Flux RSS

Open Source

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1843 documents trouvés, affichage des résultats 1531 à 1540.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(23/02/2006 11:10:51)

La PME Pierre de Loye exploite un progiciel de gestion en Open Source

En faisant le choix de l'Open Source, la filature de fil à tricoter Pierre de Loye (100 personnes) a réalisé une économie de 60 % sur le budget de remplacement de son progiciel de gestion intégré (PGI). C'est l'écart qui apparaît lorsqu'elle compare son investissement avec celui qu'auraient nécessité les solutions plus classiques examinées en parallèle. Cette PME bicentenaire, installée dans le sud de la France est connue pour ses marques de laine Anny Blatt et Bouton d'Or. Depuis le 1er janvier 2005, elle utilise le PGI Compiere (développé par l'Allemand Jörg Janke, installé aux Etats-Unis), qu'elle a mis en place avec le concours de la société de service Audaxis. Le progiciel gère les 5 000 références d'articles de l'entreprise et édite quelque 20 000 lignes de factures mensuelles. Auparavant, la PME utilisait un outil de gestion mis au point en interne. Celui-ci était complété de logiciels périphériques qui ne lui étaient pas intégrés. En 2004, pour remplacer cet ancien système, Pierre de Loye consulte différents éditeurs de progiciels de gestion intégrés sur la base d'un engagement forfaitaire. Habituée à maîtriser son informatique de gestion, l'entreprise entend conserver son indépendance vis-à-vis de l'éditeur du nouvel outil. C'est ce critère, plus que le coût réduit, qui l'amène finalement à retenir un PGI en Open Source. Le directeur administratif et financier de Pierre de Loye reconnaît par ailleurs avoir davantage confiance dans le développement en collaboration pour faire évoluer son application, par comparaison avec ce qu'un éditeur classique peut apporter. D'emblée, la PME bénéficie de développements que l'intégrateur Audaxis a déjà réalisés pour d'autres clients : les paiements automatiques ou les états légaux français, par exemple. En retour, elle compte mettre à la disposition d'autres utilisateurs de Compiere la gestion du portefeuille de traites qu'elle a élaborée. La gestion de production de Compiere en cours de développement Outre la comptabilité, la gestion des ventes, des achats, des stocks et de la logistique, l'entreprise Pierre de Loye utilise les fonctions de gestion de production actuellement disponibles dans le PGI Open Source qu'elle a choisi : la gestion des nomenclatures (sur cinq niveaux), les ordres de fabrication, la gestion par lots et le suivi du disponible à la vente. En revanche, elle ne gère pas la planification, ni les temps de production. D'autres fonctions de fabrication, très spécifiques au métier d'une filature, telles que la gestion des bains de couleurs des laines, ont pu être mises en oeuvre à partir des fonctions présentes dans Compiere. Mais la gestion de production est justement le domaine que le fondateur de Compiere, Jörg Janke, souhaite compléter dans les prochains mois. La communauté qui travaille sur le projet en finalise actuellement les prochaines évolutions. « Il s'agit, notamment, de la gestion du prix de revient et de fonctions additionnelles sur les nomenclatures », détaille Coralie Girardet, responsable des ventes d'Audaxis qui précise que la modélisation du module de production est terminée. La gestion des gammes est également prévue dans un second temps. Classiquement, les évolutions que les clients et les partenaires de Compiere souhaitent voir intégrées au PGI Open Source sont soumises aux contributeurs sous la forme de spécifications fonctionnelles détaillées. C'est généralement Jörg Janke qui effectue lui-même les développements. Ceux-ci sont ensuite remis entre les mains de la communauté qui procède aux tests destinés à vérifier la stabilité du code. (...)

(22/02/2006 20:14:42)

ObjectWeb lance le projet de conteneur EJB3 EasyBeans

Le consortium ObjectWeb a annoncé la création du projet EasyBeans destiné à fournir un conteneur open source répondant à la spécification EJB 3.0. ObjectWeb possède déjà un conteneur EJB 3.0 pour son serveur d'application JOnAS. Le projet EasyBeans va extraire le container EJB de JOnAS de telle sorte qu'il puisse être utilisé avec un autre serveur d'application tel que Tomcat. L'objectif est de fournir un conteneur EJB léger et rapide en open source. Une version preview est disponible en téléchargement sur le site d'EasyBeans . Pour sa part, BEA envisage de libérer le code source de la portion EJB 3.0 de Kodo, son moteur de persistance acquis suite au rachat de SolarMetrics. Le projet serait renommé Open JPA. (...)

(22/02/2006 20:32:40)

Mandriva, au coeur du projet européen de desktop sémantique NEPOMUK

Edge-IT, la filiale services de l'éditeur Linux Mandriva, vient d'être choisi pour piloter les développements du projet européen de poste de travail sémantique NEPOMUK (Networked Environment for Personalized, Ontology-based Management of Unified Knowledge). Le concept du poste de travail sémantique transpose grosso-modo les travaux déjà réalisés (notamment par le W3C) du web sémantique. Avec pour objectif : transformer le desktop, « en un environnement de collaboration qui intègre à la fois la gestion des données personnelles et le partage d'informations via des canaux sociaux et organisés sémantiquement ». Projet ambitieux, si l'on considère, comme l'indique le site www.semanticdesktop.org, le peu d'applications exploitant les technologies normalisées du domaine. NEPOMUK doit d'abord répondre à cette problématique. Le projet, financé à 50% (à hauteur de 17 ME) par l'Union Européenne par son programme FP6, vise avant tout à la création d'API communes et surtout standardisées. Une tâche qui sera une des priorités d'Edge-IT, qui fera également office de relais avec les communautés open source participantes. Notamment, KDE, Gnome, Mozilla, et enfin le très sérieux Consortium Eclipse, qui pourrait, par sa popularité grandissante chez les éditeurs, donner l'impulsion nécessaire au projet. Outre Edge-IT, NEPOMUK compte parmi ses supporters deux autres français, Thales et Cognium Systems. Mais également plusieurs géants de l'informatique professionnelle, tels SAP, IBM et HP. Ainsi que l'allemand DFKI, centre de recherche spécialisé dans l'intelligence artificiel, -qui coordonne le projet-, et un ensemble d'universités. Les évolutions de NEPOMUK seront hébergées sur le site communautaire de Mandriva et devrait voir à terme, « le développement d'une plate-forme help-desk communautaire intégrant des extensions client-riche et des cacpacités P2P ». (...)

(17/02/2006 00:00:00)

Gestion de carrières : une école pour s'approprier les outils et les communautés du libre

Le monde de l'open source a désormais son école : l'EOF (école ouverte francophone), une association qui a lancé sa première session de formation au mois de janvier. Cette formation se déroule entièrement à distance, selon le même mode de fonctionnement que les communautés du logiciel libre. Elle s'adresse essentiellement à des informaticiens qui peuvent la suivre en formation continue. « Notre cursus est par exemple particulièrement adapté, pour un responsable informatique habitué à des environnements propriétaires qui doit conduire des projets de migration open source. Il lui apportera tous les fondamentaux pour maîtriser cette mission, même si il s'appuie sur un prestataire pour sa réalisation », explique Alix Mascret, président de l'EOF. Comme l'indique ce dernier, l'école a pour vocation de donner à ses étudiants les connaissances pour participer à un projet open source. Elle vise aussi à enseigner et promouvoir l'utilisation de ressources éclatées entre différents environnements distants. « Cette capacité à travailler en réseau est un facteur de compétitivité », justifie Alix Mascret. « En intégrant les ressources de communautés virtuelles, un informaticien seul dans une PME, fait bénéficier à son entreprise de l'aide de beaucoup d'autres informaticiens ». L'EOF propose un périple pédagogique de 300 heures -à mener au rythme d'une quinzaine d'heures par semaine- dans le monde du libre, avec un enseignement répartis en modules (usages, de l'Internet, systèmes, réseaux et sécurité, intégration et développement d'applications, etc). Les étudiants se voient proposer un tutorat quotidien par l'équipe pédagogique (14 professionnels de SSII ou de l'enseignement) qui n'est constituée que de bénévoles, sur cette session. Ils travaillent seuls ou par projets et communiquent via tous les outils fournis par l'Internet : IRC, messageries instantanées, forum, etc. La « promo » 2006 est constituée de onze élèves, ayant différents profils. Il y a notamment des informaticiens salariés dans des SSII, un enseignant, un étudiant en licence informatique et deux créateurs d'entreprises, soucieux d'appréhender le travail à distance avec les communautés libres. Tous ont dû s'acquitter d'un coût pédagogique allant de 1500 (financement privé) à 3000 euros (financement par un organisme collecteur de branche professionnelle). Suite à cette première session, l'objectif de l'EOF est d'en ouvrir une deuxième d'ici au mois de juillet, avec quinze à vingt personnes maximum. L'école travaille aussi à la mise en place d'un « conseil scientifique » avec des représentants du monde du logiciel libre en vue de faire reconnaître sa formation et réfléchit à l'éventualité d'en faire un diplôme universitaire. Son président est aussi attaché à tirer très vite des bilans avec ses premiers étudiants afin d'apporter des adaptations jugées intéressantes à son cursus. Passionné d'open source, Alix Mascret, informaticien et enseignant, porte ce projet depuis 2003. Son idée s'est concrétisée notamment grâce aux subventions -98 000 euros- décrochées en 2004 suite à un concours organisé par la Région Limousin et l'Europe pour aider des actions innovantes. Ces fonds lui ont permis d'accélérer le développement des fondements de l'EOF : la plate-forme de formation à distance Amarante, mise au point en partenariat avec l'ENST (Ecole nationale supérieure des télécom) et ses contenus pédagogiques, élaborés notamment avec Oasif, un outil de scénarisation et de modélisation de sessions de formation. (...)

(24/02/2006 16:31:38)

Oracle confirme le rachat de Sleepycat Software, et revend OnTarget

Oracle vient de confirmer un des trois rachats dans l'open source pressentis Lundi. Et c'est bien sur Sleepycat Software, spécialiste de la base de donnée embarquée open source, que la société de Larry Ellison vient de jeter son dévolu. Sleepycat développe une base baptisée Berkely, qu'il décline en trois offres : Berkeley DB, Berkeley DB XML et Berkeley JE (Java Edition). Ces dernières devraient ainsi compléter le portefeuille de solutions embarquées d'Oracle, notamment Oracle Lite for Mobile Devices, mais également la technologie de d'accélération d'accès aux données, issue du rachat de TimesTen, en juin 2005. Notons que Berkeley DB est notamment intégrée à Linux, le serveur Web Apache, et la suite OpenOffice. Pour le cabinet Ovum, en rachetant Sleepycat, Oracle gagne une source de revenu supplémentaire, notamment en s'appuyant sur une base installée de 200 millions d'utilisateurs Berkeley. Rappelons également que Berkeley est distribué sous une double licence open source, dont une commerciale qui autorise sa revente sans en livrer le code. (...)

(14/02/2006 17:29:34)

SugarCRM devrait adopter la licence Microsoft Shared Source

SugarCRM, un éditeur américain de solutions de gestion de la relation client open source et commerciales, vient d'adopter l'une des licences Microsoft Shared Source pour la version 4.5 de sa suite Sugar Suite. La licence retenue par l'éditeur, Microsoft Community License, autorise les modifications à but non lucratif autant que commerciales du logiciel, ainsi que la redistribution de celui-ci. Néanmoins, cette licence autorise également l'auteur des modifications à ne pas les communiquer au reste de la communauté. En outre, la licence Microsoft Community License fixe des limites à ce que des tiers ont le droit de faire avec des modifications intégrant du code source Microsoft. Sugar Suite 4.5 intègrera le fruit de la collaboration du géant de Redmond et de SugarCRM en faveur de l'interopérabilité de leurs produits. Les optimisations apportées par l'éditeur porte notamment sur l'intégration avec certains produits serveurs de Microsoft dont SQL Server. (...)

(14/02/2006 17:33:58)

Haro sur l' open source : SAP et Intel investissent dans MySQL

Enième clin d'oeil du modèle propriétaire à l'open source. Après la rumeur, Lundi 13 février, d'un triple rachat d'Oracle dans l'open source, c'est désormais au tour de MySQL, fleuron du mouvement, de susciter les convoitises. L'éditeur MySQL AB vient en effet de réaliser une levée de fond de 18,5 M$ dans un troisième tour de table, orchestré par le fond d'investissement Institutional Venture Partners (IVP). IVP compte notamment parmi ses investisseurs Intel Capital et SAP Ventures, branche d'investissement en capital-risque des deux géants du secteur. On y retrouve également Red Hat Ventures et Presidio STX (Sumitomo) . Dans un communiqué, MySQL AB, qui a récemment ouvert un filiale au Japon, explique que ces fonds serviront "à financer sa croissance continue dans le marché des bases de données d'entreprise, [...] ainsi que l'expansion du développement commercial et des activités liées au ventes et au marketing". Rappelons au passage que SAP et MySQL collaborent au développement de la base de données MaxDB. (...)

(14/02/2006 09:39:56)

Acquisitions : Oracle chasse sur les terres open-source

Après avoir musclé son offre applicative avec Peoplesoft et Siebel, Oracle semble vouloir désormais chasser sur les terres de l'open source.Ce ne sont pas moins de trois éditeurs que le sémillant Larry Elisson aurait en point de mire à en croire notre confrère BusinessWeek, citant des sources proches du dossier. Oracle chercherait tout d'abord à absorber Zend Technologies, spécialiste du PHP avec qui l'éditeur a déjà tissé quelque liens via le développement de Zend Core for Oracle. Egalement visé, Sleepycat Software, notamment éditeur de la base de données transactionnelle java open source (sous dual licence, à l'image de MySQL) Berkeley DB Java Edition. Mais c'est surtout vers JBoss, expert en middleware java open source, que se tournent aujourd'hui tous les regards. Une acquisition, estimée à plus 400 M$ qui devrait être annoncée dès aujourd'hui lundi, indiquent ces mêmes sources. Au total, la firme dirigéee par Larry Ellison serait prête à débourser plus de 600 M$ pour les trois opérations. Oracle, qui vient juste de boucler l'acquisition de Siebel - et a déjà dépensé quelque 19 Md$ en croissance externe - deviendrait pour le coup l'un des poids lourd des technologies middleware libres . D'abord sur le marché du développement PHP avec le rachat de Zend Technologies (pour 200M$), qui outre l'évidente expertise du langage qui motorise nombre de sites web, travaille également à un framework PHP pour Eclipse. Soit un coup double pour Oracle. Le rachat de Sleepycat, quant à lui, pourrait représenter un (second) pied de nez à MySQL. Rappelons qu'Oracle avait déjà contrarié la sortie de MySQL 5 en se payant InnoBase, moteur de stockage de données intégré au SGBD open source. Il est à noter qu' Oracle prépare également une version gratuite, mais non open source, de 10g, Oracle Database 10g Express Edition (actuellement en béta). Placer JBoss dans son escarcelle pourrait enfin renforcer la position d'Oracle face à IBM et Websphere Application Server Family Community Edition (WAS CE) - bâti sur Geronimo -, issu du rachat de Gluecode. Mais également face à JoNas, le serveur d'application du consortium Objectweb. Reste à savoir toutefois, si le rachat se confirmait, quel serait l'avenir de la plate-forme JEMS (JBoss Application Server, Apache Tomcat, Hibernate, JBoss Portal, JBoss jBPM, JBoss Rules, JBoss Cache, JBoss Transactions et JBoss Eclipse IDE), Oracle disposant du même type d'outils. A l'heure de la rédaction de cet article, ni Oracle ni JBoss ne confirmaient le rachat. (...)

(08/02/2006 17:43:18)

ObjectWeb veut fiabiliser son offre pour toucher les entreprises

Le consortium ObjectWeb s'est donné l'objectif de fiabiliser son offre pour séduire les entreprises, d'ici la fin de l'année. ObjectWeb entend notamment publier des feuilles de route pour les évolutions à venir de ses produits, mais aussi de se vendre plus activement et d'ouvrir des bureaux à l'étranger. En 2006, le consortium changera en outre de statut pour devenir une entité légale à but non lucratif et simplifier ainsi la signature de contrats. Avec ces mesures, ObjectWeb entend donner aux entreprises une plus grande visibilité sur les perspectives d'évolution de ses produits mais aussi l'assurance que les feuilles de route seront respectées et que les produits livrés atteindront les niveaux de qualité qu'elles attendent. Ces transformations doivent en outre permettre à ObjetWeb de mieux rivaliser avec d'autres éditeurs de middleware qui font l'entrée sur le marché du logiciel libre, à commencer par IBM. (...)

(08/02/2006 19:11:40)

NetBeans 5.0 disponible

Sun annonce la version finale de NetBeans 5.0, son environnement de développement Java en Open Source. Cette version inclut Matisse (un concepteur d'interface utilisateur), l'intégration de J2EE 1.4 ave le support de serveurs d'application multiples, un plugin de collaboration, un profiler. Cette version semble également beaucoup plus rapide que les précédentes versions. L'environnement Matisse fournit un éditeur intuitif pour construire des interfaces utilisateur en glissant-déposant des composants dans un formulaire, sans avoir besoin de maitriser les gestionnaires de layout Swing. L'IDE suggère automatiquement l'alignement, l'espacement et le redimensionnement. NetBans 5.0 supporte maintenant plusieurs serveurs d'application en plus de Sun Java Sustem Application Server 8.2 : JBoss 4 et WebLogic 9. Il facilite l(utilisation des frameworks web tels que JavaServer Faces (JSF) ou Struts. NetBeans 5.0 inclut de nombreuses améliorations à l'éditeur, comme la complétion de code, le refactoring, la palette de composants, les Java Hints qui aident à générer du code, un navigateur XML, un éditeur SQL, etc. Le support de CVS a été refondu pour s'intégrer dans le workflow. NetBeans 5.0 fournit un support total de J2EE 1.4, avec des assitants de crétaion d'EJB, web services... Contrairement à Eclipse, NetBeans est un environnement intégré qui vient avec tous les composants nécessaires au développement d'applications Java. Cette nouvelle version semble recueillir un accueil très favorable dans la communauté Java et relance la compétition acharnée avec Eclipse. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >