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Mobilité

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(31/03/2011 12:34:00)
Android Market : Google lance son service de paiement In-App pour la vente de contenu
Ces derniers peuvent ainsi vendre une grande variété de contenus, des fichiers multimédias ou des photos, mais aussi du contenu virtuel pour leurs applications, comme des mises à jours, des niveaux de jeu ou des options additionnelles type add-ons. Les utilisateurs peuvent effecteur leur paiement selon les modalités actuelles. Google prélève 30% sur ce type de vente, soit l'équivalent des frais appliqués pour les applications.
Selon un document publié sur le site des développeurs Android, le SDK intègre maintenant un exemple qui montre aux développeurs comment intégrer ce mode de facturation dans leurs applications. L'Android Market est considéré par beaucoup comme le maillon faible de l'écosystème Android. Il a d'ailleurs laissé un espace à la concurrence, incitant Amazon à lancer son propre Appstore pour vendre des applications Android.
Un enrichissement progressif de l'offre Android Market
Mais depuis les six derniers mois, Google s'emploie à rendre le marché plus concurrentiel, et à améliorer l'expérience aussi bien des développeurs que des utilisateurs sur sa plate-forme. Google a, par exemple, élargi le nombre de pays à partir desquels on peut acheter et payer les applications. L'entreprise a également mis à jour son client Market, la version navigateur de sa boutique, et lance aujourd'hui son service In-App Billing. « Chaque amélioration constitue une étape supplémentaire dans la bonne direction et nous avons vraiment l'intention d'en tirer profit, » a déclaré Eric Wijngaard, l'auteur de l'outil de retouche photo PicSay. Grâce au service de facturation intégré à l'application, Shinycore, l'entreprise de Eric Wijngaard, pourra vendre des filtres spéciaux, des packs de sticker et des thèmes aux utilisateurs de PicSay qui souhaitent disposer de plus de fonctionnalités pour l'application.
Selon Paolo Pescatore, analyste chez CCS Insight, « tous les concurrents se positionnent par rapport à l'App Store, et à l'offre de la boutique en ligne d'Apple, notamment le paiement in-app, devenu une condition préalable pour tous les autres. » En outre, « davantage de développeurs se tournent vers un modèle économique dans lequel l'application est gratuite, et où ils gagnent de l'argent en vendant du contenu pour leur application, » a-t-il ajouté. Reste que, selon Eric Wijngaard, Google a encore du travail à faire pour améliorer sa plate-forme. « L'entreprise doit notamment travailler sur l'expérience d'achat en élargissant ces méthodes de paiement pour rendre son service accessible à plus de personnes à travers le monde. » Pour Paolo Pescatore, « pour Google, la prochaine étape logique serait d'étendre le paiement sur facture opérateur ou operator billing à plus de pays et d'opérateurs, » estime-t-il.
(...)(30/03/2011 15:59:32)
Windows Phone battra iOS en 2015
Selon IDC, d'ici 2015, Windows Phone devrait s'octroyer la deuxième place sur le marché des smartphones devant iOS d'Apple. D'après le cabinet d'études, le fait que l'OS mobile de Microsoft soit second, juste derrière Android, est dû à l'abandon par Nokia de Symbian pour Windows Phone 7. « «Jusqu'à la sortie de Windows Phone 7 l'année dernière, Microsoft a régulièrement perdu des parts de marché tandis que d'autres systèmes d'exploitation ont fait naître des expériences nouvelles et attrayantes», a déclaré Ramon Llamas, senior analyste des technologies mobiles chez IDC. La nouvelle alliance devrait apporter les capacités matérielles de Nokia et la plate-forme différenciée de Windows Phone. Nous estimons que les premiers terminaux seront lancés en 2012, a t-il ajouté
Plus de 45% de parts de marché pour Android
A l'horizon 2015, IDC s'attend à ce qu'Android obtienne 45,5 % de parts de marché, soit plus du double par rapport à Microsoft qui devrait se contenter de 20,9% Pour les fournisseurs qui ont fait d'Android leur pierre angulaire en terme de stratégie sur le segment des smartphones 2010 a été l'année du lancement, estime l'analyste. D'après lui, 2011 sera celle de son couronnement pour ces mêmes fournisseurs qui élargiront et approfondiront leur portfolios pour atteindre davantage de clients. Dans quatre ans, l'OS d'Apple devrait occuper la troisième place sur le segment des smartphones, avec 15,3% de parts de marché - en légère baisse par rapport aux 15,7 % que l'OS détient aujourd'hui-, devançant le BlackBerry de RIM (13,7%). De son côté, Symbian ne devrait plus peser que 0,2 % du marché, les autres constituant la part restante (4,6 %). Selon l'IDC Worldwide Quarterly Tracker Mobile Phone, 450 millions de smartphones devraient être commercialisés en 2011, contre 303,4 millions d'unités vendues en 2010.
Le cabinet a également affirmé que le marché des smartphones croître plus de quatre fois plus vite, cette année, que celui de la téléphonie mobile.
(...)
WWDC d'Apple entre retard de l'iPhone 5 et tickets au marché noir
La Worldwide Developers Conference (WWDC) d'Apple est l'évènement central du calendrier de tous les fanatiques du Mac. C'est la première fois qu'il affiche complet si rapidement. En 2010, la WWDC avait clos ses guichets en huit jours. En 2009, il avait fallu un mois pour écouler tous les billets. Ce succès est tel que les tickets, vendus 1599 dollars, se revendent le triple sur les sites d'enchères comme ebay (les annonces ont été depuis supprimé du site d'enchères). Il faut dire que le teasing sur cet évènement, l'avènement de l'ère Post-PC promis par Steve Jobs a de quoi interpeller. Sauf que les rumeurs pointent aussi le retard probable de la sortie de l'iPhone 5.
Depuis l'introduction de l'iPhone en 2007, Apple a sorti chaque année la nouvelle génération de son mobile en juin ou en juillet aux Etats-Unis, dans la foulée de la WWDC. Mais il se murmure que le nouvel iPhone arrivera plus tard cette année. "Cette année, nous dévoilerons le futur d'iOS et de Mac OS", a déclaré le 28 mars Philip Schiller, vice-président du marketing d'Apple, suggérant que l'accent sera mis sur les systèmes d'exploitation du Mac, de l'iPad et de l'iPhone plutôt que sur de nouvelles machines.
Cet infléchissement de la stratégie de la société n'est pas sans surprendre les observateurs, qui s'attendaient à ce qu'Apple ne dévie pas du rythme de sortie établi. La question est maintenant de savoir ce que cela signifie pour Apple et ses clients. Dan Frommer, du site Business Insider, indique que repousser la sortie de l'iPhone 5 pourrait être bénéfique pour la société autant que pour les "clients potentiels de l'iPhone, les fans d'Apple et les investisseurs" et d'ajouter "Si Apple tient à creuser l'écart sur ses poursuivants, il lui faudra tôt ou tard proposer une mise à jour assez importante pour bluffer les imitateurs", indique Dan Frommer en faisant allusion aux nombreux rivaux Android qui apparaissent chaque jour sur le marché du smartphone. "C'est peut-être pour ça qu'ils ont besoin d'autant de temps."
Attendre pour avoir un meilleur produit
Le site d'info high-tech Venture Beat est de cet avis: sortir l'iPhone 5 en août ou septembre permettrait à Apple de "profiter des avantages des nouveaux chipsets LTE, plus petits et plus efficaces". Autrement dit, l'iPhone nouvelle génération pourrait être compatible avec les réseaux 4G LTE. "L'iPhone 4 Verizon vient de sortir, en proposant l'iPhone 5 seulement quatre mois plus tard Apple se mettrait à dos des millions de clients Verizon", avance le magazine en ligne Fast Company.
"Attendre quelques mois de plus pour un nouveau mobile, ça n'a l'air de rien. Mais la gamme Apple est très restreinte, et comme c'est l'une des firmes de high-tech les plus importantes du monde, il suffit qu'un de ses produits change pour que les répercussions se fassent sentir dans tout le secteur", ajoute Fast Company.
La Worldwide Developers Conference se tiendra du 6 au 10 juin au complexe d'exposition Moscone West, à San Francisco. (...)
Les offres d'emploi de Monster sur iPad
Disponible gratuitement sur l'Appstore depuis le 22 mars, le service mobile de recherche d'emploi lancé par Monster tire parti des fonctionnalités proposées par la tablette d'Apple, notamment son affichage grand format et son écran tactile. Les utilisateurs d'iPad peuvent consulter les offres diffusées sur le site du spécialiste du recrutement depuis n'importe quel lieu, postuler directement, sélectionner le CV à joindre, ainsi que la lettre de motivation. Le lien direct vers Google Maps leur donne la possibilité de géolocaliser facilement une entreprise et de déterminer les moyens d'y accéder. Les recherches peuvent être sauvegardées pour être consultées ultérieurement sur un ordinateur. Il est également possible d'enregistrer les offres d'emploi jugées les plus pertinentes dans une « liste des offres sauvegardées ».
Accéder à près de 4 000 offres IT
Les terminaux portables sont des appareils à usage personnel, au même titre qu'une recherche d'emploi est une démarche personnelle, considère Nazanin Nezam, directrice produit Europe du sud chez Monster, dans un communiqué. Pour elle, ce service pour iPad était l'outil qui s'imposait en toute logique pour satisfaire les exigences d'un univers de plus en plus mobile En effet, selon Monster, plus de 50 000 personnes auraient téléchargé l'application de recherche d'emploi pour iPhone trois mois seulement après son lancement. En février dernier, près de 4 000 nouvelles offres ont été diffusées sur le site à destination des informaticiens, 2 800 pour le secteur IT et 1 100 pour celui de l'ingénierie.
(...)
ERDF intègre la géolocalisation dans les PDA de ses techniciens
Electricité Réseau Distribution France (ERDF) a équipé 1 100 de ses techniciens d'un logiciel de navigation. Celui-ci est intégré au sein du PDA qui leur a été fourni dans le pilote d'une nouvelle solution mobile. Il les guide étape par étape, d'intervention en intervention. ERDF assure la maintenance et l'exploitation continues de son réseau ainsi qu'un nombre important de dépannages clients. Le réseau compte près de 1,3 million de kilomètres de lignes électriques au service de plus de 33 millions de clients.
Afin d'améliorer l'efficience de la maintenance sur site, ERDF a lancé le projet Tamaris, qui propose une solution de gestion des équipes en mobilité. Elle regroupe plusieurs systèmes industriels. Parmi eux, citons une solution de gestion des workflows, un système d'optimisation des ressources humaines et matérielles, ainsi qu'un service de navigation par GPS intégré.
Un déploiement d'envergure
Grâce à la navigation GPS intégrée, les 1 100 agents ERDF expérimentant cette solution opérationnelle reçoivent les coordonnées de leurs lieux d'intervention directement sur leur outil portatif multifonctions. La solution tactile les mène vers leurs lieux d'intervention successifs, en leur fournissant un itinéraire détaillé pas à pas, avec guidage vocal. La solution a été intégrée avec les responsables du projet Tamaris sur le PDA supportant par ailleurs les applications communicantes du métier.
Il s'agit d'un premier déploiement. « Cette toute première opération de grande envergure est extrêmement importante pour notre entreprise. Nous avons capitalisé sur plusieurs expérimentations conduites localement par nos divisions opérationnelles. Le projet Tamaris a pour objet d'instrumenter, pour la première fois, 10 000 techniciens intervenant tous les jours et dans toutes les conditions partout en France », déclare Serge Mercadier, responsable du programme GDI (Gestion des interventions) à ERDF. Il complète : « nous avons pu mettre en oeuvre une infrastructure informatique et télécom intégrant l'ensemble des composants requis pour composer une vraie solution de gestion des équipes terrain en mobilité, avec le degré de fiabilité et de sécurité escompté ». C'est la solution CoPilot Live Professional d'ALK Technologies qui a été retenue. Navteq fournit les cartes numériques et Steria réalise l'intégration.
(Crédit Photo : D.R.) (...)
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