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Objets communicants

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(20/02/2012 16:01:46)

Des croisements routiers pilotés par ordinateur

On se souvient des travaux de recherche de Google ou de la DARPA (Defense Advanced Projects Agency) sur une voiture sans conducteur. Mais au-delà du véhicule, des chercheurs se sont interrogés sur les environnements de conduite comme les intersections. Dans le futur, les croisements routiers ne comprendront pas de feux de circulation ni de panneaux d'arrêt. Le logiciel de conduite automatisée est pris en charge par un contrôleur virtuel du trafic à l'approche de l'intersection, explique Peter Stone, un professeur d'informatique à l'Université du Texas à Austin.

Le chercheur a présenté la semaine dernière le travail de son équipe sur la gestion autonome des intersections. Un ancien élève du Pr Stone, Kurt Dresner, a été à l'origine du gestionnaire de l'intersection. Il a défini les algorithmes dans sa thèse de doctorat. De son côté, Peter Stone a lui-même dirigé l'élaboration d'un véhicule autonome, appelé Marvin, qui a concouru pour le Urban Challenge 2007, une course annuelle de véhicules automatisés organisée par la DARPA.



Présentation des travaux du Pr Stone sur les intersections intelligentes


Anticiper et mémoriser les besoins


Pour le Pr Stone, « à une certaine échéance, il sera assez rare que les hommes continuent de conduire leur propre véhicule. D'autres formes de transports comme les avions, les trains et les bateaux disposent de pilotage automatique. » La question de sécurité est évidemment mise en avant et l'équipe de chercheurs s'est intéressée à des évènements de conduite comme la gestion des intersections. Dans leur démonstration, ils ont équipé chaque croisement d'un contrôleur (ou d'un ordinateur) qui coordonne par des calculs mathématiques l'ensemble du trafic. Chaque voiture sera équipée d'un logiciel client qui communiquera avec les intersections équipées.

Peter Stone explique « quand une voiture s'approche de l'intersection, le véhicule communique qu'il veut aller dans telle direction, le gestionnaire de l'intersection approuve ou pas. Il garde en mémoire sa réponse pour ne pas donner des permissions à d'autres véhicules qui emprunteraient le même itinéraire ». Cette technologie peut être adaptée à la conduite traditionnelle avec un système de led rouge ou verte en fonction de la réponse du gestionnaire.

Des avantages induits


Un gestionnaire du trafic pourrait avoir toutes sortes d'avantages secondaires. Ainsi, les véhicules d'urgence pourront arriver plus rapidement. Il pourrait également participer aux efforts de décongestionnement du trafic dans les milieux urbains en inversant les sens de circulation en fonction des pics de trafic.

Peter Stone admet néanmoins qu'un tel système n'est pas exempt de défaut. Ainsi, quand une voiture tombe en panne en plein milieu de l'intersection, un autre véhicule qui a obtenu l'autorisation de s'engager sur l'intersection pourra la heurter. Mais dans l'ensemble, il a indiqué que les voitures autonomes sont globalement plus sûres et rappelle que 90% des accidents automobiles sont causés par une erreur humaine.

(...)

(01/02/2012 09:48:46)

Regain de méfiance sur les paiements électroniques en France

Aujourd'hui, alors que le taux de possession des moyens de paiement classiques par les Français reste stable - 95% ont un chéquier, 67% une carte de crédit à débit immédiat, l'utilisation des moyens de paiement dématérialisés perd la confiance des consommateurs.
Ainsi, le nombre de Français utilisant la carte bancaire à débit différé baisse de cinq points (41%), le nombre de possesseurs d'un compte de transfert de fonds comme PayPal recule de six points (36%), d'utilisateurs de cartes d'organismes de crédit baisse de six points (27%, et enfin le nombre de possesseurs de porte-monnaie électronique tel que Moneo est en repli de trois points (12%).

Comparés à l'argent liquide, les moyens de paiement électronique disposent de plusieurs avantages : la rapidité (63%) et la simplicité (62%). Ceux-ci n'offrent la sécurité que pour 42% de répondants. Face à la problématique de sécurisation des moyens de paiement, 66% se disent intéressés par la carte bancaire à usage unique et 45% par la carte prépayée à recharger.

A l'inverse, 64% avouent ne pas faire confiance à la technologie sans contact, qui permet pour certains paiements par carte de crédit de ne pas saisir son code secret. Enfin, seuls 28% des Français se disent prêts à changer leur téléphone portable pour opter pour un nouveau qui leur permet de régler leurs achats.

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(23/01/2012 09:58:46)

Le marché du M2M en forte croissance selon ABI Research

Dans une étude récente, ABI Research affirme que le nombre de connexions mobiles de machine à machine M2M a augmenté de 26,2% en 2011, passant d'un total de 87,7 millions de connexions dans le monde en 2010 à 110,6 millions à la fin 2011. Ce chiffre devrait atteindre même atteindre 364,5 millions en 2016, soit une augmentation de 27% par an.

Les experts d'ABI estiment que le marché du M2M (ou internet des objets) environ 35 milliards  de dollars de revenus provenant des services de connectivité en 2016. Les plus gros revenus seront générés par les secteurs de l'automobile (15,5 milliards de dollars) et de l'énergie intelligente (7,5 milliards de dollars).

ABI Research estime que les opérateurs mobiles vont maintenant développer des services facilitant la naissance d'applications d'Internet des objets. D'ailleurs, Swisscom a récemment annoncé qu'elle avait créé une division M2M.

ICTjournal.ch

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(16/01/2012 17:59:56)

L'UE veut accélérer le paiement électronique

La Commission européenne a lancé un livre vert dédié aux obstacles qui peuvent entraver l'amélioration du système de paiements électroniques dans l'espace européen. Les commerçants, les fournisseurs de services de paiement mais aussi les consommateurs sont invités à donner leur avis à ce sujet jusqu'au 11 avril prochain, qu'il s'agisse de paiements par carte sur internet ou sur téléphone mobile.

Bruxelles ambitionne d'identifier « les obstacles à lever pour parvenir à un marché des paiements pleinement intégré, ainsi que les sources de ces obstacles ». Ce livre vert compte poser la question de la sécurité des paiements et la protection des données, la transparence et l'efficience de la tarification des services de paiement.

La Commission européenne précise que d'autres étapes sont prévues avant l'été 2012 pour améliorer le système de paiements électroniques au sein de l'Union européenne.

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(09/12/2011 10:29:17)

Tendances 2012 : le m-commerce s'annonce comme un nouvel eldorado

L'étude, intitulée "12 Crucial Consumer Trends for 2012", reflète les situations économiques, les avancées technologiques et l'évolution de la demande des consommateurs, notamment la hausse du pouvoir d'achat des Chinois, le développement de la communication par champ rapproché (Near Field Communication ou NFC) et le "dégoût" des consommateurs vis-à-vis des "méga-marques" manquant d'éthique. Dans son introduction à l'étude, Trendwatching se montre optimiste pour 2012, qui pourrait devenir une année faste pour les entreprises innovantes tournées vers l'avenir. Certaines de ces initiatives font toutefois sourire tant elles semblent naives...

Voici donc les 10 tendances consommation pour 2012, selon Trendwatching :

 

1. Smart santé (DIY Health)
En 2012, la tendance des appareils et des applis permettant de suivre l'évolution de sa santé devrait continuer de se développer. L'offre du marché, qui affiche déjà une forme resplendissante, répond à la demande croissante des consommateurs. A titre d'exemple, le nombre d'applis santé dans l'App Store d'Apple s'élève à environ 9 000 titres, et ce chiffre pourrait atteindre les 13 000 d'ici juin 2012.

2. Les économies sans complexe (Dealer Chic)
La recherche de bonnes affaires fait déjà partie des tendances établies qui sont devenues socialement acceptables. En 2012, la tendance va s'accentuer, notamment grâce à la poussée d'adrénaline que les bons plans procurent. C'est ce côté excitant qui devrait conduire à des systèmes de fidélisation/récompense dans ce domaine, ainsi qu'à des notifications des affaires à saisir par le biais des dernières technologies.

3. Eco-cycologie (Eco-cycology)
En 2012, on peut s'attendre à une multiplication des initiatives de recyclage menées par les marques et les gouvernements, un phénomène baptisé "Eco-cycologie" par Trendwatching. Cette tendance écolo reflète la sensibilisation croissante des consommateurs aux coûts environnementaux de la fabrication de biens ainsi qu'aux efforts des marques d'apparaître plus vertes.

4. Cash-Less
Même si 2012 ne sera pas l'année où les consommateurs se débarrasseront de leurs portefeuilles pour effectuer leurs achats par smartphone interposé, Trendwatching pense que Google devrait réaliser plusieurs percées importantes dans ce domaine.

5. La bas de la pyramide urbaine (Bottom of The Urban Pyramid ou BOUP)
Il s'agit d'une cible marketing constituée des travailleurs urbains qui ne jouissent pas des salaires de la classe moyenne, cible qui se développe avec l'urbanisation rapide. Cette population demande des biens et des services adaptés à ses besoins, par exemple des tablettes discount et des distributeurs automatiques qui ne nécessitent pas de savoir lire. Trendwatching prévoit que la demande pour ce type de biens et de service devrait continuer de croître l'année prochaine. 

6. Partager les informations (Idle Sourcing)
Les marques consulteront davantage les informations partagées par leurs clients pour innover en 2012. La popularité du "crowd sourcing" devrait croître en 2012, puisque les consommateurs n'auront rien à faire pour y participer. Pour ceux qui ne souhaitent pas communiquer avec les développeurs, il faudra par contre désélectionner l'option de partage d'informations à l'installation ou l'achat d'un nouveau produit. Cette tendance soulève toutefois des inquiétudes au sujet du respect de la vie privée.

7. Des marques plus humaines (Flawsome - mot valise constitué de "flaw" et "awesome")
2012 sera l'année où les marques admettront leurs faux pas, en montrant un visage plus humain. L'erreur est humaine, mais en 2011 les consommateurs ont montré qu'ils étaient dégoûtés du manque d'éthique des grandes marques et de la cupidité des multinationales.

8. Culture écran (Screen Culture)
Les écrans sont partout et la tendance devrait se poursuivre l'année prochaine. Plusieurs des tendances évoquées ci-dessus se transmettront par écrans interposés. En 2012, les écrans vont devenir plus mobiles, interactifs et abordables. D'après Trendwatching, les consommateurs vont cesser de se soucier des caractéristiques techniques des appareils pour se concentrer sur les contenus qu'ils permettront d'afficher.

9. Maturialisme émergent (Emerging Maturialism)
Les consommateurs vont rejeter les produits milieu de gamme fades ou manquant d'innovation pour se tourner vers des expériences plus risquées en achetant des produits novateurs. Cette tendance, déjà établie dans les pays riches, va franchir les frontières des pays émergents en 2012.

10. Point & Know
La demande pour l'accès instantané à l'information par le biais de la réalité augmentée va se confirmer en 2012. Les applis et les codes QR intégrés à toutes sortes d'objets permettront aux consommateurs de s'informer en temps réel sur le produit recherché et la boutique dans laquelle ils se trouvent. Des applis novatrices comme Google Goggles développeront les technologies de reconnaissance d'image.

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(15/11/2011 15:57:14)

Windows 8 Embedded : Microsoft dévoile son agenda

Microsoft va permettre aux développeurs de travailler sur une version preview de Windows 8 pour les systèmes embarqués au cours du 1er trimestre 2012. L'objectif est de proposer des produits dans les trimestres suivant le lancement de l'OS pour les PC. Ainsi, la prochaine version Enterprise sera publiée un trimestre après la sortie officielle de Windows 8 prévue en 2012, a déclaré Ben Smith, directeur de la gestion des programmes pour Microsoft Windows Embedded Entreprise. La version Standard sortira trois trimestres après a-t-il ajouté.

Ben Smith a refusé de révéler quels sont les changements qu'apporteront les prochaines versions, mais il a souligné qu'ils utiliseront les technologies « interface utilisateur naturelle » (NUI), un terme utilisé par Microsoft pour décrire les produits qui s'appuient sur le toucher, les gestes ou la parole pour compléter les commandes, comme la manette de jeu Kinect. A noter que Windows Embedded Standard fonctionnera sur les processeurs ARM. Sur la partie technique, Windows Embedded se concentre sur les principaux éléments du système d'exploitation, jusqu'au noyau, et améliore le système de fichiers afin de pouvoir traiter les données générées par un ensemble de dispositifs. L'équipe de Ben Smith travaille également en étroite collaboration avec Windows Azure pour s'assurer que les clients puissent inclure aisément le cloud computing dans leurs systèmes intelligents. Visual studio sera aussi concerné pour créer des applications.

Accompagner les systèmes intelligents


« Windows 8 ne représente pas seulement du potentiel d'innovation dans l'expérience PC, mais aussi dans le monde des appareils spécialisés », a déclaré Ben Smith. Windows Embedded est une famille de systèmes d'exploitation adaptés pour des appareils utilisés, tels que les équipements médicaux, les banques, les machines industrielles. La firme de Redmond souhaite voir le champ d'application de Windows Embedded évoluer pour intégrer plus d'appareils, y compris les objets du quotidien tels que les réfrigérateurs et même les thermomètres équipés de processeurs. Ces derniers sont devenus plus puissants, mais aussi moins chers et physiquement plus petits, précise Ben Smith en ajoutant que l'amélioration de la connectivité font que les appareils sont connectés en permanence à Internet. Cela signifie pour le dirigeant la mise en place de véritable système intelligent, capable de collecter des données sur un réseau et leur mise à disposition auprès des entreprises ou des utilisateurs pour améliorer leurs interventions.

Le marché des systèmes intelligents augmentera de façon significative au cours des prochaines années, passant de 800 millions d'unités aujourd'hui à plus de 2,3 milliards d'ici 2015, selon IDC. Les livraisons de dispositifs embarqués dépassent déjà celles des téléphones portables et des PC, et IDC prévoit que le marché des systèmes intelligents pèsera bientôt 520 milliards de dollars.

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(07/11/2011 15:32:46)

Intel et Mips se bousculent pour supporter Android 4.0

On a déjà vu Android 4.0, alias Ice Cream Sandwich, tourner sur un smartphone intégrant un processeur ARM, puce que l'on retrouve dans la plupart des smartphones et tablettes actuelles. Le mois dernier, Google avait montré une version de Ice Cream Sandwich (ICS) tournant sur le futur Galaxy Nexus de Samsung, dont la commercialisation doit démarrer ce mois-ci aux États-Unis, en Europe et en Asie. Google avait choisi de s'appuyer sur Samsung et Texas Instruments, dont la puce double coeur OMAP4460 fait déjà tourner le premier Nexus, pour fournir des dispositifs compatibles ICS. Mais Intel et Mips, en rivalité avec ARM, et tous deux pratiquement absents de ce marché, comptent bien faire en sorte que leurs processeurs soient aussi compatibles avec Android 4.0.

Cette semaine, Intel a fait savoir que le système d'exploitation mobile de Google était prêt pour tourner sur des tablettes et des smartphones équipés de processeurs x86 pour mobiles d'Intel. « Le premier smartphone basé sur une puce Intel est prévu pour le premier semestre de l'année prochaine, » a ainsi précisé Intel. Le fondeur a travaillé étroitement avec Google sur le développement d'une version Android compatible avec les processeurs Intel destinés aux smartphones et aux tablettes, laissant même de côté son propre OS MeeGo pour privilégier Android. « Ice Cream Sandwich a été optimisé pour les architectures x86, si bien que les appareils construits autour de l'architecture d'Intel supporteront le dernier OS mobile de Google, » a déclaré Suzy Greenberg, porte-parole d'Intel. Parmi les tablettes intégrant les processeurs d'Intel, il y a notamment la Slate 2 de Hewlett-Packard, annoncée la semaine dernière, et la Cius de Cisco, qui tourne sous une ancienne version d'Android.

Mips veut également travailler avec Android 4.0

Mips est la troisième architecture processeur à vouloir rivaliser avec ARM sur le marché de la tablette et du smartphone. Il existe déjà sur le marché des tablettes intégrant des processeurs Mips et tournant sous Android 3.0, alias Honeycomb. Et l'entreprise compte également porter Android 4.0 sur ses tablettes. « Une version d'Android 4.0 pour processeurs Mips sera disponible sous peu, » a déclaré Jen-Bernier Santarini, porte-parole de Mips. « La disponibilité de tablettes sous Android 4.0 tournant avec des processeurs Mips dépendra du moment où Google libèrera son OS sous licence Open Source, » a-t-elle expliqué. « Dès que le smartphone de Samsung sera sur le marché, Google pourra libérer le code source d'Android 4.0 et permettre le portage de l'OS sur d'autres puces et d'autres dispositifs. « Si Google libère le code d'ICS en novembre, celui-ci pourra être porté sur Mips une quinzaine de jours après, pour une mise en production sous 3 mois, » a encore déclaré Jen Bernier-Santarini.

Beaucoup de licenciés Mips travaillant avec Android ont déjà terminé le développement de bas niveau sur le noyau Linux et le pilote, et ils n'attendent plus que le code Open Source des couches supérieures d'Android pour compléter le portage. «Dans la mesure où l'architecture d'Ice Cream Sandwitch est très similaire à celle d'Honeycomb, il sera facile de tirer profit de tout le travail effectué par Mips et ses licenciés sur Honeycomb. C'est pourquoi nous pensons que ICS tournera sur nos plateformes très peu de temps après la mise à disposition par Google du code en Open Source, » a ajouté la porte-parole de Mips.

Un portage plus facile

Intel et Mips auront plus de facilité à porter Android 4.0 pour leurs processeurs que cela n'a été le cas pour les versions précédentes d'Android. Au mois de janvier, alors que l'on pouvait voir Android 3.0 sur des tablettes intégrant des processeurs ARM, Intel et Mips travaillaient encore sur le portage de l'OS sur leurs puces, et il leur a fallu plusieurs mois pour mettre au point la version définitive. HTC est l'un des fabricants de smartphones proposant des produits qui supportent Android 4.0. Le constructeur vient de livrer un smartphone Rezound, qui pourra être mis à niveau vers Android 4.0 dès l'année prochaine.

L'OS comprend de nombreuses améliorations, dont une nouvelle interface et un dock qui permet d'accéder et de naviguer plus facilement entre les applications. A noter au nombre des autres caractéristiques, un clavier virtuel amélioré, la possibilité de gérer plusieurs comptes de messagerie, une sécurité renforcée, de meilleures performances pour les applications, une prise en charge plus rapide des photos, l'accès à technologie de communication de proximité (NFC) qui apporte des capacités en paiement mobile, plus l'amélioration des fonctionnalités de reconnaissance vocale speech-to-text.

Dans l'ensemble, les fabricants de smartphones et de processeurs sont très enthousiastes en ce qui concerne Android 4.0. En particulier, parce que le nouvel OS apporte une cohérence entre les versions Android pour tablettes et smartphones qui pourrait contribuer à réduire la fragmentation du système mobile de Google.

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(02/11/2011 10:32:56)

Strasbourg supervise son projet de voitures hybrides partagées avec PCVue

La Communauté Urbaine de Strasbourg a lancé en mai 2010 un projet limité et expérimental de véhicules partagés baptisé Kléber opéré par EDF et Toyota. Ce projet se base sur 70 Toyota Prius VHR (véhicules hybrides rechargeables) et sur 145 points de charge électriques répartis dans l'agglomération. Les points de charge sont répartis autant en voirie (8 bornes), dans les parkings publics (18), au domicile des utilisateurs (44) et sur les parkings des entreprises où travaillent les utilisateurs (75). L'objectif de cet essai de trois ans est de valider le modèle d'exploitation.

« Les expérimentations sont indispensables pour évaluer les solutions techniques, les usages et les modèles économiques », explique Igor Czerny, Directeur Transports et Véhicules Electriques chez EDF. Il s'agit notamment de développer des méthodes d'évaluation de la consommation et des émissions de CO².

Du reporting sécurisé


Pour atteindre cet objectif, EDF a choisi de superviser le parc des bornes de charges avec un outil de supervision issu du monde industriel, PCVue d'Arc Informatique. Cet outil gère notamment la télérelève des données de charge et les données de consommation enregistrées dans les véhicules et transmises lors du passage en concession. La transmission des données entre les bornes et le système central s'effectue par une transmission 3G. Au final, les rapports sont accessibles en mode web sécurisé.

Thierry Meunier, chef de projet à la Direction Transports et Véhicules Electriques d'EDF précise : « le projet a été défini à l'automne 2009 et a débuté début 2010, ce qui constitue un délai très court pour un programme de cette ampleur ».

Le coût du projet n'a pas été dévoilé.

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