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(14/06/2010 16:32:37)

Nelly Kroes, commissaire européen, prône une informatique ouverte

« Choisir un standard ouvert est une très petite décision », a expliqué Nelly Kroes, lors d'une conférence à Bruxelles organisée par OpenForum Europe et d'ajouter « les acheteurs publics ou privés de technologies doivent être intelligents et construire leur système sur des standards que tout le monde utilise et que l'on peut intégrer sans contraintes. »

Elle demande donc aux fournisseurs de rendre leurs produits interopérables entre eux et de ne pas attendre qu'on les force à le faire. Pour mémoire, Nelly Kroes, actuellement en charge de l'Agenda Numérique, était auparavant commissaire en charge de la concurrence et a mené la bataille sur les entraves de Microsoft auprès des développeurs qui souhaitaient créer des logiciels interopérable avec les déclinaisons de Windows Server. « C'est un combat de longues années, jusqu'à ce que Microsoft commence à publier des informations sur l'interopérabilité ». Cette affaire, comme celle d'abus de position dominante sur le marché des OS et plus spécifiquement sur le marché des lecteurs multimédias (Windows Media Player, Real player) et a probablement fait perdre des centaines de millions d'euros à Microsoft. Néanmoins, Nelly Kroes indique que « les investigations antitrust complexes sont suivies de procédures judiciaires qui sont certainement les seules voies pour imposer l'interopérabilité ».

En parallèle, la Commission est à la recherche de moyens pour convaincre les entreprises IT qu'il est profitable d'ouvrir leurs licences à leurs concurrents et moins rentables de protéger celles-ci. « Une de ces initiatives pourraient être une limitation de certains produits informatique, en incluant une contrainte tarifaire ».

Les autres plans de la Commission

Nelly Kroes a un autre plan pour influencer les acheteurs IT de l'Union européenne en faveur de standards ouverts. Le European Interoperability Framework (EIF)  V2 est un de ces éléments. Il s'appuie sur des règles et lignes directrice pour connaître le rapport coût-efficacité des équipements informatique dans le secteur public.

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« L'élaboration de ce projet n'a pas été facile » déclare la responsable européenne. Toutefois, elle espère que cela aidera les pouvoirs publics à éviter à long terme le dangereux verrouillage des marchés. « Il faudra aussi se préoccuper de la concurrence entre les acteurs sur les contrats de maintenance et services. Les Etats membres doivent avoir la possibilité de choisir des produits propriétaires » souligne la commissaire, mais de spécifier « mais en motivant sa décision, plutôt que de succomber à un élément de facilité ».

Graham Taylor, responsable de l'OpenForum, estime que les propos de Nelly Kroes vont apporter quelques changements dans le projet de l'EIF V2. « Elle est clairement au courant de la controverse sur la version qui avait fuité, il s'agissait d'une mauvaise version du projet » commente t'il. Pour mémoire, ce projet décrié ne comportait aucune allusion à des « standards ouverts ». Le responsable associatif a donc été ravi d'entendre la Commissaire européen utiliser plusieurs fois ce terme. Toutefois, elle a précisé que les mots ne sont pas un substitut à la mise en place d'une action politique. Ce qui importe est la substance. «  J'exhorte toutes les parties prenantes de se concentrer sur le contenu du paquet plutôt que sur l'emballage » dit-elle.

Un autre projet de Nelly Kroes est de rendre plus facile la précision des standards ouverts, dans les appels d'offres, pour les acheteurs publics. La réglementation européenne oblige ces derniers à se référer à des normes élaborées par des organismes reconnus, tels que l'ETSI, l'ISO ou certaines autorités nationales homologuées (AFNOR). Par contre,  les normes élaborées par l'industrie par des consortiums tels qu'OASIS, ECMA ou le W3C ne comptent pas. La Commissaire souhaite donc mettre en place un système de reconnaissance mutuelle sur les différents standards internationaux, basé sur « la transparence, l'équilibre, le consensus ». Si cela avait été le cas en 2008, il n'y aurait pas eu de bataille pour que l'ISO adopte ECMA Standard 376 aussi connu comme le format de fichier Microsoft Office Open Extensible Markup Language (OOXML). Car ISO avait reconnu préalablement le standard de l'OASIS, Open Document Format (ODF).

In fine, elle veut aider les administrations nationales à identifier leurs besoins réels, en spécifiant les produits sans référence à une marque ou à un distributeur. « Plusieurs structures administratives se sont retrouvées bloquées par des technologies propriétaires pendant 10 ans, c'est du gaspillage d'argent public alors que la situation actuelle ne le permet pas ».

(...)

(14/06/2010 12:26:13)

Un tribunal valide les droits de Novell sur Unix

Le feuilleton a commencé en 2005 après les premières saisines de Sco contre Novell, sur les droits de propriétés et les royalties sur certaines technologies utilisées sur Unix. En 2007, Novell est reconnu propriétaire d'Unix. Mais en 2009, un autre jugement inverse la décision précédente. En mars dernier, un jury de l'Utah a attribué les droits Unix à Novell. C'est cette décision qui a été validée par la même juridiction.

Pour Pamela Jones, spécialiste du droit et qui a suivi sur son blog cette bataille juridique de longue haleine « la machine judiciaire est en train de se refermer sur Sco ». En effet, le jugement de l'Utah donne raison sur plusieurs points à Novell et en plus, considère les attaques de Sco contre IBM et d'autres sociétés qui utilisaient Linux et Unix sont closes.

Alors est-ce la fin de l'histoire ? Si elle est bien engagée, Sco peut encore faire appel de cette décision. A suivre...

(...)

(03/06/2010 14:03:35)

EnterpriseDB propose un support forfaitaire autour de PostGres

Pour 40 000 dollars par an, une entreprise pourra déployer autant de fois qu'elle le veut la base de données Postgres Plus Standard Server distribuée par l'éditeur EnterpriseDB. C'est ce que vient d'annoncer la société créée en 2004 pour délivrer services et produits autour de la base de données Open Source PostgresSQL, qui se pose en concurrente du SGBD d'Oracle. Avec cette offre, EnterpriseDB cherche à attirer aussi les utilisateurs de MySQL qui chercheraient une alternative, maintenant que la plus célèbre base de données Open Source se retrouve entre les mains d'Oracle, admet Karen Tegan Padir, la vice-présidente produits et marketing de la société. « Les entreprises qui ont investi à la fois dans MySQL et dans la base Oracle n'ont pas l'impression d'y avoir gagné [avec le rachat de Sun] », souligne-t-elle en ajoutant que l'offre de support illimité est aussi destinée aux groupes qui souhaiteraient migrer vers PostGres, mais qui ne disposent pas du budget pour le faire.

EnterpriseDB fait miroiter des économies substantielles

Avant cette offre réduite, le coût d'exploitation de Postgres Plus Standard Server s'élevait à 47 000 dollars pour deux serveurs bi-processeurs. Le nouveau forfait annuel établi par EnterpriseDB comprend un support Premium (disponible 24 h/24, 7 jours sur 7, par téléphone, courriel ou accès distant pour un nombre d'incidents illimités), ainsi que l'outil de surveillance Postgres Plus HQ Monitoring et le logiciel de réplication xDB Oracle Replication Server, auxquels s'ajoutent des  mises à jour logicielles. Sur son site, le fournisseur publie un tableau comparatif de l'économie qui, selon lui, peut être réalisée par rapport à l'utilisation de MS SQL Server, IBM DB/2 ou Oracle (de 45 000 à 420 000 dollars, selon ses estimations).

L'offre de support d'EnterpriseDB court sur une année à l'issue de laquelle l'entreprise peut renouveler le contrat aux mêmes conditions pour deux ans de plus. Au bout de trois ans, les droits acquis pourront être pris en considération, à moins qu'EnterpriseDB ne décide de continuer à proposer le contrat sous sa forme actuelle. « Il n'est pas dans nos intentions d'attirer les clients pour leur imposer ensuite une hausse des tarifs », promet Karen Tegan Padir. Cette ancienne vice-présidente de Sun, chargée de l'offre MySQL, considère que PostGres est une base de classe entreprise qui gère bien les montées en charge, ce qui la rend particulièrement adaptée aux transactions en ligne.

(...)

(02/06/2010 14:44:07)

Le CNLL cartographie les entreprises françaises du logiciel libre

Menée auprès des 200 sociétés membres des associations et groupements composant le CNLL, cette étude dresse le profil des entreprises françaises qui s'intéressent au logiciel libre et à l'Open Source. Plusieurs constats sont à souligner. En premier lieu, ces sociétés sont jeunes, elles ne sont que 15% à avoir été créées avant 2000, tandis qu'un tiers ont moins de 3 ans. Sur le plan des effectifs, les structures ne sont pas pléthoriques, elles sont 49% à ne comprendre que 1 à 5 salariés. En terme de chiffre d'affaires, plus de la moitié des sondés réalisent moins de 250 k€ de CA.

Petites mais orientées vers les grands comptes

Sans aucun complexe d'infériorité, les apôtres du Logiciel Libre et de l'Open Source travaillent beaucoup avec les grands comptes. Ils réalisent 51% de leur activité avec les grandes entreprises, alors que le secteur public arrive en deuxième position avec 36% de l'activité. L'intérêt des clients pour ces solutions est double, le coût mais également dans une même proportion l'ouverture et le respect des standards.

Une résistance à la crise, mais quelques inquiétudes


Si certaines structures ont été impactées par la crise, 73% des entreprises du secteur ont connu une croissance pendant l'année 2009. On peut souligner que 50% des sociétés ont connu une croissance supérieure à 15%. Les prévisions pour l'année 2010 montrent un optimisme accru aussi bien pour les petites et les grandes structures.

Une question a été posée sur la perception des menaces sur le logiciel libre et 84% des interrogés ont mis en avant l'oubli des valeurs fondatrice du libre. 81% s'inquiètent de la complexité des modèles économiques. Plus surprenant, le cloud et le Saas sont également perçus comme des menaces  à hauteur de 73%.

Le CNLL constate aussi que les 2/3 des sociétés contribuent à des projets libres, mais seules les plus grandes bénéficient de manière sérieuse d'aide à la R&D. Peut-être un cheval de bataille pour le Conseil dans les prochains mois ?

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(01/06/2010 14:51:57)

Alter Way prépare une acquisition sur le secteur du Web

« Nous voulons assumer notre rôle d'acteur majeur sur le secteur de l'Open Source et devenir l'un des deux ou trois opérateurs de services qui comptent sur ce secteur en France, d'ici 2011 à 2012 », projette Philippe Montarges, co-président de la société de services Alter Way. Pour y parvenir, cette structure de 90 personnes ne mise pas uniquement sur sa croissance organique, même si elle table sur une progression de 20% sur ce terrain en 2010 (à 11 millions d'euros). Elle est aussi sur le point de relancer ses opérations de rachats avec l'objectif de parvenir à un chiffre d'affaires total de 15 millions d'euros à la fin de l'année. Depuis sa création en 2006, la société a déjà procédé à six intégrations (successivement Ingeniweb, ECL IP'S, Solinux, Nexen Services, Anaska et Kanopée).

Hébergement et formation en hausse en 2009

Sur les 9 millions de CA engrangés l'an dernier par Alter Way (soit une croissance organique de 10% par rapport à 2008),  40% ont été réalisés avec les prestations de conseil et d'intégration de solutions, et 40% avec l'activité d'hébergement 24/24. Cette dernière a progressé de 25% par rapport à 2008. Les 20% restants du chiffre d'affaires proviennent du pôle formation (en hausse de 15% en 2009). Avec un positionnement technologique commun pour l'ensemble de ces métiers : « Nous avons développé une forte expertise dans le monde PHP, tant en termes de conseil et de déploiement de logiciels, que de hosting et de formation », souligne celui qui a aussi co-fondé l'entreprise, avec la co-présidente Véronique Torner. « Nous accompagnons nos clients avec une offre industrielle qui peut couvrir le déploiement de solutions, l'administration, le support et l'hébergement, poursuit-il. On nous demande d'optimiser les applications, de les personnaliser ou d'ajouter des briques, comme par exemple chez France Télévisions, autour de la solution de CMS Drupal. »

Dans le domaine des applications, en dehors de son expertise dans la gestion des contenus, avec Drupal, Alter Way a développé des compétences sur la relation client (avec SugarCRM) et sur le e-commerce (avec l'offre Magento). Sur la partie infrastructure, la société travaille avec la solution d'intégration de données de Talend et la base MySQL. Elle a également noué un partenariat avec Canonical (distribution Ubuntu).
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« En 2009, nous avions marqué une pause sur les rachats, afin d'effectuer un travail de consolidation au sein de nos quatre métiers, explique Philippe Montarges. Mais d'ici un mois, nous allons de nouveau procéder à une acquisition, cette fois-ci pour renforcer notre activité Web. Il y a deux catégories de donneurs d'ordre chez nos clients, d'un côté, les DSI et de l'autre, les directeurs marketing et communication. Avec notre prochain rachat, nous allons conforter la deuxième approche, avec des compétences métiers sur le marketing et le web. Nous procéderons ensuite de la même façon avec le CRM ».

Son objectif, sur l'année en cours, est d'accentuer le positionnement de la société en tant qu'opérateur de services Open Source global, « aussi fort en termes de hosting que d'intégration ». La croissance organique doit donc concerner chacune des quatre branches, avec un plan de recrutement de 50 embauches pour parvenir, avec les mouvements inhérents à toute société, à un effectif total de 130 collaborateurs d'ici fin décembre (95 aujourd'hui).

Des profils métiers et techniques

Sur la partie études et solutions, Alter Way recherche des consultants, des chefs de projets web et informatique, mais aussi métiers (e-commerce, GED...). Sur la partie développement, les profils ciblés devront avoir une expérience dans le monde PHP et une culture de projets métier. Sur les compétences liées à l'hébergement, la société est en quête d'ingénieurs systèmes, de techniciens pour le support, de responsables d'exploitation ainsi que, pour le versant commercial et marketing, de responsables SaaS. « Le SaaS est un modèle spécifique qui nécessite d'accompagner le client. » Alter Way compte aussi recruter des formateurs. « Nous allons ouvrir un nouveau centre, fin juillet, où nous regrouperons toutes nos activités de formation », explique Philippe Montarges.

Devenir opérateur de private open cloud

Comme hébergeur, Alter Way a développé une grosse activité autour d'Internet, en prenant en charge des clients du secteur des médias, comme Prisma Presse. « Nous hébergeons également Smart Box [vente de coffrets cadeaux], dans le domaine du e-commerce, avec une exigence importante sur les critères de disponibilité et de montée en charge lors des pics d'audience ». Sur ces services de hosting, la société réfléchit par ailleurs à la façon dont elle pourrait intégrer les technologies de virtualisation d'Ubuntu, avec une idée en tête : « Nous étudions de quelle façon nous pourrions devenir un centre de 'private open cloud' », évoque le co-président. Nous regardons notamment, dans ce domaine, les initiatives portée par les pôles de compétitivité avec le projet Compatible One [un projet de cloud ouvert mené par System@tic et SCS]. »

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(31/05/2010 13:13:44)

Comme IBM, Pentaho choisit Hadoop pour l'analyse des gros volumes de données

L'éditeur de logiciels décisionnels en Open Source Pentaho a indiqué qu'il prévoyait de livrer une suite décisionnelle complète s'appuyant sur le projet Apache Hadoop. IBM a lui-même confirmé la semaine dernière qu'il préparait un portefeuille de solutions et de services, Infosphere BigInsights, basé sur ce même projet Open Source conçu pour le traitement et l'analyse de très gros volumes de données. Les capacités apportées par Hadoop sont destinées à prendre en charge les flux de données considérables générés par exemple par les transactions bancaires et dans le secteur de l'assurance (avec l'objectif de détecter les fraudes), par les interactions sur Internet (sur les réseaux sociaux notamment) ou encore traités par les centres d'appels.

La suite Pentaho BI va d'abord fournir, pour les processus d'intégration de données, un environnement de conception visuel qui inclura la manipulation de fichiers Apache Hadoop. Cela permettra de concevoir et d'exécuter des processus ETL qui pourront impliquer à la fois des tâches Hadoop et non-Hadoop. A la suite de cette première brique, l'éditeur prévoit de livrer d'autres modules pour effectuer du reporting, des tableaux de bord et des analyses directement sur les données stockées sur un modèle Hadoop.

Pentaho propose aux entreprises intéressées de faire partie de son programme bêta.

Illustration : démo de Pentaho Enterprise intégré avec Hadoop

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(19/05/2010 15:28:39)

Alfresco lance un outil BPM open source

Ce projet Activiti sous licence Apache doit remplacer la licence LGPL qu'Alfresco utilise actuellement pour son édition Enterprise - elle-même une évolution de la licence GPL réalisée cette année. L'entreprise, qui parle et expérimente depuis longtemps ce passage à Apache, avait été contrainte par Hibernate pour l'accès aux bases de données et JBPM pour le workflow. Pour l'aider dans le développement, Alfresco a même débauché Tom Baeyens, architecte fondateur du projet JBoss jBPM, chez Red Hat, pour lui confier la direction du développement de la partie flux de travail. « Le workflow n'était pas notre compétence de base » a déclaré John Newton, co-fondateur d'Alfresco. « Mais Tom Baeyens est tout à fait qualifié pour ça. »

Dans la première version alpha d'Activiti, on trouve une série de fonctionnalités, dont l'Activiti Engine, une console d'administration système pour contrôler et faire fonctionner le moteur, Explorer, qui gère les listes de tâches, et Modeler, un outil de modélisation reposant sur un navigateur internet.

Pour John Newton, l'émergence du BPMN comme standard pour la modélisation et l'exécution, est l'impulsion dont le BPM Open Source avait besoin. « Le BPMN est supporté par quelques grandes noms comme Microsoft, Oracle et Tibco. Nous attendions quelque chose comme ça parce que le BPEL s'est avérée impraticable pour le BPM « pure player ». Le  XPDL aurait pu être l'autre solution, mais il a manqué le coche. » Activiti, qui sera disponible en version gratuite et Open Source avant la fin de l'année, es également soutenu par plusieurs autres fournisseurs, notamment SpringSource, une filiale de VMware et la société allemande Camunda, qui a contribué à mettre au point certains des outils de surveillance du système.

Selon John Newton, trois éléments importants plaident en faveur de son produit : «Tout d'abord, la licence libre, qui fait que vous n'avez pas à débourser le moindre centime, d'autre part le support de la nouvelle norme BPMN - cela signifie que les processus métiers seront la prochaine étape, et enfin, le fait que, sur le plan de l'architecture, ce n'est pas une grosse application. » Pour lui,  « l'intérêt se trouve dans les marchés connexes. Ceux qui veulent un référentiel pour stocker ce type de processus, peuvent acheter ce service ou nous pouvons leur vendre de la gestion de contenus associée au produit. »

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