Flux RSS

Open Source

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1843 documents trouvés, affichage des résultats 541 à 550.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(03/12/2008 14:58:41)

Les principales distributions Linux en ordre de marche pour IPv6

La Linux Foundation vient d'annoncer fièrement que les principales déclinaisons de Linux sont désormais officiellement compatibles avec la norme IPv6, dès l'installation. Alors que le protocole IPv4 d'attribution des adresses IP arrive à saturation dans certaines régions, son successeur IPv6 peine à s'imposer. Face à cette situation, le département de la Défense (DoD) américain avait émis une recommandation pour que ses principaux fournisseurs informatiques soit certifiés compatibles avec IPv6, sous peine d'être exclus de ses prochains appels d'offres. En réaction à cette décision, la Linux Foundation a lancé un groupe de travail dédié à IPv6 sous la direction de Venkata Jagana, architecte en chef réseau au Linux Technology Center d'IBM. Même si certains éléments de Linux étaient déjà dans les faits compatibles avec IPv6, ils n'étaient pas aux normes du département de la Défense. La Linux Foundation a donc remis à niveau des outils comme IPSec for IPv6, le support MIB, ICMPv6 et DHCPv6. « Le mandat IPv6 et ses obligations sont des travaux si lourds qu'il est difficile pour une seule société de les traiter seule dans son coin, explique Jim Zemlin, directeur exécutif de la Linux Foundation. C'est exactement le type de travail et de collaboration que la Linux Foundation peut faire avancer. » Dans les faits, peu d'éditeurs ont déjà annoncé une compatibilité totale avec IPv6. Du côté de Linux, Red Hat Entreprise Linux 5 et Suse Linux Entreprise 10 de Novell ont déjà été reconnus compatibles par le DoD. Et en dehors de Linux, Windows Vista de Microsoft et Solaris 10 de Sun ont également été approuvés. (...)

(03/12/2008 12:23:47)

Open World Forum : une feuille de route pour le logiciel jusqu'en 2020

Les auteurs du rapport "feuille de route 2020 du Floss 2020", font un certain nombre de prédictions sur le rôle du Floss (free, Libre et Open source software) en 2020 et listent 80 recommandations destinées à l'industrie. A noter que leur utilisation dans ce document du français « libre » plutôt que de l'anglais « free » lève l'ambiguïté de ce dernier qui signifie à la fois « libre » et « gratuit » dans la langue de Shalespeare. Les auteurs dépeignent une vision très rose de 2020 dans laquelle le Floss se sera généralisé et aura contribué à réduire la fracture numérique entre les riches et les pauvres. Selon eux, les réseaux sociaux reposeront sur des services de cloud ouverts et omniprésents et permettront aux personnes d'interagir non seulement avec leurs amis mais aussi avec les administrations et les entreprises. Les DSI, inquiets d'être pieds et poings liés avec certains fournisseurs, plébisciteront le Floss. Enfin, ce dernier sera au coeur des datacenters verts et d'autres modèles économiques destinés à réduire l'impact écologique. Pour atteindre ce nirvana informatique, toutefois, il faudra de l'action - et pas seulement du côté des habituels 'geeks' barbus. Les investisseurs, les législateurs, les enseignants, les électeurs et même les consommateurs auront un rôle à jouer, selon les auteurs du rapport. Ceux-ci ajoutent que les gouvernements vont devoir favoriser les standards et les services ouverts. Et ce ne serait pas qu'une question d'idéologie, mais aussi une nécessité puisque il faudra pouvoir échanger facilement les informations entre différents services et différents systèmes. Cette évolution requirt aussi un contexte légal stable et neutre dans lequel on pourra établir et imposer une définition claire des standards et services ouverts. Des cadres légaux plus clairs pourraient aussi éviter la prolifération des licences logicielles. Et si le 'cloud' ramenait l'ère des bon vieux monopoles [[page]]Le rapport explique que les investisseurs, publics ou privés, vont devoir financer la recherche pour le développement de technologies Floss stratégiques. Et les gouvernements et les entreprises, eux, devront mettre en place des formations universitaires et professionnelles pour enseigner les Floss à une nouvelle génération de développeurs. Le manque de reconnaissance des compétences fait partie des obstacles au déploiement de l'Open source. Il y a des risques néanmoins à de telles démarches, préviennent les auteurs, qui incluent des experts venus d'Allemagne, de Belgique, du Brésil, du Canada, d'Espagne, des Etats-Unis et d'Inde, bien que la majorité soient français. Ainsi, l'utilisation de la capacité du cloud computing à l'échelle requise par certains systèmes gouvernementaux reviendra à se fier à un tout petit groupe de fournisseurs de puissance informatique. Les auteurs avertissent : cela pourrait signer le retour de l'ère des grands monopoles sur certains marchés, avec à la clé des pays entiers rançonnés par leurs fournisseurs de services. Sans oublier que les entreprises qui ne pourront pas payer le prix pour de tels services haut de gamme seraient abandonnés à des systèmes bas de gamme, peu fiables et peu sécurisés. Le cloud computing et les services Web soulèvent encore d'autres questions, toujours selon les auteurs du rapport, parmi lesquels on trouve des employés d'Alcatel-Lucent, de Google et de Sun Microsystems. En camouflant le logiciel et n'en montrant que l'interface, ces infrastructures limiteront la capacité à voir le code source des applications exécutées. Un état de fait qui ferait perdre tout intérêt à certaines licences Floss et encore davantage à leur renforcement éventuel. Cela pourrait aussi étouffer l'innovation si les programmeurs Open source d'aujourd'hui en étaient réduit à assembler les futurs services Web à travers des APIs (Application programming interfaces) limitées. (...)

(03/12/2008 12:08:39)

Eric Besson épaule le Libre à l'Open World Forum

Avec un discours d'Eric Besson certainement agréable aux oreilles des acteurs du Libre. C'est ainsi que s'est ouverte la séance plénière du Forum mondial du Libre, hier à Paris. Dans une allocution bienveillante à l'égard du logiciel libre, qu'il a qualifié de mâture, le secrétaire d'Etat chargé de l'Economie numérique a souligné « l'importance et l'universalité de l'Open Source, au-delà de certains débats parfois stériles et partisans » et s'est enthousiasmé en évoquant le logiciel libre comme « une opportunité et un enjeu formidables » pour l'administration. Eric Besson a profité de l'occasion pour rappeler qu'il a concocté le Plan France Numérique 2012, remis à Nicolas Sarkozy en octobre. Un document qui prévoit plusieurs mesures pour « encourager la création d'entreprises dans l'édition de logiciels ansi que leur développement à l'international, quel que soit le modèle retenu par les acteurs, libre ou propriétaire. » Le plan du secrétaire d'Etat fait, en réalité, peu allusion au logiciel libre et privilégie une approche du secteur de l'édition plus générale. L'April ne s'est d'ailleurs pas privé, à la lecture du texte, d'accuser Eric Besson d'avoir « effacé le logiciel libre de l'économie numérique ». Vente liée, RGI et feuille de route du Libre Mais cela se passait il y a plus d'un mois et, ce 2 décembre, Eric Besson a dans sa besace quelques annonces concrètes. En premier lieu, la mise en place d'un groupe de travail sur la vente liée, une pratique consistant à imposer l'achat de logiciels lors de l'acquisition d'une machine neuve. Ce dossier fait l'objet de tractations sans fin entre la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes), les industriels et les associations de consommateurs. Mais point de réjouissance hâtive : la date de création du groupe de travail n'est pas fixée - on sait seulement qu'elle doit intervenir avant la fin 2009 - et la vente découplée n'est évoquée que sous l'angle de l'expérimentation. Autre annonce, qui n'est finalement qu'une redite de ce que contenait le Plan Numérique 2012, la publication du Référentiel général d'interopérabilité (RGI). Présenté comme un moyen « d'assurer l'interopérabilité entre administrations et de favoriser le développement de l'écosystème logiciel, et précisément celui du logiciel libre », le RGI sera publiée avant la fin de l'année. Cette publication aurait pu déjà avoir lieu mais, comme nous l'indiquions au mois de mai, Microsoft serait intervenu auprès du gouvernement pour la retarder. Enfin, Eric Besson s'est associé aux travaux préparatoires de la feuille de route devant mener le Libre jusqu'en 2020. Ce document - Floss* Roadmap 2020 - constituera la « référence pour identifier les secteurs clefs de l'industrie du logiciel, et en particulier ceux où il est stratégique d'investir pour rester compétitif à moyen terme. » *Free Libre Open Source Software (...)

(02/12/2008 12:34:09)

Linagora annonce plus d'une centaine de recrutements pour 2009

La crise économique actuelle ne semble pas avoir d'effet sur l'emploi des professionnels de l'Open Source. Ainsi, après avoir recruté un peu plus d'une centaine de nouveaux collaborateurs en 2008, Linagora annonce un plan de recrutement quasi équivalent pour l'année 2009. La SSLL a en effet décidé d'ouvrir 120 postes dans l'Open Source à Paris et également en région, dans des domaines diversifiés : administrateurs systèmes et réseaux (Paris), développeurs Drupal (Paris), développeurs PHP (Paris et Toulouse), ingénieurs développement J2EE (Paris), intégrateurs OBM (Paris et Toulouse), responsables d'agence (Lyon), et ingénieurs commerciaux (Toulouse). La société compte actuellement plus de 160 personnes, en France (Paris, Lyon, Toulouse et Marseille), en Belgique et aux Etats-Unis. (...)

(02/12/2008 11:37:04)

Sun monte à l'assaut des PME européennes

Sun lance, des deux côtés de l'Atlantique, une initiative pour se renforcer sur le marché des PME. Par PME, il entend toute entreprise de moins de 2 000 et de plus de 100 salariés. Chaque pays a étudié sa cible. En France, Sun a par exemple fait interroger 700 entreprises de plus de 2 000 salariés et un millier entre 100 et 2 000 pour bien connaître leurs attentes. Début juillet, pour encadrer cette initiative, Sun France a également installé une unité « volumes » qui compte une dizaine de personnes issues de la filiale. Cette équipe est chargée d'expliquer les offres PME aux partenaires, de relayer des leads détectés par Sun et d'appuyer les partenariats techniques noués, par exemple avec AMD, Intel, Microsoft et Symantec. Du télémarketing pour détecter les projets en PME L'initiative est également accompagnée par la création d'un plateau de télémarketing, situé en Grande-Bretagne et chargé de détecter des projets dans les PME en Europe. Ces projets sont ensuite envoyés aux partenaires. L'équipe « volumes » doit aussi faire mûrir ces projets détectés par Sun et les suivre dans le temps. Sun va recruter une trentaine de nouveaux partenaires en France pour s'adresser aux PME d'ici fin 2009. La société en compte déjà 70. Ces partenaires sont recrutés par les grossistes (AVNet, Distrilogie, Frame). « Il n'est plus question de recruter uniquement des partenaires avec des certifications, on peut être partenaire de Sun avec de petits volumes dans ce marché des PME », précise Jean-Yves Pronier, directeur marketing produits de Sun France. Une offre accessible aux PME C'est effectivement un changement majeur pour la société, qui avait jusqu'alors pour partenaires privilégiés les grands comptes. Sun a pris cette initiative PME pour trouver des relais de croissance. L'offre, matériels et logiciels, a également beaucoup changé avec les architecture x86, les produits de stockage, l'Open source. Cette large palette, Sun veut la rendre accessible aux PME, c'est aussi l'enjeu de cette initiative. (...)

(02/12/2008 11:01:31)

Open World Forum : Les métiers de l'Open Source privilégient l'expérience

Le Forum mondial du Libre (Open World Forum) se tient jusqu'à ce soir à Paris, à la Maison de la Chimie. En une quarantaine de sessions réparties sur une dizaine de « cheminements » thématiques (sécurité, éducation, qualité, offres...), la manifestation a cherché à couvrir l'ensemble des domaines du logiciel libre. Si le public est essentiellement français, il faut mentionner la forte présence de délégations étrangères, notamment en provenance d'Inde ou du Brésil. La session d'ouverture, hier, a été consacrée à la problématique des ressources humaines dans le domaine des logiciels libres, avec notamment la question de la formation et de la reconnaissance des compétences acquises. Selon Cyril Pierre de Geyer, de Anaska Formation, les prestations de formation en logiciels libres croissent ces derniers temps de près de 30% par an. Mais les disparités sont fortes : les formations autour du « poste de travail » (OpenOffice, Thunderbird...) sont en déconfiture, les produits ne nécessitant aucune formation particulière lors d'une migration depuis des produits propriétaires ; celles dédiées aux infrastructures sont presque stables, en légère croissance, marque d'une maturité du créneau ; à l'inverse, la formation aux progiciels et surtout au décisionnel sont en pleine explosion. Pour Rodolphe Quiédeville, du site emploi Lolix, les demandes en compétences se recentrent d'ailleurs sur les progiciels et délaissent les langages (Java notamment). L'expérience prime toujours sur les diplômes L'une des particularités du domaine des logiciels libres est la grande place donnée à l'expérience par rapport aux diplômes. Le meilleur moyen d'être reconnu et d'obtenir des missions ou un emploi autour des logiciels libres semble être, aussi bien en Europe qu'en Inde ou au Brésil selon les différents intervenants, d'intervenir dans des développements communautaires. Les diplômes ne sont pas un sésame. Cette situation en devient presque un handicap car développer correctement un logiciel suppose d'avoir de bonnes bases théoriques (algorithmique...). D'un autre côté, l'enseignement en informatique en général et en logiciel libre en particulier est globalement déficient. Jean-Pierre Archambault, enseignant et chargé de mission à l'Education Nationale, a ainsi regretté qu'on puisse être ingénieur sans avoir de réelle formation en informatique au delà des basiques de la bureautique et qu'il n'existe peu ou pas de formation aux questions relatives à la propriété intellectuelle et aux modèles économiques. Mais il est vrai que rien n'est fait pour faciliter l'enseignement précoce en informatique, notamment au lycée (même s'il y a, dans les cartons, un projet de module informatique dans les lycées pour la rentrée 2009) : il n'existe ainsi aucun corps d'enseignants certifiés ou agrégés en informatique dans l'Education Nationale. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >