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(13/08/2009 12:20:43)
BMC et CA préparent le terrain pour l'administration de clouds hybrides
Quelques jours après BMC, CA a annoncé avoir modifié ses logiciels de supervision de façon à offrir aux entreprises une console unique pour administrer aussi bien les serveurs et applications en interne que les machines et services applicatifs fournis par Amazon sur EC2. Les deux éditeurs spécialistes de la supervision font le même constat. Comme les autres batailles avant celle-ci, la bataille cloud vs datacenter privé aboutira à un équilibre : beaucoup d'entreprises choisiront de conserver leur patrimoine en interne, éventuellement au sein de clouds privés (s'adaptant aux concepts d'Itil, les datacenters privés deviennent des fournisseurs de service internes aux entreprises), tout en confiant une partie de leurs applications à des clouds externes. C'est donc l'avènement de ces clouds hybrides que ces éditeurs préparent. Pour Régis Mauger, qui vient de prendre en main la partie consulting de BMC Software France, ce n'est que grâce à des outils d'administration comme ceux que son entreprise prépare que le cloud tiendra sa promesse d'élasticité. « Chacun va avoir son propre datacenter et une solution de 'capacity management' [allocation de ressources, NDLR], explique-t-il. Les entreprises pourront ainsi s'appuyer sur le cloud public pour se délester en cas de forte charge, par exemple, ce mode hybride permettra d'avoir en quelque sorte un 'buffer' externe, un tampon absorbant le pic de charge. » RightScale travaille déjà sur l'administration multi-cloud Pour l'heure, on en est juste au stade de la centralisation des informations. Mais de toute façon, reprend Régis Mauger, le marché ne demande pas davantage pour l'instant. Beaucoup d'entreprises n'ont toujours pas entamé de démarche de cartographie et d'inventaire, et encore moins se sont lancées dans des projets de virtualisation et de consolidation. Certains acteurs se positionnent toutefois déjà sur l'administration d'environnements multi-clouds. C'est le cas de RightScale, une start-up californienne, qui promet non seulement une administration centralisée, mais aussi une portabilité transparente d'un cloud à l'autre. L'offre d'administration de RightScale supporte déjà, outre les services d'Amazon, ceux de GoGrid, FlexiScale et Eucalyptus, et l'éditeur annonce le support prochain des offres de RackSpace et de Sun. (...)
(13/08/2009 11:38:56)Apple vaut plus cher que Google en bourse
Chi va piano va sano. Sur les cinq dernières années, c'est la valeur boursière d'Apple qui s'est la plus appréciée parmi les grandes sociétés high-tech cotées aux Etats-Unis. Sa capitalisation a été multipliée par douze (+1150%) à 148 Md$ (à la clôture du 10 août). Cette performance lui permet de valoir plus cher aujourd'hui que Google, qui n'a progressé "que" de 530%, à 145 Md$. Estimé à 254 Md$, Microsoft caracole toujours en tête, malgré une dépréciation de 29%. IBM, qui n'a augmenté que de 11%, reste deuxième avec une valeur de 156 Md$. Bien sûr, ce genre d'instantané n'a qu'un intérêt limité. Comparé au cours le plus haut sur cinq ans, le cours d'Apple pris en référence a baissé de près de 17%. Celui de Google a, quant à lui, chuté de près de 36%. En revanche, il montre que les boursiers voient toujours un bel avenir pour Apple. Même si ils ne lui accordent un PER (Price Earning Ratio - cours de l'action / bénéfice par action) que de 28,4 alors que celui de Google est de 31,63. A l'inverse, Microsoft, avec un PER de 14,4, et IBM, avec un PER de 16,67, ont beaucoup moins la cote. (...)
(13/08/2009 11:30:21)Google : « App Engine rend l'offre Google Apps encore plus attractive »
Google avait créé l'événement en annonçant un serveur d'applications Java hébergé, gratuit, destiné à un usage professionnel. Quelques mois après, Mike Repass, chef produit Google App Engine, détaille dans une interview exclusive pour LeMondeInformatique.fr les motivations de ce projet et la raison des choix techniques effectués. Google avait d'abord sorti une version Python de son App Engine. La version Java n'a été réalisée qu'après que l'équipe eut gagné en maturité sur ce type d'offre, dans le but de séduire les entreprises. Pour Mike Repass, le but est d'inciter les entreprises à mixer les offres App Engine et Google Apps. Il y voit deux grands avantages : la possibilité de réaliser des développements à façon, pour implémenter des processus internes par exemple, en s'appuyant sur des services applicatifs déjà en place et sans se soucier de toute la partie hébergement ou dimensionnement des machines. Cela ouvre d'ailleurs des perspectives à des éditeurs qui souhaiteraient s'appuyer sur cette infrastructure (de type Paas, Platform as a service) pour proposer leurs propres services applicatifs en ligne, en mode Saas (Software as a service). Google n'a en revanche, pour l'instant du moins, pas envisagé de constituer un catalogue de solutions de ce type : l'App Store pour Google App Engine reste à inventer. Les explications de Mike Repass sont à lire ici. (...)
(13/08/2009 10:48:08)L'édition européenne de VMworld 2010 reportée de plusieurs mois
L'édition européenne de VMworld 2010, la conférence annuelle du géant de la virtualisation VMware, n'aura pas lieu au premier trimestre comme d'habitude, mais seulement au quatrième trimestre, quelques semaines après l'édition américaine. Chaque année, l'éditeur organise une édition américaine de sa manifestation en été avant de réunir les européens en début d'année suivante. Deux rendez-vous qui sont devenus des événements phares du monde de la virtualisation. Mais après la prochaine édition de VMworld qui se déroulera du 31 août au 3 septembre à San Francisco, il faudra donc cette fois attendre un an pour assister à une nouvelle édition. Sur Internet, les expressions de mécontentement sont quasi unanimes. Elles se cristallisent autour du fait que cette décision délaisse les acteurs européens. Non seulement, il n'y aura eu aucune manifestation d'envergure consacrée à la virtualisation pendant plus de 18 mois en Europe mais, de plus, l'édition européenne 2010 se tiendra dans l'ombre de sa grande soeur américaine. Si la motivation de VMware est de réaliser des économies, elle aura aussi des conséquences pour les acteurs européens de ce marché. Seront-ils nombreux à pouvoir s'offrir le déplacement aux Etats-Unis ? Sinon, pourront-ils voir leurs confrères américains et auront-ils la possibilité de rencontrer tous les fournisseurs ? Certains n'auront pas les ressources pour être présents à deux manifestations coup sur coup. Enfin, le quatrième trimestre est le moment ou se tient la manifestation TechEd de Microsoft. Même en bénéficiant du don d'ubiquité, d'un patron compréhensif et d'un budget illimité, difficile d'être en trois endroits à la fois : chez VMware, chez Microsoft et... au bureau. (...)
(12/08/2009 14:42:09)Microsoft condamné à stopper les ventes de Word aux Etats-Unis
Mardi 11 août, un juge du Texas a ordonné à Microsoft de stopper les ventes de Word aux Etats-Unis dans sa forme actuelle pour violation volontaire d'un brevet de la société i4i. La fonction incriminée dans le traitement de texte d'Office permet de créer des documents XML personnalisés. Microsoft est aussi sommé de verser près de 80M$ de dommages à i4i qui viennent s'ajouter aux 200M$ exigés lors d'un premier jugement début 2009. La cour a donné 60 jours à Microsoft pour se conformer à cette injonction. L'éditeur compte cependant faire appel, ce qui rend plus qu'improbable l'arrêt de la commercialisation de Word. Même si l'appel échoue, l'éditeur pourra toujours retirer la fonction de son traitement de texte ou développer des contournements techniques. Pour Michael Cherry, analyste chez Directions on Microsoft, il y a peu de chance que ce jugement affecte qui que ce soit à court terme : « Ce genre d'opération met très longtemps avant d'être résolu. » i4i espère bien entendu de son côté que le jugement sera maintenu et que les utilisateurs de Word seront obligés de se tourner vers des entreprises comme elle-même pour réaliser des formulaires. I4i édite en effet x4o, un logiciel d'édition XML pour Word. (...)
(12/08/2009 14:40:15)BMC s'offre les outils de gestion de middleware de MQSoftware
BMC a complété son offre en rachetant MQSoftware, qui édite des outils de supervision de middleware - en particulier de WebSphere MQ, le bus de messagerie interapplicative d'IBM très largement déployé dans les grands comptes. Editeur d'outils d'administration pionnier du BSM (Business Service Management), où il lutte contre des éditeurs comme HP, IBM ou CA, BMC entend enrichir ses solutions avec les technologies de MQSoftware. Gartner estime notamment que cela lui permettra d'être davantage visible dans la supervision des architectures orientées services (SOA). MQSoftware compte environ 300 clients pour son offre logicielle. Gartner estime que ses outils ont le potentiel pour en attirer bien davantage, mais la taille de la société, et partant les interrogations sur sa capacité à évoluer, l'handicapaient. Le fait d'être désormais intégrés au portefeuille de BMC, dans une nouvelle gamme nommée BMC Middleware Management, devrait bénéficier énormément à ces produits. (...)
(12/08/2009 11:16:28)Les fournisseurs prennent de plus en plus le contrôle de l'Open source, selon le Gartner
Si le logiciel libre gagne du terrain, c'est, selon le Gartner Group, au prix d'une prise de contrôle par les grands fournisseurs. Selon le cabinet, d'ici 2012, la moitié au moins du CA généré par les logiciels open source et les services associés proviendra de projets "sponsorisés" par un seul fournisseur. Le Gartner, qui ne s'aventure pas à citer de noms, explique ce phénomène par le développement d'une offre open source qui propose des logiciels à un stade précoce, sans soutien d'une réelle communauté, dont les quelques membres actifs sont, en fait, tous salariés d'une seule et même entreprise. Le cabinet souligne un des aspects du phénomène Open Source. Désormais incontournable, il est aussi devenu protéiforme. Sans pour autant renier sa définition originelle (un code source disponible et gratuit), l'ensemble de l'industrie l'a accommodé sous différentes formes au point que l'on peut se demander si l'esprit de départ ne s'est néanmoins pas perdu en route. OpenOffice, par exemple, doit son existence à l'effort d'entreprises telles que Sun et IBM pour empêcher Microsoft de verrouiller définitivement le marché bureautique. De même, Firefox a pour principal bailleur de fonds Google qui, là aussi, cherche un moyen de contrer Internet Explorer. L'Open Source doit aussi son succès à des entreprises qui se sont construites sur du code ouvert. Red Hat et MySQL sont les deux meilleurs exemples de ces sociétés qui ont prospéré en jonglant entre gratuité et profits. Le premier, qui se pose en leader de Linux, est connu pour lancer des projets libres corollaires à son système d'exploitation. L'hyperviseur Xen étant par trop sous la coupe de Citrix, Red Hat n'a, ainsi, pas hésité à "s'approprier" le projet KVM. Quant à la société MySQL, qui s'était bâtie en solution de rechange face à Oracle, elle vient d'être absorbée par celle-ci à la faveur de son rachat de Sun. Et si Postgres reste le seul SGBD "libre" d'envergure, c'est bien grâce au soutien, y compris financier, d'IBM... (...)
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