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(04/09/2009 17:06:37)

Frédéric Mitterrand lance une mission sur l'offre légale de contenus sur Internet

Quelques jours avant le vote par les Députés du projet de loi Création et Internet Hadopi II, remanié après la censure du Conseil constitutionnel, le nouveau ministre de la Culture, Frédéric Mitterand, a annoncé hier avoir confié à Patrick Zelnik, PDG du label indépendant Naïve, une mission portant sur l'offre de contenus culturels sur Internet. Le premier objectif est de parvenir à développer une offre légale attractive. Mais cette réflexion doit également aborder les questions liées à la rémunération des créateurs et au financement des industries culturelles. La mission « Création et Internet » bénéficiera également de la contribution de l'ancien ministre de la Culture Jacques Toubon et de celle de Guillaume Cerutti, président de la salle de vente aux enchères Sotheby's France. Ce dernier fut également directeur général de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, entre 2004 et 2007.

Il ne s'agit pas d'Hadopi 3


Pour Frédéric Mitterrand, cette mission vise à « apporter enfin cette régulation générale de l'utilisation d'Internet et de lutte contre le piratage » qu'il a promise dès son entrée en fonction. Il précise qu'il ne s'agit pas d'un « Hadopi 3 », mais de mesures d'accompagnement qui vont, pense-t-il, « faire bien comprendre que l'objectif du gouvernement et du ministère de la culture est à la fois de servir les internautes, de protéger les droits d'auteur et d'apporter une régulation dans un marché qui est pour l'instant totalement anarchique. » Pour le PDG du label Naïve (éditeur de Carla Bruni et Marianne Faithfull), qui est également président d'Impala, le syndicat européen des sociétés phonographiques indépendantes, la mission concerne l'ensemble de la chaîne qui va de l'artiste au consommateur. De son côté, Jacques Toubon a affirmé qu'il n'y aurait « aucun tabou ». « Nous allons être très ouverts sur le partage des ressources », a-t-il indiqué en précisant : « Le ministre s'est engagé à aller présenter ses propositions au gouvernement et au Président de la République dans la deuxième partie de novembre. Nous avons donc deux mois. » (...)

(04/09/2009 16:56:51)

Microsoft obtient un répit et continue de vendre Word

Microsoft pourra bel et bien continuer de vendre Word en octobre. Après la décision d'un tribunal texan le 11 août dernier, l'éditeur s'était vu imposer un délai de 60 jours pour stopper la commercialisation de son traitement de texte aux Etats-Unis. La raison ? Le non-respect du brevet que la société i4i détient sur certaines fonctions XML. Sans se prononcer sur le fond, la cour d'appel du District fédéral a accepté de lever l'injonction qui interdisait à Microsoft - et à des tiers comme HP ou Dell - de commercialise Word. I4I a jusqu'à mardi prochain pour répondre à l'appel engagé par Microsoft. Le cas échéant, l'éditeur devra alors déposer ses propres conclusions avant le 14 septembre avant une audience finale le 23 septembre. (...)

(04/09/2009 16:42:06)

Carnegie Mellon et l'OMG lancent un consortium pour la qualité logicielle

L'Institut de l'ingénierie logicielle de l'université de Carnegie Mellon (SEI) et l'OMG (Object management group) créent ensemble un consortium de la qualité logicielle. Les constats sur le sujet sont simples. D'une part, les logiciels sont de plus en plus complexes. Ils sont multi-tiers (multi-niveaux) et s'appuient sur plusieurs langages. D'autre part, le moindre problème sur un logiciel fait courir un risque important à des entreprises dont l'économie repose de plus en plus fortement sur leur système d'information. Le Consortium of IT Software Quality (CISQ) sera constitué de membres issus des 2 000 plus grands industriels de l'IT (classement Forbes Global 2000), d'intégrateurs, de SSII et d'éditeurs. Ils travailleront ensemble sur des standards de mesure de la qualité logicielle ainsi que sur la promotion d'un écosystème pour les déployer qui s'appuie sur les acteurs du secteur. La raison d'être principale du CISQ consiste à mettre au point ce standard de façon suffisamment détaillée pour permettre une mesure automatisée de la qualité, seule façon de le rendre viable économiquement pour les parties prenantes, selon les deux fondateurs. Un standard pour les applications multi-tiers, multi-langages Au total, le SEI et l'OMG ont identifié cinq objectifs essentiels pour leur projet. Le consortium devra répandre la bonne parole et convaincre l'industrie IT de l'importance que revêt la qualité logicielle. Les outils de mesure standards de la qualité et du risque devront être mis au point pour des applications multi-tiers et multi-langages. Des méthodes permettront d'utiliser aussi ces outils pour négocier l'achat et la maintenance d'applications. Des licences professionnelles donneront aux fournisseurs de services les moyens de garantir la qualité de leur production. Enfin, le consortium mettra en place un forum de discussion en ligne autour de toutes ces questions. Deux réunions inaugurales du consortium se tiendront le 6 octobre dans les locaux du SEI à Arlington, en Virginie, puis le 12 novembre à Francfort, en Allemagne. La première version provisoire du standard est prévue pour le 4e trimestre 2010. La vente de services conformes à la norme devrait démarrer début 2011. (...)

(04/09/2009 15:09:59)

Facebook Connect devient totalement mobile

Facebook vient de mettre à disposition des développeurs une version mobile de ses API Facebook Connect. Celles-ci permettent à un utilisateur Facebook de s'authentifier sur un site tiers et de se servir des informations contenues dans son profil (pour partager des photos, ses statuts, ses contacts). L'application en question peut aussi envoyer directement des mises à jour vers la page Facebook de l'internaute. A terme, cela permettra au réseau social de servir aussi de portail pour des applications mobiles, comme il le fait déjà pour des applications accessibles classiques. Le lancement en mars dernier de Facebook Connect pour iPhone (et la mise à jour qui a suivi de l'application Facebook sur l'AppStore) a fait exploser l'utilisation nomade du réseau social. Désormais, 65 millions sur les 250 millions d'utilisateurs recensés sur Facebook, en font un usage régulier à partir de leur téléphone mobile, soit trois fois plus qu'en décembre. Et Facebook ne compte pas s'arrêter là. Il compte désormais aller chercher ses utilisateurs jusque sur leurs téléviseurs et leurs consoles de jeu. La console DSi de Nintendo permet déjà de mettre en ligne ses photos sur Facebook, et le réseau social s'est rapproché de Microsoft pour s'installer sur le service Live de sa Xbox 360. (...)

(04/09/2009 14:24:00)

L'Allemagne s'en prend à son tour au projet d'accord sur Google Books

L'Allemagne a déposé cette semaine un recours auprès du tribunal d'instance de New York (circonscription Sud) pour s'opposer à « l'accord de règlement » que Google veut passer avec les auteurs et éditeurs, dans le cadre de son service Google Recherche de Livres (Google Book Search). Ce projet d'accord définit notamment le mode de rémunération des livres publiés sur Google Livres (Google Books). Elaboré en octobre 2008, il est en cours d'examen par le tribunal fédéral. Pour le gouvernement allemand, si ce projet est entériné, il risque d'avoir un impact international, à la fois sur la législation concernant le copyright, sur le respect de la vie privée (en faisant fi de l'anonymat de la lecture) et sur les droits d'auteur des écrivains allemands. Bien que l'accord ne doit s'appliquer qu'aux Etats-Unis, l'Allemagne juge en effet qu'il créera un précédent qui pourra affecter d'autres pays. Un autre opposant, Amazon, ne mâche pas ses mots D'autres voix se sont déjà élevées pour combattre ce projet, celles de Microsoft, Yahoo et Amazon, notamment. Ce dernier a notamment adressé au tribunal de New York une lettre très explicite où il affirme que l'accord de règlement crée un cartel d'auteurs et d'éditeurs opérant quasiment sans restriction, et « ayant la capacité de faire grimper le prix des livres et d'en réduire la production au détriment des consommateurs et des nouveaux auteurs ou éditeurs qui viendraient concurrencer les membres de ce cartel ». Parmi les opposants à l'accord de règlement figurent aussi des associations de protection de la vie privée. L'Electronic Frontier Foundation, par exemple, s'inquiète de voir Google construire une immense base de données d'informations capable de renseigner sur ce que lisent les clients de sa bibliothèque en ligne. Des supporters parmi les associations d'étudiants Mais le projet a aussi ses supporters, organisations oeuvrant pour promouvoir l'accès à la lecture des malvoyants ou associations d'étudiants, en particulier. L'United States Student Association avance par exemple que des millions de livres ne sont actuellement accessibles qu'aux seules personnes ayant les moyens de fréquenter les universités. « Avec Google Books, tout étudiant pourra consulter, où qu'il se trouve aux Etats-Unis, les livres figurant dans les plus grandes librairies du monde », justifie Gregory Cendana, président de l'associations. La date limite pour communiquer des objections à ce projet ou, pour les auteurs et éditeurs, se retirer de l'accord de règlement, était fixée à aujourd'hui, vendredi 4 septembre. Quant à la date de « l'audience impartiale » du tribunal, elle est fixée au 7 octobre 2009. (...)

(04/09/2009 12:15:58)

Atos Origin s'intéresserait à un prestataire italien de solutions de paiement

Selon La Tribune, la SSII Atos Origin dirigée par Thierry Breton, serait en négociations avancées pour acheter SIA SSB, un prestataire italien de services de paiement. Le quotidien économique précise que le Français -ainsi que d'autres candidats- avait déjà étudié ce dossier, sans succès, face aux exigences des actionnaires de SIA SSB. L'entreprise italienne propose des solutions et des services pour le paiement par carte, pour les systèmes d'information bancaires et financiers ainsi que des solutions de connectivité et de messagerie. Fin 2007, SIA SSB comptait 7 filiales et 1 800 employés, et affichait un chiffre d'affaires de 378,6 M€ pour un bénéfice net de 11,6 M€. Comme la plupart des autres SSII françaises, Atos Origin a, de son côté, enregistré une baisse de 2,4% sur son chiffre d'affaires au premier semestre, à 2,589 Md€, avec un bénéfice stable par rapport à 2008 de 75 M€. Sur son exercice 2008, la SSII avait réalisé un chiffre d'affaires de 5,48 Md€ (+ 5,6% en organique) et un bénéfice net de 23 M€ (-52%). (...)

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