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Mobilité

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(16/03/2011 12:23:02)
Avec McAfee, Intel veut sécuriser les terminaux mobiles en mode cloud
Intel va dans un premier temps offrir des produits de sécurité reposant sur des logiciels et des services. Dans un second temps, des fonctionnalités de sécurité seront directement intégré aux PC et terminaux mobiles, avec un effort particulier autour du cloud, a expliqué Renée James, vice-président senior et directeur général de l'activité Software et Services, lors d'une téléconférence avec les analystes financiers. Les récents équipements mobiles comme les tablettes et les smartphones sont de plus en plus vulnérables aux malwares et autres attaques informatiques, constate Renée James. Intel veut concevoir des moyens de gérer la sécurité directement dans le hardware, capables de communiquer en temps réel avec des plateformes basées sur le cloud. Ces dernières pourront ainsi fournir des outils de sécurité comme des anti-malwares, l'authentification des utilisateurs et la vérification des adresses IP ou des sites web, ajoute le dirigeant. « Sur le long terme, la sécurité dans les appareils mobiles sera un facteur de différenciation » a déclaré Renée James et d'ajouter « l'intégration de cette problématique dans le cloud est complexe. Vous ne pouvez pas vous réveiller un matin et décidé de le construire immédiatement ».
Intel a annoncé en août 2009 qu'elle ferait l'acquisition de McAfee pour un montant de 7,68 milliards de dollars, un geste qui a surpris de nombreux analystes en raison de l'absence apparente de synergie. Mais le fondeur a déclaré qu'il voulait apporter des capacités de sécurité pour un certain nombre de ses produits, y compris les puces Atom de faible puissance, qui sont utilisés dans les ordinateurs portables et bientôt déclinées sur les smartphones et les tablettes. L'acquisition de McAfee a été finalisée il y a deux semaines. Intel a défini la sécurité comme le troisième pilier de son offre, en plus de la puissance et de la connectivité. La société a déjà intégré quelques fonctionnalités dans ses puces pour renforcer la sécurité des PC, comme VT qui est une technologie basée sur le matériel pour sécuriser et gérer les environnements virtualisés. Le fondeur de Santa Clara va progressivement faire « évoluer » les capacités du silicium pour que des logiciels et des services spécialisés apportent plus de protection à une large variété d'appareils, a annoncé Renée James.
Un modèle d'abonnement cloud
Intel pourrait utiliser un modèle d'abonnement cloud pour générer des revenus autour de la sécurité, a déclaré Dave DeWalt, président de McAfee, qui fait maintenant partie du fondeur. Une gestion à distance de la plateforme pourrait devenir un point de référence sur la sécurité non seulement pour les terminaux mobiles, mais aussi les imprimantes, les distributeurs automatiques de billets, les points de vente ou tous périphériques connectés au sein d'un réseau «intelligent», affirme le responsable. Il ajoute que les malwares sont généralement stockés dans le logiciel; car il est difficile pour les pirates informatiques d'aller sous le niveau de l'OS, l'aspect sécurité doit donc être intégrée à l'intérieur du matériel. Il existe aujourd'hui 48 millions types de logiciels malveillants dans la nature. Renée James s'interroge lui pour savoir « si les gens paieraient pour un tel matériel » et de se rassurer « nous l'espérons ».
La plupart des smartphones et des tablettes utilisent des processeurs ARM et plusieurs OS comme Android ou iOS. Intel continue à balbutier sur ce marché et la domination d'ARM pourrait être un obstacle. Renée James a déclaré que, d'un point de vue logiciel Intel restera une société multi-plateforme. La fragmentation OS n'est pas un problème pour l'entreprise car les puces x86 peuvent exécuter la plupart des systèmes d'exploitation mobiles [NDLR Windows et Linux seulement pour l'instant].
Intel plus tôt cette année a fait l'acquisition de Nordic Edge, une entreprise de sécurité suédoise connue pour ses produits de gestion de sécurité et de renseignement sur les menaces.
Illustration: Renee James lors de l'IDF 2010
Crédit Photo: Intel
(...)(16/03/2011 10:34:52)Vivendi estime à 7 milliards d'euros la part de Vodafone dans SFR
Vivendi, créateur et détenteur de SFR à 56%, veut disposer de la totalité du capital de l'opérateur français en rachetant les 44% en possession de Vodafone. Selon le Financial Times, le groupe télécoms-médias français aurait offert de payer 6,9 Md€ pour racheter les parts de Vodafone. Cependant, l'opérateur britannique ne lui cèderait ses parts que pour 9,2 Md€. Aucun des deux actionnaires ne semble prêt à revoir sa proposition.
Jean-Bernard Lévy, président de Vivendi déclarait lors de la présentation des résultats financiers du groupe pour 2010 : « Cela [la reprise des parts de Vodafone] permettrait une simplification des structures de Vivendi et une plus grande flexibilité. Aujourd'hui, le pacte qui lie Vivendi à Vodafone dans SFR encadre la liberté commerciale de Vivendi et interdit à SFR tout développement à l'international ».
Oracle livre son framework de développement mobile Java
Selon Duncan Mills, directeur senior de la gestion des produits Fusion chez Oracle, « le client mobile Application Development Framework (ADF) d'Oracle contient les éléments de base pour développer des applications qui pourront être déployées sur différentes plates-formes mobiles, sans avoir besoin d'écrire un code spécifique pour chacune d'elles. » Le client mobile avait été annoncé en octobre 2009, et Oracle en avait fait une démonstration technique en avril 2010.
Le client, une extension de l'ADF d'Oracle, est constitué de plusieurs composants, dont un navigateur pour visualiser l'application, une petite base de données pour stocker les data locales, et un moteur d'exécution Java, pour les appareils n'intégrant pas le Java. Le framework du client tourne dans une interface utilisateur standard, basée sur JSF (Java Server Faces). Celui-ci contient également un ensemble d'actions préconfigurées pour la synchronisation des données vers et depuis des serveurs back-end, ce qui permet aux développeurs de spécifier quelles données doivent être synchronisées avec les bases de données ou d'autres types de données.
Fonctionnement hors réseau
Le client a été adapté pour fonctionner avec Oracle Fusion Framework, mais peut également être utilisé avec d'autres services web. Cette solution est en mesure de conserver les données pour une utilisation de l'appareil hors connexion, et peut les transférer une fois que l'appareil mobile se reconnecte au réseau. « Le client fournit également des outils pour recueillir et transmettre des données générées par l'appareil lui-même, que ce soit via un appareil photo, un capteur GPS, un lecteur de codes-barres ou d'autres accessoires utilisés pour recueillir des données, » a précisé Duncan Mills.
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Actuellement, ces clients mobiles ne sont disponibles que pour des appareils tournant sous les versions 5 et 6 de Windows Mobile, et BlackBerry de Research In Motion. C'est dire que le framework n'est pas encore compatible avec l'iPhone, ni avec les appareils sous Android ou sous Windows Phone 7. Mais L'équipe de développement d'Oracle envisage d'élargir son framework afin qu'il puisse également supporter ces dispositifs. « Pour l'instant, Oracle n'est pas en mesure d'annoncer quels appareils seront bientôt pris en charge » comme l'a indiqué le directeur d'Oracle. Celui-ci fait aussi remarquer que les fabricants d'appareils industriels continuent à vendre des produits tournant avec des versions précédentes de Windows Mobile, et que ces systèmes d'exploitation restent encore largement utilisés sur le marché.
Une solution déjà déployée avec PeopleSoft
Oracle a déployé le client mobile dans son application de gestion de stocks PeopleSoft Mobile, sortie la semaine dernière. Le coût du Client Mobile est de 5 dollars par utilisateur, mais peut être fixé également par appareil. Enfin, Oracle fournit une extension gratuite de son JDeveloper IDE (environnement de développement intégré) pour la conception d'applications utilisant ce client.
Illustration principale : Application Java pour les terminaux mobiles d'un assureur automobile
Intel acquiert SySDSoft pour se renforcer sur le LTE
Les termes financiers de l'acquisition n'ont pas été annoncés, mais elle comprend 100 ingénieurs et scientifiques SySDSoft, selon le fabricant de puces. Cette acquisition est la première du genre pour Intel au Moyen-Orient.
SySDSoft a été fondée en 2002 et développe des logiciels embarqués pour les technologies de communication telles que LTE. La société conçoit également des circuits RF et analogiques intégrées dans les produits mobiles. En octobre, la société a annoncé une pile de protocoles pour les dispositifs à base de LTE qui peut gérer des vitesses de téléchargement en mobilité jusqu'à 300 Mbt/s et des vitesses de transmission jusqu'à 75 Mbt/s. Lors du Mobile World Congress en février à Barcelone, la société a également fait une démonstration d'un logiciel embarqué pour les femtocells basés sur LTE.
Un déploiement progressif
Cette opération intervient à un moment où le déploiement de LTE commence lentement à se déployer. Cela signifie un besoin accru en produits capables de se connecter à ce type de réseaux. Intel Mobile Communications développe des semi-conducteurs pour les smartphones, les tablettes et les modems USB. Cette filiale était anciennement une division d'Infineon Technologies, qui a été acquis par le fondeur de Santa Clara.
Le portefeuille de produits SySDSoft couvre notamment les technologies Wimax, WiFi, Bluetooth, USB sans fil, selon le site web de l'entreprise.
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