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Mobilité
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(13/11/2007 13:54:36)
Google organise un concours pour stimuler l'innovation sur Androïd
Le célèbre moteur de recherche Google souhaite stimuler l'esprit d'innovation autour d'Androïd, sa plate-forme mobile, ouverte et gratuite. Le géant californien a annoncé lundi, le lancement du concours Androïd Developer Challenge. Cette annonce intervient à l'occasion de la disponibilité, en téléchargement, du kit de développement logiciels pour Androïd La compétition récompensera, par des prix d'une valeur totale de 10 millions de dollars, les développeurs qui proposeront les solutions logicielles les plus innovantes pour la plate-forme mobile Androïd La première partie du concours - baptisée Challenge 1 - permettra de sélectionner les 50 meilleures applications, qui devront être envoyées entre le 2 janvier et le 3 mars 2008. 25 000 dollars seront offerts aux développeurs pour chacune des 50 meilleures solutions mobiles . Ce financement leur permettra d'aller plus loin dans le développement de leur solution et de participer à la deuxième phase de la compétition. qui récompensera cette fois, les 10 meilleurs projets, à hauteur de 275 000 dollars. Les développeurs des 10 projets suivants se verront également remettre 100 000 dollars chacun. Les résultats seront annoncés à la fin du mois de mai 2008. La deuxième partie du concours - Challenge II - , devrait être lancée au second semestre 2008, lorsque les premiers portables basés sur Androïd seront commercialisés. (...)
(12/11/2007 12:44:44)Le réseau sans-fil de la Silicon Valley en panne faute de financement
Comme dans beaucoup de villes américaines, le gigantesque projet de réseau sans fil de la Silicon Valley est en rade. Il semblerait en effet que le consortium en charge du projet baptisé Silicon Valley Metro Connect n'ait pas réussi à réunir les fonds nécessaires à son déploiement. Un souci de financement qui masque toutefois des problèmes autrement plus complexes. L'expérience de ces dernières années montrerait en effet que les réseaux municipaux sans fil intéressent peu ou prou les utilisateurs, selon les analystes du marché. Mais c'est surtout la complexité de mise en oeuvre qui freine réellement ces projets. Le « Silicon Valley Metro Connect » prévoyait en effet de relier 2,4 millions d'utilisateurs à Internet, soit de couvrir les 40 communes de la péninsule (environ 4000 kilomètres carrés) avec un réseau large bande. Le déploiement du réseau global était estimé à 200 millions de dollars. Il impliquait des acteurs tels que Cisco pour l'équipement, l'opérateur Azulstar Networks, IBM pour l'intégration ou encore Seakay, un organisme public destiné à soutenir le secteur non-marchand. Pour chaque commune, qui disposait déjà de ses propres équipements et technologies, toute la question est de savoir sur quel modèle économique et quelles technologies l'offre va reposer. La complexité du projet provient de l'absence de consensus technologique parmi les partenaires, de la taille du projet et des problèmes politiques inévitables dès lors qu'on cherche à mettre d'accord un consortium de partenaires impliquant 40 communes. Après l'enthousiasme du lancement, on a vu apparaître un désintérêt de la part des partenaires technologiques il y a cinq mois, qui semble aujourd'hui se confirmer. Les investisseurs souhaitent en effet avoir la preuve que le projet peut être mené à bien en mettant en place deux sites de tests (Palo Alto et San Carlos) mais ne veulent pas, par ailleurs, débourser un centime pour financer cette phase pilote du projet, peu convaincus de l'intérêt d'un vaste réseau. Bref, le « Silicon Valley Metro Connect » tourne en rond et a peu de chance d'aboutir si personne ne cède du terrain. (...)
(07/11/2007 16:15:01)Les utilisateurs mobiles dangereux pour les données de leur entreprise
Selon le cabinet Computing Technology Industry Association (CompTIA), 60% des 1070 entreprises interrogées dans le cadre d'une étude, reconnaissent que les risques liés à la consultation ou au transfert de données à partir d'équipements mobiles ont augmenté de façon significative au cours des 12 derniers mois. Plus de la moitié d'entre elles (55%) estiment que l'implémentation de réseaux sans fil a également contribué à cette augmentation des risques. Pour John Venator, président et CEO de CompTIA, l'accès distant aux applications et autres données confidentielles de l'entreprise par des utilisateurs nomades ne cesse de se développer. L'organisation même de l'entreprise change avec de plus en plus de collaborateurs qui travaillent à partir de leur domicile, des filiales qui accèdent au siège, des utilisateurs mobiles qui se connectent de n'importe où pour consulter leur courrier ou simplement enregistrer la commande d'un client pendant leur déplacement. « Soit autant de brèches potentielles de sécurité qu'il faut absolument sécuriser », estime le président et CEO de CompTIA. Selon l'étude, 80% des entreprises interrogées sont confrontées à ces problèmes : elles autorisent les accès distants ou mobiles à leur système d'information. Mais seulement 32% d'entre elles auraient pris le temps de sensibiliser et former leurs utilisateurs aux dangers inhérents à ce type d'accès, 10% prévoyant toutefois de le faire dans les douze prochains mois. Pour CompTIA, négliger cette formation constitue une erreur grave : 90% des entreprises ayant pris le temps de sensibiliser leurs utilisateurs estiment en effet avoir réduit le nombre de vulnérabilités en matière de sécurité liées à ces nouveaux usages. (...)
(07/11/2007 14:04:57)Nortel : bénéfices enfin dans le vert, mais revenus à la traîne
Résultats T3 2007 Chiffre d'affaires : 2,7 Md$ (-8%) Bénéfice net : 27 M$ (contre une perte de 63 M$ au T3 2006) Contrairement à ses concurrents (Alcatel-Lucent, Ericsson), Nortel vient de publier des résultats trimestriels encourageants sur un marché pourtant en proie à des difficultés récurrentes. L'équipementier télécoms canadien renoue en effet avec les bénéfices : + 27 M$, alors qu'un an plus tôt, Nortel affichait une perte de 63 M$. La marge d'exploitation s'envole quant à elle pour atteindre 5%, un niveau « jamais atteint depuis 2004 », précise la société dans un communiqué. Les revenus globaux de Nortel reculent toutefois à 2,7 Md$, soit une baisse de 8% par rapport à l'an dernier. Cet affaissement du chiffre d'affaires est notamment lié aux frais de restructuration engendrés par la vente, en janvier 2006, des activités UMTS de la société à son concurrent Alcatel. Les bons de commande ne semblent pas avoir souffert de cette revente, puisque même après réajustement elles enregistrent une progression de 5% depuis le début de l'exercice, et de 9% sur le seul troisième trimestre. La société s'est déclarée « satisfaite de son niveau d'activité, ainsi que par sa présence sur le marché ». Pour l'ensemble de l'année, Nortel espère réaliser une marge opérationnelle en légère progression (entre 4 et 5%), et table sur un chiffre d'affaires annuel similaire à celui de 2006 (aux alentours de 11,5 Md$). (...)
(06/11/2007 14:49:13)Google annonce officiellement Android, sa plateforme mobile
Les ambitions de Google dans le domaine de la téléphonie mobile n'étaient plus un secret et les rumeurs allaient bon train depuis un moment déjà. L'annonce d'une plateforme, baptisée Android, n'a donc pas vraiment étonné les acteurs du marché. Plus qu'un simple système d'exploitation, Android, du nom de la start-up rachetée par Google en aout 2005, regroupe des outils de développement et des API (interfaces de programmation). Conçue selon le modèle Open Source, Android invite donc les développeurs à venir enrichir le panel d'applications déjà disponibles pour le système d'exploitation de Google. A ce niveau rien de franchement étonnant : Gmail, YouTube, Google Agenda, Google Docs figureront parmi les premières applications disponibles pour Android. Le spécialiste de la publicité en ligne compte appliquer au monde de la mobilité les recettes qui ont fait son succès sur le Web. En d'autres termes, des publicités devraient être insérées dans les applications pour téléphones portables afin de rentabiliser le modèle économique. Les analystes plutôt sceptiques La confirmation de l'intérêt de Google pour le marché de la mobilité bouleverse bien entendu la donne mais elle laisse aussi les analystes du marché assez sceptiques. Le modèle Open Source, tout d'abord, pose certains problèmes en termes de sécurisation de la plateforme et de la confidentialité des données personnelles. Du côté du modèle économique, il n'est pas du tout certain que les utilisateurs apprécient de se voir imposer des publicités avant de pouvoir téléphoner ou de consulter un mail, surtout avec des abonnements facturés au débit ou à la durée. Enfin, Google marche clairement sur les plates-bandes d'éditeurs installés depuis longtemps sur le marché - Symbian et Palm - et de plus récents tels que Microsoft. Or, comme le rappelle IDC, il ne suffit pas d'avoir des ambitions et des moyens pour réussir sur le marché de la mobilité : Microsoft, dont le système est disponible depuis des années et qui a des accords avec 48 fabricants de téléphones portables et 160 opérateurs dans le monde, n'a vendu que 12 millions de téléphones équipés de ses logiciels cette année, dont seulement 10% sont des Smartphones. Création d'une alliance industrielle Avec le lancement d'Android, Google annonce aussi la création d'Open Handset Alliance, organisation qui regroupe des constructeurs de terminaux, fournisseurs de composants et des opérateurs mobiles, prêts à s'investir dans des téléphones équipés d'Android. De grands opérateurs, tels T-Mobile et Sprint aux Etats-Unis, mais également en Chine, au Japon, en Allemagne, en Italie et en Espagne, ont rejoint cette alliance. Mais est-ce le scepticisme affiché par les analystes qui explique l'absence de grands acteurs du marché tels que les deux plus grands opérateurs de téléphonie mobile aux Etats-Unis, AT&T et Verizon, le fabricant Nokia, ou encore Vodafone et Orange en Europe ? Pour l'heure on n'en sait guère plus sur la position de ces acteurs et il faudra attendre le second semestre 2008 pour voir les premiers téléphones basés sur Android destinés au grand public. (...)
(02/11/2007 12:45:44)Après TomTom, Tele Atlas attise la convoitise de Garmin
Il ne reste plus qu'une part de gâteau et deux convives lorgnent dessus. Alors que TomTom avait fait une offre d'achat sur l'éditeur de cartes Tele Atlas, son compatriote américain Garmin vient de surenchérir. TomTom proposait 21,25 € par action, pour un montant total de 1,8 Md€. Garmin monte à 24,5 € par action pour une somme globale de 2,3 Md€, soit 15 % de mieux. Evidemment, on se frotte les mains du côté de Tele Atlas, en espérant une montée de ces enchères. Le conseil d'administration précise en effet que le protocole signé avec TomTom prévoyait une clause en cas d'offre supérieure. Il se dit donc prêt à accepter l'offre de Garmin si le numéro un européen du GPS ne s'aligne pas dans les cinq jours ouvrés. Si l'impact sur le consommateur est difficile à anticiper, le monde du GPS sera inévitablement marqué par cette acquisition. En effet, le seul et unique concurrent de Tele Atlas, Navteq, devrait tomber dans le giron de Nokia (pour 5,7 Md€) qui multiplie les produits dédiés à la géolocalisation. Fini, donc, l'indépendance pour les deux éditeurs de cartes numériques qui seront désormais rattachés à un constructeur. Les deux acquéreurs auront certainement la primeur des mises à jour et pourront optimiser l'utilisation des cartes. (...)
(31/10/2007 08:57:14)La plateforme mobile de Google verra le jour mi-2008
C'est à la mi-2008 que Google lancera son Gphone, une plateforme pour téléphones mobiles rassemblant plusieurs services en ligne édités par l'hégémonique moteur et ouverte aux développeurs tiers, rapporte le Wall Street Journal. L'initiative vise à rendre aussi facilement accessibles les applications et services Google sur les mobiles que sur les PC afin d'étendre encore davantage les domaines dans lesquels le groupe diffuse ses publicités. Google devrait officiellement présenter sa plateforme mobile dans les prochaines semaines. De nombreuses rumeurs tablaient sur la conception d'un terminal par le géant californien, mais, comme nous l'annoncions en début de mois, le moteur de recherche devrait se concentrer uniquement sur le développement logiciel. Google, qui a habitué, exercice après exercice, les observateurs à ses taux de croissance à deux chiffres, doit, s'il entend poursuivre son insolente croissance, appliquer aux téléphones portables ce qu'il a accompli au monde des ordinateurs : abreuver les utilisateurs de publicités. Si la réclame sur mobiles n'a jusqu'alors représenté que la portion congrue de l'ensemble des revenus issus de la publicité, elle devrait véritablement exploser au cours des prochaines années. L'institut Kelsey Group prévoit ainsi que le chiffre d'affaires généré par la réclame sur mobile - aujourd'hui de 33,2 M$ par an aux États-Unis - atteindra 1,4 Md$ en 2012. Soit une progression annuelle de 112%. Cette croissance sera favorisée par la hausse du nombre d'utilisateurs, 20% par an sur le seul territoire américain. Sur l'ensemble de la planète, les dépenses liées à la réclame sur mobile devraient passer de 1,5 Md$ en 2007, à 11,3 M$ en 3.22, selon Informa Telecoms & Media. (...)
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