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Mobilité

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(03/03/2011 12:15:11)
Apple dévoile quelques points d'iOS 4.3
Délégué sur place pour dévoiler quelques nouveautés du système d'exploitation mobile qui tourne sous iPod Touch, iPhone, et iPad, Scott Forstall, vice-président senior d'iOS, a présenté en premier lieu les améliorations apportées à la version de Safari. Le navigateur mobile d'Apple intègre désormais le moteur JavaScript Nitro de Mac OS X, si bien que iOS exécute le code JavaScript jusqu'à deux fois plus vite que précédemment.
Par ailleurs, en ce qui concerne le partage à domicile de médias via iTunes et AirPlay, les possesseurs d'iPad et d'iPhone pourront désormais diffuser la musique, les films et les émissions de télévision de leur bibliothèque iTunes conservée sur leur ordinateur, directement vers leur appareil mobile, via une connexion WiFi locale. De plus, iOS 4,3 élargit le support de Airplay en permettant à des applications tierces et à des sites web de profiter des capacités de streaming audio et vidéo de l'application. Scott Forstall a également signalé plusieurs améliorations spécifiques propres à l'appareil, comme des changements relatifs à l'interrupteur situé sur le côté de l'iPad et l'ajout de la fonction hot spot personnel, qui permet de créer un point d'accès WiFi pour partager la connexion 3G du téléphone. Tous les iPhone à la norme GSM (y compris ceux vendus par AT & T) bénéficieront de cette fonction apparue pour la première fois dans l'iPhone de Verizon. Par ailleurs, comme on avait déjà pu le voir dans la version développeur build 4.3 d'iOS, les utilisateurs d'iPad pourront désormais programmer l'interrupteur soit pour mettre l'appareil en veille, soit pour verrouiller l'orientation de l'écran.
En dehors de ces mises à jour système, l'iPad 2 enrichit son répertoire de plusieurs applications. On voit ainsi apparaître Photo Booth, un genre de logiciel de photomaton déjà existant sous Mac OS X, avec des effets vidéo, plus d'autres effets applicables en utilisant l'écran tactile. Enfin, FaceTime, qui apporte la vidéoconférence plein écran à l'iPad. Le logiciel peut-être utilisé pour faire communiquer entre eux n'importe quel iPhone 4, iPod Touch de quatrième génération, iPad 2, et tout ordinateur Mac disposant de FaceTime.
La mise à jour 4.3 d'iOS pour iPad, iPhone GSM, et iPod Touch de troisième et quatrième génération sera téléchargeable gratuitement depuis iTunes à partir du 11 mars.
Des applications Android infectées par des malwares
L'ensemble de ces applications provient de trois éditeurs douteux, qui sous un aspect commercial classique contiennent un code appelé « DroidDream ». Celui-ci est capable d'exporter des données contenues dans le terminal, selon un article du blog de Lookout Mobile Security . La firme fournit une liste des applications concernées, dont beaucoup sont relatives à des contenus pour adultes, « Ringtones Super Sexy » et « Screaming Sexy Japanese Girls ». Certaines de ces applications semblent identiques à ceux d'origine, mais le nom des éditeurs est différent « Kingmall2010», «we20090202 » et « Myournet ». « Je viens par hasard de tomber sur une application, où le nom de l'éditeur n'est pas celui qui est sensé être » écrit un certain Lompolo sur le site Reddit à l'origine des interrogations de Lookout.
Lompolo écrit que deux des applications analysées contenaient une faille appelée « rageagainstthecage ». Une chaîne de caractère présente même la signature « CVE-2010-EASY Android local root exploit (C) 2010 by 743C ». A l'aide de cette brèche, les smartphones sont infectés par DroidDream, malware qui transmet des informations comme le code IMEI (référence du téléphone) ainsi que l'IMSI (numéro international de l'abonné). Ces données qui sont intégrées à la carte SIM du mobile sont alors transférées à un serveur distant, situé à Fremont, en Californie, selon Lompolo. Le site Android Police va même plus loin en indiquant que DroidDream a un accès au niveau de la racine du téléphone. Cela signifie que potentiellement, il peut voler toutes les données sur le téléphone mais également installer d'autres logiciels malveillants.
Google enquête mais peine à contrôler
L'éditeur a apparemment commencé à retirer quelques applications suspectes de sa boutique. Il est également possible pour l'éditeur de Mountain View de supprimer à distance des applications Android installé sur les smartphones, mais Lookout indique «ce système n'a pas encore été mis en oeuvre pour les applications incriminées, car elles font l'objet d'une enquête » . Google n'a pas souhaité faire de commentaires sur le sujet.
Plusieurs applications malveillantes ont été découvertes récemment pour les applications Android, particulièrement destiné aux utilisateurs de langue chinoise. Le mois dernier, Lookout a dit qu'il avait constaté que des jeux mobiles tels que Monkey Jump sont illégalement copiés et reconditionné avec un code conçu pour dérober des informations personnelles ou accomplir d'autres actions. En décembre dernier, la même société de sécurité avait trouvé un morceau de malware Android appelé « Geinimi » qui contenait des fonctions similaires à un botnet. Plusieurs variantes de ce code sont apparues depuis.
(...)(02/03/2011 11:08:40)
Des Français de plus en plus connectés et mobinautes
En 2010, 64% des Français disposent d'un accès Internet chez eux, contre 56% en 2008 et seulement 12% dix ans plus tôt. Parmi eux, neuf sur dix sont équipés d'un accès haut débit. Le taux d'équipement varie sensiblement en fonction de l'âge, de la catégorie sociale et du niveau d'études des internautes. Les plus équipés sont sans surprise les jeunes de moins de 30 ans dont 93,3% disposent du web à domicile. Plus les Français avancent dans l'âge, plus le taux d'équipement descend. Ainsi, 85,7% des 30-44 ans sont reliés à Internet, devant les 45-59 ans (75,4%), les 60-74 ans (47,6%) et les plus de 75 ans (8%). L'écart est également notable entre les cadres et professions libérales, équipés à 96,1%, et les agriculteurs (70%), les ouvriers (73,3%), les chômeurs (73,9%) ou les retraités (30,7%).
Une connexion via mobile en augmentation
L'ordinateur reste le support privilégié des internautes pour naviguer sur le web. 38% l'utilise alors que 31% ont recours à un ordinateur portable, 27% à un téléphone portable ou assistant personnel. L'Internet mobile opère en 2010 une réelle percée. 38% des internautes déclarent l'avoir utilisé contre 20% en 2008, 59% des moins de 30 ans et 25% des plus de 45 ans. Cette nouvelle pratique a été facilitée par l'essor récent du WiFi et des téléphones mobiles. 23% sont équipés d'un réseau Wi-Fi, versus 13,5% en 2008. Un quart a déjà utilisé un téléphone portable pour surfer contre 9% deux ans plus tôt.
Plus de neuf internautes sur dix se rendent sur le web pour consulter leur messagerie électronique, près de 83% s'en servent pour rechercher une information, 65% pour consulter leur comptes bancaires, 62% pour apprendre et plus de la moitié pour organiser leurs vacances. 77,4% des moins de 30 ans ont la spécificité de se servir d'Internet pour converser et accéder à des forums de discussion. Les Français profitent également de leur accès à domicile pour faire des achats en ligne. 53% ont effectué un achat en 2010 contre 35% en 2008. Les biens ainsi acquis sont principalement des vêtements, des billets de transport, des séjours de vacances et des biens d'équipements.
L'étude de l'Insee a été menée auprès de 7 111 ménages installés en France métropolitaine dans les DOM en avril 2010.
Les loisirs numériques envahissent la vie quotidienne selon Médiamétrie
Le web occupe plus de place pour eux que les médias dits classiques. Ainsi, les émancipés comptent sept contacts sur dix avec la télévision, la radio, la presse et le cinéma tandis que ceux qui résident chez leurs parents ont eu six contacts sur dix. Ces derniers favorisent davantage les téléphones mobiles (deux tiers de leurs contacts quotidiens) et notamment les SMS (84% de leurs contacts avec un téléphone mobile) et les jeux vidéo qui représentent 30% de leurs contacts au cours d'une journée, contre 15% pour les émancipés.
Les Français plus âgés consomment davantage les médias classiques qui représentent 85% de leurs contacts journaliers, à l'exception des couples de 35 à 49 ans sans enfants qui privilégient comme les jeunes Internet, le téléphone mobile et les loisirs numériques.
(...)(01/03/2011 10:03:01)UFC-Que Choisir demande une alerte forfait sur les mobiles
L'UFC demande aux pouvoirs publics de créer un système permettant d'alerter les utilisateurs en cas de "dépassements importants de forfaits", voire même de bloquer le forfait en question. Ce dispositif permettrait à chacun de choisir un tarif de dépassement de forfait au-delà duquel il serait impossible de téléphoner. Les consommateurs pourraient toujours recevoir des appels et contacter les secours. Néanmoins, un appel à l'opérateur serait obligatoire pour pouvoir utiliser à nouveau son mobile. "Suite à des factures explosives, des mécanismes de blocages existent comme ceux prévus par le règlement européen 'roaming' pour la 3G. La mise en place d'un tel dispositif en France pour tous les types d'usages mobiles devrait être sérieusement envisagée"
(...)(28/02/2011 15:34:44)Intel crée des API pour permettre aux clouds de s'adapter au poste de travail
Intel veut rendre le cloud computing un peu plus intelligent et a développé pour cela des technologies qui permettent aux applications et aux services Internet d'en savoir plus sur le terminal qui y accède, que ce soit un PC, une tablette tactile ou un smartphone. Cela afin d'adapter les services en conséquence. Rien de nouveau en apparence : les serveurs d'applications adaptent déjà le contenu en fonction de l'appareil connecté, ne serait-ce que pour qu'il s'affiche correctement sur l'écran d'un smartphone, par exemple. Mais Intel veut aller plus loin et fournir des informations détaillées sur le type de processeur, la bande passante disponible, et même l'autonomie de batterie.
Cela pourrait permettre à des sites web et à des annonceurs de recourir plus largement à un contenu plus riche, comme la vidéo haute définition, au lieu d'avoir à se conformer à un « plus petit dénominateur commun. » Ils pourraient, par exemple, réserver une version de leur site aux clients connectés via un réseau WiFi haut débit, et une simple page web à des clients se connectant via un réseau mobile. Cela pourrait également profiter aux sites d'e-commerce. Ainsi, Amazon.com pourrait prévenir un client en train d'effectuer des achats en ligne que la procédure pourrait être interrompue à cause de la faible puissance de sa batterie et lui conseiller soit de terminer rapidement son achat, soit indiquer que le panier sera conservé uniquement si le client se déconnecte et se reconnecte plus tard.
Des puces ARM non supportées
La technologie n'est pas compliquée. Intel a livré les versions bêta de ses API (interfaces de programmation d'application) permettant de collecter les données qui renseignent sur le processeur d'un appareil, la bande passante disponible et la durée de vie de la batterie. « Les développeurs web peuvent utiliser ces API en ajoutant de simples scripts Java dans leurs applications, » a indiqué Daniel Chang, directeur des alliances stratégiques chez NetSuite, l'entreprise qui pilote la technologie. Celle-ci est surtout connue pour son application de gestion de la relation client (CRM) en ligne, et parce qu'elle héberge les sites d'e-commerce d'environ 2 000 entreprises sur le web. « Une demi-douzaine de ces magasins en ligne, essentiellement des sites qui veulent offrir du contenu riche, de la vidéo haute définition en particulier, testent actuellement ces API, » a ajouté Daniel Chang. Gproxy, une entreprise de design Web et d'hébergement située à Miami, fait aussi partie de ce programme pilote. « La technologie existe déjà, il ne reste plus qu'à l'adopter, » a déclaré le directeur de NetSuite.
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Pour Intel, l'un des défis est d'amener les principaux navigateurs web à implémenter ses API. Le fondeur a indiqué être en pourparlers avec « un grand nombre » de prestataires de services, de fournisseurs de logiciels et de fabricants de PC afin qu'ils supportent sa technologie, sans dire encore de qui il s'agissait. En attendant, les sites d'e-commerce qui ont commencé à tester les API doivent demander aux utilisateurs finaux de télécharger un plug-in pour leur navigateur. Intel affirme que l'API processeur devrait fonctionner avec les périphériques à base de puces x86 d'autres fondeurs. « Pour l'instant, cette API n'a pas été testée avec des processeurs non-Intel, mais celle-ci utilise l'ID de la CPU et la ligne de code indiquant la marque du processeur pour déterminer son type. Ce sont des jeux d'instructions x86 standards, » a déclaré Greg Boitano, directeur du marketing de la division Business Client Platform d'Intel. « Cela n'est pas réservé à un fondeur ou un autre. Cela dépend davantage de la valeur que l'on fait passer par le biais de cette puce, » indique-t-il. Toutefois, l'API processeur ne fonctionne pas avec des puces ARM, au moins dans sa version actuelle, ce qui élimine la plupart des smartphones et des tablettes tactiles du marché.
Deuxième axe : améliorer la sécurité
En plus de vouloir rendre l'Internet plus intelligent, Intel espère que son projet va doper la demande pour ses puces. L'entreprise ajoute régulièrement de nouveaux éléments de sécurité et de nouvelles fonctions de gestion à ses puces, et en apportant des moyens supplémentaires pour en tirer parti, Intel veut donner aux clients plus de raisons de choisir ses processeurs plutôt que ceux de ses concurrents. « Ils peuvent dire aux clients que, en choisissant Intel, ils pourront utiliser ces API, et profiter de la sécurité intégrée, » a déclaré Daniel Chang. Greg Boitano, n'a pas parlé de calendrier précis en matière d'API supplémentaire, mais il a laissé entendre qu'une API de sécurité pourrait être en développement. Par exemple, une application peut être en mesure de détecter si un processeur dispose de la technologie Trusted Execution Technology (TXT) d'Intel, qui permet de se protéger contre les « root kits » (kits de démarrage) malveillants. « Par exemple, vous êtes sur le terrain, et vous voulez accéder, via un PC, à une application hébergée dans un datacenter. À l'aide d'un ping, l'application peut déterminer si TXT est actif sur votre matériel, et si vous êtes autorisé à télécharger des données sécurisées, » explique-t-il. La prochaine version du processeur vPro d'Intel, destiné aux utilisateurs professionnels, devrait inclure une technologie d'authentification à deux niveaux, et l'acquisition de McAfee devrait permettre à Intel d'intégrer dans ses puces des technologies de sécurité les plus sophistiquées. Le fondeur espère également que les fabricants de PC vont utiliser ses API comme moyen de différencier leurs produits. Par exemple, Dell, qui travaille également avec Intel, pourrait être en mesure d'utiliser l'API de sécurité pour offrir à ses clients un système totalement sécurisé pour fournir des applications et des données aux employés nomades. « N'importe qui pourrait choisir ce genre de solution pour disposer d'un avantage concurrentiel, » a ajouté Greg Boitano.
Depuis l'annonce faite en octobre dernier, Intel n'a pas dit grand-chose de son projet de « cloud adapté au client ». Selon Rick Echevarria, directeur général de la division Business Client Platforms d'Intel, qui s'est exprimé lors d'une conférence organisée par Dell à San Francisco ce mois-ci, « les clients en entendront davantage parler au cours des trimestres à venir. » En fait, le mois prochain, Intel organise un événement dans l'Oregon pour exposer « sa vision du cloud à l'horizon 2015 ». Et son projet fait parti des sujets qui seront abordés. Les autres sujets concerneront davantage les datacenter : comme la fédération des données - c'est à dire le partage de données entre plates-formes cloud différentes - et l'automatisation des services en ligne. « Nous avons été discrets ces temps-ci sur le cloud, » a encore déclaré Rick Echevarria. « Nous laissons l'industrie et ceux qui ne comprennent pas ce qu'est le end-point computing, présenter le cloud comme un simple moyen de donner accès à des informations via un navigateur internet. Nous croyons que le cloud a beaucoup plus de potentiel que cela. »
(...)(23/02/2011 16:44:45)Microsoft corrige en urgence sa mise à jour fatale à des mobiles Samsung
« Nous avons identifié un problème technique au sein du processus de mise à jour de Windows Phone 7 qui n'a impacté qu'un petit nombre de téléphones», a déclaré Microsoft dans un communiqué et d'ajouter « devant les inquiétudes, nous avons temporairement retiré cette procédure pour les téléphones Samsung, afin de corriger le problème et dès que possible la republier ». Celle-ci visait à préparer le processus de mise à jour globale. Elle ne comprenait pas les prochaines fonctionnalités promises par la firme de Redmond, telles que couper-coller, un outil de recherche amélioré sur le marketplace, la gestion du multitâche, etc.
Cette petite « erreur » intervient alors que Microsoft a conclu un accord avec Nokia pour équiper les prochains smartphones de la société finlandaise et que la concurrence avec les autres OS mobiles est rude. La crédibilité se joue aussi sur la fiabilité.
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