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(27/07/2007 16:58:37)

Mozilla veut donner plus d'autonomie (et de visibilité) à Thunderbird

Thunderbird n'a pas l'attention qu'il mérite, le mieux pour ce logiciel Open Source de gestion de ses mails serait donc de sortir de Mozilla. Voilà en substance le message de Mitchell Baker, qui dirige Mozilla Corp., l'entité commerciale de la Fondation Mozilla, qui édite Thunderbird et Firefox. Dans son blog, Mitchell Baker explique en effet que Mozilla accorde toute sa priorité au navigateur Firefox, et réfléchit par conséquent à de nouvelles options pour continuer le développement de Thunderbird et le rendre plus visible. La CEO de Mozilla Corp. appelle donc les utilisateurs à donner leur avis et propose de son côté trois options : - Option 1 : créer une organisation à but non lucratif sur le modèle de Mozilla, une Thunderbird Foundation, qui elle-même pourrait donner naissance dans le futur à une filiale commerciale pour gérer les revenus. Mais cela demande un travail complexe de mettre sur pied tout cela. - Option 2 : créer une nouvelle filiale au sein de la fondation Mozilla, mais avec toujours le risque que la priorité soit donnée à la filiale gérant Firefox. - Option 3 : développer Thunderbird en tant que projet communautaire, soutenu par une petite entité commerciale assurant services et support. Une solution qui paraît à Mitchell Baker « plus simple et plus efficace que créer une nouvelle filiale ». Dans tous les cas, il ne s'agit en aucun cas de tuer Thunderbird, mais au contraire de faire en sorte que l'autonomie gagnée lui offre de meilleures bases pour se développer, explique Tristan Nitot, président de Mozilla Europe. « Au début, raconte-t-il, il y avait deux développeurs sur Thunderbird et deux sur Firefox. Les deux projets avaient autant d'importance. Puis cela a commencé à diverger. Il y a aujourd'hui plus de 100 millions d'utilisateurs de Firefox, contre 4 à 5 millions pour Thunderbird. » Du coup, Thunderbird est resté avec ses deux développeurs, tandis que la communauté Firefox grandissait. Pas de communauté ni d'avenir sans leader charismatique Pour Tristan Nitot, le fait d'accorder la priorité dans les arbitrages à Firefox va de soi. « D'une part parce que la dynamique du marché est très différente, il y a par exemple des problèmes de compatibilité dans les navigateurs Web qui n'existent pas dans l'email. Il est par ailleurs beaucoup plus facile d'essayer d'utiliser un nouveau navigateur que de changer de gestionnaire d'email si on a de grosses archives. En outre les nouveaux arrivants sur le Web privilégient le webmail, la messagerie instantanée, les blogs et sites communautaires... Les jeunes considèrent le mail comme un truc de vieux, quelque chose pour l'entreprise. Donc vu l'enjeu qu'est le Web aujourd'hui, il est logique que lorsque Firefox et Thunderbird sont en compétition pour une ressource (marketing, assurance qualité, etc.), Firefox l'emporte. Dans ces conditions, Thunderbird ne peut pas atteindre son plein potentiel. » Tristan Nitot espère que les utilisateurs de Thunderbird se mobiliseront, afin de « prendre leur destin en main, influer sur l'avenir du produit ». Que ce soit en donnant de l'argent, ou en remontant des bugs. Le président de Mozilla Europe assure que la maison mère n'a aucune idée préconçue sur la forme que cette séparation prendra : « Personnellement, j'aime bien l'option 2, qui me paraît plus raisonnable que l'option 1, monstrueuse d'un point de vue administratif. Et je crois que Scott McGregor, un des deux développeurs de Thunderbird, aimerait l'option 3. » Mais quelle que soit la solution retenue (une des trois options ou une autre suggérée par un utilisateur), il faudra un leader charismatique pour constituer et maintenir cette nouvelle communauté, faute de quoi un bon gestionnaire d'emails risque de disparaître. (...)

(27/07/2007 09:11:37)

L'Arcep veut baisser les tarifs des terminaisons d'appel pour 2008-2010

Le prix des terminaisons d'appel mobile (TAM) est encore une fois au coeur des préoccupations de l'Arcep. L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes vient en effet de soumettre à consultation publique son projet de régulation des prestations de terminaison d'appel vocal mobile en métropole et en Outre-mer pour la période 2008-2010. Pour rappel, la TAM représente le prix que doit payer l'opérateur pour que son abonné puisse joindre n'importe quel autre mobile en France, et ce quel que soit l'opérateur de son correspondant. Pour cela, les opérateurs doivent acheter une prestation de terminaison d'appel à chaque opérateur mobile dans des conditions qui sont, en l'absence de régulation, décidées unilatéralement par cet opérateur mobile... ce qui peut parfois entraîner certaines dérives. Dans son rapport, l'Arcep persiste donc et signe : elle demande encore une baisse tarifaire de la TAM, comme elle le préconise depuis 2003. En quatre ans, ces efforts ont permis de faire baisser progressivement le prix des TAM de 50%. Dans son projet, l'Arcep rappelle également que les achats de terminaison d'appel mobile sont le premier flux financier entre les opérateurs français. Ils ont permis aux opérateurs d'enregistrer une recette de plus de 3,3 milliards d'euros en 2006. D'où l'importance de les contrôler. Une baisse de 0,1 à 6,7 cents pour les départements d'Outre-mer Concrètement, l'Arcep propose une nouvelle grille tarifaire de la TAM. Ce barême, revu à la baisse, prendrait effet le 1er janvier 2008, et concerne les trois principaux opérateurs : pour Orange et SFR, le prix de la TAM passerait de 7,5 centimes d'euro la minute à 6,5 centimes d'euro. Pour Bouygues Telecom, la TAM (qui demeure légèrement plus élevée, en raison de son arrivée plus tardive sur le marché français) prendrait la même direction, en passant de 9,24 centimes d'euro à 8,5 centimes d'euro actuellement. Ces nouvelles tarifications resteraient ensuite valables pendant 18 mois. Durant cette période, l'Autorité s'engagera au coté de la Commission européenne et autres régulateurs pour renforcer l'harmonisation des politiques de tarification des TAM en Europe. La baisse concerne également les départements d'Outre-mer. Elle y sera d'ailleurs plus drastique, car les prix actuellement pratiqués sont décalés par rapport au reste de l'Europe. L'Autorité propose une baisse de 50% sur 3 ans. Orange Caraïbe verrait ainsi passer son tarif de 13,2 à 6,5 centimes d'euros entre 2007 et 2010. Favoriser à terme la convergence fixe-mobile Avec cette nouvelle réglementation tarifaire, l'Arcep espère limiter certains abus, comme la pratique des niveaux trop élevés de TAM. Sur le segment des appels de mobile à mobile par exemple, elle veille à ce que les opérateurs ne privilégient pas trop les communications sur leurs propres réseaux. Dans son rapport, l'Arcep ne néglige pas non plus la problématique de la convergence entre téléphonie mobile et fixe. D'après elle, la régulation des terminaisons d'appel doit tendre vers une approche plus neutre entre les mondes du fixe et du mobile. Elle doit d'une part permettre aux opérateurs fixes de répliquer facilement les offres des opérateurs mobiles, et, d'autre part, offrir aux consommateurs la possibilité de se tourner vers la technologie de leur choix, sans que les niveaux de terminaison d'appel n'induisent de distorsion dans leurs préférences. (...)

(25/07/2007 13:21:49)

Nokia rachète Twango, site de partage de fichiers multimédias Web 2.0

Nokia a annoncé le rachat de Twango, un site d´hébergement, dédié à l'organisation et au partage de photos, de vidéos et de fichiers audio. Cette opération, dont le montant atteint 100 M$ (source WSJ), permet au géant finlandais de renforcer son offre multimédia, mais aussi de renforcer sa présence dans l´univers du web 2.0. Le constructeur confirme ainsi sa volonté de proposer une plate-forme de communication complète à ses clients. Déjà partenaire du blog Vox et du site de partage de photos FlickR, Nokia étoffe sa gamme de services, tout en facilitant la gestion du partage des données sur PC et sur mobile. « L'acquisition de Twango est une étape concrète qui entre dans le cadre de notre vision des services Internet, qui consiste à fournir un accès sans limite à l'information, au divertissement et aux réseaux communautaires, a déclaré Anssi Vanjoki, directeur de la branche multimédia de Nokia, dans un communiqué relayé par Reuters. Nous avons la suite d'expériences multimédias en ligne la plus complète, incluant la musique, la navigation, les jeux vidéo, et - avec le rachat de Twango - la photo, la vidéo ainsi que divers types de documents », a-t-il ajouté. Le service Twango devrait rester gratuit dans les mois à venir. Nokia a toutefois annoncé la création de services premiums payants. Pour le moment, l'offre n´est disponible qu'en anglais. Société américaine employant dix salariés, Twango a été créé en 2004 par des anciens de Microsoft. L´audience du site reste toutefois très limitée si on la compare à ses principaux concurrents, comme YouTube ou Flickr, selon les cabinets d´audience Hitwise et Quantcast. (...)

(23/07/2007 11:20:24)

Google tente d'imposer ses conditions pour la bande des 700 MHz aux USA

Google parviendra-t-il à imposer ses conditions pour la bande des 700 MHz aux Etats-Unis ? D'ici une semaine ou deux, la FCC, autorité américaine des télécommunications, doit publier le texte définitif pour la mise aux enchères de cette bande de fréquences, libérée par la mise en place de la télévision numérique. De nombreuses sociétés sont intéressées, afin de pouvoir mettre en place des services haut débit sans fil. D'autant que cette bande de fréquences couvre tout le territoire et passe les murs. Parmi les intéressés, Google, qui a fait savoir à quelles conditions il accepterait de participer aux enchères. Et pour que son message soit entendu, le moteur de recherche se dit prêt à mettre directement sur la table 4,6 Md$. Google demande notamment que les clients puissent acheter le terminal qu'ils souhaitent, l'utiliser sur n'importe quel réseau, accéder à tout service et télécharger tous les contenus. Si ces conditions ne sont pas remplies, explique Google, c'est l'ancien modèle économique (celui des opérateurs mobiles, donc) qui prévaudra, au détriment des utilisateurs. Le gouvernement américain espère retirer 10 Md$ de cette vente aux enchères. (...)

(13/07/2007 12:11:41)

Licence UMTS : Free débouté par le Conseil d'Etat

Le Conseil d'Etat a rejeté la demande d'annulation de la procédure d'attribution de la quatrième licence UMTS formulée par Free, indique le quotidien économique Les Echos. L'opérateur alternatif souhaitait en effet que le gouvernement revoit à la baisse le prix d'achat de la licence (619 M€) et lance un nouvel appel à candidatures. Pour justifier sa décision, le Conseil d'Etat explique que le prix de la licence sera fixé au cours de l'adoption du cahier des charges accompagnant l'autorisation de son exploitation, et à ce moment seulement. Cette phase n'ayant pas été atteinte, Free ne peut contester une décision qui n'a pas encore été prise. Peu optimiste, Free n'a donc d'autre choix que celui de s'en remettre à la volonté du gouvernement. Le fournisseur d'accès à Internet devrait malgré tout se porter candidat le 31 juillet prochain, et ne manquera pas de poser ses conditions. (...)

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