Flux RSS

Mobilité

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

3327 documents trouvés, affichage des résultats 3151 à 3160.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(20/10/2005 17:57:40)

Microsoft livre le SP2 d'Exchange 2003

Microsoft vient de commencer à distribuer le second service pack pour Exchange 2003. Avec celui-ci, l'éditeur entend revenir dans la course au nomadisme face à RIM et son service Blackberry. Le service pack 2 apporte à Exchange la technologie Direct Push qui permet le transfert directe d'un courriel reçu au terminal mobile de l'utilisateur concerné. Jusqu'ici, un SMS de notification précédait le transfert. Seul bémol – mais de taille –, il n'existe pas encore de terminal mobile supportant ces nouvelles fonctions. Seul les smartphones sous Windows Mobile 5.0 pourront en profiter, après installation du Messaging & Security Feature Pack qui ne sera disponible que le mois prochain.
Par ailleurs, le service pack 2 apporte à Exchange 2003 le support de la technologie anti-spam Sender ID et des outils d'administration de terminaux à distance. Avec ces outils, il est possible de déclencher l'effacement des données d'un terminal perdu ou de bloquer le terminal par un mot de passe. Enfin, la taille maximale des messageries passe à 75 Go dans l'édition standard. (...)

(23/11/2005 18:10:08)

Les candidats aux licences WiMax ont déposé leurs lettres d'intentions

Les lettres d'intention de candidatures aux licences WiMax, qui seront attribuées par l'Arcep dans les mois à venir, ont été déposés par les opérateurs et collectivités intéressés par le déploiement de réseaux WiMax le vendredi 14 octobre et il semble que le processus ait connu un certain succès.

Comme prévu France Télécom a déposé un dossier pour des licences dans l'ensemble des régions et il a été imité par le groupe Neuf Cegetel en direct ou au travers de ses filiales Neuf Collectivités et Wengo. Mais les deux poids lourds hexagonaux de la téléphonie ne seraient pas les seuls intéressés par des licences au niveau national. Selon notre confrère "Les Echos" plusieurs sociétés auraient aussi fait une demande de candidatures dans l'ensemble des régions . parmi eux figurent notamment Club-Internet (filiale de Deutsche Telekom), NRJ, Axione (Bouygues Telecom) et TDF. Des opérateurs comme Hub telecom(ex-ADP Telecom), UPC Noos et Numericable auraient, quant à eux postulé dans plusieurs régions tandis que les Autoroutes Paris-Rhin-Rhône auraient demandé des licences pour déployer une couverture WiMax tout au long du tracé de leurs autoroutes.

Les collectivités s'opposent à la logique de profit des opérateurs

La dernière catégorie d'acteurs ayant fait acte de candidature est celle des collectivités territoriales. Une vingtaine de régions, départements et villes se sont ainsi portés candidats afin de déployer le WiMax à usage interne ou pour désenclaver leurs territoires aujourd'hui mal couverts par les opérateurs privés. Ce chiffre est impressionnant quand on sait que le processus de sélection conçu par l'Arcep n'est a priori pas très favorable aux collectivités locales. Il incorpore ainsi une part d'enchère qui est peu compatible avec les objectifs des collectivités et les contraint à concourir ave des acteurs privés dont les capacités de prise de décision sont souvent bien plus rapides.

Pourtant, comme le rappelait récemment la commission TIC de l'association des régions de France, il paraît urgent de retrouver une maîtrise publique des TIC pour assurer leur développement : "Cette maîtrise publique permet d'infléchir la logique de rentabilité, profondément inégalitaire, des opérateurs vers une logique de développement numérique harmonieux du territoire rattaché aux politiques régionales. (...) il s'agit in fine pour les Régions de faire du haut débit une matière première durablement disponible et bon marché pour leurs habitants, leurs entreprises, leurs services publics".


Une procédure qui devrait s'achever au premier semestre 2006

La liste définitive des candidats ayant déposé une lettre d'intention auprès de l'Arcep sera connue mardi. Face à la rareté des fréquences mise à disposition par l'Arcep Les candidats auront jusqu'au 6 janvier pour envisager les différentes possibilités de mutualisation de ces fréquences. Ils devront alors confirmer leur candidature le 6 janvier 2006 avant 17h.

A ce stade l'Arcep effectuera alors un bilan des demandes afin d'évaluer la rareté éventuelle des fréquences région par région. En cas de non-rareté des fréquences sur une région, l'autorité délivrera des autorisations au fil de l'eau. Les autorisations pourront être délivrées sur des zones de couverture régionales ou infrarégionales, c'est-à-dire porter sur un département ou plusieurs communes. En cas de rareté des fréquences dans une région, l'Arcep lancera une procédure de sélection sur la base de dossiers de candidatures à déposer le 1er février 2006. Cette sélection se fera sur trois critères : la contribution au développement territorial des services à haut débit, l'aptitude du projet à favoriser la concurrence sur le haut débit, et le montant de la redevance que le candidat est prêt à payer dès l'attribution de sa fréquence. C'est ce dernier dispositif, qui rappelle le mécanisme d'enchères utilisé pour l'attribution des licences 3G, qui est le plus sujet à critiques par les collectivités... (...)

(12/10/2005 18:10:21)

Yahoo et Microsoft rendent leurs messageries compatibles

Microsoft et Yahoo s'apprêtent à offrir au grand public l'interopérabilité de leurs messageries instantanées. Les utilisateurs de MSN Messenger et de Yahoo Messenger pourraient alors communiquer par écrit ou oralement, quelle que soit l'application considérée.
Cet accord marque la volonté des deux acteurs de regagner du terrain face à AOL et son AIM, le géant du secteur, qui s'arroge 56 % de parts de marché avec 53 millions d'utilisateurs. Microsoft et Yahoo, à eux deux, totalisent 40 % du marché des messageries instantanées. En outre, les protagonistes entendent contrer la progression rapide de Skype et de Google Talk, la récente messagerie du tentaculaire moteur de recherche.
Microsoft proposait jusqu'alors à ses clients professionnels d'utiliser Live Communications Server pour échanger avec les utilisateurs d'autres types de messageries. L'accord passé avec Yahoo étendra cette possibilité au grand public. (...)

(11/10/2005 17:48:04)

Le consortium EWC veut court-circuiter le processus de standardisation de 802.11n

Après des mois de blocages, les différents consortiums chargés de définir le futur standard Wi-Fi à haut débit, 802.11n, s'étaient mis d'accord avant les vacances pour définir un standard de compromis dont les spécifications préliminaires devaient être publiées en Novembre. Cet effort semble désormais largement compromis. L' EWC (Enhanced Wireless Consortium), un nouveau groupe mené par Intel vient en effet d'annoncer la création d'une spécification rapide, et son intention de la proposer comme candidate pour le standard 802.11n. Selon Bill Bunch, le directeur produit de Broadcom, un autre membre de l'EWC, la spécification proposée par le groupe est le fruit de la fusion des propositions des groupes TgnSync et WWISE les deux coalitions jusqu'alors opposées au sein de l'IEEE.

Mais pour Greg Raleigh, le CEO d'Airgo, l'une des rares sociétés à disposer aujourd'hui d'une puce de classe 802.11n, la création de l'EWC, n'est rien d'autre qu'une tentative de passage en force à l'IEEE avec une proposition qui ignore largement certains besoins de l'industrie. "Selon nous, la spécification EWC n'inclut pas tout le support requis par les terminaux mobiles" indique ainsi Nico Van Vaes, le responsable chez Nokia de la standardisation 802.11n.

Pour certains observateurs du marché, la man½uvre d'Intel et de ses alliés dont Broadcom, Atheros et Marvell (qui pèsent environ 75% des ventes de chipsets Wi-Fi mondiales) vise à exclure d'exclure la petite start-up qui a devancé tous les grands sur le marché des technologies d'antennes multiples MIMO et dont la technologie devait former la base du futur standard (Airgo est le constructeur qui fournit les puces qui équipent les équipements MIMO de Linksys et Belkin).

En tentant par tous les moyens de court-circuiter la procédure de consensus décidée cet été, les poids lourds du marché ne souhaiteraient pas vraiment faire évoluer le standard, mais tout bêtement le contrôler afin de protéger leurs parts de marché. C'est texto l'analyse du cabinet ABI, qui explique que si Intel, Broadcom, Atheros et Marvell, "qui ont pris du retard pour amener le multiplexage spatial au marché, peuvent faire évoluer la proposition de standard, Airgo devra revoir en profondeur son design", donc perdre son avance.

Les plus cyniques remarqueront qu'Intel n'en est pas à son coup d'essai. Il s'est déjà entendu ave Cisco pour développer un jeu d'extensions propriétaires à Wi-Fi pour améliorer la sécurité et la gestion radio dans l'espoir d'en faire un futur standard (de fait). Il a, par ailleurs, réussi à semer une belle zizanie dans le processus de normalisation (à ce jour avorté) d'UWB. Objectif, contrôler le plus étroitement les standards radio que le géant considère comme une clé de son développement dans les terminaux nomades du futur, notamment avec ses puces Centrino mais aussi ses puces Xscale… (...)

(10/10/2005 18:00:25)

Nokia sécurise ses mobiles avec les outils de Symantec et repousse le lancement de sa tablette Linux

Nokia a signé un accord avec Symantec pour intégrer sa technologie de sécurité dans ses futurs téléphones mobiles Series 60. Symantec Mobile Security fournira des services de protection antivirus mais aussi de firewall pour les futurs terminaux series 60 sous Symbian OS. Le logiciel peut être mis à jour "over the air".

Le premier téléphone utilisant le système sera le N70, un téléphone qui sort actuellement des lignes de production du constructeur. Selon Nokia, le logiciel n'équipera toutefois pas tous les combinés Series 60. "Nous prendrons la décision au cas par cas" a ainsi expliqué Eija-Riitta Huovinen, en charge des communications pour la division plates-formes de Nokia.

Il est à noter séparément que le géant finlandais a annoncé le report du lacement de sa tablette Internet 770, une mini-tablette Wi-FI et Bluetooth sous Linux, qui devait à l'origine sortir au mois de septembre. Nokia a annoncé qu'il souhaitait peaufiner le logiciel de la tablette avant de la mettre sur le marché. L'appareil incorpore une suite complète d'outils de communication, des fonctions avancées de lecture multimédia et se connecte à Internet au travers du réseau Wi-Fi ou d'une liaison Bluetooth avec un téléphone mobile. (...)

(07/10/2005 17:57:16)

SFR se met à l'Edge à reculons

Que faire lorsque l'on a misé toute sa stratégie sur la 3G et que vos concurrents moquent régulièrement votre faible taux de couverture. A reculons SFR vient de fournir la réponse. L'opérateur, filiale de Vivendi Universal, va faire comme tout le monde, à savoir déployer un réseau Edge en parallèle de son réseau 3G. L'annonce confirme en fait ce qui n'était plus depuis des mois qu'un secret de polichinelle.

SFR qui vient de faire un procès à Bouygues pour avoir osé comparer couverture 3G et couverture Edge (voir à ce propos la note SFR et Bouygues s'écharpent sur la définition du haut débit mobile) tente de faire bonne figure en tentant de minimiser ce qui pour lui est un non événement. Selon l'opérateur "La 3G est la priorité stratégique de SFR. Sa couverture atteint d'ores et déjà plus de 50% de la population. Elle atteindra 60% fin 2005 et 70% fin 2006 (NDLR :lors de la négociation de sa licence, SFR s'était engagé à couvrir plus de 90% du territoire à la fin 2005)".

Pour l'opérateur, le réseau 3G est un réseau "entièrement nouveau, qui dispose d'un potentiel de capacité trois fois supérieur au GSM. La 3G est la seule technologie qui permet d'offrir à nos clients plus de capacité pour la voix et des services data performants". Seul problème avec une couverture de 60% de la population, soit quelques 30% du territoire, ce discours a du mal à tenir face à des entreprises qui exigent que le haut débit soit disponible partout où leurs salariés se déplacent.

Conscient du problème et surtout de son retard en matière de couverture haut débit par rapport à Bouygues et Orange, SFR devrait déployer l'Edge en complément de la 3G sur environ 9% du territoire d'ici la fin de l'année. Et l'opérateur d'indiquer que l'Edge est une évolution naturelle du réseau 2G et qu'à ce titre, la mise en place de l'Edge sur les zones non couvertes en 3G est une démarche naturelle de modernisation du réseau GSM/GPRS qui couvre aujourd'hui pour SFR plus de 98% de la population". Bien sûr, il ne s'agit pas d'un "revirement stratégique pour SFR dans la téléphonie mobile haut débit"...

Chez Orange et Bouygues Télécom, certains ont dû bien rire à la lecture du communiqué. (...)

(06/10/2005 17:50:57)

Adoption de 802.11e pour la qualité de service wi-fi

La spécification 802.11e vient d'être approuvée par le conseil d'administration de l'IEEE. Cette spécification doit permettre d'améliorer le transport de la voix et de la vidéo sur les réseaux sans fil en appliquant des priorités aux paquets véhiculés par ces réseaux afin d'éviter collisions et délais. Concrètement, 802.11e définit quatre classes de trafic, chacun bénéficiant de sa propre file d'attente. On compte ainsi une classe pour la voix, une autre pour la vidéo, une troisième pour les données - best-effort - et une dernière pour le trafic de fond sans priorité particulière. Les marqueurs de classe utilisés par 802.11e sont les mêmes que ceux définis pour les réseaux Ethernet filaires.
Pour Abner Germanow, analyste chez IDC, 802.11e est suffisant pour répondre aux besoins actuels. Mais Ruckus Wireless, constructeur d'équipements pour réseaux sans fils optimisés pour la voix et la vidéo, ce n'est pas assez : tous les flux de voix ne sont pas dissociés les uns des autres, et il en va de même pour les flux vidéo. (...)

(05/10/2005 17:38:21)

BT et Navini esquissent les premiers tests WiMax au Royaume-Uni

British Telecom s'apprête à lancer un test de service pré-WiMax avec l'aide de Navini, au Royaume-Uni. WiMax - 802.16 - doit permettre de déployer une couverture haut débit sans fil. Avec cette opération, British Telecom entend vérifier la viabilité commerciale de la technologie et obtenir des retours d'utilisateurs sur ses performances, tant en milieu rural qu'urbain. Navini fournira les équipements nécessaires. Le test doit durer jusqu'au premier trimestre 2006. L'ampleur du test n'a pas été communiquée. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >