Flux RSS
Open Source
1843 documents trouvés, affichage des résultats 791 à 800.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(28/01/2008 14:06:19)
Croissance organique et externe record pour la SSLL AlterWay
Alter Way, société de services en logiciels libres, annonce un chiffre d'affaires pro forma de 5,2 M€, contre 1,5 M€ en 2006, soit une hausse de 346%. Le résultat d'exploitation prévisionnel du groupe devrait avoisiner les 10%. Créée en juillet 2006, à l'initiative de deux ex-dirigeants de la SSII Masterline, Véronique Torner et Philippe Montargès, la toute jeune SSLL française clôture ainsi une année riche en événements. Deux levées de fonds (d'un montant de 800 000 € puis 2 M€) lui ont en effet permis de multiplier les acquisitions. La SSLL s'est successivement offert Ingeniweb, ECL IP'S Software, Solinux, puis Nexen Services, une société spécialisée dans l'hébergement Open Source des applications critiques, comme celles liées au e-commerce. Ces quatre entités ont toutes enregistré une croissance de l'ordre de 30% en 2007. Alter Way a également recruté une vingtaine de personnes au cours de l'année. Autre fait marquant de 2007, la création d'une entité dédiée aux bases de données Open Source, O4DB (Open for Date Base), en partenariat avec l'éditeur Ingres France. « Cette nouvelle activité nous permettra de toucher les grands comptes qui doivent faire face à d'importantes volumétries de données », commente Philippe Montargès, président de la société. Cent collaborateurs en 2008 La SSLL ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. En 2008, le groupe entend renforcer sa politique de rachat, se développer à l'international (notamment en Allemagne, au Benelux et en Espagne) et recruter une vingtaine de personne, ce qui portera à une centaine le nombre de collaborateurs. Alterway vise un chiffre d'affaires pro forma de 10 M€ en 2008, soit le double de 2007, et de 25 à 30 M€ en 2010. Elle espère également réaliser une troisième levée de fonds, de l'ordre de 3 à 5 M€. « Ce développement se fera par une croissance organique prévisionnelle de l'ordre de 25%, et par de nouveaux rapprochements stratégiques et/ou complémentaires par rapport aux offres existantes, notamment dans le domaine du CRM, du décisionnel ou de la GED », explique Philippe Montargès. De nouvelles offres Ingeniweb et Nexen devraient par ailleurs être lancées dans le courant de l'année. (...)
(25/01/2008 17:52:36)Trimestriels Sun : bénéfices doublés, serveurs en baisse
Sun continue à récolter les fruits de sa restructuration et, notamment, de ses réductions d'effectifs. Le constructeur et fournisseur de technologies (Java, Open Solaris...) a pratiquement doublé son bénéfice net, à 260 M$, et presque triplé son bénéfice opérationnel, à 262 M$, sur le deuxième trimestre de son exercice fiscal (échu au 30 décembre 2007), en dépit d'un chiffre d'affaires en faible hausse (+1,37%), à 3,6 Md$, par rapport au deuxième trimestre 2006. Sur les trois mois écoulés, la croissance des ventes est venue des services, en augmentation de 5%, à 1,37 Md$. En revanche, les ventes de serveurs, qui représentent les deux tiers du chiffre d'affaires, ont reculé de 0,5%, à 2,25 Md$. La zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique), qui pèse 39% des revenus ce trimestre, a vu ses ventes progresser de 7%, alors que celles réalisées aux Etats-Unis ont reculé de 8%. Malgré la faible progression enregistrée sur le trimestre écoulé, le directeur financier de Sun, Mike Lehman, prévoit sur l'ensemble de l'exercice une augmentation proche de 5% sur le chiffre d'affaires. Rappelons que le constructeur vient de renforcer sensiblement son implication sur le marché Open Source en annonçant le rachat, pour 1 Md$, de l'éditeur de bases de données suédois MySQL. Un rachat dont le fournisseur américain reconnaît n'avoir pas encore évalué l'impact financier à long terme. (...)
(25/01/2008 16:55:21)Formation Open Source : boom sur le décisionnel et les PGI
La troisième version du baromètre des logiciels libres vient d'être publiée par l'Observatoire du logiciel libre. Créé par Anaska et ib-Groupe Cegos en 2005, il accueille désormais Altic, AtolCD et Audaxis pour sa première édition de l'année. Son objectif : faire un point tous les six mois sur le marché du logiciel libre, en se basant sur la formation comme indicateur d'adoption. En préambule, l'Observatoire indique que 2/3 des entreprises sont intéressées ou utilisent déjà des outils Open Source. Une tendance largement confirmée par le nombre de personnes formées qui a progressé de 27% en 12 mois, de décembre 2006 à décembre 2007. Autre fait marquant : les cursus de formation visent désormais un public plus large. Après les développeurs, administrateurs et autres DBA (qui constituent le gros des personnes formées), les organismes de formation s'adressent également aux utilisateurs et aux responsables fonctionnels. Le baromètre 2008 indique également que les outils décisionnels - BI et reporting - Open Source connaissent un grand succès depuis quelques mois car ils permettent de réaliser jusqu'à 50% d'économie en coût de licence tout en répondant bien aux problématiques des PME. Parmi les leaders du domaine, Jaspersoft (BI) et Talend (ETL). Dans ce domaine, Talend Open Studio s'impose comme une référence sur son marché, avec un nombre de personnes formées qui a presque triplé en 2007. Et ce n'est qu'un début. La progression du nombre de formations sur les progiciels Open Source - essentiellement le PGI Compiere pour le moment - est l'une des autres tendances fortes de 2007 qui devrait se poursuivre en 2008, selon les professionnels qui participent au panel. Avec les outils décisionnels c'est le segment qui progresse le plus vite (+32% en un an). Compiere représente aujourd'hui 20% des personnes formées à lui seul. A l'exception de Compiere, les alternatives (ERP5 notamment), ne décollent pas, en termes de formation délivrées. Ralentissement sur Linux, PHP et la bureautique L'engouement pour les clients riches Internet (RIA) basés sur une interface DHTML/Ajax semble également évident : il compense en partie la croissance plus faible de Linux et de PHP (respectivement +10% et +6%). Le baromètre, par domaines fonctionnels, montre aussi que la croissance des formations à Linux a ralenti (+10% entre 2006 et 2007, contre +30% entre 2005 et 2006). Les formations PHP initiales enregistrent, quant à elles, un net ralentissement (+6%) Les bases de données n'ont progressé que de 3%, mais elles représentent 10% des formations à elles seules. Quant aux cursus bureautiques, mis à part Firefox et OpenOffice.org qui sont de plus en plus largement adoptés par les entreprises, les autres outils Open Source ne séduisent pas. En 2006, les formations « bureautique » représentaient environ 10% du volume des formations totales. En 2007, elles n'atteignaient plus que 1,6%. (...)
(24/01/2008 16:44:43)Avec FOSSology, HP traque l'Open Source dans les systèmes d'informations
Comme toutes les grandes sociétés, le système d'informations d'HP regorge de logiciels divers et variés, notamment en Open Source. Or savoir quelle licence s'applique à quelle partie du SI relève parfois du vrai casse-tête. Les développeurs d'HP ont donc conçu un produit maison, nommé FOSSology, qui - à la manière de Black Duck - retrouve les logiciels Open Source installés dans un système d'informations et en analyse le code source pour savoir quelles sont les licences utilisées. Si les informations ainsi remontées sont de bonnes indications sur ce qu'il est possible de faire ou de ne pas faire avec un logiciel, les développeurs d'HP se déchargent de tout problème juridique en précisant : « En général, les résultats d'analyses sont très bons, mais ne devraient pas être considérés comme faisant autorité. (ou pour faire simple : nous ne sommes pas des avocats. Le code fait de son mieux, mais laissez les décisions juridiques à vos juristes.) » FOSSology est disponible gratuitement sous licence GPL 2.0. Dans le futur, il devrait également servir pour faire l'analyse des patches installés, détecter la réutilisation de code, et remonter les alertes de sécurité. (...)
(24/01/2008 15:08:15)Mozilla fête ses 10 ans
Le 22 janvier 1998, Netscape - le grand rival de Microsoft sur le Web de l'époque - annonce qu'il rend public le code source de son produit phare : Netscape Communicator 5. Dix ans plus tard, si le développement propriétaire de Netscape est au point mort, la version libre Mozilla s'est multipliée : Firefox et Camino pour la navigation Web, Thunderbird pour le courrier électronique et Sunbird pour les calendriers gagnent de plus en plus de terrain dans le grand public comme en entreprise. Et désormais, Firefox, disponible en 44 langues et revendiquant 150 millions d'utilisateurs actifs se place en seconde position derrière Internet Explorer. Pour Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, l'excitation du début est toujours là : « Je suis vraiment chanceux de travailler sur Mozilla, de travailler avec autant de gens talentueux. Dix ans après, je suis toujours aussi excité qu'au premier jour. » (...)
(24/01/2008 12:19:20)L'Afdel critique les recommandations sur le Libre de la commission Attali
Pour l'Afdel, Association française des éditeurs de logiciels, « la commission Attali tourne le dos à l'innovation ». De fait, le rapport remis par Jacques Attali au président de la République préconise de favoriser l'Open Source, ce qui va à l'encontre des recommandations de l'Afdel, qui souhaite favoriser le modèle classique des éditeurs de logiciels. Parmi les 316 propositions du rapport de la Commission Attali, certaines visent explicitement les technologies de l'information et de la communication. Le chapitre 3, intitulé « Les révolutions à ne pas manquer », explique que si la France est compétitive en matière de haut débit, elle souffre tout de même d'un certain retard dans l'économie du numérique. On peut lire : « 45% de la population française ne se connecte jamais à Internet. La France n'a plus aucun acteur significatif dans le logiciel ni dans la fabrication d'ordinateurs, de serveurs et d'équipements annexes. Aucune société française ne figure parmi les 15 premières sociétés éditrices de logiciels. Seuls deux « champions nationaux » s'inscrivent au palmarès des 5 premiers groupes mondiaux dans les six principaux secteurs de l'économie numérique. La France n'a presque aucun acteur de taille mondiale dans les industries d'Internet. [...] La part de l'économie numérique dans la production française n'est que de 6% au lieu de 13% aux États-Unis et 17% en Corée. Le niveau d'investissement en recherche et développement (0,3 à 0,4% du PIB) est deux fois moindre que celui des États-Unis, de certains pays nordiques et des nouveaux champions asiatiques. » La décision 58 du rapport Attali veut promouvoir le Libre [[page]] Parmi les mesures proposées pour remédier à cet état de fait, la décision 58 implique de promouvoir les logiciels libres, dont l'intérêt est selon le rapport d'induire « une économie moyenne de 36% en recherche et développement pour les entreprises utilisatrices ». Le rapport préconise donc d'instaurer « un objectif de 20% des applications nouvellement développées ou installées au profit du secteur public en Open Source » d'ici « à l'horizon 2012 », de « considérer fiscalement, comme aux États-Unis, les aides aux communautés des logiciels libres comme du mécénat de compétence », et d'exiger, « à un niveau européen dans le cadre de la politique de la concurrence entre solutions logicielles, la fixation de normes internationales garantissant l'interopérabilité entre logiciels libres et les logiciels propriétaires, en priorité ». De son côté, l'Afdel estime que le Libre n'est pas une réponse au besoin d'innovation, « la valeur ajoutée du modèle Open Source résidant davantage dans une stratégie commerciale qui vise à faire tomber les barrières à l'entrée, en déplaçant le prix du produit vers le service ». L'Afdel, présidée par Patrick Bertrand, DG de l'éditeur de progiciels Cegid, préférerait des mesures d'aide aux PME du logiciel et non qu'elles soient ainsi écartées du secteur public : « Plutôt que de tabler sur le gisement de croissance (8% en moyenne en 2007) dont sont porteuses les 2500 entreprises françaises du logiciel qui emploient 60 000 personnes, la Commission Attali privilégie étonnamment une stratégie de coûts. » (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |