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Open Source

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(20/04/2009 16:05:46)

Oracle-Sun : un sacré coup à l'Open Source, pour Forrester

Henry Peyret, analyste principal chez Forrester, l'avoue d'emblée : « Je n'avais pas du tout pensé à l'hypothèse d'un rachat de Sun par Oracle. » D'ailleurs, sur le papier, la synergie n'est pas évidente : Oracle n'a aucune expérience dans le matériel, il y a beaucoup de recouvrement dans le logiciel, aucun des deux acteurs n'a de branche services, et la stratégie de Sun dans l'Open Source était plutôt de constituer une offre concurrente à celle d'Oracle. Et quant aux objectifs financiers fixés par Oracle (plus de 1,5 Md$ de marge brute supplémentaire la première année), Henry Peyret dit en rester pantois, vu les performances économiques actuelles de Sun. Interview. LeMondeInformatique.fr : Quel est votre sentiment après l'annonce de cette acquisition ? Henry Peyret : D'abord je pense que cela fera énormément de mal à l'Open Source. Oracle a fait de l'Open Source pour soutenir Linux, mais sur les autres segments, les offres Open Source sont fortement concurrentes. J'étais encore chez Oracle la semaine dernière, pour parler de leur stratégie middleware. J'ai évoqué la tendance au 'lean software', portée notamment par l'Open Source, qui va vers plus de simplicité - les clients choisissant uniquement les composants dont ils ont besoin - et des coûts réduits. Or Oracle n'en parle absolument pas, leur stratégie est de vendre uniquement du bundle, toujours plus cher. Il va falloir qu'Oracle précise rapidement ses intentions sur l'Open Source. Pensez-vous qu'il y ait une chance qu'Oracle annonce finalement son intention de se séparer de l'activité hardware ? Je dirais qu'il y a une chance qu'Oracle se sépare des activités de type processeurs et lames, et reprenne à son compte la stratégie de Sun avec ses containers [une offre de datacenters autonomes livrés dans des containers, NDLR]. Si Oracle continue cette démarche tout en y ajoutant de la base de données et de l'ERP [progiciel de gestion intégré], on pourrait quasiment arriver à un système d'information sur étagère, ce serait très impressionnant. Il pourrait livrer à un client une boîte Oracle Applications pour 1000 utilisateurs comprenant tout ce qu'il faut : ERP, middleware, serveurs, climatisation, etc. Oracle pourrait aussi devenir un acteur majeur du cloud ? Oui, bien sûr. Toutefois, il lui manquera ce qui a manqué à Sun : la partie services. Jonathan Schwartz avait une bonne stratégie, Sun aurait pu avoir du succès s'il avait racheté une société de services, comme HP ou IBM ; c'est lui qui aurait dû racheter EDS. Oracle devrait le faire aussi. Racheter gros. S'il achetait Capgemini, par exemple, il deviendrait plus puissant qu'IBM, avec en outre la crédibilité conférée par l'offre d'ERP. Cette omniprésence du rouge Oracle ne va-t-elle pas créer un effet dissuasif, comme ce fut le cas avec le bleu IBM ? Oh, si, mais l'effet dissuasif existait déjà. Parmi les anciens clients de BEA, beaucoup regardent du côté de l'Open Source.

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(14/04/2009 18:15:24)

Novell soutient les processeurs ARM du bout d'OpenSuse

Ira, ira pas ? Novell affirmait le mois dernier qu'il n'y avait plus de portage en cours de Suse sur processeur ARM pour netbook. Avant d'ajouter, la semaine dernière, un bémol : sa communauté OpenSuse Project supporte le packaging de plusieurs distributions pour processeur ARM. Elle utilise pour cela les outils 5e de l'éditeur allemand Datasoft pour assurer le portage sur différentes architectures, dont ARM, de distributions comme Ubuntu, Debian, Fedora et... OpenSuse. Novell, dont la distribution Suse avait été choisie début 2008 par nombre de fabricants des premiers netbooks, garde donc un fer au feu dans le monde ARM/Linux, malgré les liens qui l'attachent à Microsoft. Même si la première génération de netbooks à base de Linux a été balayée par Microsoft et Intel fin 2008, la guerre n'est pas finie. Faute d'un OS à la fois léger et performant, Microsoft maintient artificiellement en vie Windows XP : Vista épuise déjà un portable équipé d'un processeur Core d'Intel et Windows Mobile 6 manque de fonctions. Un rapport performance/autonomie inégalée Face à ce couple XP/Atom handicapé par la différence d'âge, le dynamisme de celui constitué par ARM/Linux attire toujours. Au coeur de la dernière génération de téléphones mobiles multimédia (iPhone, HTC, Android G1), les processeurs ARM brillent par leur rapport performance/autonomie inégalé. Cadencée jusqu'à 1 GHz, la génération qui arrive promet de meilleures performances. Texas Instruments et Qualcomm, qui fournissent la quasi-totalité des fabricants de téléphones multimédia, mais aussi Marvell (Xscale), Freescale (ex-Motorola) et Nvidia ont entre les mains des puces dont la puissance taquine celle de l'Atom tout en étant beaucoup moins voraces. ARM a conçu les processeurs Cortex A8 et A9 (architecture ARMv7) sur lesquels repose la série OMAP 3xxx de Texas Instruments (tablette multimedia Archos 5, téléphone multimedia Palm Pre), le jeu de composants Tegra APX de Nvidia et le Qualcomm Snapdragon (QSD8250). Ce sont ceux que l'on trouve dans l'étonnant Toshiba TG01. Un téléphone multimédia sous Windows Mobile 6.1. L'architecture ARMv7 d'ARM, qui se concentre sur la conception de ses processeurs et laisse à ses clients OEM le soin de les fabriquer, intègre des évolutions d'envergure, dont le multiprocessing. De plus en plus étroit, le fossé entre téléphone multimédia et tablette Internet / netbook va être franchi d'ici la fin de l'année. Et ce sont les adeptes d'ARM qui sauteront le pas. Archos promet ainsi pour le troisième trimestre sa première tablette Internet basée sur un processeur ARM et l'Android de Google qui utilise un noyau Linux. D'autres prototypes circulent du côté des fabricants asiatiques. Chez Asus, on parle d'un produit à moins de 200$, prix impossible à obtenir en choisissant le duo Windows XP/Atom. La semaine dernière, l'annonce par Intel du transfert de sa communauté Moblin (Mobile Linux - Fedora) au sein de la Linux Foundation indique que sa relation avec Microsoft n'est pas exclusive. Quant à Adobe, très actif sur les logiciels liés à Internet, il optimise Flash pour les processeurs ARM. (...)

(07/04/2009 18:15:04)

Windows XP finit 2008 installé sur 96% des netbooks

De moins de 10% au premier semestre 2008, la part de Windows XP sur les netbooks américains atteint désormais 96%. Ce gain de part de marché au détriment des distributions Linux se solde sur l'année par une base installée équipée à 75% de Windows XP, constate le cabinet d'études NDP. Sur cette période, les netbooks ont aussi évolué. Des premiers modèles, très frustres, avec moins de 1 Mo de mémoire, une capacité de stockage de 1 à 4 Mo sur mémoire flash et un écran de 7 pouces de diagonale, on est passé à des machines équipées de processeurs Atom d'Intel, d'un Go de RAM, de plus de 100 Go de stockage et d'écrans qui dépassent les 10 pouces. Pour 2009, les jeux sont loin d'être joués. Le camp Linux prépare une offensive avec des systèmes à moins de 200 €. Outre le prix, ces machines équipées de processeurs ARM devraient partager avec les téléphones mobiles des caractéristiques comme le démarrage instantané et une autonomie qui se calculerait plus en jours qu'en heures. Ce n'est un secret pour personne, HP et Asustek préparent des systèmes de ce type animés par Android, le système d'exploitation de Google qui utilise un noyau Linux. Ont-ils le choix alors que Microsoft clame partout que Windows XP est en fin de vie et que Vista épuise déjà les ressources des portables standards ? (...)

(07/04/2009 17:53:39)

Solutions Linux: davantage de décideurs intéressés par l'Open Source

Si la relocalisation du salon Solutions Linux de La Défense à la Porte de Versailles a généré un inconfort certain pour les exposants et les conférenciers, le public a lui été au rendez-vous, d'après les organisateurs. Le salon a accueilli sur trois jours, du 30 mars au 1er avril, 8 458 visiteurs, d'après Tarsus, soit « une progression de 12,5% relativement à l'édition précédente ». L'audience se répartit à parts à peu près égales entre grands comptes (31%), PME (39%) et TPE (30%). En outre, les profils de direction sont plus nombreux que les années précédentes : « Le profil des visiteurs évolue lui aussi avec 29 % de dirigeants contre 16% en 2008 ». Sans doute un effet de la crise, qui nimbe d'un éclairage particulier les solutions Open Source, surtout connues pour leur gratuité. Mais comme le montre notre dossier publié à l'occasion de Solutions Linux, les acteurs du Libre doivent encore s'organiser pour retenir les clients attirés par les perspectives d'économies. (...)

(06/04/2009 17:55:54)

SugarCRM déployé en mode hébergé par Coca-Cola Enterprise en France

Coca-Cola Enterprise, embouteilleur des produits Coca-Cola distribués en France, en Belgique, en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas, notamment, s'appuie sur le logiciel de gestion de la relation client (CRM) en Open Source SugarCRM, afin de suivre les 4 000 clubs de sport de son portefeuille. Le logiciel, utilisé ici dans une version hébergée par l'intégrateur Synolia, vient s'insérer dans un projet plus global. Synolia a développé pour Coca-Cola Enterprise un site de commerce électronique qui reçoit les prises de commande de ces 4 000 clients au profil spécifique. SugarCRM a été interfacé à cette plateforme de e-commerce, elle-même reliée au système d'information de l'opérateur logistique qui achemine les commandes. Le logiciel est utilisé par le centre d'appels de Coca-Cola Entreprise. Une vingtaine de téléconseillers peuvent à la fois prendre les commandes en ligne, traiter les demandes clients remontées du site de e-commerce et renseigner sur le statut des livraisons grâce aux données transmises par la plateforme logistique. L'application s'intègre par ailleurs au système de gestion des commandes et de la logistique géré sur AS/400. En accédant à l'historique des commandes et des relations avec les clients, les utilisateurs de SugarCRM peuvent également mener des actions de relance et de prospection. La solution a été déployée par Synolia entre juillet et octobre 2008. D'autres projets doivent être déclinés dans l'entreprise autour de SugarCRM sur le modèle de cette première réalisation. (...)

(03/04/2009 18:42:37)

Solutions Linux : Jean-Pierre Laisné dresse un bilan « au milieu du gué »

Dans une interview avec LeMondeInformatique.fr, Jean-Pierre Laisné, directeur de la stratégie Open Source de Bull et président du consortium OW2, revient sur 10 ans de Solutions Linux en France, et le travail accompli jusque là par les acteurs de l'Open Source. S'il est satisfait de voir que les chamailleries sont sur le déclin, Jean-Pierre Laisné estime qu'il reste encore beaucoup à faire. Du côté des acteurs du Libre, qui doivent sortir de la technique pour apprendre à faire du marketing « dans le sens de l'accès au marché », et à parler métier avec les dirigeants de PME. Le consortium OW2 n'échappe d'ailleurs pas à ce constat. Mais il y aussi beaucoup à faire du côté des éditeurs de tout poil, et notamment dans le cloud, qui à trop puiser dans le vivier de l'Open Source sans rien donner en retour risquent de tarir la corne d'abondance. Concernant l'éventuel rachat de Sun par IBM, Jean-Pierre Laisné propose une explication géopolitique : et si c'était pour éviter une OPA chinoise ? Interview, réalisée à l'occasion de Solutions Linux, à lire ici. (...)

(03/04/2009 18:35:42)

Solutions Linux : Sous le logiciel libre, le développement durable

Le salon Solutions Linux a fermé ses portes hier, jeudi 2 avril. Les allées étaient un peu plus clairsemées que les premiers jours, selon les exposants. Mais ces derniers étaient néanmoins plutôt satisfaits. Ainsi Wallix, spécialiste de la sécurité, a-t-il vu passer sur son stand davantage de visiteurs professionnels avec de vrais projets en tête que les années précédentes. De son côté, Marc Saboureau, directeur d'agence pour l'éditeur Makina Corpus a croisé nombre de SSLL (Société de service en logiciel libre) intéressées par son offre. Peu d'exposants affichaient leur intérêt pour le green IT sous quelque forme que ce soit. Une exception avec l'intégrateur SuperMicro qui se targuait sur un pan entier de son stand de construire des solutions de datacenters économes en énergie. Reste à savoir si cela traduit un total désintérêt de la communauté ou, au contraire, s'il s'agit d'une deuxième nature qu'il est inutile de revendiquer davantage. Marc Saboureau affirme lui qu'il existe « une logique pour les gens du libre à se porter vers ces thématiques. » Il évoque en particulier ses employés recrutés depuis 2006 (l'entreprise est passée de 2 à 40 personnes entre 2006 et 2007). Le Green IT donne encore plus de sens à leur métier. Les SIG libres au service du développement durable Sans qu'il en fasse un étendard, Makina Corpus, spécialisé en particulier dans les applications autour des SIG, répond en effet aux besoins liés au développement durable pour un bon nombre d'entreprises. Il travaille aussi avec les institutions idoines comme le Meeddat (Ministère de l'Ecologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire) et l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) pour certains sites de communication. Il a développé le portail consommer-responsable.com destiné à identifier et localiser les services responsables à Nantes et à Angers ou encore le site de coivoiturage Bison vert. Mais il s'attaque aussi à des projets plus complexes, par exemple avec Safe Med, système de traçabilité des navires dans le bassin méditerranéen. A partir de données récoltées par une organisation spécialisée, les divers bâtiments sont ainsi identifiés et localisés. (...)

(03/04/2009 16:02:22)

TomTom achète à Microsoft la tranquillité d'esprit pour ses clients

Microsoft et TomTom ont enterré la hache de guerre... de façon très logique, après que TomTom eût lui-même contre-attaqué en accusant Microsoft de violation de sa propriété intellectuelle, puis en se rapprochant de l'OIN. Aux termes de l'accord, Microsoft, qui avait le premier accusé TomTom de violer ses brevets concernant le système de fichiers FAT, ne versera aucune indemnité à TomTom. Ce dernier en revanche paiera un montant non divulgué à Microsoft, et s'engage, dans les deux ans, à utiliser une alternative technologique au système breveté par Microsoft. Fait rare dans ce type d'affaires, l'accord n'a pas été dévoilé dans un communiqué commun. C'est Microsoft qui a pris la responsabilité de le rendre public. Du côté de TomTom, même le 'directeur des relations corporate', seul habilité à parler avec la presse de sujets sensibles - c'est-à-dire susceptibles d'affecter le cours de l'action - se retranche derrière un « no comment », et renvoie vers des commentaires publiés dans la communauté Linux. Dans ces commentaires, on explique que s'il y a eu règlement à l'amiable, l'affaire n'est pas conclue pour autant. De fait, aucun tribunal n'a pu ainsi donner explicitement son avis sur la validité (ou l'invalidité) des brevets de Microsoft. Or, la communauté Linux aurait bien voulue être fixée sur ce point. Du coup, l'accord ressemble furieusement à celui signé entre Microsoft et Novell. En l'espèce, TomTom protège ses utilisateurs et ses actionnaires de toute action de Microsoft, mais permet à ce dernier de laisser planer une certaine menace au-dessus de Linux. (...)

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