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(22/09/2009 17:32:49)
Les projets de CRM sont davantage pilotés par les directions métiers
Dans les projets de CRM (gestion de la relation client), la DSI n'est plus toute puissante dans le processus de prise de décision. Les différentes directions métier ont l'initiative et pilotent le projet tout au long de son déroulement. C'est ce que fait apparaître un sondage mené auprès de cent entreprises entre février et mai 2009(*) par la SSII Micropole Univers. 59% des cahiers des charges et des appels d'offres sont d'ailleurs réalisés en interne. Le décisionnaire, c'est le responsable applicatif qui agit en maître d'ouvrage. Toutefois, la DSI garde un oeil et même un peu plus. C'est elle qui tient le budget CRM, donc la décision finale. « Désormais, dans ces projets CRM, on part d'un enjeu métier et d'un processus marché », note Patrick Sportouch, directeur de l'entité CRM de Micropole Univers. Le processus de décision s'est modifié et les intégrateurs en sortent renforcés. Au début des années 2000, les cabinets conseil jouaient un rôle majeur et prenaient une part importante dans les budgets. Conséquence : les prestataires devaient s'aligner tant bien que mal sur les projets définis par ces cabinets conseil. Une source de rigidité et d'échec. Aujourd'hui, les directions métier, devenues maîtres d'oeuvre, pilotent les projets de A à Z. Les éditeurs, dans leur grande majorité, laissent la mise en place de l'application aux intégrateurs. 48% des appels d'offre concernent d'ailleurs un couple éditeur/intégrateur. 14% seulement des projets étant réalisés par des éditeurs seuls, qui assurent également l'intégration. Des utilisateurs de plus en plus satisfaits Autre modification, la réussite des projets actuels est conditionnée par de nouveaux objectifs. Trois sujets recueillent dans le sondage un niveau de satisfaction positif : le dimensionnement du premier lot (55,2%), le respect du budget (51,7%) et la satisfaction des utilisateurs (même score : 51,7%). Sur ce dernier point, on rencontre même des « très satisfaits », dans 19% des cas. La même question a été posée a postériori, non pas sur les projets actuellement menés, mais sur ceux réalisés 2 à 5 ans en arrière. Dans cette optique, les sondés répondent que la conduite du changement a été le critère dominant de réussite. Il reste donc des traces de mécontentement dans les projets CRM. Sujet numéro un : le retour sur investissement. Il atteint le niveau de satisfaction le plus faible (32 ,8%), suivi du respect du planning (48,3% de satisfaits). Les utilisateurs, il est vrai, exigent désormais des délais très courts de rentabilité : de six mois à un an pour 35% des répondants, de un à deux ans pour 46%. Le CRM revient de loin. Trop de projets ont échoué au début des années 2000. Le sondage de Micropole Univers apporte un sérieux bémol à l'image négative venue du passé, puisque 26% seulement des sondés en ont une perception négative. « C'est une heureuse surprise », commente Patrick Sportouch. Pour cet intégrateur, trois critères sont importants : la mise en oeuvre, l'intégration avec le système d'information et la conduite du changement. (*) 100 entreprises interrogées en ligne à partir du mois de février dernier. 139 questionnaires remplis complètement. 60% des répondants venaient de direction métier (ventes, marketing), 25% des directions informatiques, 15% des directions générales. 69% appartenaient aux équipes projet CRM de leur entreprise. 60% ont déjà eu une démarche CRM, dont 23% prévoient de nouvelles évolutions, 29% des répondants sont en cours de réflexion sur une démarche CRM. (...)
(22/09/2009 17:36:18)L'Assemblée nationale vote Hadopi 2 modifié par le Sénat
L'Assemblée nationale vient d'adopter définitivement le projet de loi Hadopi 2 sur la protection pénale de la propriété littéraire et artistique, à 258 voix pour et 131 contre, vers 17 h 20 ce mardi 22 septembre 2009. Hier, le Sénat avait adopté les conclusions de la commission mixte paritaire sur ce projet. Présidée par le sénateur Jacques Legendre, cette commission s'était réunie pour convenir d'un texte commun mercredi dernier, au lendemain du vote en première lecture du projet de loi, adopté par les députés le 15 septembre, à 285 voix contre 225. Hier, Michel Thiollière, rapporteur pour le Sénat des conclusions de la commission mixte paritaire, a rappelé que les sénateurs avaient déjà, le 8 juillet dernier, inséré sept nouveaux articles aux cinq que contenait le texte initialement présenté par le Gouvernement. Le sénateur considère notamment que ces modifications ont permis d'améliorer la lisibilité et la cohérence du texte « en distinguant le délit de contrefaçon de l'infraction de négligence caractérisée visant le titulaire de l'abonnement ». Il insiste aussi sur la volonté de renforcer le caractère pédagogique et dissuasif du texte. « Nous avons prévu que la sanction de suspension de l'accès à Internet, lorsqu'elle est prononcée dans le cadre de l'infraction contraventionnelle de négligence caractérisée, ne figure pas au bulletin n° 3 du casier judiciaire. » L'objectif est, selon Michel Thiollière, qu'il n'y ait pas de conséquences « fâcheuses » pour les personnes à la recherche d'un emploi ou souhaitant se présenter à un concours administratif. Par ailleurs, le Sénat a augmenté le plafond de l'amende encourue par le fournisseur d'accès à Internet qui ne mettrait pas en oeuvre la peine de suspension qui lui aurait été notifiée. Le sénateur a aussi indiqué qu'il avait été « fait en sorte que la Haute autorité ne puisse pas garder les données à caractère personnel relatives à l'abonné plus longtemps que la procédure ne l'exige ». Pour le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, intervenant hier au Sénat à la suite du rapporteur, la régulation de l'Internet prévue par ce projet de loi n'est « qu'un premier jalon ». Il s'agit pour lui du préalable indispensable à une deuxième étape qui consistera à développer de nouvelles formes d'offres culturelles sur Internet et à inventer de nouvelles sources de rémunération pour les créateurs. Le ministre a rappelé qu'il venait, à cet effet, de confier une mission à Patrick Zelnik, PDG du label indépendant Naïve. Une mission baptisée « Création et Internet » à laquelle participent également l'ancien ministre de la Culture, Jacques Toubon, et le président de Sotheby's France, Guillaume Cerutti. David Assouline, sénateur socialiste, a de son côté contesté l'efficacité du dispositif qui se préparait avec Hadopi 2 avant d'interpeller le Ministre de la Culture : « ne perdons pas de temps avec la commission de trois personnes que vous avez mise en place. Je conteste cette méthode, car il faut engager un vrai débat national avec tous les acteurs concernés qui portent un intérêt à la culture, les citoyens et les pouvoirs publics ». (...)
(22/09/2009 17:00:51)La Commission européenne s'explique sur la condamnation d'Intel
Accusée de partialité contre Intel, la Commission Européenne vient de dévoiler amende record de 1,06 milliard d'euros en mai dernier. Depuis, Intel a fait appel de cette décision en avançant un défaut de preuve, et veux faire condamner la Commission européenne en l'accusant de partialité. Les 500 pages de la décision se révèlent pourtant implacables pour Intel. Y figurent en effet des échanges de courriers électroniques avec des constructeurs comme Dell, HP, Lenovo ou Nec qui révèlent des pratiques commerciales pour le moins étranges. Ainsi, le fabricant de processeurs conditionnait-il certaines remises sur ses tarifs à l'absence totale d'offres basées sur des processeurs AMD chez ses clients, ou au fait que ces puces soient cantonnées à certains secteurs de marché (les PME démarchées en direct par HP par exemple) ou encore qu'ils sortent avec plusieurs semaines de retard, par rapport à une offre équivalente basée sur des puces Intel. A quelques heures de l'ouverture de l'Intel Developer Forum de San Francisco, AMD s'est réjouit de cette publication, et espère qu'elle aura une influence favorable dans le procès qui l'opposera à son concurrent aux Etats-Unis en mars prochain. (...)
(22/09/2009 16:57:51)Octane III, le super calculateur de bureau selon SGI
Après Cray l'année dernière , c'est au tour de Silicon Graphics International (SGI) de proposer un supercalculateur de bureau, l'Octane III, exploitant ses technologies de cluster. Bien connue pour ses serveurs et ses stations de travail haut de gamme, SGI qui a été racheté en mai dernier par Rackable Systems, ne vend pas encore son Octane III à la Fnac, mais ce jour n'est sans doute plus très loin. Depuis dix ans, les principaux composants du HPC (high performance computing) se sont standardisés et les systèmes deviennent de plus en plus faciles à utiliser et à administrer. En version de base (à partir de 5450 € HT), ce premier "super ordinateur personnel" est livré avec un processeur quadri-coeurs Intel Xeon 5500 (Nehalem) épaulé par 80 Go de mémoire vive. L'entreprise précise que plusieurs configurations sont bien sûr possibles avec des cartes graphiques Nvidia pour faire office de super station de travail ou avec des processeurs de faible puissance, les Atom double coeurs d'Intel en l'occurrence. SGI explique que cette dernière configuration répond à des demandes bien précises : le développement applicatif et les tests de code. A l'autre extrémité de la gamme, la société propose un système avec une carte mère qui intégre pas moins de 10 duals sockets pour accueillir jusqu'à 20 processeurs quadri-coeurs Xeon L5520 (soit un total de 80 coeurs !) avec 240 à 960 Go de mémoire vive (jusqu'à 96 Go par noeud). Un super calculateur facturé ici au prix fort : 36 100 € HT. Au chapitre des performances, cet Octane III plafonne à 726 Mégaflops (opérations par seconde en virgule flottante) ce qui ne le glisse même pas dans le top 500 des machines les plus puissantes du monde. "Mais ce n'est pas la mission de cette machine" nuance SGI, "nous avons préféré mettre l'accent sur la facilité d'utilisation". Steve Conway, analyste chez IDC, explique que "ce super PC SGI s'attaque à un marché mondial estimé à 2 milliards de dollars. Il s'agit plus précisément du segment HPC de bureau, soit des systèmes de calcul qui coûtent moins de 100 000 $. Ce marché devrait même atteindre 2,7 milliards de dollars d'ici à 2013. Soit une croissance de près de 6% par an, ce qui représente un bon chiffre étant donné l'effondrement des ventes de serveurs cette année. D'autres grands fournisseurs ont déjà présenté des produits qui entrent dans cette catégorie. Nvidia a ainsi dévoilé l'automne dernier son Tesla Personal Supercomputer disponible à partir de 6800 €. Ce dernier exploite les cartes graphiques maison pour fournir une capacité de calcul de 4 Teraflops. Ce marché des HPC de bureau est essentiellement composé de clients qui n'ont généralement pas d'expérience dans le domaine des supercalculateurs. "Voilà pourquoi la mise en service et l'utilisation doivent être le plus facile possible" précise Steve Conway. Et sur ce dernier point, SGI a de bons antécédents pour la production de systèmes "plug and play". Steve Conway s'interroge toutefois sur l'étiquette 'supercalculateur personnel' du système de SGI. Si certains utilisateurs l'utiliseront bien en tant que tel, il pourrait également faire office de serveur pour un groupe de travail. SGI propose d'ailleurs son produit préconfiguré avec Windows Server, Windows HPC Server 2008, Red Hat Enterprise Linux et Suse Linux Enterprise Server. Dernière attention pour l'utilisateur, le constructeur livre une liste de 50 applications compatibles HPC utilisées dans le génie civil, les sciences de la vie, l'exploration pétrolière et d'autres usages. Au client ensuite de choisir et d'installer ses logiciels. (...)
(22/09/2009 16:36:31)IBM et Microsoft restent les marques les mieux valorisées du monde des TIC
IBM et Microsoft sont les deux marques du secteur IT les mieux valorisées au monde avec respectivement 59,9 Mds de dollars et 53,4 Mds de dollars. Elles apparaissent 2ème et 3ème du top 100 mondial, établi en 2009 par le cabinet Interbrand, juste derrière l'indétrônable Coca-Cola et ses 67,5 Mds de dollars de valorisation. Nokia, Google et Intel s'offrent les 5ème, 7ème et 9ème places. Sans boutique ni produit physique, Google a cette année encore connu la plus forte croissance de sa marque (estimée à 31,98 milliards de dollars) d'une année sur l'autre. Yahoo, la seule autre entreprise purement en ligne du classement, s'affiche bien loin sur la 64ème marche. Amazon et eBay sont respectivement 43ème et 46ème. HP, Cisco, Samsung et Apple se retrouvent dans les 20 premiers alors que le premier Européen du secteur n'émarge qu'en 27ème position. Sans surprise, il s'agit de l'Allemand SAP. Interbrand a par ailleurs relevé les noms de plusieurs entreprises des pays émergents qui pourraient s'imposer au niveau mondial. Et les TIC sont représentées par Lenovo en Chine et l'éditeur de sécurité Kaspersky Labs en Russie. Le poids croissant du développement n'apparaît pas encore dans l'IT Pour réaliser son classement de 100 entreprises, Interbrand chjoisit parmi les entreprises de ses bases marketing, celles qui ont un minimum de données financières publiques, qui réalisent au moins un tiers de leur CA en dehors de leur pays d'origine, qui jouent un rôle direct dans la décision d'achat des consommateurs, etc. Et ce sont finalement la santé financière de l'entreprise, le rôle que joue la marque dans la création de demande et le poids de celle-ci dans la valeur de l'entreprise (la part du CA global qui provient selon le cabinet de la marque, du logo, de l'image) qui lui valent sa position dans le palmarès. A noter qu'Interbrand insiste sur le poids croissant du développement durable dans la valeur des marques. La conscience grandissante des consommateurs et les réglementations sociales et environnementales pousseront les entreprises à intégrer ces dimensions dans leur stratégie. Et ce même si aujourd'hui, le rapport du cabinet n'en fait mention pour aucune marque du secteur IT, à l'exception de Xerox. (...)
(22/09/2009 10:48:55)Facebook sonne le glas de Beacon et admet certains problèmes sur le site
Lancé il y a un peu plus de deux ans, Beacon, le programme de ciblage marketing de Facebook, est désormais mort et enterré. Après l'ouverture d'une action collective en août 2008 pour violation de la vie privée par son outil, Facebook a préféré trouver un terrain d'entente avec les parties impliquées plutôt que d'entamer une action en justice. Aux termes de cet accord, la société s'engage à éliminer complètement tous les vestiges de Beacon. Elle versera également 9,5 millions de dollars pour la création d'une fondation indépendante de financement de projets visant à promouvoir les causes de la vie privée et de la sécurité en ligne. Selon les termes de l'accord, jusqu'à un tiers du montant de cette somme pourrait toutefois être utilisé pour payer les avocats de vingt des plaignants. Avant d'entrer en vigueur, cet accord devra néanmoins être ratifié par le tribunal du district de Californie à San Jose, où la plainte avait été initialement déposée. Facebook admet rencontrer certains problèmes sur le site Facebook a par ailleurs confirmé hier, lundi 21 septembre, que certains de ses utilisateurs avaient rencontré des problèmes d'utilisation sur son site au cours des quelques derniers jours : des difficultés pour ouvrir une session, des contenus qui n'apparaissent plus, l'impossibilité de voir certains profils et des messages d'erreur lors de la publication de contenus. « Nous travaillons pour résoudre ces inconvénients », a indiqué brièvement le centre d'assistance. Facebook évoque des problèmes techniques sur les données gérées en cache. (...)
(22/09/2009 11:17:16)Tableaux de bord : SAP livre BusinessObjects Explorer en France
SAP livre en France l'offre décisionnelle SAP BusinessObjects Explorer qu'il a annoncée en mai dernier à l'occasion de sa conférence Sapphire d'Orlando. Cet outil d'exploration de données est l'un des premiers produits de l'éditeur allemand à combiner les fruits de sa R&D et de celle de BusinessObjects. Conçu pour que les utilisateurs élaborent eux-mêmes leurs indicateurs clés de performances, Explorer s'appuie sur Polestar, l'interface intuitive développée par Business Objects pour sa plateforme XI 3.0. Celle-ci se prend en main sans formation ou presque, a rappelé Thierry Pierre, spécialiste des solutions SOA et Netweaver chez SAP France. « De toutes nos offres décisionnelles, Explorer est celle qui a la cible la plus large », a-t-il précisé la semaine dernière à un auditoire de responsables informatiques français venus assister à une démonstration du nouvel outil.
De fait, l'interface Polestar présente à l'utilisateur une simple fenêtre de dialogue pour saisir les mots-clés de sa requête, sur le modèle d'un moteur de recherche (ici, pas de navigation dans des méta-données), et faire remonter les données des indicateurs à visualiser graphiquement sous différentes formes. Explorer s'adresse en particulier à tous les utilisateurs occasionnels qui veulent mener des analyses de façon interactive en se laissant guider par leur connaissance du métier. Au passage, les données remontées permettent de 'découvrir' des informations associées, ce qui pourra conduire à approfondir l'analyse sur d'autres axes. Les indicateurs réalisés peuvent ensuite être partagés entre utilisateurs. L'interface Polestar a été développée avec les technologies Flex d'Adobe. Pour fournir un aperçu de ses possibilités, SAP propose aux utilisateurs de tester l'outil sur le Web, avec leurs propres données.
Accélération de l'analyse en mémoire
L'un des grands intérêts d'Explorer, c'est aussi de pouvoir exploiter les capacités d'analyse en mémoire apportées par BW Accelerator, technologie issue cette fois de la R&D de SAP. Celle-ci recourt à une 'appliance' matérielle, exploitant des serveurs lames fournis par l'un des quatre partenaires de SAP sur cette offre, IBM, HP, Siemens ou Sun. « L'installation, sur un système existant, est de l'ordre de quelques heures, estime Vincent Taufflieb, directeur avant-vente BI chez SAP. La technologie d'accélération génère en mémoire les index pour procéder au requêtage. Ces index peuvent être sauvegardés sur disques pour un redémarrage rapide en cas de problème. »
Pour l'instant, seuls les utilisateurs de SAP BW, l'offre de datawarehouse de SAP, peuvent bénéficier de cette analyse accélérée en mémoire, pour autant qu'ils soient passés à Netweaver BI 7. Toutefois, l'offre décisionnelle acquise avec l'éditeur français Business Objects ayant vocation à rester totalement agnostique vis-à-vis des applications du marché, SAP prévoit de livrer, en 2010, un 'Accelerated Explorer' pour les solutions non-SAP. Actuellement, hors SAP BW, BusinessObjects Explorer peut déjà s'utiliser avec toutes sources de données, en passant par les univers traditionnels de BO, mais sans accélération.
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