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(22/02/2007 18:15:25)

SFR et Alcatel retenus pour déployer le WiFi parisien

En attribuant à SFR et Alcatel-Lucent la réalisation de ses points d'accès WiFi, Paris jette les fondations de ce que Bertrand Delanoë a baptisé la capitale numérique. En mars 2006, le premier édile rendait visite à son homologue de San Francisco et observait avec intérêt le partenariat noué avec Google et Earthlink pour couvrir la ville en haut débit sans fil. L'élu parisien confiait à cette occasion que l'objet de son voyage était non seulement d'apprendre, « mais aussi d'imiter ». De fait, avec la mise en place de ses hotspots, « Paris n'a pas à rougir de la comparaison avec les autres grandes métropoles », confie Danièle Auffray, l'adjointe aux nouvelles technologies. D'ici le mois de juin, Alcatel-Lucent déploiera 200 points d'accès dans les mairies d'arrondissement, les bibliothèques municipales et les jardins publics de la capitale. Ils seront accessibles gratuitement pendant les heures d'ouverture au public des lieux dans lesquels ils sont implantés. En août, la ville en comptera deux fois plus. SFR, de son côté, aura en charge l'exploitation et la maintenance des hotspots. L'idée, explique Danièle Auffray, est de « maximiser le confort de connexion pour les usagers, un point qui faisait partie du cahier des charges ». Ainsi, si le nombre d'accès simultanés à un même point d'accès n'est pas précisé, l'élue indique qu'il sera « significatif ». De même, SFR mettra en place un numéro d'appel pour aider les Parisiens dans leur utilisation. Au total, la Ville de Paris devrait débourser entre 5 et 6 M$ sur trois ans, dont 2,5 M€ la première année. Le montant inclut les frais d'installation et de mise en service ainsi que l'accès, payé par la municipalité au duo SFR-Alcaltel. Un budget somme toute raisonnable pour « un service qu'il paraissait logique d'offrir », selon l'adjointe au Maire. Si le projet parisien n'a rien à envier à ceux déployer par les grandes métropoles mondiales, il convient toutefois d'apporter une nuance. Là où San Francisco met en place un véritable réseau, Paris se refuse d'employer ce terme et insiste sur la notion de points d'accès, une notion qui exclut de fait l'unité de l'ensemble ainsi constitué. La raison de cette différence tient au code général des collectivités territoriales qui, dans son article 1425-1, interdit à ces dernières la fourniture de services de télécommunications à moins d'avoir constaté « une insuffisance d'initiatives privées propres à satisfaire les besoins des utilisateurs finals ». En d'autres termes, une collectivité ne peut créer son propre réseau s'il entre en concurrence avec les offres des opérateurs. La carence des offres n'existant pas à Paris, la Ville ne peut que proposer des points d'accès, gratuits et nombreux certes, mais dénués de liens les uns avec les autres. Un réseau WiFi à Paris n'est cependant pas une vue chimérique. Parallèlement à la mise en place des 400 hotspots, la Ville met en effet à la disposition des opérateurs une partie de ses lampadaires pour qu'y soient installés des bornes. D'ores et déjà, la mairie peut recueillir les demandes et proposer son mobilier urbain contre une redevance raisonnable conduisant à un accord gagnant-gagnant. (...)

(22/02/2007 12:36:24)

Bruxelles appelle à l'ouverture des fréquences pour l'UWB

L'Europe doit s'ouvrir dans les six mois à l'ultra-wideband (UWB) et aux périphériques liés à ce type de réseau sans fil. C'est le message que Bruxelles a envoyé aux 27 membres de l'UE ce 21 février, les enjoignant d'ouvrir leur spectre radio pour permettre l'usage de l'UWB par les 500 millions de consommateurs européens. Les périphériques UWB émettent et reçoivent des données en haut débit en utilisant une large partie du spectre (. La transmission ne requiert cependant qu'une très faible puissance, réduisant par conséquent les interférences avec les autres types de signaux. En tant que Bluetooth survitaminé, l'UWB pourrait être utilisé, par exemple, pour transmettre de la vidéo. Les Etats-Unis ont d'ores et déjà autorisé la transmission UWB sur la plage 3,1 - 10,6 GHz. Une plage qui inclut les fréquences 5-6 GHz, déjà utilisées par les réseaux WiFi 802.11a. L'approche de l'Europe est légèrement différente, en ce qu'elle repose sur une étendue de fréquences moindre. Théoriquement donc, tous les périphériques fonctionnant aux Etats-Unis ne pourront émettre et recevoir en Europe. L'appel lancé par la Commission pourrait cependant laisser l'opportunité aux constructeurs de mettre au point des produits adaptés aux deux côtés de l'Atlantique et reposant sur les fréquences communes aux deux continents. Le CeBit, qui se tiendra au mois de mars à Hanovre, donnera l'occasion aux constructeurs de présenter leurs produits utilisant la technologie UWB, des appareils photos aux disques durs, en passant par les imprimantes. (...)

(22/02/2007 09:54:42)

4ème licence 3G : la course est lancée

Après avoir consulté la Commission des radiocommunications, l'Arcep a transmis au ministre délégué à l'Industrie un projet d'appel à candidature pour l'attribution de la quatrième licence UMTS. Dans la foulée, François Loos a «décidé de proposer officiellement cette licence», estimant que la France peut accueillir un nouvel opérateur de téléphonie mobile. Le prix de la 4ème et dernière licence 3G française est identique à celui des trois premières, détenues par Orange, SFR et Bouygues Telecom : 619 M€. Selon le ministre délégué, même si ce montant reste élevé, il ne sera en aucun cas revu à la baisse. Le régulateur des télécoms français se réjouit de l'avancée du projet. «L'attribution de la quatrième licence 3G constituerait une évolution majeure du secteur de nature à intensifier la concurrence sur le marché des communications mobiles [...], au bénéfice du consommateur», précise-t-il dans un communiqué. Iliad et Numericable-Noos ont déjà manifesté leur intérêt pour cette licence. Quand l'un des deux, ou tout autre opérateur, l'aura obtenu, il devra immédiatement verser la totalité de la somme. De plus, il sera tenu de couvrir 25% de la population en deux ans et 80% en huit ans. (...)

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