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(24/09/2009 18:35:19)
6éme édition du salon E-commerce à Paris
Pour sa sixième édition, le salon E-commerce, qui se déroule du 29 septembre au 1er octobre porte de Versailles à paris, réunira une grande partie des acteurs de la vente en ligne. Ce rendez-vous européen concentrera sur ses 23.000 m² d'exposition Pixmania, Rue du Commerce, PayPal, eBay et Cdiscount. A noter que le grand absent sera PriceMinister qui n'interviendra qu'en tant que conférencier. Pendant trois jours, les 450 exposants présenteront leurs innovations technologiques sur leurs stands et lors de diverses conférences. Seize parcours thématiques seront mis en place cette année pour mieux guider les visiteurs professionnels. Pour la seconde année, le salon remettra les E-commerce Awards qui récompenseront les meilleures innovations de l'année en matière de vente sur Internet, dans huit catégories différentes dont "Technologies", "Confiance en ligne" et "Relations Client". (...)
(24/09/2009 17:17:53)Avec WebSiteSpark, Microsoft offre logiciels et support aux agences de création Web
Comment attirer un public de designers ne jurant que par le couple Apple/Adobe à utiliser, ou du moins considérer, l'offre Microsoft en matière de création pour le Web ? L'éditeur débat de cette question depuis quelques années maintenant. Sa suite Expression, qui arrive aujourd'hui en version 3, continue de jouer sur l'intégration avec l'environnement de développement Visual Studio (en .Net ou PHP). Mais cette fois, Microsoft appuie ce lancement d'une offre d'accompagnement que quasiment seul un acteur de son envergure peut se permettre : l'éditeur propose en effet aux autoentrepreneurs et petites agences de création de sites Web d'adhérer à un nouveau programme, WebSiteSpark, qui leur donne à la fois accès gratuitement aux logiciels (outils et serveurs) et au support technique. WebSiteSpark s'inscrit dans la lignée des programmes Idées et BizSpark, lancés par Julien Codorniou de Microsoft France pour donner un coup de pouce aux éditeurs de logiciels tiers, et repris au niveau mondial. L'annonce principale a d'ailleurs été faite jeudi par Julien Codorniou à San Francisco, et relayée le même jour à Paris par Microsoft France, qui avait invité deux partenaires déjà retenus pour le programme, i-Breed et FreeTouch. Elodie Brasile, cofondatrice de FreeTouch, explique que jusqu'à ce qu'elle gagne un appel d'offres lancé par Microsoft, son agence travaillait quasiment exclusivement avec des technologies Adobe (Dreamweaver, Flash...) pour la création de sites Web. Ce premier projet pour le compte de Microsoft l'a amenée à se tourner vers Silverlight, la technologie de client riche concurrente de Flash, et la suite Expression. Elle ne cache pas qu'il y a eu une certaine résistance au début de certains membres de l'équipe. « Mais il faut se remettre en question, évoluer », dit-elle. Au final, les gains de productivité sont impressionnants, indique-t-elle, notamment grâce à l'intégration fournie par Expression et son langage descriptif, XAML. A l'entendre, Dreamweaver passerait presque par comparaison pour un logiciel pour amateur. Le prototypage convertible directement en présentation Powerpoint Autre élément faisant gagner du temps : la cinématique des sites, autrement dit le prototypage (module SketchFlow dans Expression Studio 3), peut être directement convertie en présentation Powerpoint ; très pratique pour présenter un projet à un client. Quant à WebSiteSpark, « cela représente des milliers d'euros d'économies sur 2010 ». De fait, non seulement les licences pour Expression sont gratuites dans le cadre du programme, mais les agences ont aussi droit à des licences de SQL Server et de Windows Server 2008 R2 (chacun pour 4 CPU). Cela représente aussi « beaucoup de temps gagné grâce à l'accès au support technique », explique Elodie Brasile, qui se rappelle « des heures voire des nuits passées à chercher une réponse sur des forums ». A l'aune de ce témoignage, WebSiteSpark pourrait donc bien représenter le cheval de Troie dont Microsoft avait besoin pour séduire les créatifs, ou au moins attirer leur attention... en espérant les retenir. Comme l'a expliqué Christophe Lauer, responsable, au sein de l'équipe DPE (Division plateforme et écosystème de Microsoft France) des agences Web, le but est de bâtir une communauté qui pourra s'appuyer sur une place de marché et un réseau d'échanges, mais on n'est jamais certain qu'une communauté prendra réellement forme. (...)
(24/09/2009 17:03:20)Seuls 2% des DRH recrutent par le biais des réseaux sociaux
Très prisés par les internautes, les réseaux sociaux numériques ne sont pas encore considérés par les entreprises comme des outils stratégiques ayant un impact sur leur organisation. C'est ce que fait apparaître la première édition d'un baromètre réalisé par Novamétrie et Digital Jobs sur les stratégies RH et les réseaux sociaux. Celui-ci combine une phase qualitative menée auprès de 27 directeurs des ressources humaines de grandes et moyennes entreprises (Areva, Cegid, Bouygues Telecom, SFR, Axa, IBM, TF1, Sephora, Groupama, PSA...) et une phase quantitative conduite auprès de 260 collaborateurs du 11 août au 14 septembre. Il apparaît d'emblée que les utilisateurs ont une perception plutôt technique et pragmatique des réseaux sociaux. Ils les voient comme un carnet d'adresses interactif, pour dynamiser leur réseau et débouchant sur des opportunités de carrières et de progression sociale. Mais ils ne sont que 12% à estimer que leur entreprise a mis sur pied un programme mature sur ce terrain et 13% seulement à constater une mise en oeuvre dans ce sens. A l'inverse, 45% affirment que leur entreprise n'a pas mené de réflexion dans ce domaine. En matière de recherche d'emploi, si 82% des collaborateurs sondés pour le baromètre considèrent que les réseaux sociaux externes sont un moyen efficace de trouver un poste, seuls 5% disent avoir déniché de cette façon celui qu'ils occupent actuellement. Quant aux DRH, ils ne sont que 2% à admettre utiliser les réseaux sociaux pour recruter. Selon Novamétrie/Digital Jobs, ils seront 10% à le faire en 2011. Des DRH plus enclins à développer des réseaux sociaux internes Pour les DRH, les réseaux sociaux sont d'abord (dans 80% des cas) un vecteur d'image et de communication pour l'entreprise. Un tiers d'entre eux n'ont de réflexion stratégique sur l'attitude à avoir vis-à-vis des réseaux sociaux externes, de type Viadeo ou LinkedIn. La moitié dit avoir tenu quelques réunions sur le sujet, en particulier pour répondre aux problématiques de la diversité en matière de recrutement. Seul un cinquième des DRH ont ébauché une stratégie, là encore, en liaison avec le recrutement. En revanche, ils semblent plus enclins à développer des projets sur les réseaux sociaux en interne, autour de l'intranet d'entreprise, par exemple, des blogs métiers ou des 'séminaires virtuels'. Il y a en réalité deux typologies d'entreprise, relève Christophe Excoffier, de Novamétrie : « Le modèle d'entreprise est déterminant pour la mise en place de ces outils ». Il distingue celles qui ont acquis une culture 'numérique'. « Celles-ci sont plus ouvertes et fonctionnent en mode projet, tandis que les autres sont plus classiques dans leur organisation, avec un système de décision pyramidale ». L'un des critères déterminant pour la mise en place des réseaux sociaux, c'est la façon dont s'organise la circulation de l'information dans l'entreprise. Les collaborateurs pointent les usages controversés des réseaux sociaux Les DRH sont par ailleurs plutôt bien avertis de la présence sur les réseaux sociaux de leurs collaborateurs. Ces derniers sont à 92% présents sur les réseaux externes et les 2/3 utilisent des réseaux internes. Seuls 20% des DRH disent ne pas savoir si les employés fréquentent des réseaux sociaux ou affirment ne pas s'y intéresser. Mais les collaborateurs témoignent aussi des usages controversés des réseaux sociaux externes en entreprise, qui va de la dégradation de l'image à la divulgation d'informations stratégiques. Questions délicates auxquelles s'ajoute la nouvelle porosité des frontières entre vie professionnelle et vie personnelle. Les collaborateurs sont donc favorables à un code de bonne conduite. Ils sont 86% à juger qu'il n'existe pas de charte d'utilisation des réseaux sociaux dans leur entreprise. « Il y a une sorte d'urgence dans ce domaine », constate Christophe Excoffier, de Novamétrie, en rappelant que les collaborateurs ont une vraie expertise des réseaux sociaux. « Ce sont eux les experts de ces outils ». (...)
(24/09/2009 16:56:11)Après Perot Systems, Dell procèdera à d'autres acquisitions dans les services
Dolph Westerbos, vice-président solutions et services EMEA de Dell a profité de son passage à Paris pour détailler l'acquisition de la SSII Perot Systems pour à peine moins de 4 Md$ en début de semaine. Il a rappelé qu'en tout juste deux ans, Dell a fait du service un cinquième de son activité. Ces services, directement liés à l'infrastructure des entreprises, sont essentiellement mis en oeuvre par le biais des outils d'automatisation et d'administration du constructeur. Avec le rachat de Perot Systems, Dell pousse un cran plus loin sa stratégie, vers l'outsourcing. Mais Dolph Westerbos le précise bien : « Perot Systems réalise 85 % de son chiffre d'affaires aux Etats-Unis, et se positionne principalement sur les domaines de la santé, de l'administration et des grands comptes. » En clair, il ne s'agit pas d'un achat à la mode HP-EDS pour installer une activité de service généralisée. Cette opération s'apparente davantage à une première étape dans un processus plus long. Et le vice-président de Dell de confirmer, sourire aux lèvres, qu'il y a de fortes chances que le constructeur texan procède à d'autres acquisitions dans le domaine (Dell a acquis neuf entreprises dans les 18 derniers mois, dont Equallogic, Everdream ou Silverback). La prochaine acquisition ne concernera pas forcément l'Europe « Mais ce n'est pas parce que Perot n'est que peu présent en Europe, que nous achèterons d'abord dans cette région », a précisé Dolph Westerbos. Il ajoute qu'en attendant, le très faible poids de Perot en Europe (EMEA) est compensé par la présence de Dell dans la région. En France, par exemple, le Texan s'appuie sur des SSII majeures telles que Cap Gemini ou Atos Origin. Cette dernière en particulier « reste un partenaire très important », répond d'ailleurs le vice-président de Dell, quand on lui demande si la SSII française peut, comme certaines rumeurs le laissent penser, devenir la cible d'une nouvelle acquisition du constructeur. Pour brosser le portrait des services Dell en France, Christophe Burckart, directeur des services EMEA rappelle que cette activité représente 437 M$ dans l'Hexagone, « avec cependant des poches de croissance très fortes. Et du côté distribution, un serveur sur quatre passe désormais par les revendeurs. Ils sont très intéressés par nos services, car ils sont basés sur la technologie. De plus, nous avons aussi petit à petit mis en place pour eux des formations, des rabais, des services packagés, des certifications. » Contrairement à HP et IBM, Dell estime ne pas concurrencer ses partenaires SSII Qu'il s'agisse de développer son activité de service par de la croissance interne ou externe, Dell ne compte pas « répliquer le modèle Perot partout dans le monde, comme le précise Dolph Westerbos. D'autant qu'avec 5 Md$, finalement, nous réalisons déjà un chiffre d'affaires plus important qu'eux. Notre différence, c'est que nous proposons de la technologie et des outils pour mieux gérer l'infrastructure. Des outils qui nous différencient aussi de HP et IBM, et qui permettent de renforcer nos partenariats avec des SSII comme Atos ou Cap Gemini. » Enfin, le vice-président services et solutions EMEA a tenu à rappeler que l'activité services était la plus rentable pour Dell. Ce qu'il explique sans détours : « nous n'avons pas beaucoup de main d'oeuvre, ce qui nous donne une très bonne marge. » Et de rappeler que l'activité de service HP est encombrée de 200 000 employés alors que Dell dispose de ses solutions automatisées. Sur la comparaison avec ses concurrents HP et IBM, il rappelle par ailleurs que ses « partenaires sont plus enclins à travailler avec Dell qui ne les concurrence pas directement. » (...)
(24/09/2009 15:08:31)Microsoft achète quatre solutions métiers pour son ERP Dynamics AX
Microsoft pousse un cran plus loin la politique de verticalisation métier qu'il a engagé autour de son ERP Dynamics AX, destiné aux entreprises de 200 à 7 500 salariés. L'éditeur vient de racheter quatre offres développées sur son ERP par des partenaires intégrateurs très bien implantés dans son écosystème. Ces solutions éprouvées sont spécialisées sur trois secteurs d'activités : les industries de fabrication par process, les services professionnels et les points de vente. Certaines faisaient déjà partie du catalogue Dynamics AX de Microsoft depuis un certain temps. C'est le cas de Process Industries, conçue par Fullscope pour les industriels travaillant sur des activités de mélange (typiquement la chimie, la pharmacie, l'agro-alimentaire, l'industrie du papier...). Désormais, le logiciel passe complètement chez Microsoft. « Nous n'achetons pas l'entreprise, mais la solution », précise Crispin Read, directeur général des solutions ERP de la division Dynamics.
De la même façon, Microsoft a racheté une solution de son partenaire Computer Generated Solutions, développée pour les acteurs des services professionnels qui doivent gérer des projets, affecter des ressources et facturer des interventions. Les deux autres produits acquis ont été mis au point par les partenaires LS Retail EHF et To-Increase Denmark A/S (une filiale de Columbus IT Partner A/S) pour le commerce de détail. La volonté de Microsoft de renforcer son ERP Dynamics AX sur certains secteurs d'activités remonte à plusieurs années. Cette stratégie avait en particulier franchi une étape en 2007, à l'occasion de plusieurs annonces faites lors de la conférence utilisateurs Convergence, déjà autour de l'offre de Fullscope. Outre les trois secteurs faisant l'objet des rachats annoncés cette semaine, Microsoft vise aussi le marché de la distribution et le secteur public avec son ERP Dynamics AX.
Les partenaires ont toujours un rôle à jouer
« Il y a cinq ans, on pouvait encore vendre à une entreprise un ERP générique que l'on personnalisait ensuite », évoque Crispin Read. Ce temps est révolu. Le marché demande davantage de profondeur métier dans les fonctionnalités. Le directeur de la division ERP de Microsoft note que Dynamics AX se retrouve souvent en concurrence avec des solutions ERP verticalisées comme SAP All-in-One, sur des projets comptant un millier d'utilisateurs. Avec les quatre acquisitions qu'il vient de réaliser, Microsoft peut désormais proposer sur trois marchés un moteur standard qui apporte toutes les fonctions requises à une typologie métier donnée. L'objectif est d'apporter aux clients une solution plus immédiatement adaptée à leurs besoins.
Pas question pour autant de diminuer l'importance des partenaires. Ils auront toujours un rôle à jouer, affirme l'éditeur, en apportant des personnalisations complémentaires à la solution, en fonction des besoins spécifiques des clients. Ou encore en réadaptant un module pour un autre secteur. Questionné sur l'implication future des éditeurs d'origine dans l'évolution des quatre solutions, Microsoft indique que plusieurs modèles vont être utilisés, du transfert de connaissance au contrat de développement. L'éditeur dit avoir acquis la propriété intellectuelle des produits. L'ERP Dynamics AX compte plus de 11 000 clients dans le monde dont 250 en France. L'autre ERP de Microsoft distribué en France, Dynamics NAV, vise une cible différente, plus large (les PME de 50 à 1 000 salariés). Il rassemble plus de 70 000 clients dans le monde dont 2 000 en France. (...)
Microsoft offre une solution temporaire à la faille de SMB 2
En attendant une rustine, Microsoft vient de publier une solution temporaire pour pallier la faille affectant SMB (Server Message Block) 2, son protocole maison pour l'impression et le partage de fichiers. Cette faille découverte le 7 septembre dernier, affecte les versions de SMB 2 sous Windows Vista et Windows Server 2008 [mise à jour]. Bien qu'aucune exploitation malveillante n'ait encore été recensée, Microsoft conseille aux utilisateurs de télécharger un programme automatique via la fonction Fix It et de le faire tourner sur les ordinateurs affectés. Il est également possible de désactiver complètement SMB 2, mais dans ce cas les communications d'une machine à l'autre seraient considérablement ralenties. (...)
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