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(21/03/2011 12:22:29)

Facebook rachète Snaptu, développeur d'applications mobiles

L'opération est estimée à 70 millions d'euros, mais aucun chiffre n'a été publié. Facebook a donc réalisé sa première acquisition en Israël. Le nom de l'heureuse Start-up est Naptu, qui développe des applications mobiles. Plus exactement, la société fondée en 2007 par Ran Makavy, Micha Berdichevsky et Barak Naveh s'est focalisée sur la portabilité des applications de type Facebook ou Twitter sur des téléphones portables autres que des smartphones. Cette orientation devrait accélérer le développement du réseau social dans les pays en développement où le taux d'équipement en smartphone est faible.

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(21/03/2011 12:13:30)

CTIA 2011 : Le salon mobile pro ouvre ses portes

Le CTIA va fêter son 26e anniversaire en 2011 en accueillant plus de 1.000 exposants et 40.000 visiteurs. Le salon s'intéresse au sans-fil, aux communications convergentes, au haut-débit, et l'édition 2011 s'articulera fortement autour du thème "Mobile Life". Les exposants présenteront les dernières solutions d'entreprise, les produits peu gourmands en énergie, et les nouvelles technologies de divertissement mobile.

Alors que le Mobile World Congress de Barcelone s'attache avant tout aux produits grand public, le CTIA se concentre sur les technologies qui les rendent possibles : les services géolocalisés (Location Based Services), l'énergie intelligente (Smart Energy), la santé sans fil, l'informatique en nuage, les systèmes de transport intelligent (Intelligent Transportation), ou encore le paiement mobile (Mobile Money).

Illustration principale : Salle de tests de Mycom au CTIA 2011, crédit photo D.R.

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(21/03/2011 11:31:35)

RIM mise sur Office 365 pour son offre cloud à destination des entreprises

RIM a fait cette annonce sur son blog à destination des entreprises. Le service, qui devrait être disponible en bêta à la mi-2011, aura des caractéristiques similaires à celle du BlackBerry Enterprise Server Express, selon RIM, et sera d'abord disponible pour Exchange Online d'Office 365.

Dans le cadre de l'accord entre les deux sociétés, Microsoft a modifié le prix standard de son offre initiale reposant sur Business Productivity Online Suite (BPOS). Le prédécesseur d'Office 365 était à 10 dollars par mois. Avec le partenariat, il n'y aura plus d'abonnement à condition pour les entreprises d'être affiliées à un BlackBerry Service.

Pour les responsables IT, cette évolution ne modifie pas leurs outils d'administration. Ainsi, ils peuvent utiliser la technologie BlackBerry Balance, capable de distinguer les données d'ordre privé et celles issues du cadre professionnel. Ils pourront aussi créer plus facilement des groupes d'utilisateurs, installer des règles spécifiques pour les terminaux, ...

Du côté des utilisateurs, RIM indique qu'ils auront plus de services à la demande et disposeront d'un plus grand contrôle. Ils pourront ainsi réinitialiser leur mot de passe en cas d'oubli ou effacer la mémoire du terminal si il est perdu ou volé.

Cette initiative de la part de RIM et Microsoft est aussi une réponse au développement des Google Apps au sein des terminaux Android.

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(21/03/2011 11:11:05)

AT&T rachète T-Mobile USA pour 39 milliards de dollars

ATT a proposé 39 milliards de dollars pour l'acquisition de T-Mobile USA. Cet achat soulève de multiples questions tant pour les abonnés, que pour la concurrence et l'économie du secteur des deux côtés de l'Atlantique.  

Si cette acquisition est validée par les autorités de régulation américaines, la nouvelle entreprise ainsi formée aura 129 millions d'abonnés, dont 34 millions venant de T-Mobile. Ce qui placera la société en tête du marché américain devant Verizon avec 94 millions d'abonnés et de Sprint Nextel avec 50 millions de clients. Un point qui devrait simplifier la fusion : les deux opérateurs ont fait les mêmes choix en termes de technologies réseaux puisqu'ils possèdent des infrastructures GSM et ont pris la décision de migrer vers le LTE (Long Term Evolution).  Le communiqué publié par AT&T souligne d'ailleurs que la fusion des deux réseaux devrait l'amener à déployer de manière plus agressive le LTE aux Etats Unis. L'accord a été approuvé par les comités de direction de AT&T et de Deutsche Telekom, la maison mère de T-Mobile. Deutsche Telekom devrait posséder 8% de AT&T aux termes de l'accord.

AT&T récupère T-Mobile pour nettement moins cher que les 51 milliards de dollars payés par Deutsche Telekom, il y a 10 ans, en 2001. Mais l'accord n'est pas encore bouclé. De par sa taille, il va être passé au crible par les autorités de régulation américaines, la FCC (Federal Communications Commission). « 2010 a été la première année où la FCC  n'a pas estimé que le marché des réseaux mobiles était concurrentiel aux Etats Unis» rappelle Dan Frommer de Business Insider.  L'accord devrait être achevé d'ici 12 mois, ce qui est très long.

Un nécessaire besoin de fréquences

On commence à supputer sur l'impact sur le marché américain. Verizon pourrait faire une offre d'achat sur Nextel, les deux opérateurs utilisant la technologie CDMA. Les opérateurs régionaux pourraient créer un contre poids en s'associant. Le réseau d'AT&T utilise le spectre radio dans les bandes de fréquence de 850 et 1900 MHz pour des services GSM/GPRS/Edge et de plus en plus de services HSPA+, c'est-à-dire de la 3G. T-Mobile utilise essentiellement la bande de fréquences de 1900 MHz pour ses services GSM. Fin 2008, l'opérateur a commencé à déployer ses services 3G dans les bandes de fréquences de 1700 et 2100 MHz AWS. T-Mobile affirme que ses services 3G+ délivrent des débits de téléchargement jusqu'à 21 Mbit/s au lieu des 7,2 Mbit/s.

Les deux opérateurs adoptent une même démarche pour leurs services mobiles. D'un côté, ils dopent leurs réseaux 3G vers le HSPA+ et de l'autre, ils vont commencer à construire leurs réseaux LTE. C'est dans quelques mois, à l'été, que AT&T va construire son réseau LTE. La première phase de couverture nationale sera achevée en 2013. Dans une interview publiée ce dimanche, le président d'AT&T, Ralph de la Vega explique que « la première chose est que cet accord allège le défi que représente le manque de ressources radio pour les deux opérateurs. En combinant les spectres radios que nous avons respectivement, et qui sont complémentaires, cela aide réellement nos sociétés. Le deuxième point est que nous allons améliorer la qualité et de plus de capacité réseau puisque la couverture de réseau augmente. »

Les analystes ravis et les consommateurs sceptiques

Si cette fusion semble faire l'affaire des deux opérateurs, les bloggeurs américains réagissent plutôt négativement. « Une mauvaise entreprise en rachète une autre » râle Robert Scoble, pour Business Insider. « Alors qu'il s'agit d'une bonne nouvelle pour les deux sociétés, j'espère que les autorités de régulation vont retoquer cet accord » affirme Sascha Segan pour PC Magazine. Sascha Segan prédit que l'abonnement à petit prix de T-Mobile va disparaître, malgré les affirmations d'AT&T expliquant que les fusions ont permis de baisser les prix dans les années passées, et qu'il y aura moins de modèles de smartphones parmi lesquels choisir. « Pendant la fusion, on va baisser la qualité de service de la relation client au minimum » termine Sascha Segan.

Pour autant, les analystes saluent cette opération « il y avait trop d'acteurs, cela donnera un peu plus de place au troisième opérateur » explique Phillip Redman, un analyste du Gartner et d'ajouter « la FTC et la FCC vont mettre du temps pour analyser cette fusion, mais je pense qu'au final, elle sera autorisée. Il s'agira de la dernière grande fusion de ce type dans l'industrie du wireless ». Sur le plan de la concurrence, Jeffrey Kagan, analyste indépendant estime que l'acquisition ne devrait pas avoir d'effet négatif sur les prix. Jack Gold, un analyste de J. Gold Associates est plus pessimiste « certes il y aura une amélioration de la couverture réseau, mais avec une concurrence plus limitée, les prix vont augmenter ».

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(18/03/2011 13:56:37)

Selon certains experts, Android violerait la licence de Linux

Déjà soumis à la pression d'Oracle, qui le poursuit devant les tribunaux au motif qu'Android violerait les brevets et les droits d'auteur de Java, Google est face à un autre problème qui concerne Linux. Cette dernière affaire pose un problème distinct et n'a motivé jusqu'à présent aucune plainte. Mais un certain nombre d'observateurs qui suivent de près les questions de propriété intellectuelle ont publié des points de vue mettant en question l'utilisation du code Linux sous licence GPL version 2 dans Android.

Alors que le noyau Linux est open source et disponible gratuitement pour les développeurs, ceux qui utilisent et distribuent des logiciels dérivés sont tenus de respecter de strictes exigences de licence. Le litige éventuel est lié au concept de « copyleft » selon lequel le logiciel libre doit être redistribué selon des termes identiques à ceux de la licence originale. La question centrale porte sur « la bibliothèque qui relie Android et ses applications avec le noyau Linux sous-jacent, » écrit sur son blog Florian Mueller, à l'origine de la campagne NoSoftwarePatents.

« Google a copié 2,5 Mo de code représentant plus de 700 en têtes de fichiers du kernel de Linux avec un programme maison qui efface les commentaires du code source et d'autres éléments, et revendique habilement (dans un commentaire figurant au début de chaque fichier modifié) que le matériel retiré ne comporte « aucune information de droit d'auteur », comme l'explique le fondateur de NoSoftwarePatents. Ce dernier fait remarquer que, même si le GPL nécessite des traitements dérivés « pour être mis à disposition dans les mêmes conditions, » Google livre Android sous une série de licences qui inclut non seulement le GPL, mais aussi des licences Open Source moins strictes comme la licence Apache (la licence Apache n'a pas d'exigences de « copyleft ») et des programmes dont le code source est fermé.

Une question de propriété intellectuelle soulevée par un avocat

L'intérêt de Florian Mueller pour la question a été motivé par les préoccupations sur la propriété intellectuelle émises par l'avocat Edward Naughton dans un article paru dans le Huffington Post et par le point de vue du professeur de droit Raymond Nimmer. Ainsi, l'avocat explique que « Google a construit Android autour de Linux, lui-même un système d'exploitation Open Source sous licence GNU General Public License 2 (GPLv2). » Celui-ci précise que « la licence GPLv2 est de type « copyleft »: elle laisse à chacun la liberté de copier et de modifier le code Linux. Mais cette liberté est assortie de conditions, notamment l'exigence que tout code logiciel modifié et tous travaux « basés sur ce code » soient librement accessibles à tous. Le point essentiel de la GPLv2 est de rendre impossible à quiconque de s'approprier le code sous licence GPLv2, de le rendre privé et exclusif. »

Inspiré par ces remarques, Edward Naughton s'est intéressé à la manière dont Google utilise le code Linux dans Android. « Ce que j'ai trouvé m'a vraiment surpris : Google a adopté une approche très agressive pour développer une composante clé d'Android, la Bionic Library. Cette bibliothèque de type C est utilisée par tous les développeurs d'applications qui ont besoin d'accéder aux fonctions de base de Linux. Google a copié des centaines de fichiers de code Linux qui ne sont pas destinés à être utilisés tel quel par les développeurs, a « nettoyé » ces fichiers selon un procédé technique non-standard et contestable, pour ensuite déclarer que le code n'était plus soumis à la GPLv2, afin que les développeurs puisse l'utiliser sans être soumis aux exigences du « copyleft » qui s'appliquerait normalement au code sous licence GPLv2 emprunté au noyau Linux. »

Illustration principale : Florian Muelller, fondateur de NoSoftwarePatents

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L'avocat poursuit en disant avoir « de sérieux doutes sur le fait que l'approche de Google pour créer sa Bionic Library soit conforme aux lois sur le droit d'auteur en vigueur aux États-Unis. » Mais « ce qui est potentiellement plus intéressant encore, ce sont les conséquences, dans le cas où Google serait dans son droit. Si le procédé est jugé conforme, alors Google a trouvé un moyen d'éloigner Linux de la communauté Open Source et de le privatiser. » Cependant, comme le fait remarquer Florian Muller, si Google était poursuivi en justice et perdait son procès, l'écosystème de développement élaboré autour du système d'exploitation mobile Android serait menacé. 

« Si Google est condamné, pratiquement toute la pile logicielle - et de nombreux composants privés de tierce-partie comme le jeu Angry Birds très populaire et le logiciel Adobe Flash Player - devraient être en réalité publiés sous licence GPL » écrit-il. « Or, un Android sous licence GPL irait totalement à l'encontre de la stratégie de Google. Tout le monde serait libre d'utiliser, de modifier et de redistribuer l'ensemble des logiciels concernés, les développeurs des applications concernées n'auraient plus la possibilité de gagner de l'argent, et les fabricants de terminaux tournant sous Android perdraient l'avantage de proposer des produits différenciés en y incluant des add-ons propriétaires. » À moins que Google « ne remplace le code détourné de Linux avec autre chose, l'éditeur risque un «effondrement de l'écosystème Android, » » écrit encore le fondateur de NoSoftwarePatents.

Google n'a pas encore fait de commentaire à ce sujet. Jusqu'à présent, les violations reprochées ne sont que des opinions et non des plaintes portées devant la justice. Mais dans un e-mail adressé à Network World, Florian Mueller écrit : « De mon point de vue, il y a des milliers de droits sur la propriété intellectuelle à faire valoir sur le kernel de Linux. Chaque détenteur de ces droits pourrait, pour de l'argent, pour la gloire, ou pour le principe du copyleft, être motivé pour les défendre. »

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(17/03/2011 12:51:47)

BlackBerry OS 6 : RIM conseille aux utilisateurs de désactiver JavaScript

Selon RIM, la faille pourrait permettre à un pirate d'accéder aux données des utilisateurs via le BlackBerry Browser, dans le cas où son propriétaire serait amené à visiter un site web malveillant. Le problème affecte uniquement les appareils tournant sous BlackBerry OS 6, puisque la faille ne peut-être exploitée que sur des smartphones dont le navigateur intègre le moteur de rendu WebKit.

C'est en 2009 que RIM a revu son navigateur pour BlackBerry OS 6. A l'époque, le constructeur venait d'acheter Torch Mobile, le créateur du navigateur mobile Iris Browser, basé sur le moteur de rendu open source Webkit. Tous les BlackBerry tournant sur des versions antérieures du système d'exploitation de RIM ne sont donc pas concernés par cette vulnérabilité.

Un accès à certaines données seulement

RIM affirme que le bogue ouvre seulement l'accès aux données stockées sur les cartes mémoire et dans la mémoire intégrée des smartphones mais ne donne pas accès aux données conservées par l'application, comme les données «utilisateur» de la messagerie, de l'agenda et des carnets d'adresse. Jusqu'à présent, RIM dit ne pas avoir repéré de personnes exploitant cette vulnérabilité en dehors de celles travaillant en environnement de test.

Le canadien fournit des informations aux services informatiques pour expliquer comment désactiver JavaScript sur plusieurs terminaux BlackBerry, dont le Torch 9800, le Bold 9700 et le Curve 9300. Dans les cas où la méthode ne fonctionne pas, RIM recommande de désactiver totalement le BlackBerry Browser sur les appareils concernés jusqu'à ce que la vulnérabilité soit corrigée.

Une ouverture imposée par le succès des concurrents

RIM a bâti sa réputation grâce aux options de sécurité et de protection de la vie privée offertes aux utilisateurs. Mais le succès rencontré par l'iPhone d'Apple et par le système d'exploitation Open Source Android de Google a contraint l'entreprise à ouvrir ses terminaux à des applications plus variées. C'est ainsi que RIM a opté pour le moteur de rendu Open Source WebKit pour son navigateur. L'entreprise considérait également la possibilité de laisser tourner sur sa future tablette Playbook des applications conçues pour Android et cet épisode pourrait influer sur sa décision.

Ces dernières années, les applications mobiles sont devenues un élément clef de promotion pour les smartphones, notamment avec le lancement très médiatisé de boutiques d'applications mobiles comme l'App Store d'Apple et l'Android Market de Google. Dans une récente enquête réalisée par le cabinet d'études ChangeWave, 14% des utilisateurs de téléphone mobile disent que ce sont les applications qu'ils apprécient le plus dans les nouveaux smartphones. Viennent ensuite la facilité d'utilisation des terminaux (12%) et la possibilité d'accéder à Internet (12%). Toujours selon cette étude, l'application de messagerie professionnelle de RIM, qui a attiré vers la marque beaucoup d'utilisateurs, est considérée comme la fonctionnalité la plus importante par 10% des utilisateurs.

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(17/03/2011 10:48:10)

La couverture du réseau mobile progresse en France selon l'Arcep

Les trois principaux opérateurs de téléphonie mobile doivent publier chaque année, depuis octobre 2007, les cartes de couverture de leur réseau sur l'ensemble du territoire français afin d'évaluer la cohérence de ces cartes avec la réalité du terrain. Les derniers résultats du régulateur des télécoms (Arcep), présentés mercredi 16 mars, montrent que les cartes de couverture sont fiables à plus de 98% en moyenne sur l'ensemble des cantons étudiés.

Néanmoins, l'Arcep précise que la fiabilité des cartes de couverture doit être améliorée sur certains cantons et demande aux trois opérateurs de corriger les cartes publiées. "Il est encourageant de noter que la démarche engagée depuis 2007 avec les opérateurs pour l'amélioration de la fiabilité de leurs cartes de couverture produit ses effets avec un accroissement sensible de la fiabilité des cartes sur les départements audités", indique l'Arcep.

Une nouvelle enquête de terrain sera menée en 2011 dans 286 nouveaux cantons.

Crédit photo : SVLuma (...)

(17/03/2011 10:29:08)

Le retour des boutiques Free

Lors de la présentation des résultats financiers d'Illiad pour 2010, Xavier Niel, co-fondateur du groupe et fondateur de sa filiale Free, a annoncé l'ouverture prochaine de six boutiques tests Free. Ces boutiques ouvriront « dans des villes moyennes situées entre 50 à 200 km de Paris», avec une surface comprise entre 50 et 300m². 

Aujourd'hui le modèle de distribution du FAI est 100% en ligne (téléphone et Internet). Mais pour vendre des abonnements téléphoniques couplés à des terminaux mobiles, le FAi est bien obligé d'avoir pignon sur rue. Ces boutiques physiques seront l'occasion pour Free de se rapprocher de sa clientèle et de privilégier un contact direct avec elle. Il fera ainsi concurrence à Orange, SFR et Bouygues Telecoms dans le recrutement de nouveaux abonnés sur le terrain. Si l'expérience s'avère concluante, d'autres boutiques Free verront le jour sur tout le territoire.

Crédit photo D.R. (...)

(17/03/2011 11:07:44)

Google travaille sur un service de paiement mobile

Google prévoit de tester un service de paiement sans contact dans les commerces de New York et de San Francisco, indique l'agence Blommberg. Un document, qui cite des sources anonymes, révèle que la firme de Moutain View est en pourparlers avec VeriFone Systems pour l'installation des terminaux requis pour utiliser des services de paiement mobile embarquant la technologie NFC (near-field communication).

Ned Tyler, porte-parole du géant californien, a déclaré que la firme - qui propose un service de paiement connu sous le nom de Google Ckeckout -  était intéressée pour développer des services de paiement sans contact à destination des utilisateurs de smartphones. Le plus connu étant le Nexus S, un téléphone Android fabriqué par Samsung. Le représentant de Google a ajouté que la firme s'était récemment lancée dans un projet pilote à base de puces NFC à Portland, dans l'Oregon. Les commerçants ont pu commencer à utiliser des étiquettes NFC à des simples fins informatives, mais le service ne prend pas en charge les paiements mobiles.

Pour Xavier Debbasch, co-fondateur et directeur général d'Airweb, société de conseil spécialisée dans la fourniture de portails et d'applications mobiles. en se lançant sur le marché du NFC, Google pourrait aller encore plus loin dans la chaîne de valeur : «En se positionnant sur le paiement sans contact, Google optimisera d'abord ses revenus publicitaires dans la mesure où le NFC lui permet d' aller jusqu'à l'acte de vente », analyse t-il. « Ensuite, cette initiative pourrait conduire les commerçants à travailler avec la firme. Enfin, cela permettra à Google de s'immiscer dans le domaine des transactions bancaires et de concurrencer des spécialistes tels que PayPal. »

Les Niçois satisfaits à 90%

Le fondateur d'Airweb considère que les constructeurs de smartphones devraient tous s'engouffrer dans la brèche du NFC  «Si 2011 marque le démarrage du paiement sans contact, 2012 pourrait bien marquer son avènement », estime celui-ci. Nokia a déjà intégré la technologie sans contact dans ses smartphones C7 De son côté, Apple pourrait  équiper ses prochaines générations d'iPhone de puces NFC, tandis que RIM envisage lui aussi d'aller dans ce sens.

Reste que Google a pris de l'avance avec son OS Android 2.3 qui prend nativement en charge le support de ce standard. Reste à savoir quelles seront les retombees du NFC en Europe, en plus particulièrement dans l'Hexagone. En France, Nice a expérimenté  les technologies du sans contact sur téléphone mobile depuis le printemps dernier à travers les applications Cityzi. Ce dispositif permet l'achat et la validation de tickets de transports urbains, donne accès à des informations culturelles, dispose d'une application destinée aux étudiants et autorise également le paiement bancaire sur mobile auprès des commerçants. Les statistiques sont plutôt encourageantes.

« Depuis le démarrage du projet, 3 000 Niçois sont équipés d'un mobile Cityzi et plus de 1 000 commerces possèdent des terminaux adaptés », souligne Xavier Debbasch. Avec un taux de satisfaction atteignant les 90%, le NFC semble avoir fait l'unanimité à Nice. Mais les commerçants niçois n'ont pas eu à verser de commission, Les frais générés par les terminaux NFC pourront peut-être dissuader les TPE, estime le fondateur d'Airweb. Mais pas les grands acteurs, comme les grandes surfaces, entre autres.

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