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(11/08/2009 16:40:29)
VMware achète SpringSource avec le cloud en perspective
VMware s'offre pour 420 M$ (86% en liquidités, le reste en action) SpringSource, éditeur de Spring, framework de développement d'application Java très largement utilisé, et du serveur d'applications modulaire dm Server. Fondés il y a cinq ans, SpringSource et les communautés qui gravitent autour sont aussi des contributeurs importants aux projets Apache et Eclipse. Le savoir-faire de SpringSource vient renforcer VMware dans le domaine du Paas "Platform as a service", autrement dit, du cloud computing. Dans la logithèque de SpringSource, la Tool Suite Eclipse de SpringSource devrait s'intégrer à VMware Workstation. Cela devrait donner un bel outil de paramétrage multi-environnement pour les développeurs. Quant à l'intérêt des appliances logicielles (serveurs virtuels) dm Server et tc Server (serveur Apache Tomcat), il tombe sous le sens : une entreprise disposant de machines en interne ou en externe pourra disposer d'une plateforme logicielle standardisée, redimensionnable à volonté. Au cours des mois précédant son rachat par VMware, SpringSource avait procédé à d'intéressantes emplettes. En novembre dernier, l'éditeur avait mis la main sur G2one, qui développe le langage dynamique Groovy, et, en mai dernier, SpringSource avait acheté les actifs logiciels d'Hyperic, éditeur d'une offre de supervision sous Java des performances applicatives. Un peu plus tôt en 2008, SpringSource avait aussi acquis Covalent (support Apache). Tant chez VMware que chez SpringSource, on affirme que ce rachat d'une entreprise fondée sur l'Open source par une autre très attachée au secret de ses lignes de code ne pose aucun problème. A preuve, SpringSource sera intégré sans être démantelé dans VMware. Il faudra attendre quelque temps avant de voir si l'opération réussit mieux que dans d'autres cas tel que celui de MySQL avec Sun, qui affichait pourtant l'Open Source sur son plastron. La transaction sera close au troisième trimestre et les premiers produits communs sont attendus pour janvier 2009. (...)
(11/08/2009 16:21:17)Facebook s'offre l'agrégateur de réseaux sociaux Friendfeed
Facebook a annoncé lundi son intention de racheter Friendfeed. Créée fin 2007, cette entreprise propose aux internautes d'agréger le contenu que leurs « amis » publient en ligne. Ils retrouvent ainsi des liens, des images, des vidéos ou encore des articles signalés directement par leurs contacts sur Friendfeed. Mais ils peuvent aussi y lire les publications Facebook, Twitter, YouTube, Flickr ou autres de leurs amis, sans être contraints de passer de l'un à l'autre. Les termes financiers de l'opération n'ont pas encore été dévoilés même si la presse américaine évoque un montant de 50 M$. Les quatre créateurs de FriendFeed sont tous des anciens de Google (l'équipe compte 12 personnes au total). L'un des fondateurs, Paul Buchheit, est tout simplement l'un des ingénieurs à l'origine de Gmail et d'un des premiers outils de publicité en ligne du moteur de recherche. Bret Taylor, lui, était l'un des directeurs produits de Google Maps. Interrogés par nos confrères d'IDGNews, Paul Buchheit et le vice-président de l'ingénierie de Facebook, Mike Schroepfer, ont expliqué que, contrairement à ce que pouvaient penser les observateurs du marché, les recouvrements entre leurs deux environnements étaient une des explications du rapprochement. « Il s'agit de travailler ensemble sur notre vision commune visant à aider les gens à échanger et communiquer sur le Web, et à partager leur identité personnelle et celle de leur communauté à travers le monde », complète Mike Schroepfer. Une façon pour Facebook d'éloigner la menace Twitter ? Mais le vice-président de l'engineering Facebook a tenu à préciser que son entreprise avait aussi un très grand respect pour l'équipe de FriendFeed et souhaitait l'intégrer. Selon lui, les employés des deux firmes sont à la fois des « amis et des admirateurs les uns des autres depuis longtemps, qui se sont empruntés des fonctions les uns aux autres. « Apporter à la communauté Facebook tout ce que nous avons appris dans l'aventure Friendfeed » est aussi une formidable opportunité, estime de son côté le co-fondateur Paul Buchheit. A noter que Friendfeed était aussi en passe de devenir le meilleur endroit pour les internautes qui souhaitaient suivre à la fois leurs flux Twitter et Facebook sans forcément passer de l'un à l'autre. Or, Twitter commence, au moins en termes de notoriété, à chatouiller Facebook. Si ce dernier est sans nul doute intéressé au plus haut point par les têtes bien faites de Friendfeed, la possibilité d'empêcher la progression du petit oiseau bleu qui monte ne lui est sans doute pas indifférente. (...)
(11/08/2009 16:22:16)Seedcamp Week : une formation accélérée à Londres à gagner pour 20 start-up
Du 21 au 25 septembre prochain, à l'University College de Londres, le programme Seedcamp Week offrira à vingt start-up IT présélectionnées l'opportunité de se frotter à des professionnels expérimentés du marché des nouvelles technologies. Quelque 400 investisseurs, 'serial entrepreneurs', développeurs, concepteurs de produits et spécialistes du marketing, mais aussi recruteurs, juristes et gestionnaires, dispenseront leurs conseils à ces porteurs de projets, principalement basés sur le modèle Internet. Au programme se succèderont cours magistraux et débats, entrecoupés de sessions individuelles plus personnalisées. A la fin de la semaine, les cinq start-up ayant présenté les projets les plus convaincants pourront recevoir jusqu'à 50 000 euros correspondant à une entrée de 5 à 10% dans leur capital. Leurs équipes accéderont ensuite à la deuxième phase du programme, un parcours de formation de trois mois à Londres pour poursuivre les échanges avec les professionnels rencontrés lors de la Seedcamp Week. L'objectif est de glaner le maximum de conseils pratiques pour concrétiser son projet de façon viable. Ce « suivi continu », ponctué de dîners, déjeuners thématiques et conférences, comportera deux colloques, Demo Day et Investor Day. Sans oublier le traditionnel déplacement dans la Silicon Valley californienne, promettent les organisateurs, Reshma Sohono, la PDG de Seedcamp, et Saul Klein, ancien vice-président de Skype, associé de l'investisseur Index Venture et co-fondateur du programme. Dépôt des dossiers jusqu'au 23 août L'édition 2008 de la Seedcamp Week avait distingué une start-up française, Stupeflix, dont le fondateur, Nicolas Steegmann, a bénéficié de ce parcours. Depuis le début de l'année, plusieurs Seedcamp d'une journée se sont déjà tenus à Paris, Tel Aviv, Varsovie, Londres, Helsingborg, Lubiana et Berlin, apportant une visibilité à quelque 150 start-up européennes. En février dernier, le mini Seedcamp parisien avait distingué : cinq projets Internet parmi lesquels une plateforme de gestion vidéo (Brainient), des services de gestion des courriels (Kwaga et MxM) et de favoris dynamiques (Wozaik). Les équipes souhaitant tenter l'aventure de Londres peuvent déposer un dossier de candidature sur le site de Seedcamp jusqu'au 23 août prochain. (...)
(11/08/2009 12:02:41)Google invite à tester sa nouvelle infrastructure de recherche
« Depuis plusieurs mois, un grand nombre de collaborateurs Google travaille sur un projet secret : une architecture de nouvelle génération pour le moteur de recherches. » Matt Cups et Sitaram Iyer, responsables du développement, ont maintenant décidé de dévoiler l'existence de ce projet, et ils invitent les utilisateurs à donner leur avis. Sans donner aucun détail technique, les deux ingénieurs expliquent que le nouveau système indexera davantage de pages, plus rapidement, et donnera des résultats plus pertinents. Toutefois, précisent-ils, dans la mesure où l'interface ne change pas, les utilisateurs lambda ne verront aucune différence. Seuls les développeurs et utilisateurs intensifs devraient être capables de remarquer des changements dans le classement des réponses. Google reste archidominant dans le classement des moteurs de recherche. Selon Comscore, Google a ainsi totalisé en juin 2009 65% des requêtes aux Etats-Unis, un chiffre stable, voire en légère augmentation par rapport à juin 2008. Cela le positionne loin devant Yahoo (19,6%) et Microsoft (8,4%). Toutefois, les concurrents évoluent. Microsoft a présenté Bing, qui devient le moteur utilisé par Yahoo, et de nouveaux entrants originaux arrivent, comme Wolfram Alpha. (...)
(11/08/2009 16:22:54)Sous Windows, le SP2 de BusinessObjects XI 3.1 peine à s'installer
Inutile d'espérer installer le SP2 de BusinessObjects Enterprise XI 3.1 sur un serveur Windows rapidement. Les premiers à avoir tenté cette installation se plaignent de durées records pour y arriver. Certains évoquent 18 heures d'immobilisation complète du système. Qui plus est, sans avoir atteint le bout de la procédure. Chez SAP, on incrimine l'installer de Microsoft sous Windows. Tim Lang, vice president product management, indique que le SP2 s'installe sans difficulté sur les plateformes Linux et Unix. Il précise que le problème avait été souligné dans la documentation de la version Windows et que la procédure d'installation du SP3 empruntera une approche différente. La question "quand le SP3 sera-t-il disponible ?" est pour l'instant sans réponse. (...)
(10/08/2009 15:38:54)SAP pourrait racheter Tibco et ses solutions d'intégration
D'après le site d'information financière allemand Euro am Sonntag, l'éditeur d'applications de gestion SAP porte actuellement son attention sur Tibco et ses solutions d'intégration. Un projet de revente de ces middlewares par SAP aurait été évoqué fin 2008 et aurait évolué vers un projet d'acquisition de l'éditeur américain par le fournisseur allemand. Ce dernier n'a pas souhaité commenter la rumeur. SAP possède déjà ses propres outils de middleware, développés au sein de sa plateforme technologique Netweaver. Néanmoins, ceux de Tibco lui permettraient d'élargir ses capacités d'intégration avec un plus grand nombre d'applications externes. Sur le terrain du middleware, Oracle, principal concurrent de SAP, a fait il y a un an et demi l'acquisition de BEA Software et de son offre WebLogic, pour la coquette somme de 8,5 Md$ (un montant supérieur aux 7,4 Md$ récemment que la société de Larry Ellison a récemment proposé pour Sun). SAP veut acheter SAF, éditeur de solutions logistiques Pour SAP, la dernière initiative de croissance externe remonte au 20 juillet et porte sur une offre faite au Suisse SAF, un éditeur de logiciels de planification logistique employant 90 personnes. Toujours selon Euro am Sonntag, SAP manifesterait également un intérêt pour Teradata et ses applications d'entrepôts de données (datawarehouses). En avril, les deux éditeurs ont déjà noué un partenariat pour constituer une offre commune. Dans ce domaine du décisionnel, le mois de juillet a été marqué par le rachat du spécialiste du datamining SPSS par IBM qui renforce ainsi l'offre de business intelligence qu'il s'est constitué avec Cognos. Fin juillet, SAP a présenté sur son deuxième trimestre fiscal un bénéfice net en légère progression (+4%), à 423 M€, en dépit d'un chiffre d'affaires en recul de 10% à 2,58 Md€ et de ventes de licences en baisse de 40% par rapport à l'an dernier. (...)
(10/08/2009 12:12:40)Microsoft devient actionnaire de Publicis en lui vendant Razorfish
Si Microsoft a bien compris qu'il lui faudrait être fort dans le marché de la publicité en ligne, il sait aussi que son métier n'est pas d'être une agence de communication. L'éditeur est parvenu à concilier ce souci de positionnement en concluant un accord multifacettes avec Publicis. Premier étage de la fusée, Microsoft revend au groupe de publicité français Razorfish, pour un montant global évalué à 530 M$. Agence spécialisée dans le numérique, Razorfish est tombée dans l'escarcelle de Microsoft lors du rachat du groupe de marketing et de communication aQuantive, en mai 2007, pour 6 Md$. Deuxième étage de la fusée, dans la mesure où Publicis règle une partie de cette acquisition avec 6,5 millions d'actions, Microsoft devient actionnaire du groupe à hauteur de 3,3% (un montant qui lui permet de figurer parmi les actionnaires importants, même si les trois premiers actionnaires totalisent plus de 30% des parts). Enfin, cette vente met en orbite « un accord d'alliance stratégique » d'une durée de 5 ans, pendant laquelle Microsoft s'engage à recourir aux services de Razorfish et Publicis à acheter des espaces publicitaires sur ses sites : « Publicis Groupe sera en mesure d'acheter auprès de Microsoft des publicités en ligne (display) et des liens sponsorisés (search) pendant cinq ans selon les modalités de l'accord et selon des termes favorables pour nos clients, en échange de certains niveaux d'achats minimum garantis par le Groupe Publicis. L'accord stipule aussi que Razorfish continuera d'être le fournisseur préférentiel pour Microsoft en matière de stratégie digitale et de services marketing créatifs ainsi que d'expertise sur l'expérience en ligne et il contient un engagement de la part de Microsoft d'investir un montant minimum pour de tels services chaque année pendant la durée de l'accord (cinq ans). » Après l'accord pour 10 ans conclu avec Yahoo, voilà une stratégie qui, si elle ne redresse pas d'emblée un chiffre d'affaires fortement ébranlé, devrait au minimum rassurer les investisseurs. (...)
(07/08/2009 17:33:55)Acer monte en flèche dans un marché européen du PC qui s'écroule
Avec 13,3 millions d'unités vendues au deuxième trimestre 2009, le marché européen des PC a baissé de 3,3% selon le Gartner. Derrière ce chiffre global, le cabinet d'étude distingue deux tendances fortes et opposées. Dans les entreprises, le marché a baissé de 21% alors que pour les consommateurs, c'est une croissance de 21% qui est enregistrée. Mais les netbooks constituent à eux seuls 25% des ventes. « Selon que vous tenez compte ou pas de ces netbooks, la photographie du marché n'est pas du tout la même, souligne Ranjit Atwal, analyste principal pour le Gartner. « Sans les netbooks, le marché aurait décliné de 15% ». Acer s'envole avec 38,6% de croissance et près d'un quart des ventes Toujours très attendu, le classement par constructeur laisse place à de grandes différences. Si le n°1 Acer affiche une forte croissance de 38,6%, avec 3,214 millions de PC vendus et 24,3% de parts de marché, les autres leaders font grise mine. Même le second, HP, est de plus en plus loin avec pourtant 10,3% de croissance et 3,014 millions d'unités vendues. Ces chiffres mettent en relief les contre performances de trois autres constructeurs du top 5. Le troisième au classement, Dell, affiche même -23,7% pour 1,553 millions de PC vendus. Toshiba est à - 31,1 % avec 767 000 unités commercialisées. Asus est à - 20,1%, toutefois il ne vend que 679 000 unités. L'évolution des parts de marché est tout aussi significative. Par rapport au même trimestre de l'année précédente, Acer bondit de 18,9 à 24,3% des parts, HP passe de 21,7% à 22,7%. Derrière, les reculs sont sévères pour des trimestriels. Dell passe de 14,3% à 11,7% de parts de marché, il perd 400 000 unités, Toshiba passe de 5,9% à 5,8% de parts de marché, Asus de 5,8% à 5,1%. Toshiba perd 50 000 ventes, Asus 120 000. Le marché français relativement épargné Le marché français se distingue par une baisse plus faible, de 1,2% avec un total de 2,6 millions de PC vendus. « Le marché des PC en France ne baisse pas aussi fortement que prévu, note Isabelle Durand, analyste principal au Gartner, le déclin est essentiellement du à la baisse des dépenses en entreprises et au prolongement du cycle de vie des desktops ». Le marché des entreprises en France a baissé de 20% alors que celui des consommateurs a crû de 17%. Les netbooks jouent également un rôle particulier. Le Gartner estime qu'il s'en est vendu 324 000 en France, représentant 23% des ventes de PC en France. Sans les netbooks, le marché des PC aurait baissé de 10% entre le deuxième trimestre 2008 et le deuxième trimestre 2009. Par constructeur, on retrouve des tendances semblables à celles observées sur l'ensemble de l'Europe. Acer reste en tête (31,3% de parts de marché, en hausse de 16,3%) et augmente son avance. « La croissance d'Acer est principalement due à ses performances sur le segment des netbooks où il occupe la première place » note le Gartner. HP est deuxième dans l'Hexagone, comme sur l'ensemble de l'Europe (24,7% des parts, croissance de 16,1%), essentiellement pour ses performances auprès des consommateurs Asus (5,4% des parts, en recul de 17,8%) qui était seul sur le marché des netbooks il y a un an, lutte désormais en particulier contre Acer et Samsung. Une mention spéciale pour Dell qui, en France comme en Europe, recule fortement (-27,8% avec 10,2% des parts de marché). (...)
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