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(22/11/2004 18:37:40)

LG devrait ouvrir un centre de recherche 3G en France

Selon un article publié par notre confrère "Le Figaro", dans son supplément économie daté du 20 novembre, le géant de l'électronique coréen LG (ex-Lucky GoldStar) va ouvrir un centre de recherche spécialisé sur les terminaux mobiles de troisième génération à Villepinte, en Seine-Saint-Denis.

Selon le quotidien, ce centre de recherche 3G devrait être officiellement annoncé au début du mois de décembre, par le président sud-coréen. Le centre pourrait à terme employer près de 200 chercheurs. (...)

(19/11/2004 18:36:25)

Les réseaux sans fil dans la moitié des entreprises en 2006

Selon le Meta Group, 50 % des entreprises auront déployé des réseaux sans fil d'ici 2006. Elles seront 30 % à la fin de cette année. Le cabinet d'analystes attribue ce nouvel engouement marqué pour les technologies de réseau sans fil aux progrès récents dans leur sécurisation et, en particulier, à l'avènement de WPA, Wi-Fi Protected Access. Dans un communiqué, Peter Firstbrook, analyste chez Meta Group, estime que « WPA a considérablement affaibli le meilleur argument contre l'utilisation de Wi-Fi ». Et de tempérer ses propos en expliquant que, pour autant, « WPA n'est pas une balle en argent de la sécurité ». Le cabinet recommande en effet aux DSI de limiter leur recours à WPA dans la mesure où il ne constitue « qu'un composant d'un plan complet de sécurisation d'une infrastructure sans fil ». Selon Meta, il est coûteux mais essentiel de surveiller le spectre radio du fait de la multiplication des technologies sans fil. Le cabinet juge nécessaire d'intégrer les pare-feu, les systèmes de détection d'intrusion, la sécurité du poste client et la supervision à la stratégie de sécurité des réseaux sans fil. (...)

(19/11/2004 18:35:16)

Retour de la biométrie dans les ordinateurs de poche HP

Hewlett-Packard s'apprête à commercialiser début décembre sa gamme hx2000 d'ordinateurs de poche destinés aux particuliers et aux petites entreprises. Au sein de cette nouvelle gamme, le modèle hx2750 se distingue par son lecteur d'empreintes digitales, un accessoire présent sur les précédents modèles h5450 et h5500 du constructeur. Ce lecteur servira principalement à protéger les données embarquées dans l'ordinateur de poche.

Haut de gamme, avec un prix qui devrait dépasser les 800 ¤, le hx2750 est animé par un processeur Intel PXA270 cadencé à 624 MHz et épaulé par 128 Mo de ROM et autant de RAM. Il intègre un port d'extension CompactFlash et SecureDigital, Bluetooth et 802.11b. Le hx2410 embarque le même processeur mais cadencé à 520 MHz seulement, pour moitié moins de mémoire mais les mêmes capacités de connexion. Son prix devrait avoisiner les 700 ¤. Le modèle hx2110, enfin, se contente d'un processeur PX270 à 312 MHz avec 64 Mo de ROM comme de RAM et uniquement Bluetooth. Son prix devrait tout de même atteindre 600 ¤. (...)

(17/11/2004 18:52:12)

France Télécom propose Wi-Fi pour réduire l'isolement numérique

France Télécom vient de lancer son offre Wi-Fi de couverture d'accès à Internet à haut débit des communes non desservies par l'ADSL. Baptisée Pack Surf Wi-Fi, cette offre a fait l'objet d'un an de tests et équipe désormais 14 communes en France. Elle combine accès à Internet par satellite bidirectionnel et distribution Wi-Fi – sécurisé par WPA – jusqu'aux hameaux et quartiers desservis.

Dans le cadre de son offre Pack Surf Wi-Fi, France Télécom assure la prestation depuis l'étude des capacités télécoms nécessaires à la collectivité, jusqu'au déploiement de la solution, sa gestion et sa maintenance. L'opérateur estime entre 25 000 ¤ et 45 000 ¤ le coût de son offre pour la collectivité, selon les cas. Une addition qui intègre le raccordement et les équipements des abonnés. Pour l'abonné, l'accès à Internet est facturé 19,90 ¤ TTC/mois en 128/64 Kbit/s et 25,90 ¤ TTC/mois en 512/128 Kbit/s. A ce prix, l'abonné dispose de 5 adresses de messagerie personnalisables au nom de la commune. (...)

(16/11/2004 17:48:15)

Accord de roaming international Wi-Fi : les Français aux abonnés absents

Déjà très en retard sur les questions de roaming en France, les opérateurs hexagonaux sont sans surprise absents de l'accord d'itinérance Wi-Fi global signé par un groupe d'une douzaine d'opérateurs internationaux, la Wireless Broadband Alliance (WBA), réunissant notamment BT, China Netcom, Korea Telecom, Maxis, NTT, T-Mobile, Telstra et StarHub.

Cet accord dévoilé aujourd'hui va permettre aux clients des opérateurs signataires de bénéficier d'un roaming Wi-Fi mondial, ce qui en pratique leur permettra de se connecter partout où l'un des opérateurs signataires dispose d'un point d'accès Wi-Fi.

La WBA estime que ses membres ont déployé environ 18 000 points d'accès dans le monde. Côté tarifs, l'alliance annonce que le roaming ne coûtera rien aux utilisateurs. L'offre est pour l'instant valide jusqu'à la fin de l'année mais pourrait être étendue au-delà. (...)

(15/11/2004 18:09:31)

IBM s'attaque à WebEx pour la téléconférence en ligne

IBM prévoit de lancer en décembre son propre service hébergé de téléconférence en ligne, concurrençant ainsi des acteurs établis de ce marché comme WebEx.

Baptisé Lotus Web Conferencing Service, les services de conférence en ligne d'IBM devraient simplement nécessiter l'ouverture d'un compte, une connexion à Internet, un navigateur et un téléphone. L'administration du serveur de téléconférence est à la charge de Big Blue. Jusqu'à 100 personnes devraient pouvoir participer simultanément à une conférence.

IBM commercialise déjà des outils de téléconférence en ligne avec Lotus Instant Messaging et Web Conferencing. Mais selon Big Blue, leur utilisation induit un prix de revient supérieur de 20 % à celui qu'il prévoit de proposer pour son service en ligne.

Lotus Web Conferencing Service est actuellement en phase finale de test. Sa tarification n'a pas été officiellement annoncée. (...)

(10/11/2004 18:08:22)

Nokia claque la porte de la CCIA après l'accord à l'amiable avec Microsoft

Nokia n'a visiblement pas apprécié la façon, dont la CCIA (Computer and Communications Industry Association) a rendu les armes en rase campagne devant Microsoft et a claqué la porte de l'association. La CCIA a été l'un des adversaires les plus acharnés de Microsoft au cours des dernières années, et a systématiquement témoigné contre l'éditeur dans ses différents procès antitrust, quand elle ne s'est pas portée partie civile. Mais hier, elle a annoncé la conclusion d'un accord à l'amiable avec l'éditeur de Redmond, moyennant espèces sonnantes et trébuchantes.


Lors du procès antitrust lancé par le département de la justice US contre l'éditeur, Ed Black son président n'a pas hésité à comparer Microsoft à un Borg (les amateurs reconnaîtront une race prédatrice de la série Star Trek, qui assimile l'ensemble des autres civilisations qu'elle rencontre dans sa monoculture, NDLR ). Black a aussi mené la bataille contre Microsoft aux côtés de la Commission Européenne. Un rapport de la CCIA estimait ainsi en janvier que "Windows XP pousse les pratiques abusives de Microsoft à un niveau jamais atteint, visant à protéger illégalement les monopoles de Microsoft… et à éliminer ses concurrents sur des marchés émergents."


Depuis hier pourtant Black a adopté un tout autre registre. Il est vrai que dans le cadre de l'accord à l'amiable signé avec Microsoft, la CCIA renonce à toute poursuite dans le cadre du procès antitrust américain, ce qui de facto met un terme aux dernières poursuites en cours. L'association accepte aussi de retirer son soutien à la commission de Bruxelles. Elle va donc retirer sa plainte déposée en février 2003 et stopper sa collaboration avec la commission dans le cadre de l'appel interjeé par Microsoft auprès de la cour de Justice de l'Union.


Dans un communiqué, la CCIA indique que les termes financiers de son accord avec Microsoft son confidentiel. Le nouvel Ed Black se félicite " de cet accord et espère que sa relation avec Microsoft et les autres membres de l'industrie permettront “de s'occuper de problèmes plus importants concernant des millions d'individus et le futur de l'industrie". Le quasi-monopole de Microsoft sur les OS et les suites bureautiques n'est visiblement plus un "problème" pour Black qui ajoute vouloir travailler sur des sujets clés comme "l'accès internet pour tous, le support à la recherche,…". Et la faim dans le monde ?

Rien d'étonnant que dans ce contexte, Nokia ait préféré tirer sa référence. Comme l'indique une porte-parole de l'équipementier à nos confrère du wall Street Journal" Nous étions en désaccord avec l'accord à l'amiable, tant du point de vue de sa substance que de la façon dont il a été conclu". Pour une fois, Ed Black n'a pas apporté de commentaire. Il est vrai que les détails financiers de l'accord entre CCIA et Microsoft sont couverts par un accord de confidentialité. A la CCIA, la parole est d'argent, mais le silence est d'or… (...)

(10/11/2004 18:21:50)

SFR dévoile ses services 3G grand public

Imitant son actionnaire Vodafone, SFR a annoncé aujourd'hui l'ouverture de ses services 3G pour le grand public. Avec un petit mois d'avance sur Orange, dont les offres sont attendues pour le début du mois de décembre, SFR a dévoilé une gamme complète de services et de terminaux conçus pour son réseau UMTS. Au menu, la visiophonie bien sûr, mais aussi des services de téléchargement de musique et de vidéo, la possibilité de voir des programmes TV…

Oubliant sans doute qu'il n'est pas prêt de couvrir l'ensemble du territoire et que tous ses abonnés sont aujourd'hui équipés de téléphones 2G, Franck Esser, le patron de SFR a pris l'exemple du Japon pour expliquer que la 2G était morte. En fait, désireux de profiter de sa longueur d'avance sur Orange, SFR veut encourager les français à adopter ses services 3G, afin de rogner quelques parts de marché à son grand concurrent. Selon SFR, le marché de la 3G devrait devenir un marché de masse l'an prochain, l'opérateur visant environ 500 000 clients fin 2005. A cette époque, le réseau SFR devrait couvrir environ 60% de la population (soit les 104 plus grandes villes de France et leurs agglomérations), contre 64 villes de plus de 50 000 habitants aujourd'hui.


Pour profiter des services 3G de l'opérateur, les abonnés doivent renouveler leur terminal avec l'un des huit téléphones UMTS proposés par l'opérateur (de 199 ¤ à 459 ¤). Le forfait de base coûte 46 ¤ pour trois heures d'appels ou 1h30 de visiophonie (avec 50% de temps gratuit le soir ou le Week-End). La plupart des autres services sont facturés à l'acte (1,99 ¤ pour le téléchargement d'un morceau de musique, 0,50 ¤/mn pour la TV en live, …). (...)

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