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(12/11/2009 15:04:51)

Forum PHP : Vers une interopérabilité des frameworks

Pour sa 9e édition, le Forum PHP a investi le centre de conférences de la Cité des sciences et de l'industrie. Enfin, quelques salles, plus précisément, mais pour une audience en hausse, avec 350 inscrits, précise Cyril Pierre de Geyer, co-fondateur de l'Afup (Association française des utilisateurs de PHP), qui organise l'événement - en partenariat cette année avec LeMug.fr, association française des utilisateurs de MySQL. Sur deux jours, les 12 et 13 novembre, sont passés en revue les principaux sujets du moment, notamment la version 5.3 du langage Open Source (sortie en juin dernier), qui introduit des changements relativement importants. Fabien Potencier, qui doit intervenir vendredi matin sur le sujet, explique que cette dernière a fait polémique parmi les éditeurs de frameworks. Dans la mesure où le passage à la version 5.3 casse la compatibilité, explique-t-il, « tout le monde prend prétexte des avancées de la 5.3 pour se livrer à un nettoyage en profondeur des frameworks ». Les éditeurs de frameworks ont commencé à travailler ensemble Cofondateur de Sensio, éditeur du framework Symfony, Fabien Potencier pensait à l'origine rester fidèle à PHP 5.2. « Nous avons essentiellement une clientèle de grandes entreprises, et certaines ont fait des choix qui les bloquent pour plusieurs années. Or, si nous avons créé un framework à l'origine, c'était pour répondre aux besoins de nos clients. » Finalement, le président de Sensio a changé son fusil d'épaule : la version 2.0 de Symfony, attendue courant 2010, sera basée sur PHP 5.3. Les nouveaux projets pourront donc bénéficier des apports de cette évolution, qui vise à rendre PHP viable pour des applications transactionnelles complexes. « Mais les clients des versions 1.3 et 1.4 de Symfony auront trois ans de support communautaire, ou cinq ans s'ils optent pour un support payant. » Autre bénéfice, les éditeurs de frameworks (Cake, Symfony, Zend...) ont commencé à travailler ensemble, et devraient aboutir, lors de la sortie des versions 2 de tous ces cadres applicatifs, à la formation d'un groupe d'interopérabilité facilitant la combinaison de modules de ces différents frameworks. (...)

(09/11/2009 16:59:46)

Des outils de développement de Google passent en Open Source

Google a décidé de distribuer en Open Source plusieurs de ses outils de développement réunis pour l'occasion dans la famille Closure Tools , afin que les développeurs externes les reprennent pour créer des applications web plus rapides. Ces outils ont notamment servis à la conception d'applications web aussi connues que Gmail, Google Docs et Google Maps, indique Amit Agarwal, responsable produit chez Google. « En autorisant et en fournissant aux développeurs les mêmes outils qu'utilise Google, nous espérons qu'ils réaliseront non seulement des applications plus sophistiquées mais également beaucoup plus véloces. C'est pour cette raison que nous proposons ces outils en dehors de la communauté Google », explique t-il. Avec cette annonce, Mountain View entend amener les développeurs à exploiter ses technologies plutôt que d'utiliser les trousses à outils de Microsoft ou Mozilla. Un compilateur, des bibliothèques Javascript et un générateur de templates Parmi les outils, on trouve Closure Compiler, qui simplifie, optimise et consolide le code Javascript pour le rendre plus rapide et plus performant, tout en optimisant son fonctionnement avec des connexions Internet bas débit. Google propose également Closure Library, une bibliothèque Javascript qui contient un ensemble de services et de composants applicatifs standards, fonctionnant sur différents navigateurs. « Elle a servi de bibliothèque Javascript standard pour la plupart des applications que Google utilise aujourd'hui », précise Amit Agarwal. « Elle offre des possibilités très étendues, tout en restant modulaire et robuste ». Parmi ces outils Open Source, on trouve encore Closure Templates pour automatiser la création dynamique de code HTML. Les modèles générés par cette application sont utilisables en Javascript sur des machines clientes ou en Java sur des serveurs. (...)

(05/11/2009 17:33:04)

Le torchon brûle entre Oracle et Bruxelles

Les rumeurs vont bon train depuis quelques heures à propos de l'avis que doit rendre la Commission Européenne sur le rachat de Sun par Oracle. Et pour les alimenter, les sources à la fois anonymes et proches du dossier s'expriment de plus en plus souvent. Il faut avouer que le sujet est d'importance. Bruxelles serait tout simplement en passe de s'opposer formellement à l'acquisition. C'est ce que croit savoir, par exemple, le quotidien économique américain The Financial Times qui cite une personne proche du dossier, et anonyme. Selon cette dernière, Oracle aurait refusé toute concession aux régulateurs européens, face aux inquiétudes de ceux-ci quant au rachat. La Commission refuse de commenter, mais des proches d'Oracle -anonymes- racontent que l'éditeur, lui, se prépare à un combat agressif, si Bruxelles mettait son veto au rachat. Les régulateurs du Vieux-Continent auraient néanmoins confirmé qu'en cas de refus, il leur faudrait prendre rapidement leur décision pour laisser suffisamment de temps à la procédure de se dérouler avant la date butoir du 19 janvier. En cas d'opposition européenne, les gants de boxe seront de sortie "Le jeu changerait du tout au tout si la Commission prenait cette direction," explique une personne familière de la façon de penser chez Oracle, qui insiste pour garder... l'anonymat. Et d'ajouter : "jusqu'ici, Oracle s'est retenu, et contrairement à ce que dit la Commission, il a donné, en grande quantité, des réponses à ses questions." Les régulateurs s'interrogent en particulier sur une éventuelle position hégémonique d'Oracle - qui récupérerait MySQL-, IBM et Microsoft dans le monde des bases de données. Selon ce même observateur, la frustration des autorités européennes est palpable. La Commission a été prévenue de l'accord début août, à un moment où nombre d'officiels sont en vacances. Seuls les moins expérimentés d'entre eux étaient aux manettes pour gérer la situation, réduisant les chances d'obtenir une réponse rapide et positive. « Si la Commission s'oppose au rachat, ce sera la guerre », confie cette personne. En référence à la gestion la plus controversée d'une fusion par les régulateurs européens, ces dernières années, elle ajoute que la tempête politique qui en résulterait s'apparenterait à l'affaire du « rachat d'Honeywell par General Electric, mais sous stéroïdes. Après un refus de la Commission en 2001, le président des Etats-Unis de l'époque, Georges Bush avait dû intervenir en personne. Même si avec Barack Obama désormais à la Maison Blanche, les choses ont changé drastiquement, le proche d'Oracle assure que les retombées politiques seraient encore plus graves. « Quand GE dialoguait avec la Commission, pas un emploi n'a été perdu chez Honeywell. Sun, lui, en a supprimé des milliers et pourrait tout simplement couler si le rachat ne se concrétise pas. » "Certains politiciens endurcis, y compris la porte-parole de la Maison Blanche, Nancy Pelosi son prêts à intervenir en faveur d'Oracle et de Sun, mais on leur aurait demandé d'attendre pour l'instant. Mais si la Commission décide émet une déclaration d'objections (SO, statement of objections) la semaine prochaine, on va sortir les gants- et il ne sera plus temps d'attendre." (...)

(05/11/2009 14:00:43)

PSA déploie la démarche qualité Open Source Squale

Parmi les leviers permettant de diminuer les coûts de développement, il en est un relativement peu utilisé : l'amélioration de la qualité. Le groupe PSA Peugeot-Citroën a décidé de s'en servir, en déployant à grande échelle la démarche et les outils du projet Squale. Financé notamment par le pôle System@tic et ses principaux contributeurs, la SSII Qualixo et Air France en tête, le projet Squale (pour Software QUALity Enhancement) vise à « assister les développeurs dans l'amélioration du code de leurs projets, aider les chefs de projet à atteindre les objectifs de qualité de leurs applications, et donner aux dirigeants des tableaux de bord leur permettant de superviser la santé globale de leur système d'information ». Squale propose à la fois des modèles, issus du savoir-faire des participants (SSII, grands comptes, mais aussi centres de recherche comme l'Inria), et des outils en Open Source (licence LGPL) pour afficher et interpréter les métriques. Au plus haut niveau, le portail de Squale peut ainsi évaluer 6 grands facteurs (qui seront illustrés par des notes et des pictogrammes empruntés à la météo) : « capacité fonctionnelle, architecture, évolutivité, maintenabilité, réutilisabilité, fiabilité ». Outre cette météo claire du projet en cours, le but, explique Fabrice Bellingard, de Qualixo, responsable du projet Squale, est de « proposer un plan d'action, avec les choses à corriger en priorité ». Thierry Bey, responsable entité Langages, Qualité et Processus de Développement de PSA Peugeot Citroën, explique dans un entretien exclusif avec LeMondeInformatique.fr, que la mise en oeuvre de Squale dans les projets pilotes a déjà permis une bien meilleure adhérence des développeurs aux bonnes pratiques et aux règles mises en place au sein de PSA. Et si le caractère Open Source de Squale en fait une solution peu onéreuse, il insiste surtout sur le caractère participatif de la démarche, qui résulte d'une réflexion menée avec plusieurs grands comptes. Ce qui représente une garantie par rapport à ses propres besoins, mais est aussi synonyme de crédibilité au sein de sa propre DSI. (...)

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