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(23/10/2008 13:24:21)
EMC a fait plus que résister au troisième trimestre
Certes, la profitabilité d'EMC a baissé au troisième trimestre par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent (-17%), mais moins qu'attendu. Alors que le résultat du troisième trimestre 2007 avait été gonflé par la vente, pour 150 M$, d'actions de sa filiale VMware à Cisco. Le résultat opérationnel progresse d'ailleurs de 3,7% et la marge brute reste stable à 55%. De plus, EMC semble mieux se comporter que l'activité stockage d'IBM, son principal concurrent. Alors que les ventes d'IBM dans ce domaine fléchissent, celles d'EMC progressent de 11% à 2,9 Md$. L'activité d'EMC en Europe progresse plus vite (+20%) qu'aux Etats-Unis (+19%). L'activité Sécurité, née de l'achat de RSA, a augmenté de 11% à 147 M$. En revanche, celle centrée sur la gestion et l'archivage de documents stagne à 188 M$. EMC, qui détient toujours 84% du capital de VMware, consolide ses résultats (472 M$ de CA et 83 M$ de bénéfices nets). La direction a prévenu que l'activité au quatrième trimestre devrait pâtir du contexte économique général et ne progresser que de quelques pour cent. Il n'y aura donc pas de vingt-deuxième trimestre consécutif de croissance à deux chiffres. (...)
(16/10/2008 11:26:17)Iomega lance un serveur NAS compatible Bluetooth
Destiné aux PME et aux particuliers, le nouveau StorCenter IX2 de Iomega est une baie de stockage Nas avec une capacité allant jusqu'à 2 To. Aux côtés des connexions classiques Gigabit Ethernet et de deux prises USB, cette baie supporte également des connexions de type Bluetooth (via une clé USB appropriée) pour récupérer des fichiers en provenance d'un téléphone portable par exemple. Compatible avec les caméras de surveillance Axis, elle stocke les vidéos ou y accède en temps réel simplement à partir du réseau. Elle est également équipée des logiciels LifeLine et Retrospect Backup Express d'EMC pour fournir à ses utilisateurs non-informaticiens tous les outils pour l'installer, la configurer et la protéger simplement. La baie sera commercialisée à partir du 30 octobre à 300 $ pour la version à 1 To et à 480 $ pour la version à 2 To. (...)
(02/10/2008 14:36:27)HP achète LeftHand, spécialiste du iSCSI et de la virtualisation
Hewlett-Packard achète cash 360 M$ LetfHand Networks, société privée réputée sur les secteurs du stockage en iSCSI et virtualisé pour les PME. Il ne fait aucun doute que cette acquisition, qui vient combler un vide dans son offre stockage entre l'entrée de gamme MSA et le haut de gamme EVA, est une réponse directe à l'offre EqualLogic de Dell. Les trois grands constructeurs de serveurs x86 ont, désormais, chacun, mis la main sur un spécialiste du stockage de dernière génération. Dell avait ouvert le feu fin 2006 en s'offrant EquaLogic, l'autre spécialiste de l'iSCSI, pour 1,4 Md$. Quoique surévaluée, l'opération lui a permis de se propulser à la première place de ce marché, devant EMC et NetApp, avec 32% des vente au deuxième trimestre selon IDC. IBM a suivi en janvier dernier avec l'acquisition de XIV, pour 300 M$, une société israélienne fondée par Moshe Yanai, qui contribua en son temps à bâtir la puissance d'EMC. Contrairement à Dell, IBM tarde à récolter un retour sur son investissement. L'iSCSI a le vent en poupe. Il a connu une croissance vertigineuse de 94% au deuxième trimestre. Cette l'interface qui monte face au Fiber Channel (FC) permet un ticket d'entrée beaucoup plus modique et dispense d'avoir à acheter des routeurs dédiés FC pour accompagner la croissance des besoins. De plus, le iSCSI semble mieux adapté pour évoluer vers FCoE (Fiber Channel over Ethernet) que le Fiber Channel. Parmi les points forts technologiques de LeftHand, trois émergent. Tout d'abord, et contrairement à EqualLogic, son offre SAN/iQ ne repose pas sur des matériels spécifiques. Ensuite, la société domine le thin provisionning (gestion dynamique de l'espace alloué) et le clonage des données. Les deux permettent de conséquents gains d'espace. Enfin, elle dispose d'un savoir-faire en matière de réplication. LeftHand a consacré beaucoup d'effort à optimiser ses produits pour l'environnement VMware. Fondé en 1999, LeftHand emploie 215 salariés, revendique un réseau mondial de distribution de plus de 500 partenaires et un parc installé de plus de 11 000 configurations chez 3000 clients. (...)
(25/09/2008 09:32:57)OpenWorld : Oracle s'attaque à Teradata avec une solution matérielle
(crédit photo : wicho / licence Creative Commons) Larry Ellison, fondateur d'Oracle, apprécie le spectacle et la démesure. Et il n'a jamais rechigné à ménager ses effets. Sur la scène du Moscone Center de San Francisco, après avoir fait défiler les images de son yacht engagé dans l'America's cup, l'emblématique patron a littéralement fait surgir sous ses pieds la « HP Oracle Database Machine », promise, selon ses voeux, à révolutionner l'univers des entrepôts de données. Autrement dit à faire vaciller Teradata, l'acteur dominant du secteur. Cette armoire rack, conçue avec HP, contient le serveur de stockage Exadata, « première solution matérielle » de l'histoire d'Oracle, a plaisanté Larry Ellison. Une judicieuse combinaison de logiciel et de matériel, spécialisée dans le stockage et le traitement de l'information. Améliorer les performances en réduisant la distance entre le stockage et le moteur du SGBD « Les grandes bases de données triplent de taille tous les deux ans. Or, les performances des datawarehouses faiblissent dès qu'ils atteignent le téraoctet, et même le plus véloce tombe complètement autour de 10 To », assène Larry Ellison en pointant du doigt le goulet d'étranglement entre bases de données et serveurs de stockage. « Pour résoudre le problème, il faut réduire le volume des flux entre la base de données et le système de stockage, ou bien élargir les tuyaux. » Et de conclure : Oracle a fait les deux, en permettant aux requêtes de s'exécuter au plus près des données. SGBD et stockage en grille [[page]] La « HP Oracle Database Machine » combine donc des serveurs de bases de données Oracle, reliés en grille, avec les tout nouveaux serveurs de stockage Exadata, également reliés en grille. L'ensemble est packagé dans la même armoire rack, et commercialisé par Oracle. Le support du matériel est assuré par HP. 1 400 fois la capacité du plus gros iPod La configuration est musclée. A lui seul, le serveur de stockage Exadata, muni du logiciel Oracle Parallel Query Database sous Oracle Enterprise Linux, est équipé de deux processeurs Intel (huit coeurs) et de douze disques durs apportant jusqu'à 12 To. Quant à la « machine HP Oracle », aujourd'hui disponible sous Enterprise Linux (d'autres environnements suivront, promet Larry Ellison), elle réunit huit serveurs de base de données Oracle (64 coeurs Intel), le logiciel de clustering RAC (Real application clusters) et 14 serveurs de stockage Exadata (soit 112 coeurs Intel) qui offrent une bande passante de 14 Go de données par seconde et jusqu'à 168 To. « Sa capacité est 1 400 plus importante que celle de l'iPod le plus musclé », ironise Larry Ellison. Sans cacher sa jubilation, le dirigeant a aussi comparé (à son profit) sa configuration aux solutions avancées par Teradata et Netezza, ses principaux concurrents sur ce terrain, avec les fournisseurs de systèmes de stockage, EMC, IBM et NetApp en tête. Trois ans de R&D pour cette première machine Oracle Cette nouvelle offre, sur laquelle rien n'a rien filtré, ou si peu (d'immenses banderoles annonçant un mystérieux « X » ont été déroulées hier dans le Moscone Center), est pourtant le fruit d'un développement de trois ans. Un projet qui s'inscrit dans le cadre d'un programme de recherche de plus longue haleine sur les architectures massivement parallèles. Des performances multipliées par 30 chez certains clients [[page]] En toute discrétion, la solution est testée depuis octobre dernier chez une poignée de clients. Sur le papier, les résultats obtenus retiennent l'attention. Avec une demi-configuration de la « machine HP Oracle », l'opérateur bulgare de téléphonie mobile M-Tel annonce des performances multipliées par 28, en moyenne, sur 4,5 To, par comparaison avec sa précédente configuration (2 serveurs IBM p570 couplés à un système de stockage EMC). Chez LGR, investi sur trois continents dans l'infogérance de datawarehouses, on avance des performances multipliées par 30. Moins édifiant, le distributeur américain Giant Eagle annonce tout de même un facteur x16 sur 5 To de données. Larry laisse la vedette à sa machine Cette année, contrairement à son habitude, Larry Ellison a quitté discrètement la scène, pendant la vidéo déroulant les commentaires des premiers clients. D'ordinaire, il se fait un plaisir, non dissimulé, de répondre au vol aux nombreuses questions de la salle, pourtant archi-pleine cette fois-ci encore : 11 000 places, nombre de personnes debout ou assises par terre et bien plus à l'extérieur de la salle, face aux écrans géants. Mais, une fois n'est pas coutume, il a préféré laisser la vedette à sa « machine », sur laquelle le public s'est précipité, le flash crépitant, dès la fin du show. A l'étage, les machines étaient déjà installées sur le stand d'Oracle. (...)
(17/09/2008 14:15:11)SanDisk rejette l'OPA de Samsung
L'Américain SanDisk a rejeté l'offre officielle de rachat du Sud-Coréen Samsung. Le conseil d'administration de cette société, qui représente 15% du marché de la mémoire flash, a jugé insuffisante l'offre de 5,85 Md$ du numéro un mondial de la production de mémoire Flash NAND, avec 32% du marché. Les deux sociétés étaient pourtant en pourparlers depuis quatre mois, mais Samsung a fait son offre au moment où l'action de SanDisk tombait au plus bas : 15$ contre 60 au plus haut sur 52 semaines. Son dernier trimestre s'est clos sur une perte de 68 M$. Samsung semble vouloir continuer son offensive sur cette base de 26$ par action. La publication de son offre n'a pas fait dépasser les 24$ au cours de l'action de SanDisk sur le marché gris. SanDisk risque toutefois de devenir l'enjeu d'une surenchère entre Samsung, Toshiba, numéro deux mondial des mémoires flash, et Seagate. SanDisk est associé au Japonais dans des usines d'où sortent 27% de la production mondiale de mémoire flash (dont 15% sont utilisés par SanDisk dans ses cartes mémoire, marché dont il est le numéro un). Quant au numéro un mondial des disques durs, il pourrait voir en l'acquisition de SanDisk une excellente opération pour développer son activité dans le domaine des mémoires flash qui commencent à concurrencer les disques magnétiques sur certains segments de marché. Sans être à proprement parler un producteur de mémoire flash, l'Américain possède des technologies clés dans le domaine. Samnsung lui verse ainsi 350 M$ de royalities annuels. Et la R&D de SanDisk semble être en tête dans le domaine du stockage en 3D, technologie promise à un bel avenir. SanDisk a réalisé en 2007 un CA de 3,9 Md$, assorti d'un bénéfice net de 218 M$. (...)
(09/09/2008 15:23:23)Le stockage externe connaît sa plus forte progression depuis deux ans
La demande en capacité de stockage ne faiblit pas, bien au contraire. Elle est tirée par les modèles NAS et Open SAN, en hausse de 22% à 3,8 Md$ ainsi que par l'engouement pour l'iSCSI dont les ventes bondissent de 93,9%. Au deuxième trimestre, IDC estime que le marché de l'ensemble des systèmes de stockage externe a progressé de 16,7% à 4,1 Md$. Soit la plus forte hausse sur deux ans. Ce segment se taille la part du lion sur le marché de tous les systèmes de stockage qui a atteint un CA de 6,9 Md$ (+10,9%). En terme de volumétrie, tous les systèmes de stockage livrés atteignent 1,777 Peta Octets (million de milliards d'octets), en forte croissance de 43,7%. Succès d'une stratégie axée Open Source Parmi les acteurs du marché du stockage, c'est Sun qui réalise la meilleure performance avec une hausse de plus de 29% de son CA. Avec une part de marché portée à 7,1%, la société apparaît dans le top 5, derrière Dell (+14,2%), EMC (+19,7%). A l'inverse, les deux premiers, HP (18% du marché) et IBM (17,7%) marquent le pas. HP perd 1,2% de part de marché et IBM n'en gagne que 2,6%. Sun, qui promet d'ici la fin de l'année une offre basée sur des composants matériels standards, semble connaître enfin le succès avec sa stratégie axée sur l'open source. Fort de son rachat d'Equallogic, Dell s'arroge 32,8% du créneau de l'iSCSI en pleine expansion. On trouve derrière lui NetApp (14,6%) et EMC (14,1%). Notons qu'IBM procède aujourd'hui à un train impressionnant d'annonces qui capitalisent sur ses dernières acquisitions. (...)
(08/09/2008 16:39:18)Sun peaufine des appliances de stockage virtualisées
Chez Sun, on promet l'arrivée d'ici la fin de l'année d'appliances de stockage virtualisées basées sur le concept FISHworks (Fully Integrated Software and Hardware). L'idée-force est de proposer un ensemble de logiciels associé à des composants matériels standard. Il est même prévu de laisser des OEM intégrer la pile logicielle à leurs propres appliances. Dell, qui commercialise actuellement une appliance baptisée Windows Storage Server ferait un OEM idéal... Ces produits NAS s'adresseront dans un premier temps aux grandes entreprises. La ligne FISHworks (qui devrait être commercialisée sous un autre nom) intègrera en particulier le gestionnaire de fichiers 128 bits ZFS (Zettabyte File System) et un outil d'analyse présenté comme très performant qui utilise la technologie DTrace (Dynamic Tracing). Le tout sous Open Solaris. Annoncée en février 2007, la mise au point de cette plateforme a pris du retard. Sans doute la raison pour laquelle Sun fait un effort de communication pour entretenir l'intérêt. (...)
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