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(31/03/2010 10:32:40)

Pour acquérir Bell Microproducts, Avnet met 600 M$ sur la table

Si le monde des éditeurs de logiciels et des constructeurs informatiques a connu durant les derniers mois son lot de fusion et acquisitions, cela n'a pas été le cas depuis longtemps dans celui des grossistes IT. Le distributeur américain Avnet devrait mettre fin à cette période de calme. Il a annoncé lundi sa volonté de racheter son compatriote et homologue Bell Micro pour un montant de 252 M$. La somme représente un bonus de 30% par rapport au cours atteint par l'action Bell Micro le vendredi précédent à Wall Street. Toutefois, l'investissement total consenti par Avnet devrait atteindre 594 M$ pour éponger la dette de sa futur acquisition. Les conseils d'administrations de deux  entreprises étant déjà tombés d'accord sur les termes du rachat, il ne reste plus qu'à obtenir le feu vert des actionnaires de Bell Micro et l'autorisation des autorités de régulation américaine. L'opération devrait être finalisée d'ici deux à quatre mois.

Un revenu cumulé de 10 Md$ dans la distribution IT

Grossiste à valeur ajoutée d'envergure international (3 Md$ de CA en 2009), le groupe Avnet distribue des composants électroniques, des produits de stockage et des sous-systèmes. Présente dans une trentaine de pays, dont la France, sa division Avnet Technology Solutions a réalisé lors de son exercice 2009 un chiffre d'affaires de 7 Md$ auprès d'une clientèle de VARs, d'ISV, d'OEM et d'intégrateurs de systèmes.
Distributeur international lui aussi, avec une présence dans 55 pays, dont la France également, Bell Micro se focalise dans le stockage et les serveurs, ainsi que les composants, les périphériques et les logiciels. En Amérique du Nord, deux de ses filiales mènent une activité de revendeur et de prestataire de services. Avnet, qui souhaite rester concentré sur son métier de grossiste, semble peu enclin à les conserver au sein du groupe et indique être à la recherche d'une alternative pour ces entreprises.

Crédits photo Sun Microsystems

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« Aux vues de nos présences géographiques et de nos lignes de produits respectives, il peut sembler qu'il y ait un certaines zones de recouvrement entre nos activités, indique Roy Vallee, le président et CEO d'Avnet. Mais quand on y regarde de plus près, elles sont finalement peu nombreuses ».
Par exemple, Bell Micro est fortement implanté dans des pays Européens tels que la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg. Le grossiste est également implanté en Amérique Latine, un territoire dont Avnet s'est fait une priorité stratégique. Dans le domaine  du stockage, Bell Micro devrait également étendre l'activité serveurs et stockage d'Avnet. Ce dernier est, certes, déjà bien implanté sur le marché des disques durs embarqués par les OEM et autres fabricants. Mais Bell Micro bénéficie quant à lui d'une bonne couverture du marché des disques durs vendus nus aux entreprises. Toujours dans le domaine du stockage, Bell Micro dispose d'une forte compétence dans le domaine des data centers, notamment dans l'intégration de systèmes de stockage et de serveurs.

Un groupe d'actionnaire consulte déjà des avocats

Certains revendeurs voient dans l'opération un moyen pour Avnet de réagir à l'acquisition de Sun Microsystems par Oracle. L'activité importante que mène Avnet autour des produits Sun serait en effet menacée par la décision d'Oracle de mettre d'avantage l'accent sur la vente directe. Il semble qu'Oracle n'ait en effet pas l'intention de laisser beaucoup de place à la distribution à valeur ajoutée autour des matériels Sun. Roy Vallee a toutefois contredit cette analyse qui sous-entend qu'Avnet chercherait à diversifier son portefeuille de produits sur la base des décisions prises par Oracle pour les produits Sun. Le patron d'Avnet reconnaît qu'« Oracle va assurer en direct les commandes de matériels Sun à ses plus grands clients et que cela aura forcement un impact négatif. Mais, pour « compenser » cela, Oracle ne souhaite plus traiter en direct avec n'importe quel revendeur. Les Vars de Sun devraient donc revenir à la distribution. En outre, Oracle devrait consolider le nombre des grossistes avec qui il veut traiter au niveau global, et cela devrait jouer en notre faveur. »
Reste maintenant à savoir quelle sera la décision des actionnaires de Bell Micro suite à l'annonce du rachat. Certains d'entre eux ont en tous cas demandé une enquête à un cabinet d'avocats afin de savoir si la vente est le fruit d'un processus équitable et si le prix proposé pour Bell Micro n'est pas sous-évalué.



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(26/03/2010 18:01:44)

Dell étoffe son offre stockage avec une solution objets, le DX6000

Concurrente des solutions RISS de HP ou Centerra d'EMC, la solution de stockage en mode objets Dell DX repose sur une architecture composée de serveurs x86 gérés par l'outil CaStor de Caringo. Cette plate-forme permet de créer un espace de nommage global unique, accessible par HTTP. Le DX6000 sera ainsi en mesure d'offrir une capacité de stockage maximale de plus de 2 péta-octets, selon Pierre Fournial, responsable solutions infrastructures chez Dell. Le DX6000 utilise un réseau redondant de noeuds indépendants (Rain) pour la résilience.  Similaire à une configuration RAID avec plusieurs disques durs, la technologie Rain fédère plusieurs clusters composés de processeurs x86 et de disques durs, et grâce à une topologie en réseau proposent une grande tolérance aux pannes. La couche de gestion logicielle transforme les noeuds en groupe de stockage objets où les fichiers sont  enregistrés avec des métadonnées (la taille, l'emplacement, la colonne d'une base de données, etc). Et comme les métadonnées sont stockées avec les données, elles peuvent être consultées indépendamment de leur emplacement. L'application appelle la donnée par un identifiant de type SHA-1 ou MD-5, le système de stockage se chargeant ensuite de fournir l'objet correspondant.

Comme les baies DX reposent sur une architecture cluster de type Rain, chaque fois qu'un noeud vient à tomber, il peut être remplacé de manière non disruptive. Les données étant automatiquement redistribuées aux autres noeuds du cluster. De la même façon, le développement du cluster s'effectue sans interruption. «C'est très facile de monter en puissance », explique Brett Roscoe, responsable produit senior chez Dell. «Pour augmenter les performances et la capacité de stockage, il suffit juste d'ajouter d'autres noeud." Chaque noeud offre une capacité de 12 To ; un rack 2U en fait avec 12 disques sATA.

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Pour satisfaire aux différentes obligations réglementaires, les baies DX peuvent être configurées en mode Write-Once ou Worm (read many). Le logiciel de gestion fournit par Dell permet également de d'automatiser certaines fonctions pour suivre une politique basée sur la conservation, la réplication, la distribution et la suppression de données. Le texan a également indiqué que sa plate-forme DX finira par soutenir les systèmes de fichiers CIFS, NFS et Xam (eXtensible Access Method), un standard mis au point par l'Association des industries de stockage en réseau (Storage Networking Industry Association). Le système sera disponible en mai à un prix qui n'a pas encore été indiqué.

Lors de sa conférence de presse, Dell a également annoncé qu'il revendrait les solutions de déduplication Data Domain d'EMC. Le DD140 a été conçu pour répondre aux besoins propres à la réplication des données d'un site distant vers un datacenter central. Il peut ainsi déplacer jusqu'à 450 Go par heure. Le DD630 et le DD610 - à destination des datacenters - offrent quant à eux des capacités de transfert de  1,1 To / heure et de 675 Go /heure. «Nous pensons vraiment que la déduplication est une technologie clef pour les années à venir, et que la sauvegarde est aujourd'hui le segment le plus prometteur sur le marché du stockage», souligne Brett Roscoe.

Enfin, Dell ajoute à son catalogue les baies Celerra d'EMC, qui peuvent offrir jusqu'à 960 To en stockage. Les Celerra offrent quatre options pour la connexion réseau, à savoir le Multi-Path File System propre à EMC, le NAS, l'iSCSI et le Fibre Channel.

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(26/03/2010 11:29:32)

Oracle explique les vertus de la fusion à ses clients

A l'époque du rapprochement entre HP et Compaq, nombreux étaient les clients des deux sociétés, notamment le groupe Decus, qui s'interrogeaient sur l'abandon ou la continuité de certains programmes ou produits, Tandem  et Himalaya. Pour éviter ce piège, Oracle a, quelques semaines après l'approbation de la fusion par la Commission européenne, organisé un événement partenaires et clients, dans les locaux de l'activité France. Le directeur général, Pascal Dumontet, a présenté le travail commun, réalisé depuis avril 2009, date de l'annonce de la fusion avec Sun Microsystems. Si le quitus européen existe, les deux entités françaises sont encore indépendantes juridiquement. La fusion ne devrait être effective qu'au mois de juillet prochain. Ces efforts ont symboliquement transformé, jusqu'à la communication institutionnelle d'Oracle, qui change sa ligne directrice « Software. Hardware. Complete ». Elle rappelle la volonté de fournir des solutions de bout en bout, allant du stockage aux applications. Pascal Dumontet a également insisté sur les investissements dans la R&D qui sont prévus d'ici 2011 à hauteur de 4,3 milliards de dollars dont une grande partie affectée à l'intégration des technologies.

Une combinaison de valeurs

En dehors du discours commercial bien rôdé, les différentes interventions des représentants de Sun et d'Oracle ont démontré l'intégration du meilleur des deux mondes. Sue Oliva, vice-président de Sun Microsystems France souligne que « cette fusion est une suite naturelle de notre partenariat qui existait depuis plusieurs années, elle apporte aujourd'hui des réponses communes tant sur le plan commercial avec un portefeuille complet, mais également un support unique ». Alors quelle en est la traduction ? Sur la partie des équipements, Eric Bézille, ingénieur en chef chez Sun montre que les solutions matérielles vont intégrer des fonctionnalités d'optimisation des applications. Pour ce faire, les supports de stockage Flash, de type SSD devraient de plus en plus intégrer les serveurs (des annonces sont prévues le mois prochain) y compris ceux de volumes comme les x86. Cela doit répondre à la demande de plus en plus croissante de rapidité dans les transactions, mais également dans le traitement des requêtes des bases de données. Sur la partie software, pas d'inquiétude à avoir sur l'avenir de Solaris, le système d'exploitation reste « une clé de voûte » des recherches d'Oracle en gardant la spécificité Open Source et en aidant la communauté Open Solaris dans ses travaux. Solaris 10 et les évolutions d'OpenSolaris doivent arriver prochainement. Sur la partie développement, les récentes déclarations lors de l'EclipseCon démontrent l'implication d'Oracle à poursuivre les travaux sur Java et toutes ses composantes à travers le serveur d'applications Glassfish.

A l'issue des différentes présentations, les partenaires et les clients étaient plutôt rassurés, seules quelques inquiétudes sur les retards dans la fourniture de certains produits persistées, ce qui finalement était plutôt bon signe.

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(18/03/2010 12:29:08)

Une start-up migre les données stockées sur Centera

Interlock Technology, jeune société américaine, offre un service d'évaluation des données hébergées sur Centera (baie d'archivage d'EMC), pour ensuite pouvoir les transférer au sein d'autres réseaux de stockage. Ce service utilise un logiciel exploitant des API standards, qui respectent l'intégrité des données. Elle utilise notamment l'API nommée, XAM (Extensible Access Method) qui facilite l'échange entre les topologies de réseaux de stockage, NAS et SAN. Cette API n'est pas propriétaire et a été développée au sein de l'association des industriels du stockage. Le PDG de la jeune pousse, Gary Liebermann explique « les produits Centera peuvent atteindre certaines limites en cas de catastrophes ou de continuité d'activité, car les sociétés ne peuvent pas s'en offrir plusieurs et vous ne pouvez répliquer les données sur un seul Centera » Interlock Technology a passé des accords avec Netapp pour intégrer sa solution au sein de SnapLock Application et avec IBM pour son service cloud de stockage. Le tarif du service de migration proposé par Interlock est de 5000 dollars par To, mais baisse en fonction du volume de données migrées. (...)

(15/03/2010 14:23:08)

Conférence CIO/Le Monde Informatique : Déduplication de données

Le jeudi 18 mars à l'hôtel de Crillon (Place de la Concorde, Paris), sera l'occasion de faire le point sur un sujet que l'on pouvait penser banalisé : la déduplication de données, afin de réduire les coûts et les volumes de stockage. L'événement - un petit déjeuner - est organisé par le groupe Conférences du Monde Informatique en partenariat avec Sun et Symantec. A l'heure de la généralisation des contenus multimédia (vidéos, présentations PowerPoint, catalogues de photos, ...) et de la montée en puissance de la dématérialisation des documents d'entreprise (dossiers clients au format pdf, factures/commandes, ...), éviter de stocker inutilement et de manière intégrale les multiples versions d'un même document devient indispensable. La déduplication est la réponse technologique à cette question. Selon les scénarios, elle peut être mise en oeuvre à la source, sur le réseau ou lors du stockage. Pour en savoir plus sur ce petit déjeuner : Conférence déduplication Illustration D.R. (...)

(09/03/2010 17:26:49)

EMC améliore l'intégration de ses Celerra dans VMware

L'arrivé de ces extensions Celerra pour les environnements VMware ajoute plusieurs nouvelles fonctionnalités au stockage virtuel de la compagnie, notamment l'intégration de certaines tâches comme la restauration automatique depuis l'outil vCenter Recovery Manager. Quand une grappe de disques devient indisponible, l'activité bascule automatiquement sur un autre groupe Celerra - soit sur le même site, soit dans un centre de données redondant. EMC avait déjà proposé ces mises à niveau pour ses solutions SAN Fibre Channel et iSCSI, mais il offre désormais ces mêmes fonctionnalités pour les environnements NFS (Network File System). Réduire sa facture de stockage avec la déduplication Brad Bunce, directeur du marketing chez EMC, a déclaré que ces mises à jour apportent également la fonction de déduplication des données sur les baies de stockage virtuel, ce qui peut réduire de 50% la quantité des données conservée sur des unités Celerra. NetApp propose d'ailleurs le même service sur ses baies et ses contrôleurs. "Quand vous déployez VMware sur une baie Celerra, un administrateur peut sélectionner les machines qui doivent être configurées en mode compressé et celles qui fonctionnent full-sized", explique Brad Bunce. "La flexibilité est plus grande quand l'administrateur peut sélectionner précisément les unités qui doivent être décompressées. Ce plug-in VMware pour Celerra autorise également le Thin Provisioning - la possibilité d'ajouter de la capacité de stockage à la demande - ainsi que le clonage de données ou encore le Snap Shot avec des volumes virtuels hébergés sur des baies Celerra, précise Brad Bunce. «Les utilisateurs aiment cloner des machines virtuelles pour des essais. Ainsi, lorsque vous souhaitez déployer un millier de nouvelles machines virtuelles, grâce au clonage ..., vous pouvez gagner plusieurs heures.» Ces plug-ins automatisent également la restauration des environnements NFS depuis le logiciel vCenter Site Recovery Manager de VMware. Les plug-ins Celerra d'EMC pour les environnements VMware sont disponibles en téléchargement pour tous les clients Celerra qui possèdent des contrats de maintenance. Toutes ces améliorations sont disponibles auprès d'EMC, de Dell et des partenaires autorisés. (...)

(09/03/2010 11:24:22)

Continuité de services accrue pour les dernières baies HP

« Les désastres provoquent beaucoup de dégâts et peuvent être fatals aux entreprises » souligne Chris Powers, le directeur de l'unité d'affaires XP chez HP et d'ajouter que l'actualité a montré « l'importance du rétablissement de l'activité lors de catastrophe comme les typhons ou les tremblements de terre, qui coupent l'accès à l'énergie ». La vieille technique d'établir un site miroir du datacenter ne garantit pas la continuité des opérations en cas de problème. Pour démontrer la résistance et la continuité de service proposée par les dernières baies de stockage HP, le responsable de la compagnie informatique a montré une vidéo où un ingénieur tire une balle à travers la coque et les applications ont continué à fonctionner. Les mêmes ingénieurs ont réalisé avec les solutions de stockage XP une explosion d'un datacenter impliquant l'effacement de toutes les données. Après la déflagration, le temps de rétablissement des applications dépend du système d'exploitation. 14 secondes ont été nécessaires pour basculer sur le service de secours, mais 2 minutes pour celui tournant sur Linux. [[page]] En plus d'être très résistantes, les baies de stockage XP intègrent parfaitement la virtualisation « le stockage traditionnel n'est pas évolutif. Pour une disponibilité constante des données, nos produits peuvent se transformer pour accueillir jusqu'à 2 Petabytes » confirme Chris Powers. Une gamme Storage P toilettée En parallèle des offres spécifiques contre les catastrophes, HP propose la baie StorageWorks P4000 G2 SAN (voir illustration principale), qui est aussi une solution contre les pertes de données et les interruptions. Pour éviter ces risques, la solution HP intègre une redondance des équipements avec des fonctionnalités de Network Raid. Les PME-PMI ne sont pas oubliées avec l'offre StorageWorks P2000 G3 MSA (voir ci-dessous). Elle utilise un contrôleur Fiber Channel 8Gb qui apporte un transfert de données deux fois plus rapide que sur les précédents modèles .De plus, elle donne la possibilité d'utiliser un contrôleur FC/iSCSI Combo combinant deux ports FC 8Gb et deux ports iSCSI 1Gb. La protection des données est renforcée avec « Remote Snap », une capacité de réplication qui a été développée dans cette nouvelle solution. (...)

(09/03/2010 10:34:44)

IDC confirme que l'année 2009 a été très difficile pour le marché du stockage

Selon IDC, le classement mondial pour les fabricants de systèmes de stockage sur disques (tous systèmes confondus) fait ressortir une baisse annuelle de 11,9% à 24,465 milliards de dollars. HP garde la tête, avec 18,4% des parts (contre 19,6%), mais une forte baisse de 17% (4,50 milliards de dollars de CA contre 5,43). IBM est là encore second avec 16,9% de parts contre 16,1%, en baisse de 7,2% (4,14 milliards de dollars contre 4,46). EMC, troisième, est très proche avec 16,8% des parts, contre 16,4, en baisse de 9,8% (4,10 contre 4,55). IBM est donc passé devant EMC. Le quatrième, Dell, est à 11,4% des parts contre 11,2%, en baisse de 10,4% (2,79 milliards de dollars contre 3,11). NetApp, cinquième est à 6,4% de parts de marché, contre 5,8%, en baisse de 2,5% (1,56 contre 1,60). EMC toujours en tête pour les disques externes Concernant le marché mondial du stockage sur disque dur externe, IDC constate une baisse de 10,2% en 2009, avec 18,1 milliards de dollars de chiffre d'affaires. Par acteur, EMC reste en tête avec 22,7% des parts (contre 22,6% en 2008) mais une baisse de 9,8% (4,11 milliards de dollars de chiffre d'affaires, contre 4,55). IBM suit de loin avec 14,2% de parts (contre 13,2%), et une baisse de seulement 3,9% (2,56 milliards de dollars de CA, contre 2,66). [[page]] HP, troisième, obtient 11,7% (contre 12,7), en forte baisse de 17,5% (2,10 milliards de dollars de CA contre 2,56). Dell, quatrième, est à 9,1% des parts contre 9,2% en baisse de 11,4% (1,65 milliards de dollars de CA contre 1,86). Cinquième, NetApp est à 8,6% des parts, contre 8%, avec une petite baisse de 2,5% (1,56 contre 1,60). Les autres compétiteurs, globalement sont à 33,7% des parts, contre 34,3%, en baisse de 11,7%. Le marché des logiciels est plus stable Troisième point, le marché des logiciels de stockage. Il représente 11,725 milliards de dollars, en baisse de 4,7%. EMC est en tête avec 22,7% des parts de marché, contre 24,4%, en baisse de 11,6% (2,66 milliards de dollars de CA, contre 3 milliards). Symantec, obtient 17,9%, contre 18% et une baisse de 4,8% (2,10 milliards contre 2,21). IBM, troisième est à 13,5% des parts, contre 12,8%, en baisse de 0,5% (1,58 milliard de dollars contre 1,57). En quatrième place, on trouve NetApp avec 8% des parts, contre 7,9%, en baisse de 3,4% (940 millions de dollars contre 973). CA, cinquième est à 4%, la même part qu'en 2008, CA baisse de 6% (467 millions de dollars contre 497). (...)

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