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Mobilité

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(22/05/2007 16:59:33)

Toshiba et Nortel unis pour promouvoir le WiMax mobile

Nortel et Toshiba s'allient pour développer des relais WiMax Mobile. Les deux sociétés visent à la fois le marché japonais et le reste du monde. Toshiba assurera le développement de la partie radio des stations tandis que Nortel se focalisera sur les éléments numériques. Cet accord de co-développement intervient après une première expérience grandeur nature conduite par les deux sociétés dans le nord du Japon. (...)

(16/05/2007 17:59:57)

La France compromet-elle l'avenir du 802.11n ?

La France risque-t-elle de compromettre le 802.11n, basé sur la technologie MIMO (Multiple Inputs Multiple Outputs) ? C'est ce que craignent certains fabricants comme Trapeze Network. En effet, si l'Arcep a bien libéré la bande des 5 GHz après celle des 2,5 GHz, elle a soumis cette ouverture a certaines conditions, notamment l'absence d'interférence avec les installations militaires qui utilisent également cette fréquence. Les normes DFS (Dynamic Frequency Selection) - qui sont l'un des moyens de lutter contre ces parasites - adoptées par l'Europe correspondent à la version 1.2.3 des spécifications définies par l'ETSI (Institut Européen des Normes de Télécommunications). Or la France, par la voix de son autorité de régulation des télécoms, l'Arcep, se réfère à une version ultérieure (1.3.1) adoptée par l'Institut. C'est ce qui inquiète les équipementiers, les puces correspondant à la version 1.3.1 n'étant pas disponibles en quantité suffisante. Les chips actuels peuvent toutefois être utilisés. Malheureusement, leurs performances ne correspondent pas aux objectifs du 802.11n. On serait ainsi assez loin des débits annoncés de 540 Mbp/s. Légalement, les équipements conformes à l'ETSI dans les pays européens ne le sont donc pas en France. A l'EICTA (l'Association européenne des technologies de l'information), qui défend le point de vue des constructeurs, on estime que la France est sur ce point en contradiction avec les lois communautaires. Il n'est cependant pas sûr que la position française pose réellement problème dans la mesure où les tests préliminaires à la certification définitive du 802.11n par l'IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers) débutent en juin. On ne verra donc pas de produits correspondants avant 2008. L'Europe sera sans doute alignée sur la France à ce moment là. (...)

(16/05/2007 17:17:33)

Microsoft et Sandisk s'associent pour l'après-U3

Microsoft et Sandisk vont collaborer pour mettre au point la succession de la plateforme U3 Smart pour les clés USB et les cartes flash. Les clés à la norme U3 permettent de stocker et de transporter des fichiers, des applications et les préférences utilisateur afférentes, afin de les utiliser librement sur n'importe quel poste de travail sur Windows. L'évolution sur laquelle vont oeuvrer Microsoft et Sandisk vise à ajouter au support flash le stockage de l'environnement et d'une interface utilisateur, en plus d'accepter un plus large éventail d'applications. Pour cela, le géant de Redmond s'attachera au développement applicatif et aux améliorations logicielles à apporter à la technologie U3 actuelle. De son côté, Sandisk planchera sur les évolutions matérielles, notamment pour mettre en place la technologie Trustedflash, dont le but est de sécuriser le contenu des clés ou cartes flash en cryptant les informations et en y associant un système de gestion des DRM. Prévu pour le second semestre 2008, le nouveau standard ne laissera pas les développeurs sur le bord de la route. Un outil de migration leur sera proposé pour porter leurs applications U3 sur la nouvelle plateforme. (...)

(16/05/2007 11:37:39)

Téléphonie mobile : accord européen sur le roaming

Après d'interminables négociations, de longues tergiversations et même du chantage industriel de la part des opérateurs mobiles, les Etats et eurodéputés sont parvenus à un accord pour réduire les frais de roaming (itinérance) des appels émis et reçus à l'étranger. 49 cts/mn en réception, 24 cts/mn en émission Les trois institutions européennes (Parlement européen, Commission et Conseil des ministres de l'Union européenne) se sont mis d'accord pour fixer à 49 cents/mn les appels émis depuis l'étranger et limiter à 24 centimes d'euros/mn les communications reçues à l'étranger, divisant ainsi à terme globalement les coûts par deux. Des tarifs dégressifs Ces tarifs s'appliquent la première année et seraient ensuite dégressifs sur 3 ans : respectivement 46 et 22 centimes la deuxième année, et 43 et 19 centimes la troisième année (Source : Les Echos). Pour mémoire, les eurodéputés de la commission industrie (Itre) avaient majoritairement voté des seuils à 40 centimes par minute pour les appels émis et de 15 centimes pour les appels reçus. Les gouvernements des 27 Etats membres, eux, souhaitaient fixer des limites à 60 centimes/mn pour les appels émis et 30 centimes d'euros la minute pour les appels reçus. Des pays comme la France ou le Royaume Uni cherchaient à préserver les marges de leurs opérateurs. Didier Lombard, PDG de France Télécom, avait même menacé, d'après Le Monde, d'acheter Chinois pour rester compétitif. Pas automatique tout de suite Les opérateurs devront avertir par courrier leurs abonnés de ces nouveaux tarifs. Les clients disposant de forfaits Europe seront libres de leurs choix, basculer ou non. Ceux qui n'auront pas pris de décision sous deux mois, seront transférés automatiquement vers ces tarifs dans la plupart des cas plus avantageux (sauf conditions spécifiques). Quelques 147 millions d'utilisateurs sont tout de même concernés... Avant d'entrer en vigueur, le compromis doit tout de même être validé par les Etats membres et adopté par le parlement Européen. (...)

(15/05/2007 15:01:20)

Aruba annonce une solution mesh WiFi axée sur la sécurité

Aruba Networks va mettre prochainement sur le marché Secure Entreprise Mesh, une technologie de maillage WiFi convergente voix-donnés-vidéo proposant un cryptage des données de bout en bout. « La gestion des règles de sécurité est centralisée au sein d'un contrôleur de mobilité qui supervise également les contingences de bande passante, de capacité réseau et de disponibilité. Celui-ci est compatible à la norme WiFi 802.11n. On retrouve d'ailleurs en matière de sécurité toutes les fonctionnalités présentes sur nos autres réseaux WiFi. Seule la détection des points d'accès pirates est un peu moins performante avec le mesh. Toutefois cela n'a que peu d'importance car il n'y a ni câble, ni prise Ethernet pour installer un point d'accès pirate », explique Serge Lhermitte, responsable support client pour l'Europe du Sud. Rappelons que les solutions de sécurité d'Aruba s'appuient notamment sur une authentification 802.1x et un algorithme de cryptage AES-CCM de la couche de liaison. La solution Secure Enterprise Mesh fera l'objet d'une démonstration à Interop qui se tiendra à Las Vegas, du 20 au 25 mai. Sa commercialisation est prévue pour juillet 2007. (...)

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