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Open Source
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(21/11/2007 14:33:25)
La SFLC poursuit deux sociétés américaines pour non-respect de la GPL
Après avoir obtenu une issue favorable - réglée à l'amiable - dans son procès contre Monsoon Multimedia, la SFLC (Software Freedom Law Center) a décidé de poursuivre deux sociétés américaines. Le motif : non-respect de la GPL. Au centre du litige, le code ouvert de la désormais très controversée BusyBox que High-Gain Antennas (fabricant de systèmes WiFi) et Xterasys utiliseraient dans leurs appareils électroniques sans reverser leurs modifications à la communauté Open Source. Un point rejeté d'emblée par Richard Bruckner, PDG de High-Gain Antennas, qui prétend exploiter un firmware développé par une autre société, baptisée Edimax, et qu'il tient à disposition des clients. La SFLC pense de son côté qu'une sortie à l'amiable est toujours possible. Mais qu'elle n'hésiterait pas à aller jusqu'au procès, les preuves accumulées durant son enquête étant suffisantes. Cette même BusyBox est également au coeur d'une poursuite judiciaire entamée en France contre Iliad par ses auteurs, Erik Andersen and Rob Landley. Soutenus par la FSF (Free Software Foundation), ils reprochent à la maison mère de Free l'utilisation du code source de la Busybox dans la Freebox sans qu'Iliad ne tienne à disposition son code revisité. (...)
(20/11/2007 16:03:45)Baisse du prix des logiciels en vue, selon Gartner
Le prix des logiciels pourrait baisser. Alors que les éditeurs n'ont jamais été aussi riches et résistent sans ciller à la baisse du prix des matériels, le Gartner envisage un retournement de tendance. Selon ce cabinet, une conjonction de facteurs concourt à une baisse du prix des logiciels. Il s'agit de l'externalisation, des logiciels en ligne (SaaS, software as a service), de l'exacerbation de la concurrence, des applications à code ouvert et, enfin, du développement des prestataires indépendants de maintenance applicative. Ainsi, à compter de 2011, un tiers des nouvelles applications sera proposé sous la forme de logiciels en ligne. Les éditeurs traditionnels devront s'adapter à cette nouvelle donne. Par ailleurs, le développement des éditeurs chinois et le déplacement des pôles de croissance vers des marchés comme la Chine, de l'Inde et du Brésil devraient contribuer à faire chuter le coût des logiciels. En particulier sur les infrastructures (serveurs, OS, outils de développement et SGBD). (...)
(20/11/2007 13:14:18)La FSF crée Affero, une licence Open Source pour les SaaS
Qu'elle soit désignée sous le terme d'ASP (Application Service Provider) ou de SaaS (Software as a Service), l'utilisation d'un logiciel suivant ses besoins via un réseau n'existait pas en 1991, lorsque la plus célèbre des licences Open Source, la GPL (GNU Public Licence) v2.0 a pris son essor. Seize ans après, ce type d'usage connaît un regain d'intérêt. Au point que la Free Sofware Foundation (FSF) vient de publier Affero, une extension de la GPL v3.0 spécialement dédiée à cet usage. La GPL classique considère l'usage du logiciel comme une utilisation privée - et donc sans obligation de livrer le code source éventuellement modifié aux utilisateurs. La version Affero GPL (ou AGPL) prévoit, quand à elle, l'obligation de mettre le code source du logiciel à disposition des utilisateurs du service. Bien que la FSF a envisagé un moment d'intégrer cette précision dans la GPL v3.0, le choix a finalement été fait d'en faire deux licences séparées. En précisant qu'en cas de besoin - pour un logiciel pouvant avoir plusieurs usages comme une suite bureautique - les deux licences peuvent être combinées. Les entreprises, comme Google, qui s'appuient en partie sur des logiciels Open Source pour leur offre de services, sont visées par cette nouvelle licence. Mais pour Eben Moglen, avocat spécialisé dans la propriété intellectuelle, et co-rédacteur de la GPL v3.0, l'AGPL n'est pas la seule façon de les contraindre à respecter le principe de réciprocité cher à la communauté Open Source. Visant spécifiquement Google, il expliquait dès le mois de mai dernier : «Si vous voulez protéger votre business model, vous devez être des citoyens modèles de votre environnement. Si vous réduisez ( NDLR, les droits des utilisateurs), la pression politique et sociale grandira au point de réduire votre propre liberté pour garantir la liberté de tous. Affectant ainsi la santé de votre business.» (...)
(19/11/2007 16:59:14)Oracle enregistre 1 500 entreprises clientes pour son support de Linux
Sur les six derniers mois, l'adhésion à Unbreakable Linux s'est accélérée, s'est félicité Larry Ellison, CEO d'Oracle. Au cours de cette période, plus de 1 450 entreprises ont adopté l'offre de support lancée il y a un an par Oracle autour du système d'exploitation Linux de Red Hat, également déclinée, plus récemment, pour Oracle Enterprise Linux, clone de Red Hat Enterprise Linux AS. En y ajoutant les deux douzaines de clients gagnés sur les six premiers mois, l'offre de support a donc récolté 1 500 clients en un an, « pratiquement sans aucun effort commercial, alors même que nous étions en train de constituer notre équipe de vente », a souligné Larry Ellison en clôture de sa conférence OpenWorld, mercredi dernier à San Francisco. Il est vrai que le tarif d'Unbreakable Linux est deux fois moins élevé que celui du support fourni par Red Hat. Pour un prix allant de 99 à 2 000 dollars par an, le programme délivre aussi une assistance pour les applications tournant sur Red Hat Enterprise Linux et sur Oracle Enterprise Linux. Un seul interlocuteur simplifie le support Interrogé sur OpenWorld par nos confrères de ComputerWorld, Tim Heath, administrateur de base de données senior chez Yahoo, a précisé que son entreprise s'était tournée vers le support proposé par Oracle à la suite d'expériences décevantes avec Red Hat. « Nous avons rencontré quelques bugs après le lancement de RHEL 5, et nous n'avons pas pu amener Red Hat à les corriger. » Yahoo, qui exploite Red Hat Linux sur 50 000 de ses 150 000 serveurs, a souscrit à la fois aux supports d'Oracle et de Red Hat. « Nous apprécions qu'ils se mesurent l'un à l'autre pour résoudre les bugs plus rapidement », a admis Tim Heath. Et surtout, l'avantage de n'avoir qu'un seul interlocuteur pour le support évite que les fournisseurs se renvoient la balle pour répondre aux questions. Oracle dit rassembler plus de 9 000 développeurs travaillant sur les logiciels tournant sur Linux, nombre d'entre eux s'attelant aux bugs et intervenant sur Unbreakable Linux. Une force qu'Oracle a beau jeu de comparer aux 2 000 employés de Red Hat. Malgré cela, Red Hat reste l'élément fort du marché Linux en entreprise. Des milliers de clients ont recours à son support. Sur son dernier trimestre, le chiffre d'affaires des souscriptions, incluant les contrats de support, se sont élevés à 109,2 M$ (+29% par rapport à l'an dernier). Et ses vingt-cinq premiers souscripteurs ont tous renouvelé leur contrat à un niveau correspondant à 122% de leur précédent contrat, a précisé Red Hat. (...)
(16/11/2007 10:57:46)Alfresco propose une utilisation professionnelle de Facebook
Alfresco propose ce qu'il nomme « la première application Facebook pour les entreprises ». L'éditeur de logiciel de gestion de contenu Open Source s'appuie sur FBML (Facebook Markup Language), le langage mis à disposition par le réseau social, et sur les API (interfaces de programmation) publiées par Facebook. Les développeurs peuvent en tirer parti, explique Alfresco, pour « partager du contenu sur Facebook, entre clients, partenaires et salariés ». La sécurité est assurée au travers d'une authentification unique. Pour Alfresco, cette intégration avec Facebook est aussi un moyen économique, et dans l'air du temps, de se bâtir une plateforme collaborative reliée à la plateforme de gestion de contenu. L'éditeur cite une étude de McKinsey disant que « 37% des grandes entreprises du secteur informatique interrogées [à l'occasion de cette étude, ndlr] se penchent actuellement sur un projet de ce type ». A l'origine, raconte John Newton, directeur technique d'Alfresco, l'application aurait dû être développée pour MySpace. Puis l'éditeur a pensé que Facebook serait plus attractif pour des utilisateurs professionnels. Certains auraient déjà exprimé leur intérêt. « Pour l'essentiel des organisations qui cherchent à être aussi ouvertes que possible, notamment des communautés religieuses et des administrations. » (...)
(15/11/2007 17:39:41)Le Libre tente de mobiliser pour poursuivre Iliad en justice
Des éditeurs de logiciels libres, épaulés par la FSF (Free Software Foundation), ont décidé d'entamer une procédure judiciaire à l'encontre d'Iliad, maison mère de Free. Ils lui reprochent pour ne pas avoir reversé à la communauté du Libre les modifications du code des logiciels embarqués dans la Freebox. Comme le demande pourtant la licence GPL sous laquelle sont placées les applications (à savoir redistribuer le code source des logiciels qui ont été modifiés). C'est après avoir essuyé une série de refus de publication du code source des logiciels en question que les éditeurs ont décidé de porter l'affaire devant la justice, indique en substance le site Internet "Campagne Freebox" mis en ligne pour l'occasion - afin d'informer et de recueillir des fonds pour soutenir la campagne. La procédure a été ouverte par Harald Welte, auteur d'iptables (module de configuration de paquets IP), intégré au noyau Linux qui motorise les Freebox. Il est également soutenu par les auteurs du projet BusyBox, Rob Landley et Erik Andersen. Lesquels avaient déjà porté une affaire similaire devant les tribunaux américains et obtenu, à cette occasion, une sortie à l'amiable. La plainte visait Monsoon Multimedia qui fabrique des appareils électroniques multimédia. Tout en disant apprécier "Iliad pour son côté trublion des télécoms", les plaignants demandent au groupe "de revenir à son ambition première, de respecter l'esprit dans lequel nous avons développé ces logiciels et de ne pas céder aux sirènes des techniques des grands groupes de médias." Dans une FAQ publiée sur le site de la campagne, il est expliqué que les réclamations des plaignants se limitent à rajouter "quelques lignes dans la documentation livrée à l'utilisateur, afin de mentionner l'utilisation de logiciels libres dans la Freebox, ainsi que de proposer d'envoyer les sources aux utilisateurs en faisant la demande". Dans un interview à la presse, Xavier Niel, actionnaire principal du groupe, avait indiqué que "tout est dit et présent sur ftp.free.fr" - en parlant des sources, et estimé que la FSF se servait de la renommée de Free comme d'une caisse de résonance à des fins marketing. Les éditeurs de logiciels estiment de leur côté que les argument d'Iliad et son refus de dévoiler des modifications que l'opérateur juge pourtant minimes sont incompréhensibles. (...)
(15/11/2007 13:05:01)OpenWorld : Dell va intégrer et supporter Solaris
Il est d'usage, à OpenWorld, de voir des ténors de l'industrie informatique comme IBM, Intel, AMD, Dell ou Sun profiter de la scène que leur ouvre leur partenaire Oracle (à l'occasion de sa conférence annuelle) pour faire leurs propres annonces. Cette année, à San Francisco (11-15 novembre), Jonathan Schwartz, PDG de Sun, a accueilli lors de son discours sur scène Michael Dell, fondateur et PDG de Dell, pour révéler à deux voix un accord de partenariat autour de Solaris. Le constructeur va intégrer le système d'exploitation Solaris 10 de Sun sur certains de ses serveurs PowerEdge. La coopération entre les deux fournisseurs couvre le développement et la certification des offres communes. Des configurations sur lesquelles Dell assurera également le support aux utilisateurs par l'intermédiaire d'intégrateurs ou directement pour les grands clients. Michael Dell, grand zélateur des technologies vertes, a présenté à Jonathan Schwartz un tee-shirt vantant les mérites du green computing. Le maillot arborait aussi le slogan « I'm listening » illustrant ainsi sa volonté d'être à l'écoute de ses utilisateurs. Par exemple, en élargissant le choix qu'il leur propose avec l'ajout d'un autre système d'exploitation Open Source. Lors de l'édition 2006 d'OpenWorld, Michael Dell avait annoncé ses premiers serveurs à base d'Opteron, les processeurs d'AMD. (...)
(15/11/2007 09:55:42)OpenWorld : Sun aussi virtualise gratuitement
En réaffirmant l'importance de l'Open Source et des technologies de virtualisation, lors de sa visite parisienne mardi dernier, le co-fondateur de Sun, Scott McNealy, avait invité son auditoire à ne pas manquer les annonces de Jonathan Schwartz, le lendemain sur OpenWorld (grand-messe annuelle d'Oracle, San Francisco, 11-15 novembre). L'intervention californienne du PDG de Sun a effectivement confirmé l'arrivée de xVM, une plateforme gratuite de virtualisation et d'administration de centre de données sur laquelle le fournisseur avait déjà laissé filtré des informations. Pour Jonathan Schwartz, cette annonce capitalise sur des années de recherche en virtualisation autour de la plateforme Java, du système d'exploitation en Open source OpenSolaris et du processeur UltraSparc. Le dirigeant de Sun prévoit d'investir quelque 2 milliards de dollars en recherche et développement sur sa famille xVM. Les premiers produits livrés seront l'hyperviseur xVM Server et xVM Ops Center, une console d'administration unifiée (livrée sous licence GPLv3) qui permettra de gérer à la fois les éléments virtuels et physiques de la plateforme. Une touche de Xen et une pleine mesure de ZFS De même qu'Oracle, qui annonçait deux jours plus tôt sa propre offre de virtualisation de serveurs, Sun exploite dans son hyperviseur une partie du code développé par la communauté Open Source Xen. xVM Server va permettre de virtualiser des environnements mixtes, sous OpenSolaris, Linux et Windows. Ces deux derniers, considérés comme des « instances invitées », bénéficieront alors de la technologie d'auto-dépannage Predictive Self-Healing d'OpenSolaris et de son serveur de fichiers 128 bit ZFS, qui fournit ici ses capacités de virtualisation du stockage. Le tout sur des infrastructures HP, Dell, IBM et Sun. Jonathan Schwartz souligne l'intérêt de prendre en compte l'ensemble des ressources dans la virtualisation, et notamment le stockage. Le dirigeant a évoqué au passage le procès que lui intente en ce moment même NetApp autour de ZFS. Scott McNealy l'expliquait mardi dernier : « En 1984, nous avons mis en Open Source NFS, ce qui est un cadeau énorme. NetApp s'en est emparé, sans un merci [...]. Vingt ans après, nous livrons ZFS, encore une fois en Open Source, et là nous n'avons pas de merci mais un procès ! » C'est pourquoi, comme l'a déjà raconté Jonathan Schwartz dans son blog, Sun s'est senti outragé et a décidé de répliquer en intentant un procès, respectant ainsi son principe de n'utiliser son portefeuille de brevets que « de façon défensive ». Le patron de Sun est revenu par ailleurs sur les atouts de l'Open source qui a permis une rapide adoption d'OpenSolaris et ZFS dans le monde entier, par des utilisateurs qui n'auraient sans doute jamais installé de matériel Sun. openxvm.org, une communauté pour xVM S'il en était encore besoin, le PDG n'a pas manqué de souligner les économies d'énergie générées par la virtualisation, à l'unisson avec les orateurs qui l'avaient précédé en début de semaine sur la scène d'OpenWorld (les dirigeants d'AMD, d'Intel ou de HP). « Le coût de l'énergie dépensée pour exploiter les serveurs finit par dépasser le coût des serveurs eux-mêmes », a-t-il rappelé. Enfin, Sun entend créer une communauté autour de xVM, afin d'assurer à l'offre une large adoption et de conforter son engagement auprès de ses utilisateurs, notamment ceux « qui ne peuvent pas payer le logiciel », affirme Jonathan Schwartz. « C'est un engagement que nous ne prenons pas à la légère. » (...)
(15/11/2007 09:58:04)Smile s'agrandit avec Ingénieurs et Consultants
L'intégrateur de solutions Open Source Smile annonce l'acquisition du cabinet de conseil « Ingénieurs et Consultants », pour un montant non communiqué. « Quelques mois après le rachat de la web agency E-dition, cette opération confirme l'engagement de Smile autour de la solution eZ publish, l'un des outils de gestion de contenus les plus prisés en Europe », a commenté Marc Palazon, président du directoire de Smile. Basé à Levallois-Perret, Smile compte actuellement 220 collaborateurs (auxquels se rajouteront les 15 salariés d'Ingénieurs et Consultants), et compte trois autres filiales, à Lyon, Montpellier et Nantes. La SSLL espère réaliser un chiffre d'affaires de 14 M€ en 2007. (...)
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