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Mobilité

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(15/11/2011 16:05:23)

DSI : comment gérer l'invasion des terminaux mobiles dans les entreprises

A l'occasion de son symposium annuel, qui s'est tenu à Barcelone la semaine dernière, Gartner est revenu sur la prolifération de terminaux mobiles, leur utilisation croissante en entreprise et leur impact sur les stratégies de management possibles face à ces nouveaux modes de consommation et aux exigences des utilisateurs.

Selon Gartner, 461,5 millions de smartphones seront vendus en 2011, 645 millions en 2012, et les ventes combinées de smartphones et de tablettes dépasseront de 44% les ventes de PC. La plupart de ces terminaux mobiles feront leur entrée dans l'entreprise, les collaborateurs en ayant fait l'acquisition s'attendant à être autorisés à les utiliser dans le cadre de leur travail.

18 milliards d'apps téléchargées en 2011

La consumérisation, les app stores et les écosystèmes mobiles mènent par ailleurs à une prolifération de nouvelles applications et services au sein de l'entreprise. Toujours selon Gartner, 18 milliards d'apps seront téléchargées en 2011, un chiffre qui devrait presque doubler en 2012.

Cette prolifération de terminaux mobiles et d'applications conduit les collaborateurs à se comporter de plus en plus comme des consommateurs, exigeant un plus grand choix d'appareils et adoptant de nouvelles stratégies comme le «Bring Your Own  IT», où ils utilisent leur propre matériel (tablette, smartphone) pour travailler. En conséquence, la frontière entre le rôle de collaborateur et de consommateur est de plus en plus floue.

4 cas de figure pour les DSI

Selon Nick Jones, vice-président chez Gartner, «les DSI doivent trouver de nouvelles manières de fournir, financer et gérer les terminaux mobiles afin de donner un plus large choix aux employés tout en soutenant les programmes BYO». Selon Gartner, les DSI doivent se préparer à quatre cas de figure:

- Gestion orientée vers le contrôle: la qualité du service, la sécurité, le support et les coûts priment. L'entreprise fournit et gère les terminaux mobiles, les contrats et les applications de manière stricte.

- Gestion orientée vers le choix: La satisfaction de l'utilisateur prime. L'entreprise n'abandonne pas toute responsabilité, mais n'exerce qu'un contrôle léger sur les appareils et les services utilisés. Les contrôles s'effectuent dans le cloud plutôt que sur les appareils eux-mêmes, et le support est relativement limité.

- Gestion orientée vers l'innovation: l'autonomie du collaborateur prime. Les utilisateurs sont encouragés à tester des applications et services et à développer de nouvelles techniques et processus. L'IT n'abandonne pas la responsabilité pour des points critiques comme la confidentialité des données, mais exerce un contrôle au niveau des lignes directrices plutôt qu'au niveau de la technologie elle-même.

- Gestion décentralisée: L'entreprise s'engage au minimum, typiquement en renonçant à fournir des terminaux. Elle autorise donc les employés à se servir de leurs propres terminaux. «Les DSI doivent être prêts à gérer des programmes BYO plus vite qu'ils ne le pensent» a souligné Nick Jones. «Le BYO est un principe que la plupart des organisations vont adopter et auquel elles doivent se préparer».

ICTJournal.ch

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(15/11/2011 14:51:58)

Salesforce.com acquiert Model Metrics, spécialiste de la mobilité dans le cloud

Salesforce.com a annoncé l'acquisition de Model Metrics. Les termes financiers de l'acquisition n'ont pas été divulgués, mais l'éditeur s'attend à conclure la transaction dans son quatrième trimestre fiscal clos le 31 janvier.

Model Metrics est une entreprise basée à Chicago et comprend plus de 500 clients. Elle a réalisé plus de 1000 déploiements des solutions de Salesforce.com pour les entreprises de toutes tailles. Elle a indiqué en début de mois que 80% de ses clients ont des projets d'intégration des smartphones et tablettes dans leurs déploiements cloud. Ces projets de mobilité ont été multipliés par 6 en 2011 souligne Model Metrics. En conséquence, elle a étoffé son expertise sur le mobile en proposant des offres multi-plateforme. Ainsi, elle a développé des applications pour iPhone, iPad et quelques terminaux Android pour donner un accès hors-ligne aux données de Salesforce.com

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(15/11/2011 11:41:04)

Trimestriels Iliad : Prêt pour l'arrivée de Free Mobile début janvier

Le groupe Iliad a présenté ses résultats pour le troisième trimestre 2011. Le chiffre d'affaires est en progression de 5% à 537 millions d'euros. Côté abonnés, Free a recruté 93 000 personnes dont 20 000 issues de la migration des ex clients Alice. Cela représente 27% de parts de marché des recrutements nets en France et le groupe compte 4,8 millions d'abonnés au haut débit. En ce qui concerne l'ARPU, il est stable 35,5 euros pour les abonnés Free traditionnels, mais à plus de 38 euros pour les possesseurs de la Freebox Revolution.

En attendant l'offre de Free Mobile

Si les résultats trimestriels montrent une bonne santé d'Iliad, les regards vont se tourner vers le prochain lancement de l'offre Free Mobile. Xavier Niel, fondateur du groupe Iliad n'a pas donné beaucoup d'indication dans un entretien à Libération en indiquant juste que « On aura l'offre la plus complète, la moins chère et qui nous assurera la viabilité pour vingt ans » et d'ajouter sur les personnes connaissant le modèle économique (prix, abonnement, etc...) « il y a quatre personnes dans la confidence. (...) aucun des managers n'a la vision du jeu de construction, qui sera révélé sous peu ».

Pour autant, la question de la date agite toujours la websphere et selon nos confrères de Mac4ever, l'offre serait dévoilée le 2 janvier 2012. L'accord d'itinérance conclu entre Iliad et Orange sera effectif en janvier 2012.

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(15/11/2011 10:16:50)

La Gendarmerie Nationale s'équipe pour inspecter les terminaux mobiles

La Gendarmerie Nationale possède des missions de police judiciaire sur la plus grande partie du territoire national. Dans ce cadre, elle se retrouve de plus en plus confrontée à des terminaux mobiles : téléphones, smartphones, terminaux GPS...

Pour aider les gendarmes dans les enquêtes criminelles, la Gendarmerie Nationale a décidé de s'équiper d'une solution permettant d'extraire des données logiques et physiques de la majorité des terminaux mobiles : contacts, historique des appels, vidéos, textes, photos... y compris les données effacées.

Le choix de l'UFED de Cellebrite

Après un an de tests, la maréchaussée a décidé de s'équiper d'UFED (Universal Forensic Extraction Device) de Cellebrite. Les détails du contrat n'ont pas été révélés. Plusieurs centaines d'appareils seront livrés.

Selon le constructeur, l'appareil est capable d'extraire les données de plus de 4000 modèles de terminaux mobiles sous iOS, Android, Blackberry, Symbian ou PalmOS. Il est également capable de récupérer des données effacées par l'utilisateur. L'extraction serait conforme aux exigences judiciaires en matière de preuve et pourrait être réalisée sur le lieu même d'un crime.

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(15/11/2011 10:08:13)

L'éditeur de logiciels de mobilité Swing Mobility vise l'international

En 2003, Patrick Metzger créait Swing Mobility, un éditeur spécialisé en solutions logicielles pour les populations en situation de mobilité. Aujourd'hui, il a largement dépassé le stade de la start-up et veut prendre place parmi les éditeurs en pointe sur ce secteur. Swing Mobility affichait un chiffre d'affaires de 6,5 millions d'euros (ME) en 2010, elle devrait passer à 12 ME en 2012.

Plus de 10% du CA est réalisé en indirect, c'est l'une des conditions du développement commercial qui cible avant tout les PME. Des filiales sont créées à l'international pour prendre place rapidement sur le créneau de la mobilité. En Allemagne l'an passé, en Suisse cette fin d'année. La société est également présente au Maroc avec l'aide d'un distributeur, Substancium.

La société couvre la mobilité des commerciaux et des techniciens itinérants (fiches produits, passage de commande, gestion de notes de frais), mais aussi  les responsables des services à la personne en déplacement. Par exemple, des infirmières avec pocket vital, un terminal et logiciel de gestion du dossier patient et de traitement des actes médicaux. Swing a également mis au point le logiciel SAP (service à la personne) pour la gestion de ces services, de la prise de contact à la facturation.

Rachat d'un spécialiste du MtoM

Swing Mobility est organisée en trois divisions : business software qui édite des logiciels de mobilité en entreprise, embedded solutions chargée de créer et vendre des objets communicants et les logiciels associés (après le rachat de Nogema Ingenierie, spécialisée en MtoM), enfin, mobile marketing, pour accompagner  des solutions mobiles d'un point de vue marketing. Sur ce point, l'éditeur a racheté une agence de web marketing : adPhone.

La croissance externe et le rachat de compétences appartiennent à une étape récente, l'éditeur a depuis le départ mis au point ses propres outils, comme swing studio (outil de conception d'applications mobiles multiplateformes sous .Net), ou swing agility outil de back office pour ses clients finaux qui leur permet de gérer les logiciels de gestion de mobilité de leurs personnels. L'éditeur est ainsi très autonome au plan technique, ce qui lui permet aujourd'hui d'amorcer sa phase de développement commercial. Son fondateur Patrick Metzger a d'ailleurs débuté comme magasinier avant de se former à l'informatique et de concevoir une entreprise autour des solutions de mobilité.

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(15/11/2011 09:57:21)

Les grossistes IT profitent de la vente des tablettes

Au vu du nombre croissant de tablettes tactiles commercialisées, il est logique que ces plates-formes nomades représentent une part grandissante du chiffre d'affaires des grossistes IT en Europe. Au mois d'octobre 2011, cette proportion s'élevait à 12,2% (contre 5,6% il y a un an) des revenus totaux des très nombreux distributeurs dont le cabinet Context analyse les résultats de vente tous les mois. Le négoce de tablettes est ainsi apparu comme la troisième source de chiffre d'affaires de ces intermédiaires entre fabricants et revendeurs.

A titre de comparaison, les ventes de PC portables, de desktops et de serveurs ont représenté durant cette période respectivement 61,2%, 18,5% et 6,6% des revenus des grossistes informatiques actifs  sur le marché européen.

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(14/11/2011 13:56:01)

Adobe promet des correctifs pour Flash mobile... mais pour combien de temps ?

Danny Winokur, le responsable d'Adobe en charge du développement interactif, a déclaré dans un blog que l'éditeur livrerait une ultime version de son Player Flash pour les terminaux Android et pour la tablette PlayBook de RIM avant d'arrêter son développement. La dernière version 11.1 a été livrée vendredi. Cependant, M.Winokur a promis que l'éditeur continuerait à livrer des correctifs pour le Player Flash. « Nous allons bien sûr continuer à fournir des patchs pour les vulnérabilités critiques et des mises à jour de sécurité pour les périphériques existants, » a déclaré Danny Winokur. La référence à « des bogues critiques » ne veut pas dire grand-chose, dans la mesure où Adobe qualifie généralement toutes ses mises à jour de sécurité pour Flash de « critiques ».

De son côté, Brad Arkin, directeur de la sécurité et de la confidentialité des produits chez l'éditeur, a renouvelé la promesse. « Adobe va continuer à livrer les mises à jour de sécurité pour le Player Flash mobile après l'ultime mise à jour, » a-t-il déclaré dans un message publié sur Twitter. Mais, ni Danny Winokur, ni Brad Arkin, n'ont précisé combien de temps la version 11 du Player Flash pour smartphones et tablettes bénéficierait de mises à jour de sécurité. Jeudi, le service des relations publiques d'Adobe a refusé de se prononcer sur un calendrier de support pour le logiciel.

Une politique de support difficile à comprendre

Andrew Storms, directeur des opérations de sécurité chez nCircle Security, a trouvé étrange qu'Adobe ne dise rien à ce sujet. « Pourquoi ne nous le diraient-ils pas ? », s'est-il interrogé. « Cette absence d'information dérange tout le monde. S'ils ont décidé d'une date pour en finir avec les mises à jour, il est certain que cela incitera les utilisateurs et les développeurs à prendre leur distance avec Flash plus rapidement. » Autre hypothèse émise par le responsable de nCircle Security :  peut-être qu'Adobe n'a pas encore pris de décision à ce sujet, ou que l'éditeur est lié par ses engagements auprès d'un ou plusieurs fournisseurs de services mobiles.

Les politiques de support d'Adobe ne permettent pas de savoir le temps qu'il reste à vivre à son Player Flash, contrairement à Microsoft, qui a défini un calendrier de mise à jour pour ses produits  - cinq ans pour les produits grand public, dix ans pour les logiciels d'entreprise. Au lieu de cela, Adobe s'engage à assurer le support de la version en cours de ses produits et la version tout de suite en dessous. Cependant, il est arrivé qu'Adobe décide, contre toute attente, de l'arrêt rapide du support d'un produit « en raison de l'évolution du marché et de l'impact pour les clients», comme on peut le lire sur son site internet. Ainsi, en février, Player Flash 9 était mise à la retraite, alors que la version 11 du lecteur d'Adobe n'avait pas encore été livrée. Motif : l'ancienne version datait de cinq ans et sa part de marché était dérisoire, 2% seulement.

Des mises à jour nécessaire pour la sécurité

La manière dont Adobe traite son Player Shockwave apporte peut être un meilleur indice : alors que la version 11 du Player a été introduite en mars 2008, Adobe continue toujours à livrer des correctifs pour les utilisateurs, dont une toute dernièrement. Ironiquement, jeudi, Adobe a livré un correctif pour son Player Flash, non seulement une version 11.1 pour Android, mais aussi pour les navigateurs de bureau sous Windows, Mac OS X et Linux. Cette mise à jour corrige 12 failles, toutes considérées comme critiques, la plupart liées à des problèmes de corruption de mémoire.

C'était la neuvième fois cette année qu'Adobe livrait une mise à jour pour son Player Flash, soit deux fois plus qu'en 2010. Les utilisateurs exécutant des navigateurs Internet de bureau, autres que Chrome - Google a également mis à jour son navigateur jeudi, avec le patch du Player Flash - peuvent télécharger la dernière version sur le site d'Adobe. Les utilisateurs d'Android doivent passer par l'Android Market pour obtenir leur mise à jour.

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