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(07/08/2009 16:54:28)

Cisco termine son année fiscale sur un trimestre très morose

Cisco a clos son quatrième trimestre sur un CA en baisse de 17,6% à 8,5 Md$ et sur un net en chute de 42,4% à 1,1 Md$. Sa marge brute s'est maintenue à 64%. La comparaison avec le quatrième de l'exercice précédent est d'autant plus douloureuse qu'il demeure le meilleur trimestre jamais réalisé par le groupe. Sur l'année, le lissage entre les trimestres avant la crise qui a explosé à l'automne et les suivants, permet à Cisco de n'annoncer que 8,7 % de baisse de CA et 24% sur le bénéfice net à 6,1 Md$. Les résultats non-Gaap présentés par Cisco, lui permettent d'annoncer un bénéfice net de 1,8 Md$ au quatrième trimestre (-23%) et de 8 Md$ sur l'année (-17%). Le PDG du groupe, John Chambers a déclaré que le climat actuel est "clairement le plus difficile défi économique depuis notre création." C'était il y a 25 ans. Au quatrième trimestre, Cisco a -enfin- commencé à livrer les serveurs lames au coeur de son offre "Unified Computing", présentée en grande pompe en mars dernier. Au cours de ces trois mois, l'Amérique du Nord a vu son CA baisser de 13% à 4,8 Md$, tandis que l'Europe enregistrait une baisse de 19% à 1,7 Md$ et l'Asie -20% à 1 Md$. Sur l'ensemble de l'année, la vente de produits a représenté 80% du CA et les services 19% (en hausse de 8%). Au sein des produits, les switches ont généré 33% du CA total de Cisco (en baisse de 11%), les routeurs 17% (en baisse de 21%) et ce que le groupe appelle "Advanced technologies" 25% (en baisse de 4%). Advanced technologies englobe des lignes de produits comme la vidéo, les communications unifiées, la sécurité, les réseaux individuels, etc. (...)

(07/08/2009 16:54:04)

Les attaques contre Twitter révèlent la fragilité de son infrastructure

La rançon du succès sur le Web est sans nul doute l'intérêt porté par les pirates. Twitter, et dans une moindre mesure Facebook et Google, en ont fait les frais hier, jeudi 6 août. Les stars du web 2.0 ont subi, chacune leur tour, des attaques en déni de service (envoi en masse de demandes d'informations à un site afin d'en saturer les serveurs) qui les ont paralysées une partie de l'après-midi. Twitter est resté silencieux une très grande partie de la journée alors que Facebook et Google n'ont vu leurs services interrompus que très peu de temps. « Nous avons rendu un accès total à la plupart des internautes », explique Facebook sur son site. L'entreprise précise qu'elle continue néanmoins de surveiller de près la situation. Elle ne donne pas de précisions détaillées sur le type d'attaque qu'elle a subie, se contentant de renvoyer sur l'article de Wikipedia sur le déni de service. Personne ne sait aujourd'hui si les attaques qui ont concerné le réseau social sont liées à celles qui ont mis Twitter à genoux. Même constat pour le déni de service qui a atteint une partie du service qui redirige des URL de partenaires Google vers les sites ou les blogs Google. La coïncidence des événements conduit néanmoins les trois entreprises à enquêter ensemble sur le sujet. La source de l'attaque encore inconnue Sur son site, Facebook estime que les attaques auraient été dirigées contre un seul individu plutôt que contre les sites proprement dit. La victime serait un blogueur géorgien appelé Cyxymu avec des comptes sur Facebook, mais aussi Twitter, LiveJournal, Blogger et YouTube. La méthode du rouleau compresseur pour écraser un puceron, en quelque sorte. Certains observateurs invoquent d'autres explications. « Si on scrute les forums de hackers, il est clair que Twitter les énerve au plus haut point », indique ainsi Richard Stiennon, fondateur du cabinet d'étude sur la sécurité IT-Harvest. « Twitter est venu de nulle part. Les hackers détestent ça. Ils ont toujours utilisé les forums et l'IRC pour communiquer, et tout à coup, le reste du monde a son propre outil avec Twitter. » [[page]] Pour lui, la montée en puissance de Twitter - et la réaction violente contre lui - rappellent ce qui s'est passé dans les années 90 quand AOL est devenu prédominant et que les utilisateurs experts ne le considéraient comme rien d'autre qu'un BBS (Bulletin board system) amélioré. Cette fois encore, il s'agirait de montrer que Twitter est insignifiant. Autre interprétation encore, celle de Roger Thompson, directeur de la recherche chez AVG Technologies, éditeur de logiciels de sécurité, qui estime que ces attaques auraient un rôle éducatif : il s'agirait de montrer le danger des botnets (réseaux de PC sous contrôle d'un pirate) et la fragilité des sites du Web 2.0. Twitter, le plus affecté, doit absolument renforcer son infrastructure Quelle que soit l'explication de ce qui s'est passé hier, tous les observateurs du monde de la sécurité s'accordent à dire que Twitter, le plus touché, doit renforcer son infrastructure s'il souhaite continuer à croître sans subir de nouvelles attaques (il compte déjà près de 30 millions d'utilisateurs uniques). Pour Richard Stiennon, 10 M$ devraient suffire à doubler la capacité transactionnelle du site, avant d'ajouter qu'à la place de Twitter, il quadruplerait directement cette capacité. Pour Barrett Lyon, l'ancien CTO (directeur technique) et co-fondateur de BitGravity, spécialiste des attaques en déni de service, « Twitter a besoin de son propre réseau autonome, de plusieurs sources différentes de bande passante et de plusieurs couches de sécurité ». Il rappelle que Twitter s'appuie sur un seul fournisseur pour se connecter au backbone Internet et qu'il s'agit de NTT Communications, à Tokyo. « J'imagine qu'au niveau de la répartition de charge dans leur ferme de serveurs, rien n'avait été configuré pour faire face à ce type d'attaque, continue-t-il, sans quoi cela ne se serait même pas vu. » L'expert rappelle que Facebook, qui a une infrastructure bien plus robuste, n'a quasiment pas subi de dommages. Et pour Roger Thompson, Twitter doit se dépêcher de s'améliorer, car de nouvelles attaques pourraient bien le cibler dès la rentrée de septembre. (...)

(07/08/2009 15:55:02)

Google va racheter On2, spécialiste de la compression vidéo

Accéder aux vidéos depuis les téléphones mobiles reste aujourd'hui encore un challenge. Auquel Google a décidé de s'attaquer en proposant 106,5 M$ pour racheter On2, un spécialiste de la compression vidéo. Ce petit éditeur, qui a réalisé l'an dernier un chiffre d'affaires de 16,3 M$ (et une perte de 51,2 M$), vend sa technologie à plusieurs grands noms, dont Adobe, qui recourt au codec VP6 d'On2 pour compresser les vidéos en Flash. De son côté, TF1 a achté à On2 une licence de sa technologie d'encodage, pour convertir les vidéos de son site communautaire Wat.tv au format 3GP, standard pour les téléphones mobiles. L'acquisition devrait être finalisée avant la fin de l'année. En tout cas, Google n'expliquera pas avant cela ce qu'il compte faire exactement de ces technologies. Etant donné l'ambition de l'éditeur dans la téléphonie mobile (avec Android) et la vidéo sur le Web (Youtube, racheté fin 2006 pour 1,65 Md$, est toujours en quête de rentabilité), on peut s'attendre à ce qu'il offre un accès à tout Youtube depuis les mobiles, et pas simplement une version de Youtube avec quelques vidéos en 3GP. A noter que MySpace a choisi une autre option : le site communautaire a fait confiance à Ripcode, qui convertit les vidéos à la volée en fonction du système client. (...)

(07/08/2009 10:03:47)

HP réduit les salaires d'EDS pour les aligner sur les siens

A la suite de l'acquisition d'EDS, HP égalise les salaires américains en les tirant vers le bas. Selon la presse texane (le siège d'EDS est à Plano, au Texas), les réductions de salaire pourraient atteindre 50% pour les plus anciens salariés de l'entreprise. Un porte-parole d'HP a précisé que ces réductions visaient à rémunérer équitablement les salariés des deux sociétés occupant des postes et des fonctions similaires. De manière générale, on indique de sources syndicales françaises que les baisses de salaires aux Etats-Unis se situeraient en moyenne autour de 20%. En France, où la loi interdit d'imposer une révision unilatérale de la rémunération, le millier de salariés ex-EDS France a reçu mi-juin un courrier recommandé. Le document proposait des baisses de salaires oscillant entre 10% pour une dizaine de managers et 2,5% pour les non-cadres. Les cadres se voyant proposer une baisse de 5%. Sauf refus explicite de la proposition, la réduction de salaire était considérée comme acceptée à la mi-juillet. Une majorité de managers aurait accepté. En revanche, il semble que, parmi les autres salariés, le refus ait été majoritaire. (...)

(06/08/2009 17:48:57)

L'informatique indienne veut une réglementation sur les déchets électroniques

L'industrie informatique indienne (MAIT, Manufacturers Association of Information Technology) et Greenpeace se sont réunis à Delhi pour réfléchir à des solutions concernant les déchets électroniques en Inde. Aujourd'hui, les seules réglementations existant dans le pays s'attachent surtout au recyclage et à l'élimination des déchets industriels, laissant de coté les TIC, si l'on en croit Ramapati Kumar, conseiller de campagne pour Greenpeace. Les industriels de l'informatique et l'association écologiste proposent donc ensemble une législation spécifique aux TIC sous le nom de E-waste Management and Handling Rules 2008. « Les nouvelles règles devraient exiger une responsabilité étendue des fournisseurs tout au long du cycle de vie des produits », explique Vinnie Mehta, directeur exécutif au MAIT, sans plus de précisions. Elles pourraient aussi entraîner l'interdiction de l'importation en Inde d'équipements électroniques destinés au recyclage ou à la destruction. Les matériels d'occasion réutilisables et destinés à des oeuvres ou des associations caritatives, par exemple resteraient les bienvenus. L'Afrique par exemple, ou les pays émergents comme l'Inde ou la Chine, restent encore souvent de véritables poubelles pour un grand nombre de résidus de l'industrie électronique mondiale. (...)

(06/08/2009 17:40:36)

Un nouveau patron des mainframes IBM pour redorer leur blason

Nommé en juillet à la tête de la division grands systèmes d'IBM, Tom Rosamilia va avoir la tâche difficile de relancer la demande pour ce type de machines dans le contexte de crise économique. Une mission d'autant plus difficile que les clients ont déjà, pour la plupart, mis à jour leur parc avec les modèles z10, annoncés en 2008. Alors qu'au deuxième trimestre de l'an dernier, les ventes de ces nouvelles machines avait fait bondir l'activité grands systèmes de 34%, au deuxième trimestre de cette année, IBM a enregistré une baisse de 39% du CA de cette division. En terme de Mips livrés, la baisse représente 20%. Pris dans la masse d'IBM, les ventes de grands systèmes représentent moins de 5% du total, mais le profit généré par l'ensemble de l'écosystème (logiciels, périphériques, maintenance) atteint encore près de la moitié des profits. D'ici la mi-août, Big Blue devrait procéder à un train d'annonces qui visera à proposer des configurations clés en main. Les domaines visés seraient la sécurité, les entrepôts de données et la reprise après désastre. IBM pourrait aussi souligner le rôle que ses grands systèmes peuvent jouer dans des environnements de cloud. (...)

(06/08/2009 14:15:40)

Le mode XP pour Windows 7 en version Release Candidate

Windows XP Mode pour Windows 7 sera prêt au moment de la sortie du prochain système d'exploitation de Microsoft, le 22 octobre. Et ce sera un atout de poids pour l'éditeur, dans la bataille qu'il va mener pour faire migrer toutes les entreprises, petites et grandes, vers Seven. Cela ne s'était pas très bien passé pour Vista qui, non content d'être très gourmand en ressources, introduisait un bon nombre d'incompatibilités avec des applications existantes. Aujourd'hui, côté ressources, les parcs de machines ont eu le temps d'évoluer, et Windows 7 fait un meilleur usage du matériel. En revanche, Seven ressemble énormément à Vista pour ce qui est des problèmes d'incompatibilité. D'où l'intérêt de ce mode XP, jusqu'à présent proposé en bêta pour Vista, sous le nom de Microsoft Enterprise Desktop Virtualization (MED-V), qui permet d'installer et d'exécuter des applications conçues pour XP en toute transparence pour l'utilisateur. Un accès direct aux périphériques USB depuis l'environnement virtualisé XP Mode est une évolution de Virtual PC, qui virtualise un environnement XP au sein d'un système d'exploitation plus récent. Mais alors qu'il fallait auparavant lancer l'environnement virtuel, puis l'application désirée, XP Mode permet de lancer les applications XP directement depuis le menu Démarrer de Seven. A l'oeil, la seul chose qui différencie les applications installées dans l'environnement virtuel et les applications pour Windows 7 est un liseré entourant la fenêtre de l'application XP. Autre intérêt de ce mode XP, il permet d'accéder directement, depuis les applications XP, aux périphériques USB rattachés à l'ordinateur. Bien évidemment, comme tout système de virtualisation, ce n'est pas prévu pour des logiciels gourmands en ressources (d'autant que l'équipe de Windows XP Mode conseille vivement de sécuriser l'environnement virtuel indépendamment du système hôte). Microsoft conseille donc de privilégier l'exécution des applications existantes de façon native dans Windows 7, et de réserver le mode XP pour celles qui s'avèrent incompatibles. Une façon de prévoir une migration en douceur, en attendant de réécrire ces applications. (...)

(06/08/2009 11:36:09)

Un premier semestre difficile pour les SSII françaises

A l'évidence, ces six premiers mois marquent d'abord une chute des chiffres d'affaires. Quasiment toutes les SSII, quelle que soit leur taille, sont dans le rouge. Groupe Open affiche - 2,9% en organique à 153,6 millions d'euros (M€). Le deuxième trimestre atteint même - 6,5% alors que le premier restait à + 0,8%. Dans la même catégorie, Devoteam est stable avec 228,4 M€ de CA au premier semestre, le même chiffre que pour les six premiers mois de 2008. Mais le deuxième trimestre, là encore, marque une chute avec - 4%. Les acteurs de taille plus petite sont logés à la même enseigne. Aedian est ramené à -2% pour 40,1 ME au semestre. Proservia est en recul avec -2,4% pour son chiffre d'affaires organique. Umanis plonge même avec - 11,7% pour 26,9 millions d'euros de CA. Coheris reste presque stable à 15,12 M€ contre 15,15 un an auparavant. Mention spéciale à Ausy dont le CA semestriel se monte à 72,1 M€ en croissance de 3,3%, dont 1,6% en organique. Les Atos et Cap Gemini ne sont pas épargnées Le poids lourd, Atos, ne réchauffe guère l'ambiance avec - 2,4 % à 2,589 milliards d'euros de CA au 1er semestre. La SSII présidée par Thierry Breton n'est pourtant pas sanctionnée en bourse après l'annonce de ses résultats. Le PDG a apparemment su convaincre de la crédibilité de sa stratégie. Le numéro un Cap Gemini est dans les mêmes eaux avec - 2,2% à 4,4 milliards d'euros de CA. Lui non plus n'est pas sanctionné en bourse. Il affiche pourtant un résultat net de 78 M€ contre 231 un an auparavant et une marge opérationnelle de 6,6% du CA semestriel (en recul d'un point). Ares reste un cas à part. A plusieurs titres. La SSII publie ses résultats annuels et non pas semestriels, sort d'une période d'observation (huit mois achevés au 30 mars dernier) et a réduit ses activités de manière drastique. Le CA (90,1 M€ contre 99,2) était connu, la perte nette du périmètre conservé se monte à 23,1 M€ contre 21,3 un an auparavant. Elle se réduit quand même passant de 17,5 au 1er semestre à 5,6 au second. Les SSII préfèrent parler des mesures déjà en place plutôt que de la crise [[page]]Reste à expliquer de tels chiffres. Les SSII invoquent le contexte de crise économique, sans surprise, mais il ne saurait tenir lieu d'excuse. Elles préfèrent mettre en avant les mesures déjà mises en place pour contenir les effets de ce tsunami économique et financier. Elles avaient adopté ce même mode de communication lors de l'annonce des résultats annuels 2008 il y a quelques semaines. L'ampleur de la crise les incite visiblement à insister sur ces plans de restructuration. Atos parle ainsi de l'impact déjà visible de son plan TOP (Total operationnel performance) qui ne devait faire sentir ses effets qu'au deuxième semestre. Groupe Open met en avant la simplification de ses structures et l'optimisation de son système d'information et l'intégration réussie des sociétés fusionnées. Devoteam met en relief son bon positionnement : la société n'est pas présente sur l'automobile, elle a réussi l'intégration de Danet en Allemagne et d'ailleurs son activité internationale affiche un + 8% qui rattrape le - 8 % enregistré en France. Les SSII ont plus de mal à parler de l'avenir. Seule Atos se risque à diagnostiquer la fin de la dégradation de la situation économique. Juin serait même son meilleur mois depuis un an. Les analystes vont attendre l'annonce des taux de marge et des résultats opérationnels dans quelques semaines pour se faire une idée plus claire de la solidité des SSII. Soit ces chiffres compensent la dégradation des chiffres d'affaires, soit les sociétés de service confirment leurs mauvais CA semestriels avec une mauvaise rentabilité. Les prévisions pour 2010 restent pessimistes Les SSII vont également devoir se risquer aux prévisions de résultats annuels. 2010 permettra d'enregistrer les effets de la restructuration de 2009 mentionne simplement Groupe Open. Devoteam se veut plus concret en mentionnant les points sur lesquels les clients peuvent se décider à investir dès maintenant : optimisation des infrastructures (Itil et virtualisation), plans de continuité d'activité, services de communication (infrastructures unifiées, systèmes collaboratifs). Pour sa part, Atos s'attend à une décroissance de 2 à 3% de son chiffre d'affaires organique sur l'année. Le taux de marge opérationnelle serait compris entre +0,5 et +1. Le cash flow étant positif. Cap Gemini en revanche prévoit une baisse de 4% de son CA annule, alors que la société ne prévoyait « que » - 2% en début d'année. Rappelons que le Syntec Informatique a prévu en début d'année un croissance moyenne du secteur (SSII et éditeurs) comprise entre -2 et +2%. Depuis 2003, la prévision s'est toujours vérifiée. Les résultats semestriels publiés ces derniers jours et l'absence de perspectives positives sur le second semestre avivent les craintes d'un dérapage. Les SSII communiquent d'ailleurs moins sur les perspectives du marché que sur leurs efforts de restructuration. En l'absence de croissance, il faut réduire les coûts, seule manière d'être crédible. (...)

(06/08/2009 11:11:55)

Micron transcende les performances de la mémoire DDR3

Avec ses barrettes DDR3 LRDIMM, Micron Technology affirme réduire de 50 à 75% l'utilisation du bus mémoire des serveurs. Ce progrès laisse espérer un net gain de performances pour les serveurs équipés de processeurs Intel Xeon 5500 (Nehalem) qui font un usage exclusif de ce type de mémoire. Ils intégreront un plus grand nombre de barrettes plus denses que lorsqu'ils exploitaient la mémoire RDRIMM (Registred dual-inline memory module). Les barrettes LRDIMM (Load-reduced, dual-inline memory module) doivent cette réduction de la consommation de bande passante à la présence d'une puce iMB (Isolation memory buffer), conçue par Inphi. Ce composant remplace l'habituel buffer qui stocke adresses et commandes. De plus, Micron utilise des composants mémoire de 2 Gbits gravés en 50 nm qui ne consomment que 1,35 volt. Micron affirme qu'il sera possible d'attribuer jusqu'à 48 Go de mémoire par processeur. Il commence à tester des modules LDRIMM 8 Go et promet des 16 Go pour le début de l'an prochain. Il n'indique cependant aucun prix. Depuis le mois de mai, soit l'époque du lancement des Xeon 5500, le prix d'un composant DDR3 a augmenté de 30%. (...)

(05/08/2009 16:13:29)

AMD fait migrer des machines virtuelles à chaud entre tous ses Opteron

AMD a fait la démonstration d'une migration à chaud de machines virtuelles entre des plateformes animées par des processeurs Opteron allant du bi-coeur Rev F (2006) au 12 coeurs Magny-Cours, attendu pour 2010, en passant par le quadricoeur Shanghai (2007) et l'hexacoeur Istanbul. AMD consacre d'importants efforts à promouvoir la possibilité de telles migrations entre des plateformes équipées de processeurs Opteron de générations différentes. Et ce, quel que soit l'hyperviseur utilisé. Son service marketing capitalise sur l'impossibilité théorique de déplacer une machine virtuelle entre des serveurs équipés de processeurs de différentes générations. Il omet de préciser que la fonction "Extended Migration" des processeurs Opteron repose sur le principe du plus petit dénominateur commun. Autrement dit, toutes les plateformes serveurs concernées doivent être paramétrées avec le jeu d'instructions du processeur le moins évolué afin que les machines virtuelles reposent toujours sur un socle perçu comme identique. (...)

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