur) et être mis en relation en fonction de son emplacement géographique. Google Voice va, dans un premier temps, être proposé aux abonnés actuels de GrandCentral, avant d'être étendu par la suite à l'ensemble des internautes. Pour l'instant, ce service est gratuit et vise le grand public. Une déclinaison payante, telle que celle que Google Apps propose aux entreprises, n'est pas encore envisagée. (...)

(12/03/2009 10:40:07)

Eclipse lance l'initiative Pulsar, pour simplifier le développement pour les plateformes mobiles

Un outil de développement, mais des kits spécifiques pour chaque plateforme mobile. Un casse-tête auquel s'attaque la fondation Eclipse, avec l'initiative Pulsar. Le groupe de travail mobile d'Eclipse a comme feuille de mission la création d'une distribution particulière de l'environnement de développement capable d'interopérer avec une grande variété de SDK (kits de développement) fournis par les fabricants d'appareils mobiles et éditeurs de systèmes d'exploitation. Les développeurs pourront ainsi travailler sur une base commune d'un programme J2ME (Java 2 Mobile Edition), dans un seul environnement, tout en ciblant plusieurs plateformes mobiles. Motorola, Nokia et Genuitec font partie des leaders de l'initiative, qui est également soutenue par IBM, RIM et Sony Ericsson. Microsoft et Apple n'en font pas partie, non plus que Google, récemment entré dans l'arène de la mobilité avec Android. L'initiative est ouverte à tous, pourtant, souligne Dino Brusco, directeur senior des services et plateformes développeurs de Motorola. Pour Jeffrey Hammond, analyste principal de Forrester Research, cela montre bien « le schisme en train de se former dans le domaine des smartphones ». S'il applaudit l'initiative, il craint en effet que ce type d'effort n'aboutisse qu'à trouver un plus petit commun dénonimateur, qui du coup n'exploite pas la richesse des plateformes. Il encourage en tout cas les membres de Pulsar à aller de l'avant : « C'est un début. Il faudra plusieurs versions et supporter les plateformes que les développeurs veulent vraiment cibler. Ce sera techniquement difficile, mais cela paraît une bonne approche. » Le lancement de Pulsar est prévu pour la prochaine grande mise à jour d'Eclipse, dite Galileo, fin juin 2009. (...)

(10/03/2009 12:16:32)

Air France teste la carte d'embarquement biométrique

Quatre portiques d'un nouveau genre équipent autant de portes d'embarquement dans le terminal F de l'aéroport Roissy Charles de Gaulle. Mis en place par Air France, ils illustrent la volonté de la compagnie de fluidifier la circulation des passagers dans l'aérogare à grands renforts de technologie. Quelque 1500 voyageurs, fidèles de la ligne Paris-Amsterdam, testent ainsi depuis quelques jours un nouveau mode d'enregistrement automatique, baptisé smartboarding. Tous ces passagers sont les porteurs d'une carte à puce qui renferme, de façon chiffrée, des informations personnelles comme leurs noms et prénoms ainsi que les empreintes dactyloscopiques de leurs deux index. Après avoir réservé leur voyage sur le site Web de la compagnie, et même choisi leur siège dans l'avion, les passagers n'ont plus guère de démarche à effectuer. Une fois dans l'aéroport, il leur suffit, pour s'enregistrer, d'insérer leur carte smartboarding dans une borne dédiée. Celle-ci imprime alors la carte d'embarquement directement au verso de la carte smartboarding, en recourant à une encre thermique permettant de réutiliser 500 fois le support. Il ne reste plus aux passagers qu'à déposer leurs bagages, puis à franchir les contrôles de sécurité, pour pénétrer dans la salle d'embarquement. Là, plus besoin de prendre place dans la file de voyageurs attendant qu'une hôtesse contrôle leur carte d'embarquement avant de se diriger vers l'avion. Les porteurs de la carte smartboarding ont à leur disposition des portails sur lesquels il leur suffit de poser la dite carte. Dernière étape : les passagers apposent leur index sur un lecteur, qui va scanner leurs empreintes digitales et s'assurer qu'ils sont effectivement les porteurs de la carte. Le portique s'ouvre et laisse les passagers rejoindre l'avion. Pas de stockage centralisé de donnée biométrique Avant de savoir si ce système est appelé à être déployé sur l'ensemble des vols Air France, la compagnie étudiera les retours d'expérience des 1500 voyageurs qui testent le dispositif. La compagnie aérienne ne voit cependant guère de raison qui pourraient conduire ses clients à rejeter le smartboarding. Le point le plus sensible - la sécurité des données personnelles - semble ne pas prêter lieu à la polémique : aucun stockage centralisé n'est effectué, les empreintes digitales sont présentes seulement sur la puce de la carte détenue par les passagers. En parallèle de cette expérimentation du système smartboarding, Air France a déjà mis en oeuvre une batterie d'autres innovations, regroupées sous l'appellation d'e-services. Les voyageurs peuvent ainsi recevoir leur carte d'embarquement sur leur téléphone mobile sous forme de code barre - par SMS, MMS ou courriel. Ils n'ont alors que l'écran de leur appareil à présenter aux différents points de contrôle depuis l'enregistrement des bagages jusqu'à la montée dans l'avion. Air France teste également, dans le terminal 2C de Charles de Gaulle, l'application de puces RFID sur les bagages. Les valises et autres sacs sont censés être mieux localisés et les étiquettes à radiofréquences devraient permettre, grâce à la présence de lecteurs dans les zones de tri, d'éviter les pertes de bagages lors des correspondances. Air France ne rechigne pas à communiquer sur les innovations mises en place. En revanche, le groupe est plus frileux lorsqu'il s'agit d'évoquer les sommes consacrées à la mise au point de ces nouveautés. « Plusieurs dizaines de personnes travaillent en interne sur les services mobiles, finit par concéder Laurent Petitmangin, responsable marketing produits et services au sol. Ces salariés d'Air France sont répartis entre la R&D, l'assistance maîtrise d'ouvrage et les services informatiques. A leurs côtés, cinq personnes sont exclusivement chargées du débogage. » (...)

(03/03/2009 17:37:22)

Tech for food invite les TIC au salon de l'agriculture (vidéo)

Le 25 février dernier s'est déroulée la troisième édition de Tech for food dans le cadre du Salon International de l'Agriculture. Organisé par Jean-Paul Hébrard, rédacteur en chef du magazine Agriculture et Nouvelles Technologies, cette journée était consacrée aux nombreuses expériences à travers le monde qui s'appuient sur les TIC pour accompagner les agriculteurs dans leur métier. Cette année, Tech for food a fait de l'Inde, pays à la fois agricole et féru de technologies numériques, son invité d'honneur. LeMondeInformatique.fr s'est rendu sur le salon pour réaliser un portrait vidéo de cette manifestation et s'est entretenu avec les responsables des projets les plus représentatifs. Selon Tech for food, les paysans représenteraient trois quarts des 940 millions de personnes malnutries. Une proportion suffisamment importante pour réagir. Or, du simple portail de téléphonie mobile jusqu'à l'observation par satellite en passant par les bases de connaissance, les TIC constituent un des moyens d'aider cette population à mieux semer, mieux protéger ses récoltes, mieux vendre ses produits, mieux négocier avec les banques, etc. C'est en tous cas sur cette idée que Jean-Paul Hébrard a appuyé les fondations de son initiative, dès 2002. Notre reportage vidéo sur Tech for food au Salon international de l'agriculture (...)

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