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(14/12/2007 16:26:19)

Forrester liste 10 raisons pour ne pas utiliser l'iPhone en milieu professionnel

L'iPhone est beau et design mais n'est, selon Forrester, certainement pas adapté à un usage professionnel. Si l'institut ne doute pas que le téléphone d'Apple trouvera sa place dans les entreprises en raison de l'engouement des cadres, il estime paradoxalement que la première génération du produit présente trop d'inconvénients pour sortir de la seule sphère du grand public. Un argumentaire qui tient en dix points. - L'iPhone ne supporte pas nativement le push mail ou la synchronisation avec des calendriers. Pour faire fonctionner le téléphone conjointement avec Exchange ou Lotus Notes par exemple, les administrateurs réseaux devront préalablement configurer leur infrastructure. - L'appareil n'accepte pas encore les applications tierces. Celles développées en interne par les entreprises n'ont donc pas droit de cité actuellement. - Les sociétés ne peuvent pas, nativement, sécuriser les données présentes sur l'iPhone via un système de cryptage. - Le téléphone ne peut être verrouillé à distance en cas de perte ou de vol. - L'absence de clavier matériel est un problème pour un usage en milieu professionnel, les utilisateurs ayant besoin de pouvoir entrer du texte rapidement et précisément. - L'iPhone ne fonctionne que sur les réseaux de quelques opérateurs en France (Orange), Allemagne (T-Mobile), au Royaume-Uni (O2) et aux Etats-Unis (AT&T). - Il n'existe pas d'offre destinée aux entreprises. Un professionnel désirant s'équiper doit le faire aux mêmes conditions que celles s'appliquant aux particuliers. - La première génération d'iPhone souffre de défauts rédhibitoires que même les plus enthousiastes supporteurs d'Apple déplorent : durée de vie de la batterie et non-support de la 3G, notamment. - Apple ne vend pas de batterie de rechange et celle installée dans le produit n'est pas remplaçable : lorsqu'elle atteint sa fin de vie, le téléphone n'est plus utilisable. [Apple a annoncé un programme de remplacement des batteries usagées à 79€ l'unité, NDLR] - Le peu d'entreprises ayant adopté l'iPhone induit un manque de recul sur l'utilisation professionnelle qui peut en être faite. De fait, un seul grand groupe promeut l'usage du téléphone parmi ses salariés : Apple. (...)

(13/12/2007 11:16:23)

L'Arcep renforce le contrôle sur la couverture des opérateurs mobiles

L'Arcep vient d'annoncer de nouvelles mesures visant une meilleure transparence sur la couverture du territoire national par les opérateurs mobiles. Des mesures que les trois opérateurs nationaux devront appliquer dès le renouvellement de leur licence GSM. Orange, SFR et Bouygues Telecom doivent en effet publier des cartes de couverture plus précises et validées par des enquêtes terrain. Jusqu'à maintenant, les cartes éditées par les opérateurs étaient sujettes à caution. En imposant une précision à l'échelle du canton et des fonctions de recherche par commune, l'Arcep veut à la fois mieux informer les consommateurs et inciter les opérateurs à une meilleure couverture du territoire. Les opérateurs sont responsables de la validité des cartes qu'ils devront actualiser tous les ans. Validé par un protocole d'enquête public, l'ensemble du processus pourra être repris par une collectivité ou toute autre personne qui souhaiterait vérifier la couverture d'un opérateur. C'est l'Arcep qui impose à chaque opérateur 250 cantons pour les enquêtes de terrain. SFR et Orange ont déjà remis des audits au mois d'octobre sur les 73 premiers cantons qui prouveraient la fiabilité de leurs cartes respectives. Bouygues Telecom, pour sa part, ne sera soumis à cette mesure que lors du renouvellement de sa licence prévu fin 2009, mais devrait commencer les enquêtes de terrain dès l'année prochaine. Ces cartes seront également utilisées dans le cadre du control que l'autorité s'apprête à faire sur la couverture du territoire dans le cadre du programme « Zones blanches », initié par les pouvoirs publics. Ce programme, qui doit normalement se clôturer fin 2007, prévoit la couverture de 3000 communes qui, en 2003, n'avaient accès à aucun réseau mobile, quelque soit l'opérateur. Si les opérateurs respectent le programme, ils devraient couvrir plus de 99% de la population métropolitaine fin 2007. Enfin, l'Arcep rappelle que les opérateurs doivent également finir de couvrir, d'ici à 2010, les axes de transport prioritaires qui représentent plus de 50 000 km d'autoroutes à fort trafic afin d'améliorer encore la couverture des réseaux mobiles en France. (...)

(11/12/2007 12:43:11)

LIPS publie ses premières spécifications

Si Google comptait surfer sur la vague Open Source pour séduire le marché des télécoms avec son système Android basé sur Linux, il risque de se mordre les doigts... Moins d'un mois après son annonce, des opérateurs tels que Orange, Bouygues Telecom, Telecom Italia, British Telecom mais aussi des fabricants et éditeurs de réunis sous le consortium LIPS pour Linux Phone Standards Forum, ont finalisé la première mouture de leurs spécifications. Le groupe avait publié un premier jet en juin dernier qui vient aujourd'hui d'être enrichies d'interfaces pour gérer la téléphonie mais aussi la messagerie instantanée, le courrier électronique, les calendriers, etc. Ouvert, le système s'adresse d'abord aux développeurs qui souhaitent créer des applications pour cette plateforme, d'où le focus sur les API. « Une possibilité qui n'est pas, par exemple, proposée sur d'autres plateformes telles que celle de l'iphone d'Apple... », précise Bill Weinberg, directeur général de LiPS qui ajoute : « LIPS se différencie de l'Open Handset Alliance, l'association derrière la plateforme Android de Google, parce que nos spécifications permettent de créer des implémentations interopérables de Linux, là où Android est déjà une implémentation de Linux en soi ». En d'autres termes, l'approche retenue par LIPS est plus celle d'un organisme qui cherche à standardiser le marché plutôt qu'à l'occuper avec un nouveau système d'exploitation. Fort de cette stratégie, LIPS s'attend à de nombreuses exploitations de sa plateforme dans les mois à venir par les fabricants et éditeurs de logiciels. Reste que LIPS n'est qu'une nouvelle tentative d'association dans le monde de la téléphonie mobile qui compte déjà LIMO, groupe de travail qui réunit Motorola NTT DoCoMo, Vodafone, Samsung autour d'un projet également basé sur Linux. Plus européenne, l'initiative LIPS n'en est pas moins concurrente de LIMO ou de l'Open Handset Alliance. (...)

(10/12/2007 17:11:51)

IDC voit 2008 en faible croissance et en rupture

Dans le cadre de l'exercice imposé de prospective de fin d'année, IDC met 2008 sous le signe d'une très faible croissance. De près de 7% en 2007, la croissance mondiale des TIC devrait perdre 1 à 1,5 point. On peut envisager que le point de vue d'IDC soit biaisé par les menaces qui s'accumulent sur l'économie américaine. Dans son ensemble, l'industrie des TIC devra se transformer pour continuer de croître. Il lui faudra aller chercher sa croissance parmi les PME (depuis le temps qu'elle essaye) et dans les puissances émergentes. Ces pays qu'il est convenu d'appeler Bric (Brésil, Russie, Inde et Chine) et les neuf autres pays les plus dynamiques. A ce glissement vers de nouveaux marchés vient s'ajouter celui vers le logiciel en ligne, qui devrait profondément modifier le paysage du logiciel. Cette tendance de fond s'accompagne celle de la généralisation des appliances applicatives, ces espèces de boites noires qui contiennent des applicatifs prêts à l'emploi. Le sans-fil montera suffisamment en puissance pour supporter la connexion de tous les types de terminaux, qu'ils soient d'origines téléphonique ou informatique. Moins crédible, IDC appelle de ses voeux le terminal qui comblera enfin le trou entre l'ordinateur portable, aussi petit soit-il, et le téléphone mobile, aussi "smart" qu'il puisse être. La notion est connue, ce qui change pour 2008, c'est le nom générique : les "Web gadgets" dans le prolongement des tentatives d'Amazon (Kindle) et d'Apple (iTouch). IDC termine sa courte projection par la description d'outils logiciels capables d'extraire des analyses pertinentes sur le comportement des foules de l'énorme masse d'informations individuelles générée par le Web 2.0. Ce serait donc l'an prochain que se concrétisera le rêve de tous les services marketing pour finir de cerner l'immense troupeau des clients que nous sommes. (...)

(07/12/2007 12:09:34)

Le GET/Telecom Paris doublement récompensé pour ses travaux en sciences et technologies

Deux chercheurs du GET/Télécom Paris viennent d'être récompensés pour avoir contribué à faire progresser les sciences et les technologies de l'information et de la communication. Jean-Claude Belfiore, enseignant-chercheur au département communications et électronique (Comelec) de Télécom Paris a reçu la médaille Blondel, pour la qualité de ses recherches dans le domaine des communications numériques et ses contributions aux codes spatio-temporels. Travaux qui ont été adoptés pour la norme de transmission de données au débit sans fil, Wimax. Trophée « le plus prestigieux » de la SEE (Société de l'Electricité, de l'Electronique et des Technologies de l'Information et de la Communication), la médaille Blondel récompense un chercheur de moins de 45 ans, auteur de travaux ou de réalisations exceptionnellement remarquables. Le prix de la Ville de Paris pour une jeune scientifique parisienne a été parallèlement décerné à Ghaya Rekaya, elle aussi enseignante-chercheuse à l'Ecole nationale supérieure des télécommunications : elle a été élue par la ville pour ses travaux sur le "code d'or", un mode de codage qui a été également retenu pour le Wimax. (...)

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