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(30/06/2006 17:38:16)

ODF : adopté en Belgique, testé au Danemark, se prépare en France

Le format OpenDocument connaît actuellement un véritable engouement auprès des administrations européennes. La Belgique et le Danemark ont lancé deux procédures de test du format ouvert, pour gérer leurs échanges de documents administratifs. Une "migration" en deux étapes pour le gouvernement belge : en septembre 2007, l'ensemble des agences gouvernementales belges devront utiliser des applications bureautiques capables de lire les documents ODF. Le format pourrait alors être définitivement adopté comme le standard gérant la totalité des échanges, dès septembre 2008. C'est également en septembre 2007 que débutera le projet pilote au Danemark. Le gouvernement danois, de son côté, limite les procédures de test aux seuls ministères des Finances et des Sciences avant une plus large adoption à l'ensemble des administrations. Ce projet suit la motion passée par le parlement le mois dernier, encourageant l'utilisation des standards ouverts dans l'administration. Et en France ? Le gouvernement y réfléchit, notamment à travers son vaste projet Adele (Administration ELEtronique). Au 26 juin, le wiki de l'Adae (Agence pour le développement de l'administration électronique) en charge de définir un cadre commun d'interopérabilité entre les systèmes d'information des administrations mentionnait: "il est obligatoire d'accepter tout document au format Open Document pour les échanges de documents bureautiques semi-structurés (traitement de texte, tableur, présentation". Tout en nuançant plus loin : "il est interdit de faire une migration depuis le format bureautique couramment utilisé par une organisation vers un format autre que le format ouvert Open Document." Pour en savoir plus Le wiki de l'ADAE Les ateliers de l'ADELE (...)

(30/06/2006 09:56:46)

Novell teste Suse Linux Enterprise 10

Novell livre enfin les premières versions de test de Suse Linux Enterprise 10, Desktop et Server. L'éditeur, actuellement dans la tourmente depuis l'annonce de piètres résultats et du départ de son PDG Jack Messman, avait pourtant prévu de décaler la sortie de la version professionnelle de son OS, à cause de problèmes techniques. Novell réaffirme sa feuille de route, et fixe la sortie définitive pour la mi-juillet. Selon l'éditeur, les versions de test, bâties sur OpenSuse 10.1, doivent présenter l'essentiel des fonctionnalités prévues dans les versions finales. Côté desktop, l'interface graphique expose effets de transparence et 3D, avec en bureau par défaut Gnome 2.12. KDE 3.5 reste en option. Le système embarque un panel d'applications bureautique, une version adaptée d'OpenOffice 2.0, le client email Evolution 2.6, Firefox 1.5, le moteur de recherche Beagle et la messagerie instantanée GAIM 1.5. Côté serveur, la version entreprise intègre le moteur de virtualisation Xen 3.0, qui supporte la technologie VT (Virtualization Technology) d'Intel. Les actuelles versions pilotes ne supportent que les plates-formes x86 et x86 64 bit. Pour en savoir plus: L'espace de téléchargement Quelques notes sur la version alpha et une discussion au sujet des desktops Linux sur le blog "Ingénierie Logicielle" (...)

(29/06/2006 18:42:10)

DADVSI : Richard Stallman "soutiendra tous les candidats qui soutiennent le logiciel libre"

A quelques heures du vote par les deux chambres sur le projet de loi DADSVI, Richard Stallman, président de la Free Software Foundation et farouche opposant au texte, a livré ses réflexions (en français) à www.lemondeinformatique.fr. lemondeinformatique.fr : Richard Stallman, quelle est la raison de votre présence à Paris ? Richard Stallman : Je viens faire des réunions avec des députés dans le cadre d'une action contre la loi DADVSI. C'est une bataille que l'on poursuivra même si la loi est votée. On perdra peut-être cette bataille mais pas la guerre : la guerre du peuple contre les entreprises médiatiques continuera jusqu'à la victoire du peuple. Quel est le sens de votre rencontre avec Ségolène Royal ? J'ai rencontré Ségolène Royal, Nicolas Dupont-Aignan, Christine Boutin - et, le 11 juin, Martine Billard et Bernard Carayon - car ils sont opposés à cette loi. Mme Royal paraît s'intéresser au logiciel libre et le soutenir. De mon côté, je soutiendrai tous les candidats qui soutiennent le logiciel libre. Surtout, elle veut, si elle est élue, faire disparaître ce texte. Je suis très contente de voir la force d'opposition qui existe en France, et qui est bien plus forte qu'aux Etats-Unis. Le public américain est peu attaché à la liberté dans sa signification. Il l'attache davantage à la notion de libéralisme. Dominique de Villepin n'a pas accepté de vous recevoir à Matignon. Quel est votre sentiment ? Il a eu trop peur de nous. Nous n'étions pas munis d'armes mais seulement d'une pétition signée par 160 000 Français opposés à la DADVSI. Plutôt que de nous recevoir, il a envoyé la police pour nous bloquer le chemin, très loin des portes de Matignon. En réalité, le mensonge a peur de la vérité : le Premier ministre ne voulait pas que son mensonge soit comparé avec la vérité. Quel mensonge ? Celui qui consiste à prétendre que le texte élaboré par la commission mixte paritaire est légitime. Dominique de Villepin a fait le pari que le peuple et l'Assemblée nationale n'avaient pas assez de pouvoir pour le battre. Il est sur le point d'y parvenir grâce au soutien des entreprises, notamment de Vivendi-Universal qui ont exercé une pression énorme. Il faut les éliminer, ne plus acheter leurs produits. Dans le texte de la CMP, la saisine de l'autorité de régulation des mesures de restrictions numériques [expression que Richard Stallman préfère à mesures de protection numérique, NDLR] par les seules entreprises rend claire la position du gouvernement : il a pris le parti des entreprises contre le peuple. Le gouvernement est là pour soumettre le peuple aux entreprises. Pour que le gouvernement représente le peuple, et recouvrer davantage de démocratie, le peuple doit l'attaquer très fort. Le gouvernement doit être forcé à le servir. C'est partiellement la faute du système politique actuel, un système où les entreprises ont assez de pouvoir pour faire élire ceux qui les servent. A quelques heures du vote de la loi, quel message adressez-vous aux responsables politiques ? Il faut se battre jusqu'à ce que cette loi soit éliminée, et il faut éliminer les revenus des entreprises qui ont acheté ce texte car il est incompatible avec la démocratie. Si vous n'avez pas la liberté de copier une oeuvre numérique, ne l'achetez pas. Mais comment concilier ce principe avec la rémunération des auteurs ? Pour les oeuvres d'art, tout le monde doit avoir la liberté de la répartition des copies non modifiées. Ceci est compatible avec un système de droits d'auteur un peu diminué qui pourrait payer les auteurs. Ce système est à combiner avec deux autres méthodes. La première, c'est une idée que j'ai eue en 1992 et qui repose sur une autre forme de licence globale. Elle est basée sur un impôt qui est reversé aux artistes en fonction de leur popularité. Mais cette répartition ne se calcule pas linéairement : ainsi, avec dix fois plus de succès, on ne reçoit par exemple que deux ou trois fois plus d'argent et tout ne va pas aux stars. L'autre méthode fonctionne à partir de contributions volontaires. On pourrait imaginer la présence d'un bouton sur les lecteurs numériques. L'appui sur ce bouton en cours de lecture enverrait un euro à l'artiste. Si l'ensemble des sommes ne va pas aux entreprises mais aux artistes, ils recevraient globalement plus d'argent qu'actuellement. Aux Etats-Unis, les artistes reçoivent un vingtième des revenus de l'industrie musicale. L'idée du bouton marcherait aussi bien que le système actuel, même si les gens n'appuyaient dessus qu'une seule fois par an. (...)

(29/06/2006 18:30:36)

MySQL rejoint le programme partenaire VSIP de Microsoft

MySQL veut faciliter la vie de ses utilisateurs Windows. A l'occasion de l'Open Source Business Conference, l'éditeur suédois a annoncé qu'il rejoignait le programme Visual Studio Industry Partner (VSIP), en tant qu'"Alliance-level Partner". Confirmant ainsi les dires de Marten Mickos , PDG de MySQL, qui, lors de la conférence utilisateurs en avril dernier, avait affirmé ses intentions de se rapprocher de Microsoft. Pour MySQL, une intégration plus étroite à l'EDI (Environnement de Développement Intégré) Visual Studio 2005 a un double intérêt: d'abord celui de "séduire au mieux les développeurs Windows", reconnaît Bertrand Matthelé, directeur marketing EMEA chez MySQL. 40 % des bases MySQL tournent en effet sur un serveur Windows. Mais également de bénéficier de la vaste communauté des développeurs Microsoft. Depuis le rachat d'Innobase -et de Sleepycat- par Oracle, MySQL doit multiplier les projets de moteurs transactionnels. Pour ainsi marquer son indépendance vis à vis d'Oracle. Techniquement, le Suédois développera un connecteur pour Visual Studio 2005, qui autorisera la manipulation de composants et d'objets de la base de données depuis l'EDI. "Le niveau de partenariat "Alliance-level", implique une coopération technique dans le développement d'un plug-in", précise Bertrand Matthelé. Ce n'est toutefois pas le premier rapprochement d'un acteur de l'open source avec Microsoft. JBoss, désormais propriété de Red Hat, avait également passé un accord d'interopérabilité avec Microsoft en septembre 2005. Avec le même objectif de satisfaire sa base utilisateur. Presque 50% des utilisateurs JBoss ont installé le middleware Enterprise Middleware System sur un serveur Windows, expliquait-il à l'époque. L'intérêt est donc mutuel: Microsoft a tout intérêt à ce que sa plate-forme fonctionne du mieux que possible avec des outils populaires tels que JBoss ou MySQL. (...)

(29/06/2006 12:45:31)

Trimestriels Red Hat : le groupe doit rassurer sur un bénéfice inférieur aux prévisions

Résultats premier trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 84 M$ (+ 45%) Bénéfice net : 13,8 M$ (+ 11%) Red Hat commence son exercice fiscal 2007 avec la même dynamique que celle affichée lors du précédent trimestre, mais a dû rassurer les investisseurs sur un bénéfice inférieur à leurs estimations. Le chiffre d'affaires s'élève à 84 M$, soit une progression de 45 % par rapport à la même période de l'année précédente. Le vendeur de distributions Linux profite d'une hausse des revenus issus des abonnements de 45 % sur un an, à 71,5 M$. Le bénéfice net, selon les normes GAAP, atteint 13,8 M$ - soit 0,07 $ par action - et croît de 11 % par rapport au T1 2006. Au total, les bénéfices sont inférieurs de deux cents par action aux estimations publiées par les analystes. Une contre-performance qui tient, selon le groupe, à l'introduction de nouvelles règles comptables modifiant notamment le régime des stocks options. Celles-ci doivent désormais être considérées comme des dépenses, ce qui alourdit ces dernières de 7,6 M$. "Ce qui est compliqué pour les entreprises cette année au premier trimestre, ce sont les nombreux changements qu'elles ont besoin d'expliquer", note Charlie Peters, le directeur financier. Des explications insuffisantes pour empêcher le cours de l'action Red Hat de perdre 4 % dans les heures suivant la publication des résultats. Par ailleurs, le groupe a rehaussé ses prévisions pour l'ensemble de l'exercice, tenant ainsi compte d'une progression en terme de parts de marché - bien que celle-ci ne soit pas détaillée par Charlie Peters - et de la récente acquisition de son concurrent JBoss pour 350 M$. Red Hat table désormais sur un chiffre d'affaires annuel compris entre 400 et 405 M$, contre une précédente fourchette de 370 à 375 M$. Pour le deuxième trimestre, les revenus devraient s'inscrire entre 68 et 96 M$. (...)

(29/06/2006 09:50:37)

Borland détaille la feuille de route de Jbuilder

La division outils de développement de Borland, toujours à la recherche d'un repreneur, a dévoilé un plan produit à trois ans pour JBuilder, son IDE Java phare. A court terme, le plan prévoit une mise à jour intérimaire de Jbuilder 2006, l'ajout d'un framework basé sur Eclipse dans JBuilder 2007 (nom de code "Peloton"). Borland fait aussi miroiter le support à terme des architectures SOA (via l'ajout d'un"cockpit" SOA), l'ajout de nouveaux outils RAD, et une intégration renforcée avec les outils maison de gestion du cycle de vie des applications maison. Selon Borland, Jbuilder 2006 devrait gagner un support intérimaire de Java SE 6.0 ("Mustang") d'ici la fin du mois, avant l'intégration d'un support définitif lors de l'annonce officielle de "Mustang" en septembre. Jbuilder 2007 devrait arriver au dernier trimestre 2006 et il apportera l'intégration avec le framework Eclipse, mais aussi un support amélioré des EJB. A plus long terme, Borland promet de simplifier l'utilisation des frameworks open source comme Spring, Hibernate et Shale depuis Jbuilder et l'arrivée d'une "cockpit" SOA pour simplifier la création de composants applicatifs orientés services. Le support des EJB 3.0 et de Java EE 5.0 est aussi promis à terme. (...)

(28/06/2006 19:05:16)

Callisto : Eclipse lance dix nouvelles releases Open Source

La Fondation Eclipse a annoncé la sortie simultanée de dix projets Open Source. Cet événement, baptisé Callisto, constitue la plus grosse sortie de logiciels jamais organisée dans le monde Open Source. Les projets concernés par cette sortie simultanée comprennent le framework Eclipse lui-même en 3.2, des outils de Business Intelligence, de reporting, de test, de performance, des frameworks de modélisation, d'édition graphique, un IDE C++, etc. La liste complète des projets est la suivante : - Business Intelligence and Reporting (BIRT) tools 2.1 - C/C++ IDE (CDT) 3.1 - Data Tools Platform 1.0 - Modeling Framework 2.2 - Graphical Editor Framework 3.2 - Graphical Modeling Framework 1.0 - Test and Performance Tools Platform 4.2 - Web Tools Platform 1.5 - Visual Editor 1.5 - Eclipse Project 3.2 Callisto regroupe ainsi 10 projets, 260 committers, plus de 7 millions de lignes de code, 15 éditeurs contributeurs à travers 12 pays. L'objectif est d'améliorer la productivité des développeurs qui travaillent sur les frameworks Eclipse en éliminant les problèmes de compatibilité de versions entre les différents projets et en facilitant l'intégration de projets multiples dans l'environnement des développeurs. Callisto n'est pas l'unification ou l'intégration des dix projets : chaque projet reste un projet open source autonome avec son chef de projet, ses propres committers, son propre planning. Les projets de Callisto seront disponibles au téléchargement le 30 juin. Rendez-vous sur le site de Callisto. (...)

(28/06/2006 18:39:35)

Sun : à quelques mois d'un Java open source

Sun Microsystems espère pouvoir rendre Java open source dans les mois à venir. C'est en tout cas ce qu'a indiqué Simon Phipps, le responsable de l'open source chez Sun, en indiquant que la firme n'est plus qu'à quelques mois de la publication du code de sa technologie. Sun a promis de rendre Java libre lors du dernier JavaOne en mai, mais n'avait jusqu'alors indiqué aucune date quand à la publication du code source de la technologie. Comme lors de JavaOne, Phipps a toutefois précisé que Sun doit encore résoudre la question de la compatibilité de Java et s'assurer qu'aucune société n'abuse de sa puissance sur le marché pour passer en force avec sa propre incarnation de Java. Ce qui mettrait en péril la devise "write once, run anywhere", chère au constructeur. Le JCP (Java Community Process) et NetBeans pourraient se voir confier des responsabilités élargies dans le cadre de la publication de Java afin de limiter tout risque de "contamination" de Java. Il est à noter que l'absence de la publication du code source de Java n'a pas empêché l'apparition d'implémentations libres de la technologie, comme en atteste l'existence de solutions comme Jboss, Objectweb, mais aussi l'émergence de JVM ou de projets de JVM libres, telles que Kaffe, Wonka ou Harmony (fondation Apache). (...)

(28/06/2006 18:38:55)

Richard Stallman, l'apôtre du Libre, rencontre Ségolène Royal

Ségolène Royal, en pré-campagne électorale, fait feu de tout bois : la présidente de la région Poitou-Charente a rencontré, ce 28 juin, l'apôtre du logiciel Libre et président de la Free Software Foundation, Richard Stallman, de passage à Paris. Ce dernier, refoulé aux portes de Matignon il y a quelques jours, a partagé avec Ségolène Royal son opposition au projet de loi DADVSI (droit d'auteur et droits voisins dans la société de l'information). "C'est un geste symbolique", note Francis Muguet, coordinateur des groupes de travail sur l'information scientifique et sur les brevets et droits d'auteur au sein du SMSI (sommet mondial sur la société de l'information), et chercheur à l'Ensta. "Richard Stallman a exposé les principes du logiciel Libre à Ségolène Royal et, ensemble, ils ont signé un communiqué de presse commun. C'est d'ailleurs la première fois qu'un candidat reprend les principes du Libre". Le chantre du Libre devrait rencontrer dans les prochains jours l'UMP Nicolas-Dupont Aignan, un autre opposant au projet de loi DADVSI. Lundi 26, Richard Stallman, à l'occasion de la journée "Paris, capitale du Libre" avait appelé les jeunes français à descendre dans la rue pour lutter contre la DADVSI. Pour en savoir plus: Le blog Management du SI, "Richard Stallman a finalement trouvé une interlocutrice" (...)

(28/06/2006 18:37:02)

L'Ecole du libre se poursuit et s'étoffe

L'école ouverte francophone (l'EOF) spécialisée dans la formation aux logiciels libres à distance, a ouvert ses portes virtuelles en janvier dernier. A l'époque, l'association n'avait pas de certitude quant à sa pérennité. Aujourd'hui, après six mois d'existence, elle poursuit l'aventure et étoffe son offre de formation. Elle lance d'abord sa deuxième session de formation longue (la certification professionnelle Cert, un cursus de 300 heures) au mois de septembre qui compte déjà une petite dizaine d'inscrits (notamment des salariés de conseils généraux). Celle-ci peut accueillir jusqu'à 20 personnes. Elle propose ensuite un nouveau cursus de trois semaines consacré à l'enseignement d'Asterisk, un routeur logiciel de voix sur IP qui fonctionne sous Linux. Dispensé lui aussi à distance, ce cours s'adresse aux personnes qui souhaitent installer un routeur voix sur IP au sein d'une entreprise, pour un groupe de sociétés ou sur un campus universitaire par exemple. Il vient compléter l'offre de formation courte de l'Eof qui se résumait jusqu'à présent à un module de découverte de Linux permettant d'installer et de manipuler une distribution Linux (Kubuntu). (...)

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