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Open Source
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(01/12/2005 17:43:04)
La Free Software Foundation lance la refonte de la licence GPL
La Free Software Foundation et le Software Freedom Law Center ont publié hier le calendrier et les procédures qui seront utilisés pour réviser la plus connue de toutes les licences libres : la licence GPL. Les deux organisations entendent distribuer le premier brouillon de la nouvelle licence GPL 3 en janvier afin de lancer un débat qui devrait se poursuivre tout au long de 2006 et s'achever, au plus tard au printemps 2007. La licence GPL originelle a été rédigée en 1989 par Richard Stallman pour le projet GNU. Une version 2 a rapidement suivi en 1991. Elle autorise l'utilisateur à librement étudier, copier, modifier, réutiliser, partager et redistribuer le code d'un logiciel GPL. Selon la FSF, environ 75 % du code libre serait actuellement distribué sous licence GPL. L'un des enjeux de la rédaction de la GPL3 est de faciliter son internationalisation afin qu'elle prennent en compte les exigences mondiales en termes de copyright. L'un de ses enjeux sera aussi de préciser les conditions de redistribution notamment dans le cadre d'utilisation de code GPL dans des architectures de services Web. Le premier brouillon sera rendu public lors de la première conférence internationale sur la GPL3 qui se tiendra au MIT les 16 et 17 janvier 2006. ce premier jet sera accompagné d'un document expliquant notamment les raisons des modifications apportées par la FSF . Un deuxième brouillon devrait être proposé en juin 2006. S'il ne génère pas de critiques importantes ce brouillon pourrait être ratifié dès le mois de septembre En cas de prolongation des discussions, la FSL estime qu'un dernier brouillon pourrait être produit en octobre 2006 pour une publication de la licence finale au plus tard en mars 2007. Un document décrivant le processus mis en place est consultable librement sur le site http://gplv3.fsf.org. (...)
(01/12/2005 17:40:52)IBM sort un outil de migration des applications Solaris vers Linux
IBM a annoncé hier dans un communiqué la disponibilité d'un kit destiné à faciliter la migration de Solaris vers Linux. Le "Kit de migration de Solaris vers Linux" est disponible gratuitement pour les clients et partenaires de Big Blue et il a pour but de simplifier le portage du code des applications écrites pour Solaris vers Linux. Le kit peut aussi être utilisé par les développeurs indépendants d'applications pour porter leurs logiciels vers Linux et il vient compléter les outils déjà existants dans le cadre du programme Chiphopper, conçu par IBM, Red Hat et Suse. Il est à noter que Sun propose l'approche inverse e d'IBM avec sa solution Solaris Containers for linux, qui permet de faire tourner des applications Linux x86 au-dessus de Solaris dans un conteneur applicatif virtualisé, une approche qui ne nécessite aucune adaptation du code des applications Linux... (...)
(30/11/2005 18:03:18)Enquête : le déploiement de Linux est ralenti par le manque d'applications bureautique
Le manque d'applications bureautiques pour Linux reste le principal obstacle au déploiement de l'OS sur les postes de travail selon une enquête lancée par l' Open Software Development Labs (OSDL). L'une des raisons clés de l'usage de Linux sur les postes de travail n'est ni l'indépendance vis-à-vis de Microsoft ni la sécurité selon l'étude, mais tout simplement le TCO plus faible et des coûts de licence en baisse. L'étude, lancée par le Desktop Linux Working Group (DTL), avait pour objectif de mieux comprendre les barrières au déploiement de Linux sur le poste de travail. Selon les utilisateurs, le manque d'applications bureautiques, le support approximatif de certains périphériques et des problèmes de formation des utilisateurs restent le principal obstacle au développement de Linux sur le poste de travail. Les utilisateurs pointent notamment des insuffisances en matière de logiciels d'e-mail, de suites bureautiques, de navigateurs web, d'applications de base de données et d'outils de développement. Malgré ces critiques, IDC prédit que près de 17 millions de PC utiliseront Linux comme OS en 2008 A cette époque, l'OS libre pourrait détenir 9% du marché des OS bureautiques, contre 2,5 % aujourd'hui... (...)
(29/11/2005 17:42:14)Redhat loue son Linux aux universités européennes
Redhat annonce le lancement d'une offre destinée aux universités européennes. En échange d'un abonnement annuel de 351 €, les établissements pourront installer le système Redhat Desktop sur quinze postes de travail, comprenant des outils de messagerie, de bureautique et de navigation web open source. Ils auront également accès au module d'administration centralisé Redhat Network Management, ainsi qu'au module de mise à jour Redhat Network Update. (...)
(29/11/2005 17:39:30)Sun veut écrouler le dernier bastion Open XML dans le Massachusetts
Alors que l'Etat du Massachusetts semblait définitivement acquis à la cause du standard OpenDocument pour l'échange de documents officiels, Tom Trimarco, secrétaire de l'Administration et des Finances du même état américain affirme que la certification ISO d'Open XML pourrait à nouveau rendre le format Microsoft, conforme aux attentes de son administration. Un virage à 180° qui fermerait alors la porte du très médiatisé état, aux applications exploitant le standard, notamment OpenOffice, StarOffice et Workplace d'IBM. Réaction virulente chez Sun, qui, par la voix de Carl Cargill, directeur en charge des standards chez le constructeur, monte au créneau, rappelant ainsi à l'état la raison initiale de leur « bascule » vers OpenDocument. Dans une lettre, Cargill sermonne alors que l'utilisation de standards assure que « les documents créés par l'administration soient la propriété de l'état et des citoyens, sans le besoin de négocier ou payer pour y avoir accès dans le futur, à chaque fois qu'une nouvelle version du logiciel propriétaire arrive sur le marché ». Et d'enfoncer le clou : « ce serait une erreur de supporter Open XML qui repose pour l'heure sur la simple promesse de soumission à un organisme de normalisation. [...] Et qu'une certification ISO ou ECMA ne garantit pas qu'on puisse développer librement autour d'Open XML, à l'inverse d'une standardisation Oasis ». (...)
(28/11/2005 19:00:20)Les partisans du libre enragent contre une proposition d'amendement au projet de loi sur le droit d'auteur
Le projet de loi sur le droit d'auteur et les droits voisins dans la société de l'information n'en finit pas de faire des remous. Après les critiques de plusieurs sociétés de droits d'auteurs comme l'ADAMI ou la SPEDIDAM, de nombreuses associations de consommateurs et de syndicats, le projet déclenche la colère des partisans de l'open source. Lors d'une réunion du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (CSPLA), qui se tenait vendredi 18 novembre 2005 au ministère de la Culture, des représentants de la SCPP (Société Civile des Producteurs Phonographiques) et du SNEP (Syndicat de l'édition phonographique), en l'occurrence Frédéric Goldschmidt et Marc Guez, auraient déclaré au représentant de la communauté du libre " Vous allez changer vos licences ". Thierry De Surmont, le représentant de la SACEM, aurait quant à lui déclaré « Vous allez arrêter de publier vos logiciels » avant de se déclarer prêt à « poursuivre les auteurs de logiciels libres continuant de divulguer leur code source ". L'objet du litige entre les principaux soutiens des majors du disque et du cinéma et les partisans du libre et le DRM (Digital Rights Management), la technologie qui permet de protéger un contenu numérique et d'en contrôler la "consommation" par son utilisateur. DRM et logiciels libres sont par nature antinomiques. Comme l'explique Loïc Dachary, pour la Free Software Foundation France, " l'industrie de la culture demande la généralisation des DRM et souhaite contrôler des utilisateurs. L'objectif du libre est de laisser les gens en contrôle de leurs logiciels". Selon Dachary, "Il ne peut y avoir que des solutions sociales au problème de la diffusion des contenus numériques. La technique ne peut pas remplacer la loi. (...)La seule chose que l'on nous propose avec le DRM est de mettre toutes les oeuvres numériques sous verrous et de confier les clés à quelques multinationales. Au pays du droit d'auteur, c'est difficilement acceptable". Dans la ligne de mire des partisans de l'open source figure notamment une proposition d'amendement poussée par la SACEM, Vivendi Universal, le BSA et la division contenus de France Télécom qui stipule : 1er. Le fait, en connaissance de cause, d'éditer ou de mettre à la disposition du public, sous quelque forme que ce soit, un logiciel manifestement destiné à la mise à disposition non autorisée au public d'oeuvres ou d'objets protégés par un droit littéraire et artistique qui ne comprend pas les mesures pour, en l'état de la technique, préserver ces oeuvres ou objets protégés contre un usage non autorisé" soit pénalisé. 2° Le fait d'éditer ou de mettre à la disposition du public, sous quelque forme que ce soit, un logiciel autre que celui visé au 1° ci-dessus, dès lors que, ayant connaissance de ce que ledit logiciel est manifestement utilisé pour la mise à disposition non autorisée au public d'oeuvres ou d'objets protégés par un droit littéraire et artistique, l'éditeur n'a pas pris les mesures pour, en l'état de la technique, préserver ces oeuvres ou objets protégés contre un usage non autorisé. 3° Le fait, en connaissance de cause, de promouvoir directement la mise à disposition du public sous quelque forme que ce soit ou l'utilisation d'un logiciel visé au 1° et 2° ci-dessus. 4° Les dispositions ci-dessus s'appliquent sans préjudice de l'application des dispositions de l'article L121-7 du Code Pénal et de celles propres à la loi du 21 juin 2004. Il est à noter que selon Christophe Espern, le fondateur d'EUCD.Info, qui était présent à la réunion avec mandat des licences Creative Commons, le but des majors est de faire insérer l'amendement ci dessus dans le texte de loi par des parlementaires pendant la discussion en urgence de la loi DAVDSI, qui devrait arriver au parlement pendant les fêtes de Noël. Le texte enterrait largement le concept d'exception de copie privé tel qu'on le connaît aujourd'hui, entre la dinde et les marrons et menacerait dans sa rédaction actuelle l'avenir du logiciel libre. Face aux enjeux, Christophe Espern demande au premier ministre, au nom de la FSF France de lever l'urgence sur le projet de loi DADVSI pour donner une chance au débat démocratique et empêcher le passage du texte en l'état. (...)
(25/11/2005 17:20:32)Antitrust Microsoft : la FSF s'invite à la fête
La Free Software Foundation Europe (FSFE) demande à être autorisée à déposer contre Microsoft dans l'appel que ce dernier a interjeté à l'occasion du procès antitrust initié par la Commission européenne. Selon Carlo Piana, un des avocats de la FSFE, la fondation, dont certains membres oeuvrent sur le projet Samba, a soumis une requête à la Cour européenne de Justice afin d'être autorisée à intervenir lors du second appel de Microsoft contre les décisions de la Commission. L'éditeur de Redmond avait notamment été condamné à devoir publier les spécifications de certains de ses protocoles clés à d'autres sociétés. Microsoft estime que cela impliquerait la divulgation de secrets commerciaux et permettrait à des concurrents de développer des produits susceptibles de remplacer ses propres solutions. Pour la FSFE et Samba, en revanche, être privé du droit de développer des produits revient à se trouver dans l'incapacité d'entrer en concurrence avec les solutions de Microsoft. La FSFE est l'une des dernières organisations à s'opposer au géant du logiciel dans cette procédure antitrust. Un à un, les précédents plaignants ont en effet renoncé à leurs poursuites, à l'image de RealNetworks, Novel ou de la Computer and Communications Industry Association (...)
(23/11/2005 17:49:18)La RC3 de Firefox 1.5 disponible en téléchargement
A deux semaines de la version finale 1.5 de Firefox, Mozilla sort l'ultime version de test (RC3) de son navigateur. Rappelons que la prochaine mouture de Firefox devrait accélérer les procédures de mises à jour du logiciel ainsi que la navigation dans l'historique. Il devrait également redessiné les modules de gestion des préférences d'utilisateurs. Et renforcer la sécurité, en optimisant notamment le blocage de pop-up et en y intégrant Clear Private Data, permettant d'effacer toute donnée personnelle. Titre Encadré: Texte Encadré: (...)
(23/11/2005 17:45:40)MySQL travaille à une alternative à InnoDB, rachetée par Oracle
A peine six semaines après le rachat d'Innobase par Oracle, MySQL a décide de fournir une alternative au moteur InnoDB , aujourd'hui au coeur de MySQL 5.0. "Il est évident que du fait de l'acquisition [d'innoBase] par Oracle, nous évaluons des options pour remplacer cette fonctionnalité" a expliqué Richard Mason, le vice-président EMEA de l'éditeur."Nous ne pouvons toutefois pas encore confirmer de façon publique quel sera le choix retenu, mais nous le ferons bientôt" a-t-il ajouté. Les analystes du secteur des SGBD pointent depuis quelques semaines les risques que fait peser l'acquisition d'Innobase par Oracle sur MySQL, InnoDB étant le moteur standard de la base libre et étant considéré comme un excellent moteur transactionnel. InnoDB est actuellement incorporé dans MySQL dans le cadre d'un contrat qui doit être renouvelé en 2006. Oracle s'est engagé à poursuivre le développement d'InnoDB, et MySQL a toujours la possibilité d'utiliser le code source actuel pour apporter ses propres modifications pour ses prochaines versions de la base... (...)
(23/11/2005 17:45:10)Novell contre un rapport Microsoft critiquant Suse
Novell a vivement critiqué une étude sponsorisée par Microsoft qui conclut que Suse Enterprise Linux n'est pas fiable et difficile à maintenir par rapport à Windows Server. Novell estime que l'étude n'a pour but que de créer la confusion sur le marché. L'étude a été menée par Security Innovation, un partenaire de Microsoft. Elle conclut qu'un administrateur Linux prend environ 2/3 de temps en plus qu'un administrateur Windows pour répondre à une demande des utilisateurs. L'étude se concentre notamment sur la migration de Windows Server 2000 vers 2003 et de Suse 8.0 vers Suse 9.0. elle pointe aussi des problèmes d'interopérabilité sous Linux. Pour Kevan Barney, un porte parole de Novell, Les problèmes d'interopérabilité entre OS et applications pointés par l'étude sont démesurés par rapport à la réalité et il ne compense pas les problèmes de sécurité que peuvent poser les OS Windows. De même Novell estime qu'il est impossible de comparer le nombre de patches de sécurité Linux et ceux de Windows, du fait du nombre d'applications (mail, pare feu, base de données...) inclus avec les distributions Linux. Barney critique aussi le jugement positif porté par Security Innovation sur la stratégie "Integrated innovation" de Microsoft, en jugeant que c'est cette stratégie qui est la cause des principaux problèmes de sécurité rencontrés avec Windows. (...)
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