Flux RSS

Open Source

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1843 documents trouvés, affichage des résultats 471 à 480.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(02/04/2009 16:33:55)

Solutions Linux : la crise vue comme une opportunité

Il ne faut pas se leurrer, la crise n'épargnera pas le monde de l'Open Source. Toutefois, il s'y trouve beaucoup d'optimistes pour décréter que la crise peut devenir une opportunité - à condition de bien faire les choses. Voilà une partie du message qui a été délivré à l'occasion de Solutions Linux, pendant trois jours d'exposition et de conférences (du 31 mars au 2 avril à Paris, Porte de Versailles). « Il n'y aura pas d'effet Tchernobyl, le nuage de la crise ne s'arrêtera pas aux TIC. » Philippe Montargès, président et co-fondateur d'Alter Way, est intervenu en ouverture de Solutions Linux. Pour lui, comme pour de nombreux acteurs de l'Open Source, pas de doute, de nombreuses entreprises vont se tourner vers le monde du Libre à cause des nouvelles contraintes économiques. Mais c'est à double tranchant, souligne-t-il : « Si les DSI restent dans une logique financière, elles iront voir ailleurs quand cela ira mieux. » Cette opportunité doit donc s'accompagner d'une mutation du secteur, et notamment d'une consolidation - thème cher à Alter Way, constitué justement de plusieurs structures à force d'acquisitions - afin de présenter aux DSI un type d'interlocuteur avec lequel ils ont l'habitude de traiter. « Le danger actuellement, c'est que l'Open Source soit perçu comme une solution low cost » Cette mutation, nous a expliqué Philippe Montargès, permettra d'accompagner le client au travers des arcanes du Libre. Car, « pour beaucoup de DSI, le monde de l'Open Source a un aspect nébuleux », or l'enjeu est de dépasser le strict cadre de la gratuité pour convertir ces nouveaux clients au modèle du Libre. « Il faut qu'on profite de la crise pour faire adhérer les DSI à l'Open Source, sinon les projets qu'ils font pour des raisons économiques ne seront pas convertis. Le danger actuellement, c'est que l'Open Source soit perçu comme une solution low cost, temporaire, ce serait catastrophique. Si l'on compare avec l'industrie automobile, on serait plutôt en train de construire un modèle hybride, d'avenir, qu'un modèle low cost. » Toutefois, la crise pourrait aussi avoir pour effet de réduire la capacité de financement des grands sponsors traditionnels de l'Open Source. Jean-Pierre Laisné, directeur de la stratégie Open Source de Bull et président du consortium OW2, nous a par exemple indiqué être en train de reconsidérer le modèle économique : « Les membres sont prêts à continuer de financer... si tout le monde joue le même jeu. » De même, intervenant sur l'une des conférences, sur le thème des formats et de l'interopérabilité, Sophie Gautier, membre éminent du projet OpenOffice.org désormais employé par Linagora, n'a pas caché être dans la plus totale expectative : nul ne sait ce qui se passera si IBM rachète effectivement Sun, de loin le plus gros contributeur à la suite bureautique libre. (...)

(27/03/2009 16:51:14)

L'April présente un plan d'action combatif pour 2009 et au-delà

Fière du travail accompli, l'April entend continuer sa lutte contre les « lobbies qui ne comprennent pas que le monde change, ou qui ne peuvent ou ne veulent pas embrasser ce changement ». L'association de défense et de promotion du logiciel libre vient de publier son rapport moral, suite à l'assemblée générale de février dernier. D'abord, l'association se flatte d'avoir multiplié par 8 en 2 ans le nombre d'adhérents, notamment grâce à la dernière campagne d'adhésion, largement relayée dans la presse et les blogs. L'April a d'ailleurs accru son importance en Ile-de-France, puisque 30% de ses membres y résident, et que la Région elle-même est membre. A ce jour, l'April compte plus de 4 500 adhérents. Surtout, l'association rappelle les combats qu'elle a menés en 2008, concernant notamment la vente liée, Microsoft et l'interopérabilité, le plan Besson pour le Numérique, la normalisation d'OpenXML, l'atteinte de la Dadvsi au droit à la décompilation, jusqu'à ces jours derniers avec l'éventuel flicage prévu par l'Hadopi... D'ici à 2014, l'April voudrait passer à 6 permanents et à 10 ou 15 000 membres Forte de la reconnaissance obtenue dans les médias généralistes et les cercles politiques et administratifs, l'April voudrait continuer dans cette voie en doublant le nombre de ses permanents, qui passerait de 3 (Frédéric Couchet, Eva Mathieu et Alix Cazenave) à 6 personnes d'ici à 2014. L'association présidée depuis 2004 par Benoît Sibaud espère que, dans le même temps, le nombre de ses adhérents grimpera à 10 000 voire 15 000 personnes, afin de renforcer « son influence auprès des pouvoirs publics et ses moyens d'action, les adhésions de ses membres représentant la principale source de financement de l'association ». Dans sa « feuille de route 2009-2014 », l'April indique qu'elle entend garder le cap des actions qu'elle mène depuis 12 ans : « Côté pile, l'April va faire de son mieux pour informer gouvernements et parlements, leur démontrer que le logiciel libre, l'interopérabilité, les formats ouverts et les biens communs informationnels sont autant d'atouts pour le pays ou l'Europe, pour les citoyens et pour l'industrie qu'ils se doivent de promouvoir. Côté face, elle redoublera de vigilance pour dénoncer toute nouvelle atteinte au logiciel libre et aux libertés numériques, pour les empêcher autant que faire se peut et pour garantir la sécurité de développement du logiciel libre. » (...)

(25/03/2009 16:41:37)

Microsoft propose des programmes Open Source, dont PHP, aux développeurs Web

La plateforme d’outils gratuits de Microsoft pour les développeurs Web s’enrichit de programmes Open Source, et notamment des applications PHP. La promotion de ce langage de script par Microsoft, au même niveau que son propre langage ASP.Net, peut surprendre au premier abord. Toutefois, on se souvient que la collaboration de Microsoft avec Zend Technologies, l’inventeur de PHP, ne date pas d’hier. Et que tout comme il l’a fait avec JBoss, Microsoft préfère faire en sorte que les outils populaires – même Open Source et concurrents de ses propres produits - puissent tourner avec le maximum d’efficacité sur Windows, pour ne pas laisser le champ libre à Linux. En l’occurrence, la version bêta de Microsoft Web Platform Installer 2.0 comprend donc, outre les propres outils Web gratuits de Microsoft (le serveur Web IIS, la base SQL Server 2008 Express, le framework .Net et l’atelier Visual Web Developer Express), une version de PHP pour Windows, ainsi que plusieurs outils Open Source et/ou gratuits écrits en .Net ou en PHP, pour mettre en place un blog (Wordpress, dasBlog, SubText, BlogEngine.Net), gérer du contenu (DotNetNuke, Umbraco, Acquia Drupal, SilverStripe CMS), supporter un wiki (ScrewTurn Wiki) ou une galerie photo (Gallery). (...)

(25/03/2009 15:12:13)

Octo Technology : « Les RIA de Microsoft et Adobe ont un niveau de maturité assez exceptionnel »

L’internétisation des applications de gestion a beau être un néologisme barbare, il s’agit aussi d’une réalité. Qui a souvent mal tourné, les interfaces HTML n’offrant pas la même productivité que leurs prédécesseurs sur clients lourds. Aujourd’hui, estime Djamel Zouaoui, architecte senior d’Octo Technology dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, les technologies d’applications Internet riches (RIA) offrent la productivité attendue à la fois par les utilisateurs et par les développeurs. Djamel Zouaoui animera, en duo avec son collègue David Alia, une session sur le sujet des RIA lors de la prochaine Université du SI d’Octo Technology (les 1er et 2 juillet prochains à Paris, en partenariat avec LeMondeInformatique.fr). Le propos des deux consultants, focalisé sur Flex d’Adobe et Silverlight de Microsoft, privilégie le pragmatisme. Au risque de susciter une petite polémique, car ce choix délibéré écarte de fait plusieurs autres solutions, notamment en Open Source, mais aussi et surtout des technologies plus respectueuses des standards, alors qu’Adobe comme Microsoft s’appuient chacun sur leur ‘player’. Interview à lire et à commenter sur le blog Ingénierie logicielle. (...)

(24/03/2009 17:17:39)

TomTom se place sous le parapluie de l'OIN

La plainte de Microsoft envers TomTom pour violation de sa propriété intellectuelle dans son implémentation de Linux aura au moins eu un effet bénéfique pour la communauté Open Source : le fabricant de GPS a spontanément décidé d'adhérer à l'Open Invention Network (OIN), un organisme dont le but est d'accumuler les brevets liés à l'Open Source en général et à Linux en particulier afin d'en protéger les utilisateurs. Quiconque adhère à l'OIN s'engage en effet à ne jamais attaquer Linux, et obtient en contrepartie une licence gratuite pour tous les brevets détenus par l'OIN. Soutenu par des entreprises comme IBM, Novell, Red Hat ou Sony, l'OIN dit détenir plus de 275 brevets (enregistrés ou en cours d'examen). Outre ce portefeuille, l'OIN peut fournir une aide juridique appréciable à tout membre qui serait attaqué en justice. Le patron de la propriété intellectuelle de TomTom, qui déclare dans un communiqué que cette adhésion « encouragera le développement de Linux », omet pudiquement de préciser ce point, alors que TomTom est engagé dans une bataille juridique avec Microsoft. (...)

(24/03/2009 14:22:28)

Suse Linux Entreprise 11 sous le signe de la cohabitation avec Microsoft et de la virtualisation

Novell livre la version 11 de Suse Linux Entreprise (SLE), deux ans après la version 10. Issue d'OpenSuse 11, SLE est la distribution supportée par Novell auprès des entreprises. Elle traduit à la fois les liens qui unissent Novell à Microsoft et l'effort de l'éditeur pour s'adapter à la virtualisation des serveurs. SLE est proposée en deux versions. Une pour serveurs, Suse Linux Enterprise Server (SLES), et une pour poste individuel, Suse Linux Enterprise Desktop (SLED). Les deux reposent sur la version 2.6.27 du noyau Linux. Deux fonctions de SLE 11 s'expliquent par la collaboration entre Novell et Microsoft. On y trouve ainsi pour la première fois Mono, qui permet de faire tourner sur Linux des applications écrites pour le framework .Net, ainsi que son dérivé MoonLight, version Linux de Silverlight 2.0, client riche que Microsoft pose en concurrent de Flash/Flex d'Adobe. Novell confirme aussi son attachement à l'hyperviseur open source Xen 3.3 soutenu à la fois par Citrix et Microsoft. Une façon de se démarquer de Red Hat qui a annoncé le mois dernier faire de l'hyperviseur KVM (Kernel-based virtual machine) son prochain cheval de bataille. Toujours dans le domaine de la virtualisation, SLES 11 devrait prochainement recevoir le Studio Appliance Toolkit qui permettra à des entreprises ou des éditeurs tiers de créer des 'appliances' virtuelles avec un JeOS (Just Enough Operating System), version minimaliste de SLES. Moonlight, OpenOffice et Firefox en standard dans Sled 11 Novell compte aussi enrichir ses pilotes paravirtualisés (Virtual Machine Driver Pack) pour Windows Server 2003 et 2008, Windows XP, Vista et, également, pour REHL 4 et 5. SLES 11 intègre aussi de nouvelles extensions pour la haute disponibilité. Quant à la version desktop, SLED 11, elle marque un net progrès en termes de facilité d'utilisation, en particulier dans la dimension multimédia avec la présence de Banshee et, aussi, de MoonLight. Elle est aussi livrée avec la dernière version d'Evolution, client mail professionnel compatible avec Microsoft Exchange. SLED utilise la version 2.24 de l'interface Gnome et la 4.1.3 de KDE. L'OS est livré avec les versions 3.0 d'OpenOffice et de Firefox. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >