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Mobilité

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(22/11/2007 08:20:26)

Des périphériques mobiles plus simples et moins chers en 2008

D'après la Mobile Data Association (MDA), l'année 2008 sera marquée par l'apparition de téléphones mobiles moins chers et surtout plus en adéquation avec les réels besoin des utilisateurs. Pour l'association, la course à « toujours plus de fonctionnalités » devrait en effet se ralentir. « L'enjeu n'est pas d'avoir le plus de fonctionnalités possibles dans chaque téléphone, confiait Paul Lee, directeur des technologies, média et télécommunications de Deloitte Research à notre confère anglais IT Pro. Le plus important, c'est d'avoir des fonctionnalités dans des téléphones adaptés à chaque catégorie d'utilisateur. » Pour la MDA, pendant l'année 2008 on devrait également voir apparaitre de nouveaux services, une tarification des communications à la baisse et l'essor de l'usage des téléphones mobiles en tant que périphérique d'accès aux réseaux sociaux. Estimée à 3,75 milliards fin 2008, la base mondiale d'utilisateurs de téléphone mobiles ne cesse d'augmenter. Toujours selon la MDA, de plus en plus d'utilisateurs préfèrent les périphériques mobiles aux téléphones fixes, y compris pour les simples communications vocales. Mais le véritable bouleversement est plutôt attendu du coté de l'essor de la 3G et par la même occasion d'applications gourmandes en bande passante et volume de stockage, telles que la télévision sur téléphones mobiles. Evolution qui, selon la MDA, devrait avoir un impact direct sur les périphériques. La génération 2008 devraient en effet embarquer 5 Go d'espace de stockage en standard et la technologie Bluetooth atteindrait les deux milliards de connections à travers le monde. (...)

(19/11/2007 14:05:02)

Les DSI dépassés par l'essor des périphériques mobiles personnels

A l'occasion de la conférence Mobile Internet World qui s'est tenue à Boston jeudi dernier, plusieurs analystes et experts du marché sont revenus sur l'impact des technologies personnelles en entreprise. Pour les experts, quels que soient les mesures et effort déployés par les entreprises, la pénétration des périphériques personnels dans l'enceinte de la société ne va que s'accentuer au fil des années. Ce qui ne manque pas, bien entendu, de poser des problèmes en termes de sécurité, de maintenance ou encore d'administration puisque ces périphériques accèdent au système d'information. Pour Zeus Kerravala, analyste au Yankee Group, l'expérience prouve que l'interdiction est tout simplement impossible, les produits ne cessant d'arriver sur le marché, toujours plus séduisants : « à moins que les DSI n'apprennent à fonctionner différemment, le problème ne fera que s'accentuer, forçant les DSI à évoluer. » « Les entreprises veulent avoir le contrôle, ajoutait Lalit Canaran, directeur de l'entité services professionnels de Sybase, mais même le Blackberry (ndlr : le plus utilisé des périphériques mobiles par les entreprises américaines) est entré dans l'entreprise par l'utilisateur et c'est la DSI qui s'est pliée en trouvant un moyen pour le gérer. » Pour Zeus Kerravala, l'avenir du marché de la mobilité sera donc déterminé par la demande des utilisateurs en termes d'accès à l'information, de la façon la plus simple possible, indépendamment de l'endroit et du périphérique qu'ils sont ou non obligés d'utiliser. Reste que selon une enquête du Yankee Group, 68% des employés estiment qu'ils se débrouillent aussi bien voire mieux que leur service informatique dès lors qu'il s'agit d'installer des applications sur leur PC professionnel. Ils sont aussi 49% à penser que les technologies grand public, celles qu'ils ont précisément choisies avec leur périphérique mobile, sont plus avancées que celles que leur entreprise leur propose en environnement de travail. Enfin 54% estiment qu'ils seraient plus productifs si on leur laisser utiliser leur environnement informatique personnel sur le lieu de travail. Selon Zeus Kerravala, pour la première fois, les DSI sont dépassés par cette pénétration des technologies personnelles sur le lieu de travail. « Beaucoup d'entreprises admettent qu'elles ne savent pas comment gérer le phénomène », souligne encore l'analyste du Yankee Group. (...)

(19/11/2007 12:36:20)

No comment de Sun et de Google sur la machine virtuelle d'Android

Google et Sun vont-ils s'engager dans une bataille sur la propriété intellectuelle autour de Java ? Google a en effet dévoilé la semaine dernière le kit de développement (SDK) de sa plateforme pour téléphones mobiles Android, qui fait appel à Java, sans pour autant reposer sur la plateforme de Sun. Les développements pour Android se feront bien en Java, mais Google propose en fait sa propre machine virtuelle, Dalvik, pour interpréter le code (après une simple conversion, qui pourra être effectuée à l'aide d'un outil inclus dans le SDK). Ingénieur italien membre des Labs de la fondation Apache, Stefano Mazzocchi a décortiqué l'annonce de Google et conclu que ce dernier cherchait à contourner les droits attachés à JME (Java Micro Edition), la plateforme de Sun pour téléphones mobiles. Les fabricants d'appareils utilisant JME doivent en effet reverser des royalties à Sun. Or, Android serait de son côté distribué sous licence Apache, et donc librement utilisable par les fabricants. On peut y voir un autre intérêt : partant d'une feuille vierge, Google peut concevoir une machine virtuelle optimisée pour les mobiles actuels. Sun et Google ont tous deux refusé, pour l'instant, de s'exprimer publiquement sur cette pomme de discorde. (...)

(19/11/2007 11:48:42)

Garmin laisse Tomtom racheter Télé Atlas

Garmin laisse finalement le champ libre à Tomtom. Ce dernier devrait finalement se payer Télé Atlas pour 2,9 Md€ et se positionner comme un acteur poids lourd sur le marché de la géolocalisation. Garmin était venu jouer les troublions dans le processus de rachat de Télé Atlas par Tomtom en jouant la carte de la surenchère. L'Européen avait alors dû revoir son offre à la hausse. C'est cette dernière que Télé Atlas a retenu. Du coup, l'Américain Garmin se tourne à nouveau vers la concurrence pour son offre de cartographie. Et renouvelle son partenariat avec Navteq, désormais propriété de Nokia. Le Finlandais a acquis le groupe pour 5,7 Md€ en octobre. L'accord, qui porte sur 6 ans, fait de Navteq le fournisseur officiel de carte de Garmin. (...)

(15/11/2007 15:15:22)

La GSM Association vote en faveur de LTE

Puissante association regroupant des opérateurs du monde entier, la GSM Association (GSMA) vient de faire savoir à l'occasion du salon 3GSM Asia, qu'elle adoptait la technologie LTE (Long-Term Evolution) comme standard pour les communications sans fil et successeur du HSPA (High-Speed Packet Access). Une annonce qui positionne LTE sur le devant de la scène dans la guerre qui oppose les standards 4G de demain. Les opérateurs ont donc apparemment décidé d'offrir un front commun aux opposants de LTE, Wimax (soutenu par l'industrie informatique) et l'UMB (Ultra Mobile Broadband) de Qualcomm. La GSMA s'est engagée à soutenir les entreprises et les organisations dans le développement de LTE dont la finalisation n'est pas prévue avant 2010. L'association est également intervenue auprès de l'ITU, l'Union internationale des télécoms, afin d'obtenir des garanties en matière de fréquences nécessaires au déploiement de LTE. Très impliqué, l'opérateur japonais NTT DoCoMo milite en faveur du haut débit pour les périphériques sans fil et estime qu'il y a de fortes chances que son réseau soit déployé en LTE d'ici à 2009, en précisant toutefois que la technologie utilisée dépendra avant tout des fréquences attribuées par son gouvernement. Pour NTT DoCoMo, le passage de HSPA à LTE signifie des opportunités de marché énormes en matière d'usages sur le téléphone portable. « Bien plus rapide, LTE permettrait en effet de télécharger un magazine de 500 pages en 3 secondes là où il faut trois minutes en HSPA », précise le patron de l'opérateur, Masao Nakamura. En d'autres termes, la position adoptée par la GSMA ouvrirait les portes de la vidéo, de la musique et même des jeux perfectionnés aux téléphones portables. En attendant, la GSMA n'en continue pas moins de travailler sur HSPA. L'association vient en effet d'annoncer en partenariat avec Microsoft un concours destiné à récompenser le meilleur ordinateur portable équipé de puces HSPA, l'idée étant de favoriser le développement du téléchargement sur de nombreux périphériques et pas seulement les ordinateurs portables et téléphones mobiles : caméra, lecteurs multimédia, etc. (...)

(14/11/2007 17:00:01)

2008, l'année du paiement sans contact

Dédié à la carte à puce et l'identification, Carte 2007 (jusqu'au 15 novembre au Parc des Expositons de Paris-Nord Villepinte) est placée cette année sous le signe du paiement sans contact. En effet, si la France en est à ses premiers balbutiements, il existe, selon Eurosmart, plus de 45 millions de cartes de paiement ou de porte-monnaies électroniques de paiement dans le monde. Le Japon, avec son standard FeliCa, est déjà bien installé, avec notamment 50 % des téléphones mobiles commercialisés actuellement dôtés de puces sans contact et d'antennes radio-fréquences. Aux Etats-Unis, Visa avec PayWay et MasterCard avec PayPass ont déjà mis en circulation plus de 20 millions de cartes. Avec les porte-monnaies électroniques Moneo sans contact distribués dans certaines universités, et le projet Pegasus qui concernent 1000 usagers et 200 clients à Strasbourg et Caen, la France semble bien en retard. Un marche dans les starting-blocks Pourtant, en se promenant dans les allées du salon, il est facile de voir que les obstacles techniques sont levés. Les fabricants français - Gemalto, Oberthur et Sagem en tête - ont tous une offre étoffée de puces (hybride contact/sans contact, bi-coeur avec une partie dédiée à la téléphonie et l'autre au paiement sans contact, etc...) et de lecteurs. Xiring a même lancé son CL Watcher, un petit étui métallique qui empêche le vol d'argent sur une carte sans contact et affiche le montant réel de la transaction. Sur un plan pratique, les principaux obstacles sont en passe d'être levés. « Les opérateurs télécoms ont abandonné l'idée de se faire payer sur la transaction, explique Jacques Scion, responsable mobilité chez Gemalto. Ils se contentent de mettre en place l'infrastructure pour les banques. » Contre une redevance non communiquée. Et d'ici la fin de l'année, un standard validé par l'ETSI devrait définir les spécifications pour des téléphones dotés d'antennes sans fil. Ce qui permettra de proposer un plus grand choix aux clients que les prototypes actuels de Sagem, LG, Motorola et Nokia. « Ainsi, nous aurons au début 2008, les premiers pilotes massivement déployables et, en deuxième partie de l'année, une généralisation des paiements par téléphones mobiles, » estime Jerôme Scion. L'association Eurosmart partage, au niveau mondial, son optimisme puisque sur les 4 285 000 000 cartes qui sont, selon elle, en circulation cette année, 543 000 000 sont dotées de capacités sans contact. Et elle s'attend à 60 millions de cartes de paiement sans contact - intégrées dans un téléphone ou non - pour l'an prochain, contre les 45 millions actuels. A lire aussi : Panorama des usages de la carte sans contact dans le monde (PDF) (...)

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