Flux RSS

Mobilité

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

3327 documents trouvés, affichage des résultats 2381 à 2390.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(06/12/2007 15:59:07)

WiFi parisien : des céphalées chez les agents municipaux

Une quarantaine d'agents de la ville de Paris employés dans des bibliothèques se plaignent de maux de tête, vertiges, nausées et fatigue, troubles apparus après l'installation de bornes WiFi dans ces établissements. Les bibliothèques de quatre arrondissements sont concernées : Italie (13e), Lancry (10e), Vandamme (14e) et Faidherbe (11e). Pour Christophe Girard, l'adjoint à la Culture, les établissements touchés ne sont ni plus petits ni plus confinés que les autres. On a donc du mal à expliquer pourquoi les symptômes sont apparus dans ces lieux et pas ailleurs, mais la proportion de personnes apparemment concernées (40 sur 100 agents au total) s'avère néanmoins étonnamment élevée. Suivant le principe de précaution, la mairie de Paris a donc désactivé les bornes WiFi dans les établissements incriminés sans toutefois remettre en cause son projet de couvrir Paris de hotspots. Elle a également dépêché les experts de l'Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail). Leurs conclusions sont cependant appelées à être complétées par celles de nouveaux experts pour faire de plus amples recherches, afin de déterminer ce qui, du psychologique ou du technique, est réellement responsable des maux dont se plaignent les agents. Il est à noter que depuis la suspension, il y a trois semaines, du Wifi dans les quatre bibliothèques, les symptomes ont disparu chez certains agents mais pas chez tous. Dans cette affaire, il convient de souligner qu'actuellement aucune étude n'établit de lien direct entre les réseaux WiFi et des maux de quelque nature que ce soit. Les ministères de l'Écologie et de la Santé ont demandé un rapport en septembre dernier à l'Afsset sur les rayonnements générés par la téléphonie mobile ainsi que les réseaux WiFi. Pour l'heure, on l'attend toujours. D'ailleurs les associations montées aux créneaux avec les agents avouent qu'elles veulent surtout faire du préventif et limiter au maximum le nombre de personnes exposées, selon le principe de précaution. Un principe que la mairie veut bien respecter sans toutefois remettre en cause le déploiement des bornes WiFi tant que les dangers n'auront pas été clairement prouvés. (...)

(04/12/2007 14:37:18)

Les ventes de chipsets WiFi explosent

Selon l'association WiFi Alliance, les ventes de chipsets WiFi devraient atteindre les 300 millions d'unités en 2007. Une augmentation de plus de 40% par rapport à l'année dernière et largement au dessus de celle constatée entre 2005 et 2006. Selon nos confrères d'IDG News Service, cette croissance est due à deux facteurs principaux. Tout d'abord, et pour la première fois, l'Alliance WiFi n'a pas attendu la ratification de la norme IEEE 802.11n, actuellement en cours de définition (draft 2.0), pour certifier des produits implémentant ces presque standards. Retardée en raison de désaccords parmi les acteurs du marché, la version définitive d'IEEE 802.11n n'est pas attendue avant la mi-2009, date à laquelle l'organisation promet de revoir ses certifications pour assurer la compatibilité avec la norme définitive et les équipements conçus d'après le draft 2.0.Cent-quarante équipements ont ainsi déjà été certifiés par l'Alliance et ils devraient représenter 9% des ventes de chipsets de l'année. La seconde raison de cette croissance des ventes est directement liée à l'essor des téléphones dual mode : cellulaire et WiFi. Pour l'Alliance, 9,16 % des ventes de cette année seront constituées de ces téléphones nouvelle génération qui permettent d'utiliser le réseau commuté classique et sans fil domestique pour passer des appels. Les téléphones purement WiFi, en revanche, restent assez peu utilisés, l'Alliance estimant qu'ils ne représenteront que 1% des ventes de chipset. Enfin, la plus grosse partie des ventes restera confinée aux appareils embarquant la technologie WiFi tels que les PC mobiles et autres équipements domestiques. Selon l'Alliance, un tiers des ventes de chipsets en 2011 ou 2012 devrait être attribué aux télévisions, chaînes stéréo et lecteurs MP3 tandis qu'un autre tiers se trouverait dans les téléphones portables. (...)

(03/12/2007 15:08:40)

Les collégiens des ZEP participent à un projet de téléphonie mobile

Cent vingt collégiens sont devenus les acteurs d'un programme de découverte professionnelle liée à la téléphonie mobile. Ces élèves, issus des collèges du réseau « ambition réussite » situés en zone d'éducation prioritaire, vont pouvoir découvrir, au cours de l'année scolaire 2007-2008, les aspects technologiques, les processus de conception et les professions liées à la création d'un téléphone, grâce au projet Mobi3. Lancé par les associations IMS-Entreprendre pour la Cité et Engage Network, avec Dassault Systèmes, DLA Piper, IBM, Nokia et SFR et le Ministère de l'Education Nationale, ce projet va conduire les collégiens à plancher sur la création d'un mobile en utilisant un logiciel de conception 3D, et à développer une méthodologie liée à la conception du produit. Le programme met en avant le rôle complémentaire joué par l'ensemble des partenaires du projet dans le cycle de vie d'un mobile (du design à la commercialisation et au recyclage). Ainsi, les collégiens devront concevoir un prototype de téléphone mobile en utilisant le logiciel de conception 3D de Dassault Systèmes. De son côté, Nokia apportera sa vision des techniques et des métiers du marketing, ainsi que de la filière production et logistique. Les jeunes apprendront comment commercialiser un produit mobile en définissant son prix, les spécificités du produit, les canaux de distribution et la stratégie de promotion. Egalement au programme, la planification des étapes de production, la gestion des commandes et celle des stocks. IBM, de son côté, montrera aux élèves comment gérer et mettre en place le système d'information, en effectuant parallèlement une présentation des métiers liés à l'ingénierie et aux télécommunications. Enfin, SFR présentera les cycles de vente du produit et de l'offre associée, tandis que le cabinet d'avocats DLA Piper enseignera les aspects juridiques qui encadrent la mise sur le marché des téléphones mobiles, notamment les droits de la propriété intellectuelle. A la fin de l'année scolaire 2007-2008, les équipes présenteront leur projet à un jury constitué des partenaires de ce programme. (...)

(03/12/2007 13:15:50)

Google sera bien candidat à des fréquences aux Etats-Unis pour 4,6 Md$

Google a confirmé vendredi dernier qu'il participerait aux enchères organisées le 24 janvier prochain par le régulateur des télécoms américain FCC (Federal Communications Commission). Il met 4,6 milliards de dollars sur la table pour acquérir des fréquences de téléphonie sans fil dans la bande des 700 Mhz. Des fréquences libérées aux Etats-Unis par la télévision lors de son passage au numérique en 2009. Même pour le géant de la recherche sur Internet, 4,6 Md$ est une grosse somme, que Google devra donc en partie emprunter. Or, certains analystes, déjà très dubitatifs sur la capacité de l'éditeur à imposer son système d'exploitation Android sur le marché du téléphone sans fil, se demandent clairement comment il va réussir à se transformer en opérateur, donc engager le personnel ad hoc et acquérir les ressources nécessaires de manière générale. La stratégie est d'autant plus audacieuse qu'Eric Schmidt, le CEO de Google, déclare dans un communiqué de presse : « Les consommateurs méritent davantage de concurrence et d'innovation par rapport à ce qui se fait actuellement dans le monde des télécommunications. » Voilà qui va sans aucun doute faire plaisir aux partenaires de Google, ces mêmes opérateurs qui manquent cruellement d'imagination selon Eric Schmidt, et qui pourtant sont supposés aider Google à imposer son système Android sur le marché. Si Google espère à la fois être concurrent des autres opérateurs tout en leur demandant d'utiliser sa plateforme logicielle, il lui faudra un soutien sans faille de la part des fabricants. Au passage, l'éditeur rappelle les conditions qu'il avait posées : que les clients puissent choisir leur terminal, l'utiliser sur n'importe quel réseau, accéder à tous les services et télécharger tous les contenus et ce indépendamment de l'opérateur auprès duquel ils ont souscrit un abonnement. Des conditions qui devraient plaire à des AT&T et Verizon, respectivement numéro 1 et numéro 2 des opérateurs mobiles américains, à la tête d'un immense marché captif. (...)

(30/11/2007 18:10:16)

L'UE donne son accord sur l'ouverture des fréquences GSM

Les ministres européens, suite à la proposition datée de juillet dernier de la Commission européenne, viennent de donner leur accord sur la libération de la bande de fréquence des 900 Mhz. Cette proposition devra bien entendu être votée par le Parlement européen avant que le projet ne prenne forme, mais il semble que les déclarations de juillet dernier de Viviane Reding aient enfin abouti sur du concret. Membre de la Commission chargée de la société de l'information et des médias, Viviane Reding estimait en effet que l'accès aux fréquences basses permettrait aux opérateurs de réduire de 40 % leurs coûts de déploiement sur les cinq prochaines années. Elle mettait également en avant le fait qu'elle favoriserait une meilleure concurrence et donc un accès plus facile aux services multimédias par les utilisateurs finaux. Si le Parlement vote en faveur de cette proposition, la commission prévoit une application dès la fin de l'année 2007. (...)

(30/11/2007 14:52:54)

Le SP1 de Microsoft Exchange 2007 disponible

A peine quelques mois après sa sortie, la version 2007 d'Exchange, le serveur de messagerie de Microsoft, reçoit son premier Service pack. Ce SP1 contient à la fois des extensions fonctionnelles et des correctifs. Entre les deux, Microsoft glisse des améliorations sur la sécurisation des accès distants et l'administration du serveur. SP1 rend aussi Exchange 2007 compatible avec Windows Server 2008. Côté extensions, ce SP1 jette un pont vers Office Communication Server (OCS) et son client Office Communicator pour intégrer la gestion des messages vocaux. C'est avec ce SP1 que l'offre de « communication unifiée » de Microsoft commence à prendre tout son sens. Les extensions apportées par ce SP1 justifient l'important effort à consentir pour migrer d'une version précédente d'Exchange à celle-ci, beaucoup plus vorace en ressources. Certaines estimations évoquent un doublement des ressources nécessaires par rapport à Exchange 2003. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >