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(01/04/2011 14:34:40)

Le rapport X-Force d'IBM alerte sur la sécurité des mobiles et du cloud

Dans ce rapport, il est indiqué que les entreprises doivent notamment avoir à l'esprit que le jailbreak permet d'accéder au root des téléphones mobiles, ce qui pose un certain nombre de problèmes. Alors que de nombreux propriétaires de téléphone choisissent volontairement d'outrepasser les restrictions du constructeur pour installer sur leur mobile des applications initialement non compatibles, les pirates savent aussi tirer parti des outils de jailbreaking à leur disposition. Ainsi, ils peuvent modifier le code à l'intérieur d'un outil pour obtenir un accès root non autorisé, comme l'indique un rapport sur les tendances et les risques «IBM X-Force 2010 Trend et Risk Report» établi par des spécialistes de la sécurité chez IBM.

Une autre préoccupation émise dans ce rapport concerne les menaces que représente la sécurité des réseaux sociaux, généralement très sous-estimées selon eux. Certes, comme le précise le rapport, « les attaques généralisées visant à exploiter ces vulnérabilités ne sont pas légion. » Mais c'est essentiellement parce que « pour ceux qui mettent en place des réseaux de zombies à grande échelle sur Internet, les ressources financières que pourraient générer le piratage des appareils mobiles ne sont pas aussi intéressantes que celles procurées par les machines de bureau. » Néanmoins, chaque téléphone mobile peut contenir suffisamment d'informations précieuses pour justifier une attaque ciblée. « Introduit dans un mobile, un programme malveillant peut être utilisé pour espionner les utilisateurs, accéder à des informations sensibles, et entrer dans les réseaux d'entreprise. Par conséquent, les entreprises devraient prendre au sérieux le risque que représentent ces logiciels malveillants », indique le rapport.

Adapter sa sécurité


IBM X-Force recommande un minimum de mesures de sécurité dont un pare-feu, un anti-malware, des mots de passe forts, le verrouillage et la suppression des données après plusieurs tentatives de connexion, l'utilisation de passerelles entre les dispositifs et les réseaux d'entreprise (VPN), et la configuration du Bluetooth de façon à ce que seuls les appareils sécurisés puissent se connecter entre eux. Les entreprises qui utilisent une flotte mobile devraient également envisager le cryptage des données sensibles. « Toutes les données ne doivent pas être chiffrées, mais les données sensibles de l'entreprise, oui, » préconise le rapport.

Les boutiques légales d'applications en ligne sont également désignées comme source très dangereuse pour la diffusion de malware sur les smartphones. Si elles ne disposent pas des ressources nécessaires pour contrôler toutes les applications soumises, ces plates-formes peuvent en effet vendre des applications qui sont en fait des logiciels malveillants. « Probablement, des applications en apparence dignes de confiance, sont facilement utilisées comme vecteur pour la propagation de malware, » indique le rapport. Les entreprises qui cherchent à sécuriser les smartphones pourraient utiliser à bon escient la technologie d'encapsulage pour séparer les données et les applications professionnelles de tout le reste sur un même téléphone. « Les utilisateurs ne veulent qu'un seul appareil, et le fait d'encapsuler le contenu professionnel permettrait aussi un usage personnel du mobile, tout en protégeant les données sensibles, » indiquent les spécialistes.

Le cloud aussi touché


Le rapport  X-Force s'est également intéressé aux services Cloud et à la sécurité des nuages, un aspect qui conditionne grandement leur adoption. Mais de plus en plus d'entreprises s'y mettent, au moins pour héberger certaines de leurs données et applications. La sécurité ne doit pas être infaillible si les risques associés à l'utilisation du Cloud sont acceptables. « Pour les entreprises, la question n'est pas de savoir si le Cloud dans son ensemble est sécurisé, mais si elles-mêmes se sentent à l'aise pour délocaliser une partie de leur charge de travail sur le Cloud, » commente le rapport. Les clients doivent naturellement faire confiance à la sécurité offerte par les fournisseurs de Cloud, et accepter que ceux-ci donnent peu de détails sur leurs mesures de protection pour éviter de révéler leurs méthodes aux attaquants éventuels.

« Donc, les clients doivent faire confiance à leurs fournisseurs, mais ceux-ci ne peuvent garantir une sécurisation infaillible, » résume le rapport X-Force. Il est possible que les fournisseurs de nuage soient en mesure d'offrir une meilleure sécurité à leurs clients. « La protection que procure le nuage pourrait contribuer à mieux défendre les réseaux d'entreprise qu'ils ne le font eux-mêmes, » dit encore le rapport. « Au moins à court terme, les clients doivent évaluer leur degré de tolérance par rapport aux risques associés à l'utilisation de services Cloud et agir en conséquence, » indique le rapport.

 

Crédit Photo: D.R

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(01/04/2011 12:30:16)

Windows Phone 7 totalise 11 500 applications en un an

Un an après avoir montré pour la première fois la plateforme Windows Phone, à MIX10, et annoncé que les outils de développement étaient gratuits, Microsoft fait un petit bilan en quelques chiffres. C'est le responsable de l'équipe Windows Phone 7 de Microsoft, Brandon Watson (en photo), qui l'a publié hier. Il annonce en douze mois un million et demi de téléchargement des outils de développement pour l'environnement mobile, constitués de Visual Studio Express et Expression Blend 4 pour Windows Phone. Pour autant, cela ne constitue pas, évidemment, un nombre équivalent de développeurs. Ceux-ci sont évalués à 36 000 par l'éditeur qui prend ici en considération les membres de sa communauté AppHub évoluant autour de Windows Phone et Xbox 360.

Quant au volume d'applications, Microsoft l'évalue à 11 500. Brandon Watson promet ici que l'éditeur se concentre sur la qualité et non sur la quantité et que ce nombre n'a pas été artificiellement gonflé, par exemple par l'ajout de la catégorie « fonds d'écran » [wallpapers] ou encore par le dédoublement d'applications proposées en plusieurs langues.

« C'est bien d'avoir une plateforme remplie d'applications, mais la majorité des développeurs auxquels nous parlons veulent gagner de l'argent », reconnaît Brandon Watson. Selon lui, 7 500 de ces applications sont payantes, tandis que 1 100 d'entre elles génèrent des revenus aux développeurs par le biais de la publicité. Ils seraient nombreux, selon le collaborateur de Microsoft, à attendre plus de revenus de la plateforme de Microsoft que de celles des concurrents, « malgré le fait que nous ne pouvons pas encore déterminer précisément le nombre de terminaux qui seront vendus ». Ces derniers ne sont commercialisés que depuis quatre mois.

44% des applications payantes peuvent être essayées

Toujours selon Brandon Watson, les clients téléchargent en moyenne douze applications par mois. Il donne aussi le temps moyen de certification d'une application pour le développeur : 1,8 jour, selon lui. Que l'on obtienne son laisser-passer ou que l'on échoue, une répons est donnée en quelques jours, et pas au bout de plusieurs semaines ou mois. 62% des logiciels obtiennent leur certification dès leur première soumission. « Lorsque l'on fournit aux développeurs des indications claires sur ce que l'on attend d'eux et de leur application, on peut s'attendre à ce que ce processus soit rapide », justifie le directeur de Windows Phone.

Sur l'ensemble des applications payantes de la place de marché, 44% dispose d'une version d'essai, les développeurs s'appuyant sur l'API Trial. On propose aux acheteurs d'essayer avant d'acheter. Un pourcentage est particulièrement mis en avant par Microsoft : celui des développeurs enregistrés qui ont publié. Ils sont 40% de l'ensemble à avoir déjà livré une application ou un jeu. « Bon, 60% n'ont pas encore publié », reconnait Brandon Watson, mais jugeant cela particulièrement enthousiasmant si l'on considère la production que l'on peut s'attendre à voir arriver. Encourageant, le responsable de Windows Phone 7 livre un dernier chiffre. Il suffit d'une seule idée pour se lancer dans la construction d'une application qui pourrait toucher des millions de personnes ou simplement... quelques amis.

Illustration : Brandon Watson, responsable de l'équipe Windows Phone 7 (source : Microsoft)

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(01/04/2011 12:06:30)

Google met à jour son outil d'analyse de performances web

Auparavant présentée comme une extension de Firefox et connue sous le nom de Page Speed, la version en ligne de l'outil développé par la firme de Mountain View a été baptisée Page Speed Online. Accessible sur le site Google Labs depuis n'importe quel navigateur, la solution aide les responsables de site à analyser les données et les performances des pages web sur smartphone, et à obtenir des suggestions pour créer des pages plus rapidement. En annonçant cette mise à jour, Google prend en compte le paradigme croissant des smartphones dans l'industrie des PC.  En raison de la capacité CPU relativement limitée pour les applications mobiles et de la croissance rapide de l'usage de ces outils, le fait de pouvoir comprendre et optimiser la performance de ces équipements est encore plus critique que pour le desktop, ont déclaré Andrew Oates et Richard Rabbat, de l'équipe Page Speed dans un billet de blog.

Selon eux, les recommandations liées aux applications mobiles offrent des bonnes pratiques qui vont au-delà de ce qui est préconisé pour les navigateurs de bureau. Les meilleures pratiques en matière d'équipements mobiles incluent l'élimination des pages du cache et la réduction des JavaScript lors du chargement de la page, deux facteurs qui participent actuellement au ralentissement des pages sur mobiles, considèrent les membres de l'équipe de Google.

Le service Page Speed a d'abord été lancé en juin  2009. Page Speed Online sera quant à lui alimenté par le SDK de Page Speed.

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(01/04/2011 11:26:21)

Les Français plus économes en matière de communications électroniques

Un possesseur de téléphone mobile passe en moyenne 2h20 d'appel chaque mois, d'après des données publiées jeudi 31 mars par l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) concernant le dernier trimestre 2010. 162 SMS sont envoyés, un chiffre en hausse de 52,5% par rapport au quatrième trimestre 2009.

Sur une ligne fixe, l'Arcep a calculé un trafic mensuel sortant de 4h39 par ligne. Une donnée qui monte à 5h18 pour les possesseurs de box internet où les appels vers les fixes sont souvent gratuits.

Des utilisateurs plus économes

Les Français réalisent des économies sur leurs abonnements, constate en outre l'Arcep. La facture mensuelle d'une ligne fixe a ainsi atteint 35,6 euros hors taxes fin 2010 (-1,4%). Pour les clients mobile, la chute s'élève à 2,2% pour atteindre 26 euros hors taxes. Ceux-ci optent davantage pour le forfait mensuel avec un taux global de 70% d'abonnements à une telle formule.

Enfin, le téléphone fixe domine encore le mobile avec un volume de 29,74 milliards de minutes contre 26,75 milliards.

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(01/04/2011 10:46:21)

Nokia analyse la fracture mobile mondiale

Le fabricant de mobiles Nokia a publié sur son blog un diagramme composé à partir de chiffres rendus publics récemment par l'Union Internationale des Télécommunications (UIT), et montrant la répartition par zones géographiques des abonnés mobiles dans le monde.

En Europe, on compte treize mobiles pour dix individus, soit un abonnement pour 0,8 personne.  « Dès qu'on enlève les très jeunes et les très âgés, on se rend compte qu'un très grand nombre d'individus possèdent soit deux téléphones, soit une clé internet, soit un système GPS qui nécessite une carte SIM, soit une tablette », explique Nokia sur son blog.

Du général au particulier, les chiffres changent


Le tableau est radicalement différent en Afrique: pour dix personnes, seulement quatre téléphones sont disponibles, ce qui équivaut à un abonnement SIM pour 2,4 personnes. Mais en considérant le continent entier, on se fait une idée trop optimiste de la situation: le taux de pénétration du téléphone portable est beaucoup plus bas dans les régions rurales pauvres de l'Afrique.

« Etudier les données correspondant à des régions immenses implique que les extrêmes de la pénétration du mobile ne sont pas aussi clairement visibles que lorsqu'on examine les données pays par pays », précise le constructeur finlandais. « Il y a évidemment une différence énorme entre le nombre de mobiles par personne à New York et Asunción au Paraguay, à l'autre bout de l'Amérique; ou entre Dubaï et Khartoum, pour prendre deux villes des Etats Arabes, mais une moyenne continentale ne la montrera pas ».

Selon les Indicateurs du développement dans le monde de la Banque mondiale, 60,84% de la population mondiale avaient un abonnement mobile en 2008.

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