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(14/08/2009 15:50:02)

Open Innovation Summit : appel à candidature pour start-up Open Source

A l'occasion de l'Open World Forum qui se tiendra à Paris les 1er et 2 octobre 2009, le Groupe Thématique Logiciel Libre du pôle de compétitivité System@tic Paris Région organise une présentation de start-up, en collaboration avec l'Agence régionale de développement de Paris Ile-de France. Chaque équipe, sélectionnée sur dossier, disposera d'un temps de parole de sept minutes pour démontrer le caractère innovant de son projet devant un jury et un public composés d'investisseurs, d'intégrateurs et d'experts de l'Open Source. Les dossiers « les plus prometteurs » se verront attribuer un 'Open Innovation Award'. En complément, dix sociétés franciliennes en recherche de capitaux seront retenues parmi les candidats et mises en relation avec des investisseurs institutionnels. Cette présentation de start-up innovantes aura lieu dans le cadre de l'Open Innovation Summit qui constitue l'un des cinq grands rendez-vous de l'Open World Forum. Les quatre autres événements de cette manifestation internationale sont consacrés aux grandes communautés Open Source (Apache, Eclipse, Linux Foundation, Mozilla, OW2...), aux directeurs informatiques, aux politiques publiques et aux centres de compétences Open Source. Dossiers de candidature à déposer avant le 1er septembre Les start-up souhaitant participer aux Open Innovation Awards doivent remplir avant le 1er septembre 2009 le dossier de candidature mis à disposition sur le site du Groupe Thématique Logiciel Libre. Ce dernier est actuellement impliqué sur neuf projets de R&D dans le domaine du logiciel libre, financés pour un coût total de 24 M€ et subventionnés à hauteur de 10 M€. L'an dernier, la première édition de l'Open World Forum (1er-2 décembre 2008, Paris) a réuni 1 200 visiteurs et 160 intervenants d'une vingtaine de pays. (...)

(14/08/2009 11:40:26)

Premier pas de la bêta de la R2 de SQL Server 2008

Les premiers développeurs viennent de la recevoir, les autres bientôt. La R2 du SGBD SQL Server 2008, connu sous le nom de code "Kilimanjaro", avance pas à pas vers sa sortie, prévue au premier semestre de l'an prochain. Elle devrait être synchronisée avec celle d'Office 10, suite bureautique avec laquelle elle aura des liens techniques. Une de ses principales fonctions sera Report Builder 3.0, un module de décisionnel nettement amélioré. Il comportera en particulier la possibilité d'une géolocalisation des données. Report Builder 3.0 et une intégration plus poussée avec Office confirment que Microsoft prépare une offensive sur le thème de la démocratisation du décisionnel. Au niveau de l'administration, le déploiement multi-serveur sera facilité. Deux autres technologies devraient être intégrées d'ici au lancement de cette R2. Le "Project Gemini", qui permettra d'utiliser Excel pour analyser des données, et Madison, outil d'entrepôt de données, fruit du rachat de DATAllegro l'an dernier. (...)

(14/08/2009 09:18:03)

Rebondissement dans l'affaire Commission Européenne versus Intel

Petit rebondissement orchestré dans le bras de fer qui oppose toujours Intel à la Commission européenne. Selon le Wall Street Journal, le médiateur européen s'inquiéterait du traitement qui fut réservé aux déclarations d'un dirigeant de Dell en août 2006 dans le cadre d'une procédure qui s'est conclue sur une amende record d'un milliard d'euros infligée à Intel pour son comportement anticoncurrentiel vis-à-vis d'AMD. Bien sûr, ces déclarations seraient en faveur d'Intel. Bien qu'il n'ose pas remettre en question l'intégralité de la procédure et le fondement de la décision européenne, le journaliste du quotidien économique en profite pour tirer à boulets rouges sur la Commission, sur ses "procédures opaques" et sa propension à se focaliser sur des sociétés américaines de la haute technologie. Comprenez Intel et Microsoft. La chargée de communication du médiateur européen, Nikiforos Diamandouros, se refuse à tout commentaire. Y compris sur le fait que, contrairement à ce qui avait pu être colporté, aucune réaction officielle du médiateur n'a été publiée. A l'inverse, contrairement à son habitude, le Wall Street Journal met gratuitement à disposition son article sur son site. (...)

(14/08/2009 09:18:07)

Le standard environnemental Epeat validera la conformité des produits pour 40 pays

Les déclarations de produits conformes au standard Epeat (Electronic Product Environmental Assessment Tool) se feront désormais pour 40 pays dont la France, et non plus seulement pour les Etats-Unis. Ce programme établit en effet depuis 2006 une base de données de produits électroniques décrits avec des critères environnementaux. Ces informations sont remplies directement par les fournisseurs. Avec l'extension internationale de cette base accessible en ligne, les entreprises clientes et les consommateurs sauront si les machines qu'ils souhaitent acquérir respectent aussi dans leur pays les critères environnementaux du programme. Cela se traduit entre autres par l'ajout du pays dans les formulaires de recherche de produits sur le site. Mais pour cela, il n'a pas suffi à Epeat d'ajouter un lien vers la donnée « pays » de chaque produit dans sa base de données. En effet, quand un constructeur déclare par exemple que son PC ne contient pas de pièces de plus de 25 g en PVC, a priori, cette déclaration vaut dans tous les pays où le produit est vendu. Et dans la base, il suffit donc de valider le produit dans tous ces Etats. Mais Epeat tient aussi compte de certains services proposés par les constructeurs, comme la reprise ou le recyclage des matériels. Et dans ce cas, la validation du critère par pays ne peut être automatique. Le fournisseur doit confirmer qu'il assure la prestation décrite partout où il est présent pour que la validation fonctionne. Epeat en appelle à toutes les bonnes volontés La porte-parole d'Epeat, Sarah O'Brien, explique que cette démarche n'est que le début de l'ouverture du programme à l'international, qui espère en particulier attirer des acteurs locaux des TIC. « A la création, en 2006, nous avions 3 fournisseurs inscrits avec seulement une cinquantaine de produits. Aujourd'hui, nous comptons 35 inscrits et près de 1 300 produits. Mais nous avons ouvert une porte, et il va falloir assurer beaucoup de travail pour soutenir notre démarche. » L'organisme réalise ainsi, par exemple, des vérifications aléatoires des déclarations des fournisseurs inscrits. Avec l'internationalisation du système, il va faire en sorte de former des personnes qui puissent s'occuper de contrôles locaux. Le standard doit aussi être mis à jour en fin d'année (il est révisé tous les trois ans). « Nous cherchons des gens pour soutenir le système en général », résume Sarah O'Brien. Epeat ne compte que quatre permanents, mais a la particularité de s'appuyer sur un grand nombre de participants externes qui garantissent la qualité et la neutralité du programme : des entreprises, des administrations (la ville de Portland où Epeat a son siège, par exemple), des associations de défense de l'environnement, etc. Et l'organisme compte bien en recruter davantage, dans le monde entier. « Nous convions tous ceux qui sont intéressés par le soutien à notre programme à participer, où qu'ils soient dans le monde », insiste Sarah O'Brien. (...)

(13/08/2009 16:09:37)

+27% de smartphones vendus au 2e trimestre, selon Gartner

Entre avril et juin, plus de 40 millions de smartphones ont été achetés dans le monde, ce qui représente une progression de 27% par rapport à l'an dernier, vient d'indiquer Gartner. En tête des fournisseurs, Nokia se maintient encore loin devant ses deux grands concurrents avec, à lui seul, près de 18,44 millions de terminaux vendus. Les 45% de parts de marché (en volume) du Finlandais se sont légèrement effritées par rapport à l'an dernier (47,4%) au profit de RIM et d'Apple. Le fabricant américain du Blackberry a augmenté légèrement sa position avec 18,7% de parts et 7,68 millions de terminaux écoulés (contre 5,59 millions d'exemplaires et 17,3% au deuxième trimestre 2008). Quant à Apple -sur le podium depuis le troisième trimestre 2008, il s'octroie 13,3% de parts (2,8% l'an dernier) avec un peu plus de 5,4 millions de smartphones vendus. Une performance qui a d'ailleurs dopé le chiffre d'affaires trimestriel du fabricant de l'iPhone. Les ventes du modèle iPhone 3G S, livré fin juin, ne pèseront significativement dans les chiffres qu'au second semestre. Derrière le Californien suivent HTC et Fujitsu avec 6% et 3% de parts. Symbian et Windows Mobile cèdent du terrain Sur ce deuxième trimestre, Gartner fait à l'inverse état du recul de 6,1% des ventes de téléphones mobiles, à 286,1 millions d'exemplaires. Le créneau des smartphones permet aux fournisseurs de réaliser des marges plus élevées, avec un niveau de prix moyen qui résiste mieux que sur le terrain des mobiles. La progression du Blackberry et de l'iPhone a réduit de 57% à 51% la domination du système d'exploitation Symbian -celui qu'utilisent les gammes de Nokia en particulier. Android, l'OS de Google récemment mis en fonction dans des terminaux, n'avait encore gagné que 2% du marché sur ce deuxième trimestre. Quant au système d'exploitation de Microsoft, Windows Mobile, il réduit sa part à 9%. Pour regagner du terrain, la société de Steve Ballmer et Nokia viennent tout juste d'annoncer que la suite bureautique Office allait être portée sur Symbian, mais sans indiquer de date précise. Parmi les fabricants exploitant des licences Windows Mobile, HTC et Samsung continuent d'ajouter des fonctions à leurs propres interfaces au-dessus de l'OS de Microsoft pour livrer des modèles plus attractifs, rappelle Roberta Cozza, analyste chez Gartner. Enfin, le Palm Pre, sorti ce trimestre, ne s'est écoulé qu'à 205 000 exemplaires et l'analyste s'interroge sur la capacité de son fabricant, Palm, 10e au classement des vendeurs de smartphones, à s'imposer au-delà du marché américain. (...)

(13/08/2009 15:09:20)

Microsoft porte Office sur le Symbian OS de Nokia

Microsoft Office Mobile fonctionnera sur les smartphones basés sur le Symbian OS de Nokia. Les deux sociétés, qui annoncent travailler d'ores et déjà au portage de la suite bureautique, n'indiquent cependant aucune date d'achèvement. On ne sait donc pas si ces logiciels seront utilisables avant ou après la sortie de la version en ligne d'Office qui est attendue à la fin du premier semestre 2010, en même temps qu'Office 2010. HTC, le fabricant de GSM qui a le plus investi sur Windows Mobile, doit trouver un goût saumâtre à cette annonce. Plus généralement, ce portage montre que Microsoft ne met plus tous ses oeufs dans le panier Windows Mobile. Selon le Gartner Group, "WinMo" ne se place qu'au quatrième rang des systèmes d'exploitation pour téléphone, loin derrière Nokia qui revendique 200 millions d'utilisateurs pour ses smartphones. Tant Symbian que Windows Mobile donnent des signes d'obsolescence face aux alternatives proposées par RIM (Blackberry), Apple (iPhone), Palm (Pre), sans oublier l'agitation qui règne du côté de l'Asie du Sud-est. Là-bas, la R&D des fabricants de GSM et de portables échafaudent des plans en tout sens. Ils jonglent, entre autres, avec les briques Android (l'OS mobile de Google) et ARM. Sans oublier Intel qui, en butte à l'effritement de l'hégémonie du PC en tant que terminal personnel, fait d'énormes efforts pour promouvoir son processeur Atom. Le meilleur allié historique de Microsoft va même jusqu'à soutenir Moblin, une distribution Linux. Face à cette effervescence, le rapprochement Nokia-Microsoft pèsera-t'il assez lourd ? Cet accord est signé entre deux numéros un à la recherche d'un second souffle. L'un et l'autre se sentent menacés jusque dans leur pré carré. (...)

(13/08/2009 14:47:53)

Violet, le créateur du Nabaztag, cherche un repreneur

Après six ans d'existence, les lapins communicants Nabaztag sont en voie d'extinction. Depuis la fin du mois de juin, la société Violet, qui propose le mammifère à grandes oreilles - capable de se connecter au Web, d'enregistrer des messages... - et toute une gamme d'objets connectés, est en effet en redressement judiciaire. Et si aucun repreneur n'est trouvé d'ici septembre, l'ancienne start-up créée par Rafi Haladjian et Olivier Mével devrait disparaître. Le succès des premiers Nabaztag n'en aura donc pas appelé d'autres. L'inventivité de Violet, reposant notamment sur l'utilisation des technologies sans-fil et en particulier le RFID, n'a pas permis aux autres objets communicants de la marque (comme le Mir:ror ou le Book:z) de trouver son public. (...)

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