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(06/02/2009 11:08:44)
LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner
Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)
(29/01/2009 17:24:41)EMC France nomme son Monsieur Green IT
De plus en plus, le green IT entre concrètement dans la stratégie des grands acteurs de l'IT. Pour preuve, la nomination de responsables du sujet dans leurs maisons mères. Et, bien que plus rarement, la fonction est même relayée dans les filiales françaises qui se voient alors dotées de leur propre M. ou Mme Green. Chez EMC France, c'est Jean-Paul Bembaron, directeur des services et des solutions techniques depuis octobre 2007, qui prend la charge de ce que le constructeur appelle « l'efficient IT », en plus de sa fonction actuelle. Si le constructeur mène à bien sa stratégie durable, c'est l'accompagnement des clients dans leur propre démarche green IT qu'EMC lui confie. « On m'a demandé de réfléchir à cette mission il y a déjà plusieurs mois, raconte Jean-Paul Bembaron, et j'ai commencé par consulter nos clients, nos partenaires, pour savoir ce que le green IT représentait pour eux. Ma conclusion ? La motivation est écologique mais la justification reste économique. » Et pour le nouveau responsable green IT, EMC doit aider ses clients à combiner les deux. Et les aider à s'orienter dans un concept où ils sont souvent perdus. Pour ce faire, Jean-Paul Bembaron va travailler sur de nouvelles offres de services. Au delà des solutions technologiques, déjà en marche si l'on en croit EMC, avec des matériels moins volumineux, moins gourmands, etc., ce sont des prestations de conseil auxquelles Jean-Paul Bembaron souhaite réfléchir. « Nous allons essayer de proposer aux entreprises de définir des règles et des processus et ainsi leur donner une meilleure visibilité sur le green IT. Mais nous devons aussi leur enseigner la façon d'intégrer ce type de changements. » De véritables missions de consulting. Les moyens de justifier économiquement les investissements 'green' « Je suis parti d'un postulat, détaille Jean-Paul Bembaron. Aujourd'hui, les utilisateurs se posent des questions sur les émissions de chaleur des infrastructures, la consommation électrique, l'augmentation du montant des factures, leurs datacenters installés dans des endroits inadaptés, trop petits et trop chers... Par ailleurs, pour ce qui est de notre activité [le stockage], la quantité de données est de plus en plus importante et bon nombre ne sont pas utilisées, beaucoup sont redondantes. Rien n'est optimisé... » EMC veut réfléchir avec ses clients sur une meilleure gestion des gros volumes avec, en sus, une consommation énergétique et un impact environnemental moindres. Par ailleurs, EMC a déjà des offres de service green IT au niveau international. Mais la France, comme les autres pays, présente certaines différences qui imposent un travail local. Alors que, par exemple, l'Ouest américain souffre de la pénurie et du prix élevé de son courant électrique, l'Hexagone reste préservé - pour l'instant. En France, réduire la consommation énergétique des infrastructures informatiques ne signifie pas encore systématiquement diminuer la facture d'électricité, en particulier dans l'esprit de responsables informatiques à qui ces frais n'incombent pas. (...)
(09/12/2008 17:54:28)Dell et EMC prolongent leur partenariat sur le stockage jusqu'en 2013
Malgré quelques incursions pour se doter de ses propres produits (achat d'Equalogic en novembre 2007), Dell compte toujours s'appuyer sur son partenaire EMC pour le gros de son offre. Alors que les deux sociétés avaient signé un partenariat jusqu'en 2011, elles viennent d'annoncer que celui-ci était prolongé jusqu'en 2013 et que les produits concernés seraient plus nombreux. Dell pourra ainsi revendre la gamme de baies multi-protocoles (iSCSI, NAS, Fibre Channel) Celerra d'EMC. A commencer par la baie NX4, lancée en août dernier, et disponible via Dell dès le début 2009, ciblant une clientèle plus haut de gamme que celle intéressée par les simples baies NAS sous Windows que vend déjà Dell. De plus, l'accord signé par EMC et Dell en 2001 ne se limite plus, selon les dirigeants des deux sociétés, à la simple revente. Les deux entreprises vont travailler de concert pour répondre aux besoins des clients, en développant certaines offres en commun. Elles l'ont déjà fait avec leur nouvelle plateforme pour entrepôt de données dans le cadre du programme Oracle Optimised Warehouse en septembre dernier. Pour Simon Piff, directeur de recherche stockage pour IDC Asie-Pacifique, cette annonce vise aussi « à étouffer toutes les rumeurs de séparation entre les deux sociétés» qui ont couru depuis un an. Malgré le rachat d'Equalogic, EMC reste un partenaire important pour Dell car il lui permet de cibler tous les segments du marché du stockage. « EMC fait entrer Dell dans le marché du haut de gamme pour l'entreprise, précise Simon Piff. Et le partenariat reste profitable financièrement. En 2007, les ventes réalisées via Dell représentaient 14,3 % des revenus d'EMC. Et si Dell ne détaille pas ce qui provient d'Equalogic et ce qui provient d'EMC, le stockage représente 4 % des ventes réalisées durant son année fiscale 2008 (terminée le 1er mars 2008). (...)
(02/12/2008 11:37:04)Sun monte à l'assaut des PME européennes
Sun lance, des deux côtés de l'Atlantique, une initiative pour se renforcer sur le marché des PME. Par PME, il entend toute entreprise de moins de 2 000 et de plus de 100 salariés. Chaque pays a étudié sa cible. En France, Sun a par exemple fait interroger 700 entreprises de plus de 2 000 salariés et un millier entre 100 et 2 000 pour bien connaître leurs attentes. Début juillet, pour encadrer cette initiative, Sun France a également installé une unité « volumes » qui compte une dizaine de personnes issues de la filiale. Cette équipe est chargée d'expliquer les offres PME aux partenaires, de relayer des leads détectés par Sun et d'appuyer les partenariats techniques noués, par exemple avec AMD, Intel, Microsoft et Symantec. Du télémarketing pour détecter les projets en PME L'initiative est également accompagnée par la création d'un plateau de télémarketing, situé en Grande-Bretagne et chargé de détecter des projets dans les PME en Europe. Ces projets sont ensuite envoyés aux partenaires. L'équipe « volumes » doit aussi faire mûrir ces projets détectés par Sun et les suivre dans le temps. Sun va recruter une trentaine de nouveaux partenaires en France pour s'adresser aux PME d'ici fin 2009. La société en compte déjà 70. Ces partenaires sont recrutés par les grossistes (AVNet, Distrilogie, Frame). « Il n'est plus question de recruter uniquement des partenaires avec des certifications, on peut être partenaire de Sun avec de petits volumes dans ce marché des PME », précise Jean-Yves Pronier, directeur marketing produits de Sun France. Une offre accessible aux PME C'est effectivement un changement majeur pour la société, qui avait jusqu'alors pour partenaires privilégiés les grands comptes. Sun a pris cette initiative PME pour trouver des relais de croissance. L'offre, matériels et logiciels, a également beaucoup changé avec les architecture x86, les produits de stockage, l'Open source. Cette large palette, Sun veut la rendre accessible aux PME, c'est aussi l'enjeu de cette initiative. (...)
(25/11/2008 12:49:13)EMC rafraîchit ses outils de sauvegarde
EMC met à jour l'ensemble de son offre de sauvegarde pour l'adapter aux contraintes des environnements virtualisés et lui ajouter les avantages de la déduplication des données. Selon EMC, cette vague d'annonces qui concerne Data Protection Advisor, NetWorker, Avamar et RecoverPoint vise aussi à coordonner les fonctions de ces produits d'origine disparate. La version 5.0 du logiciel Data Protection Advisor, outil d'analyse et de prévision des besoins de stockage récupéré en avril avec le rachat de WysDM, supporte désormais l'environnement VMware et la ligne de stockage Celerra. Il voit aussi ses fonctions s'améliorer vis à vis de l'outil de sauvegarde maison Avamar et des lignes de produits de Data Domain. La version 7.5 de NetWorker, outil d'administration de la sauvegarde et de la protection des données, supporte désormais Hyper V, l'hyperviseur de Microsoft. Côté stockage, il intègre la gestion des baies EMC RecoverPoint, HomeBase et Symmetrix TimeFinder. La version 4.1 d'Avamar pour la sauvegarde et la déduplication des données, s'améliore au niveau de la sécurité, de l'administration et du reporting. Dans cette version, EMC affirme qu'Avamar s'adapte plus facilement aux petites configurations que l'on trouve sur les sites déportés. La version 3.1 de RecoverPoint, logiciel de réplication de données et de sauvegarde au fil de l'eau (Continuous data Protection ou CDP) récupéré avec le rachat de Kashya en mai 2006, s'intègre dans Recovery Manager de VMware et au cluster de Microsoft. Cette 3.1 tire aussi partie du provisionning virtuel des baies Clariion CX4. Enfin, la "portée" de RecoverPoint pour la synchronisation des données atteint désormais 30 km. (...)
(10/11/2008 16:20:11)Open Source et composants standards pour la nouvelle ligne de stockage de Sun
Dans les trois produits qui constituent sa nouvelle ligne Storage 7000 Unified System, Sun fait un usage intensif de logiciels Open Source, de composants standards et de disques électroniques (SSD, Solid State Disk). Selon le constructeur, qui avait levé le voile sur cette ligne de produits en septembre dernier, ces trois éléments poussent tous à une réduction des coûts, qu'ils soient d'achat ou d'utilisation. Sun souligne la présence dans son offre de l'outil d'administration Fishworks (Fully Integrated Software and Hardware) pour l'analyse, la réplication et la clusterisation des données. Fishworks encapsule le gestionnaire de fichiers 128 bit ZFS et l'outil d'analyse et d'optimisation Dtrace. Le 7110, embarque un processeur Opteron quadri-coeur, 8 Go de Ram et une capacité de stockage atteignant 2 To avec 16 disques SAS. Dans cette configuration, il est proposé à 11 000 $. Le 7210, qui reprend le châssis du Thumper X4500, embarque deux Opteron quadri-coeur, 32 à 64 Go de RAM et permet d'atteindre 46 To de stockage avec des disques SAS et 32 Go avec deux SSD. Avec une capacité de 11,5 To, le 7210 revient à 35 000$. En forte croissance, Open Storage n'a généré que 25M$ de CA au dernier trimestre Le 7410, qui peut être mis en cluster, embarque quatre Opteron quadri-coeur, 16 à 128 Go de RAM et permet d'atteindre 288 To avec des disques SAS et 16 Go avec des disques SSD. Un seul noeud avec 12 To est proposé à 57 500 $. Deux noeuds de 12 To en cluster reviennent à 89 500$. La ligne Storage 7000 vient renforcer l'offre Open Storage de Sun qui, selon le constructeur connaît une très forte croissance. Toutefois, elle n'a généré que 25 M$ d'un CA stockage qui ne représente lui-même que quelques 500 M$, soit 17% des 2,99 Md$ de CA total sur le dernier trimestre. Les produits Open Storage sont donc encore loin de pouvoir compenser l'échec du pari de Sun avec le rachat du géant Storage Teck en 2005 pour 4,1 Md$. Le constructeur vient d'ailleurs de se résoudre à inscrire 1,45 Md$ de perte en dévaluation d'actifs. (...)
(31/10/2008 09:20:26)Pillar Data Systems supprime un tiers de ses effectifs
Le spécialiste du stockage haut de gamme Pillar Data Systems supprime 150 postes, soit un tiers de ses effectifs. Mike Workman, son PDG, l'annonce lui-même sur son blog. Son entreprise aurait pris la crise de plein fouet. « Pillar anticipe un climat économique difficile tout au long de 2009 et même jusqu'en 2010. Nous avons donc décidé de nous préparer au pire et de licencier quelques employés », explique-t-il avant d'ajouter plus loin que « la bonne nouvelle pour Pillar et ses clients est la viabilité à long terme assurée par des actions financières prudentes telles que celle-ci. » Selon le site du San Jose MercuryNews, le pdg d'Oracle Larry Ellison, principal actionnaire de la start up dans laquelle il a investi 100M$, approuverait totalement la démarche. (...)
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