Flux RSS
Open Source
1843 documents trouvés, affichage des résultats 481 à 490.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(18/03/2009 09:28:43)
IBM serait en pourparlers pour acheter Sun
Selon le Wall Street Journal qui a contacté des sources proches des deux enterprises, IBM serait en discussion pour acheter Sun Microsystems. La publication signale que l'opération pourrait être concrétisée dès cette semaine et estime à 6,5 Md$ le montant de la possible transaction. Les rumeurs d'un rachat de Sun ne sont pas nouvelles. Et qu'il s'agisse de Java, du cloud computing, des datacenters, du marché des télécoms, les raisons pour IBM d'être candidat ne manquent pas. Sans surprise, ni IBM, ni Sun, contactés en France, ne souhaitent commenter ces rumeurs. (...)
(17/03/2009 18:06:24)Selon IDC, Linux profiterait de la crise
Linux profite de la crise. C'est tout du moins ce que laisse penser 300 responsables informatiques américains interrogés par IDC pour le compte de Novell, éditeur de la distribution Suse de l'OS Open Source. D'après ce sondage conduit le mois dernier, plus de 72% des responsables interrogés affirment soit être en phase d'évaluation, soit avoir déjà décidé d'accroître leurs investissements sur Linux pour leurs serveurs. Ils sont 68% dans le même état d'esprit pour l'équipement de leurs PC. Tous justifient leurs réponses par leur volonté de réduire les coûts de support. D'ici cinq ans, 49% considèrent que Linux sera leur principale plateforme pour leurs serveurs. Avec un taux d'adeptes de 69% pour les serveurs et de 63% pour les desktops, le secteur de la distribution est le plus engagé sur Linux. L'étude met aussi en avant le fait que 67% des responsables informatiques interrogés considèrent que l'interopérabilité entre Linux et Windows ainsi que la facilité d'administration figurent parmi les critères de choix les plus importants. L'étude a été commandée par Novell alors qu'il s'apprête à lancer les prochaines versions de son OS. (...)
(13/03/2009 15:10:57)Open Source Think Tank : L'Open Source doit apprivoiser les DSI
Eric Barroca, président du directoire de Nuxeo, est rentré de l'Open Source Think Tank la semaine passée avec une dernière tribune sur cette manifestation. Cette fois, il rend compte d'une discussion entre DSI sur le sujet de l'Open Source dans l'entreprise. Aux points de vue échangés, Eric Barroca ajoute sa vision de patron d'éditeur d'ECM (entreprise content management, gestion de contenu d'entreprise). Résultat : des regards aiguisés sur la réalité de l'Open Source dans le système d'information, mais aussi une remise en perspective de l'éditeur d'une stratégie qui s'appuie sur ce « modèle de développement et de distribution ». (...)
(12/03/2009 08:29:27)L'ERP Open Source de Compiere accessible depuis le cloud d'Amazon
Compiere annonce la disponibilité de son ERP Open Source depuis le cloud EC2 d'Amazon. Les clients de l'éditeur accèdent désormais aussi de cette façon aux modules de comptabilité, achats, gestion des commandes, gestion de la fabrication, gestion des stock et CRM de Compiere Cloud Edition. L'abonnement au service inclut le support applicatif, les services packs et l'accès aux mises à jour. Les clients de Compiere peuvent aussi choisir de disposer de services pour la mise en oeuvre, l'intégration et la définition d'images cloud personnalisées. Avec cette version de son logiciel, l'éditeur souhaite réduire les coûts de ses clients, accélérer les temps de déploiement de leurs environnements, leur donner les moyens d'ajouter des ressources à la volée et de réduire les dépenses d'infrastructure. Autant d'avantages que l'on prête au cloud aujourd'hui. Mais comme le rappelle Gary Barnett, analyste pour le cabinet de conseil The Bathwick Group, « la majorité des entreprises sont loin d'utiliser l'EC2 d'Amazon comme un jeu d'enfant ». A priori, Compiere destine plutôt sa version Cloud Edition aux PME qui ne sont pas encombrées par d'énormes quantités de données issues de SAP ou Oracle à migrer vers le cloud. Reste à savoir s'il s'agit d'une bonne idée. Une étude récente de Vanson Bourne émettaient de nombreux doutes sur l'intérêt des petites entreprises pour ce type d'environnements, auquel la plupart ne comprennent d'ailleurs pas grand chose. (...)
(11/03/2009 18:13:00)Interview exclusive du DSI de Microsoft Corp.
« Je fais tout ce qu'on peut attendre d'un CIO, mais j'assure aussi un rôle clé : déployer et tester des logiciels Microsoft. » Tony Scott, « global CIO » de Microsoft, autrement dit responsable des systèmes d'information de l'éditeur au niveau mondial, était récemment de passage en Europe pour rencontrer les DSI européens de Microsoft et quelques grands clients triés sur le volet. Après une conférence de presse, il nous a accordé un entretien exclusif, à suivre en vidéo (VO sous-titrée) ou à lire ici. Par rapport à un DSI classique, Tony Scott a deux contraintes - qui semblent lui plaire énormément. La première est qu'il doit appliquer le « dog fooding » (de l'expression anglaise 'to eat its own dog food'). Autrement dit, ce que Microsoft propose à ses utilisateurs, l'éditeur se doit de l'appliquer en interne. « Nous avons les produits très en amont de leur cycle de développement, raconte Tony Scott. Non seulement nous les utilisons, mais en outre nous les déployons sur une échelle de plus en plus grande au fur et à mesure de leur maturation. » Un autre aspect de son métier : en tant que responsable haut placé de Microsoft - et placé aux premières loges en matière d'utilisation des logiciels - il doit assurer la relation avec les clients de Microsoft. « Je rencontre beaucoup de CIO tout au long de l'année, tant dans l'industrie que dans l'administration. J'en ai rencontré 60 ou 70 ces deux derniers mois. » On pourrait aussi ajouter une troisième contrainte : le fait d'utiliser de l'Open Source le moins possible. Toutefois, il y en a dans le système d'information de Microsoft, ne serait-ce, dit-il, que pour des raisons de « tests d'interopérabilité ». Mais Tony Scott s'empresse aussitôt de prendre un ton très sérieux pour expliquer que de son point de vue, et de par son expérience en tant que directeur technique de General Motors ou DSI de Disney, l'Open Source ne revient pas forcément moins cher. La tactique de Tony Scott : investir pour réduire les coûts Comme tout DSI, Tony Scott explique que sa première préoccupation est de réduire les coûts. « Il y a plusieurs stratégies face à cet impératif. Certains arrêtent de dépenser de l'argent. Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. J'ai déjà vu ça, plus tôt dans ma carrière, et c'est un modèle intenable à la longue, les CIO qui le pratiquent se font virer après 3 ou 4 ans. D'autres choisissent d'investir. Mon propre budget est en baisse, alors qu'il était étal l'année dernière. Or, j'ai dû augmenter les salaires. J'ai donc investi dans des technologies qui permettent de réduire les coûts, de 10 à 15% l'année suivante ; cette stratégie se révèle productive année après année. » Parmi les postes cités pour réduire les dépenses figurent la virtualisation (qui optimise l'utilisation des serveurs) et les communications unifiées. Technologie sur laquelle Tony Scott insiste beaucoup. « Cela nous permet d'économiser 60% sur la téléphonie. Et en plus les gens adorent le fait de disposer de toutes ces fonctionnalités agrégées (voix, messages vocaux, messagerie instantanée, visioconférence, tableau blanc, etc.) sur leur poste de travail. » Le DSI de Microsoft dit aussi recourir aux services hébergés - pour le courrier électronique notamment - et fonde beaucoup d'espoir sur le cloud - et donc Azure en particulier - pour absorber les pics de charge. Et de ce point de vue, cela lui facilite en effet la tâche, puisque les services en ligne de Microsoft ne sont pas de son ressort : il n'est alors qu'un client parmi d'autres. « Comme lorsque j'étais CIO de Disney », dit-il. (...)
(09/03/2009 16:29:17)Hadopi : la menace d'un logiciel mouchard inquiète l'April
L'April (Association pour la promotion et la recherche en informatique libre) tire la sonnette d'alarme contre le projet de loi Hadopi. La lecture du rapport du Conseil général des télécommunications (CGTI) transmis au ministère de la Culture en décembre dernier ne laisse planer aucun doute. Il propose, selon l'April, "l'obligation pour les internautes désireux de garantir leur sécurité juridique d'installer des logiciels propriétaires filtrant leurs communications. Ce qui avait pu être évité dans la loi Dadvsi revient donc au travers du projet Hadopi." A travers son prisme habituel, l'April constate que ce rapport "clarifie l'interprétation du projet de loi Hadopi en énonçant clairement qu'une des finalités est d'imposer des logiciels propriétaires de filtrage sur le poste client." Cette violation des libertés numériques s'ajouterait à celle la suspension de l'accès à Internet (tout en continuant à devoir payer son abonnement). Comme ce fut le cas pour le projet de loi Dadvsi, la finalisation de l'Hadopi, dont le contenu a été durci par la Commission des lois de l'Assemblée nationale, semble se heurter à une réaction des élus de la majorité. Si les sénateurs ont voté le texte comme un seul homme, les députés paraissent en effet plus partagés face au projet de loi. L'April, qui compte désormais plus de 4000 membres actifs, lutte contre toutes les formes d'atteintes aux libertés numériques, en particulier sous la forme de privilèges accordés aux logiciels propriétaires. En juillet dernier, elle avait fait reconnaître par le Conseil d'Etat le droit à la décompilation qui était menacé par la loi Dadvsi et ses décrets d'applications. (...)
(05/03/2009 12:02:26)Open Source Think Tank 2009 : ne pas passer à l'Open Source en commençant par l'ERP
Toujours au coeur de l'Open source think tank qui se tient en Californie, le président du directoire de Nuxeo, Eric Barroca raconte cette fois une discussion animée autour de l'expérience concrète d'une entreprise fictive. Peut-on décider de passer du propriétaire à l'Open Source en commençant par migrer son ERP ? La réponse est clairement « non », même pour de fervents adeptes du libre... A lire sur notre blog Experts. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |