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(05/08/2009 16:07:56)
Face à l'incompréhension du marché, Yahoo précise son accord avec Microsoft
Afin, entre autre, d'éclairer la lanterne des analystes du marché, Yahoo a dévoilé hier dans un document déposé à la SEC (Securities and change commission, le gendarme de la Bourse américaine) quelques informations complémentaires concernant l'accord qu'il a signé la semaine dernière avec Microsoft sur la recherche en ligne. Durant 10 ans, d'une part, Microsoft sera le fournisseur exclusif de technologie de Yahoo pour le moteur de recherche et la publicité en ligne ; d'autre part, Yahoo deviendra la force de vente mondiale exclusive pour Microsoft et lui-même en ce qui concerne les annonceurs 'premium' en ligne. Durant les cinq premières années, Yahoo recevra 88% des revenus de vente de publicité générées sur ses sites par Microsoft. Après cette période, le géant pourra revenir sur l'exclusivité donnée à Yahoo sur les annonceurs premium. Dans ce cas, sa rémunération passera à 93%, sauf si il souhaite absolument conserver cette exclusivité, auquel cas sa part des ventes tombera à 83%. Si Microsoft décide de conserver l'exclusivité de Yahoo, le pourcentage de revenu de ce dernier sera de 90%. Microsoft versera aussi 50 M$ par an sur trois ans à son partenaire afin de couvrir d'éventuels frais de transition et d'implémentation (le site de recherche de Yahoo passera désormais par le moteur Bing de Microsoft). L'éditeur de Redmond devrait par ailleurs embaucher 400 employés de son partenaire. Carol Bartz, PDG de Yahoo avait de son côté annoncé des suppressions d'emploi consécutives à l'accord, sans donner davantage de détails. L'entreprise a déjà procédé à un plan de 700 suppressions au printemps 2009 et s'était séparé de 2400 employés en 2008. Ses effectifs représentent aujourd'hui un peu moins de 13 000 personnes. L'accord devrait être définitivement signé entre les deux parties le 27 octobre prochain et sa concrétisation devrait intervenir dans deux ans. (...)
(05/08/2009 12:26:52)Taiwan prépare des netbooks à base d'ARM pour la fin de l'année
Pragmatiques, les fabricants taïwanais préparent aussi des netbooks basés sur l'architecture ARM. Semble-t-il baptisées "Smartbooks", ces machines montrent que, malgré les efforts d'Intel, son processeur Atom est loin d'avoir gagné la partie. Si ce dernier a l'avantage d'être compatible Windows, il est distancé par le rapport autonomie / performances des puces à base d'ARM. Du coup, l'industrie taïwanaise donne tous les signes d'une intense activité pour lancer, d'ici à la fin de l'année, des machines avec les jeux de composants SnapDragon de Qualcomm, Tegra de NVidia et OMAP 3 de Texas Instruments, tous basés sur un design ARM pour le processeur. L'ARM Cortex A8 permet de créer un véritable "ordinateur sur un chip" (SoC, Sytem on un chip), y compris le port USB. L'Atom d'Intel est encore loin de permettre ce niveau d'intégration. Le ban et l'arrière-ban de l'île chinoise indépendante travailleraient à mettre au pont des smartbooks : Acer, Asus, Mobinnova associé à Foxconn Electronics, Pegatron Technology, Compal Electronics et Inventec Appliances. (...)
(05/08/2009 11:06:20)Les passerelles de déduplication IBM assureront une réplication asynchrone
A compter de début septembre, les passerelles de déduplication ProtectTier d'IBM (HyperFactor) supporteront la gestion de la réplication asynchrone. Cette annonce est le résultat de l'intégration de la technologie de déduplication de Diligent Technologies, société achetée en avril 2008 par Big Blue pour un montant estimé à 200 M$. IBM affirme que ses ProtecTier assureront une sauvegarde des données à distance à moindre coût et en consommant moins de bande passante réseau. Les utilisateurs pourront ainsi envisager des sauvegardes pour une plus grande quantité de données. Il ne devrait par ailleurs pas être contraints de renforcer leur infrastructure réseau. L'ajout de la fonction de réplication coûtera environ 2000 $ par Teraoctet. Une goutte d'eau comparée aux 90 000 $ d'un ProtecTier pour 7 To. Parmi les principaux concurrents d'IBM en matière d'équipement de déduplication, on trouve Data Domain, qui vient d'être racheté par EMC, Sepaton, FalconStor et Quantum. (...)
(04/08/2009 16:38:28)L'appel d'offres pour la 4e licence 3G publié au Journal Officiel
La publication samedi 1er août, au Journal officiel, de l'appel à candidatures pour une 4e licence 3G aurait pu être un signe d'une avancée dans un dossier trop longtemps retardé. Enfin, depuis plusieurs années que se discute le dossier, l'arrivée d'un nouvel entrant sur le marché de la téléphonie mobile devient tangible : les postulants ont jusqu'au 29 octobre pour déposer leur dossier, le fameux sésame devant être attribué au plus tard le 29 juin 2010. Mais ce calendrier pourrait bien encore évoluer puisque France Télécom veut contester la procédure auprès de la Commission européenne pour « aide d'Etat, c'est-à-dire avantage accordé au quatrième entrant par rapport aux trois autres détenteurs de fréquences mobiles ». Le montant demandé pour la 4e licence 3G (240 M€) est en effet loin des 619 M€ déboursés par Orange, Bouygues Telecom et SFR en 2001. Sans préjuger du résultat de ce recours, on peut toutefois souligner que le 4e opérateur disposera d'un nombre inférieur de fréquences par rapport à ces trois concurrents. Côté candidats éventuels, Free a fait savoir qu'il se réjouissait du lancement de l'appel d'offres et proposera à nouveau sa candidature. L'opérateur virtuel Kertel semble également être intéressé tandis qu'un attelage Numéricable-Virgin Mobile est toujours à l'étude. (...)
(04/08/2009 16:13:56)BlackBerry ouvre sa plateforme de téléchargements
Après son ouverture aux développeurs début mars, l'App World de BlackBerry fait enfin ses débuts officiels. Il faut toutefois disposer d'un modèle de BlackBerry avec écran tactile et de la version 4.2 du système d'exploitation du smartphone. Accessible depuis l'adresse fr.blackberry.com, App World permet de télécharger gratuitement ou d'acheter près de 1 000 applications (dont une dizaine en français) parmi lesquelles des jeux, des vidéos, des services Web et de géolocalisation, etc. Le tout à partir de 2,75 euros environ (pour les applications payantes) et uniquement via le système de paiement sécurisé PayPal. L'App World est partagé en 13 thèmes (loisirs, jeux, productivité, réseaux sociaux...) avec un moteur de recherche et la possibilité pour les utilisateurs de noter les applications et de les recommander. Un système de sauvegarde en ligne, baptisé My World, permet de conserver un historique des applications téléchargées afin de les réinstaller. Un droit d'entrée de 200 dollars pour les développeurs Après l'App Store d'Apple ou encore l'Ovi Store de Nokia, c'est donc au tour de RIM de se lancer dans la fidélisation des utilisateurs via un kiosque d'applications en ligne. Depuis quelques années, le fabricant canadien tend en effet à élargir son offre à un large public avec des appareils multimédias (Facebook, jeux, etc.) comme le BlackBerry Curve. Côté développeurs, RIM propose un jeu-concours, doté de 100 000 dollars de prix, allant jusqu'au 25 septembre 2009 afin d'encourager l'écriture d'applications pour sa plateforme. Suivant en cela les exemples de ses prédécesseurs, comme Microsoft qui a lancé son propre concours pour alimenter sa « marketplace » il y a quelques jours. Chaque développeur ou éditeur souhaitant diffuser son logiciel sur Blackberry App World doit payer un ticket d'entrée de 200 dollars, ce qui lui donne le droit de soumettre 10 applications. (...)
(04/08/2009 11:54:01)Greenpeace tague « Hazardous Products » sur le toit de HP
"Hazardous Products". Cette inscription en lettres géantes qui réinterprète les initiales de HP et qui a décoré le toit du siège de la société à Palo Alto la semaine dernière était signée Greenpeace. "Hazardous Products", qui signifie « produits dangereux », fait référence à la décision du constructeur de reporter à 2011 le retrait des retardateurs de flamme bromés et du PVC de ses machines. Selon HP, il n'y aurait à ce jour pas de solution de rechange suffisamment efficace pour ces produits pourtant toxiques. Difficile de comprendre l'argument pour le PVC, un matériau déjà remplacé chez nombre de fabricants. En revanche, le numéro un mondial de l'informatique avait déjà expliqué ses difficultés à remplacer les retardateurs de flamme bromés (BFR), dont la fonction est tout simplement d'empêcher les PC de trop chauffer, voire de finalement prendre feu. Pour Greenpeace, ces arguments ne tiennent pas et HP n'a pas de raison de renier sa promesse faite en 2007 de se débarrasser de telles substances avant fin 2009. Selon l'organisation de défense de l'environnement, Apple par exemple aurait déjà sorti plusieurs produits exempts aussi bien de PVC que de BFR. Un temps mis en cause lui aussi par Greenpeace, le constructeur de l'iPhone publie sur son site un état des lieux détaillé de son utilisation de produits toxiques. Il y précise avoir mis au point des solutions de remplacement pour les BFR en particulier qui ne nuiraient pas à la qualité de ses machines. Apple devait effacer toute trace de retardateurs de flamme bromés dans sa gamme dès la fin de l'année dernière. Dans une déclaration, HP a confirmé la date de 2011 pour le retrait du PVC et des BFR. Dans ce même texte, l'entreprise estime que « les singeries peu constructives qui ont eu lieu au siège de HP n'aident en rien à atteindre les objectifs que partagent tous ceux qui se préoccupent de l'environnement ». (...)
(04/08/2009 09:53:45)STMicroelectronics premier client de GlobalFoundries
GlobalFoundries, l'outil de production qu'AMD a transféré dans une co-entreprise, vient de signer un contrat avec l'Européen STMicroelectronics, son premier client, exception faite de son actionnaire fondeur. Connu dans un premier temps sous le nom de The Foundry Company, GlobalFoundries est officiellement né en mars dernier, à la suite de l'accord signé entre Atic (Advanced technology investment company), soutenu par le fonds d'investissement des Emirats arabes unis, et AMD. Ce dernier détenant 34% du capital de la nouvelle société. GlobalFoundries commencera à livrer STMicroelectronics à compter de la mi-2010 avec des puces basse consommation gravées en 40 nm. Les analystes soulignent que GlobalFoundries décroche un premier client bien plus rapidement que prévu. Ils constatent aussi que ce contrat intervient au moment ou TMSC, sous-traitant de STMicro, connaît des difficultés pour mettre en place une chaîne de production en 40 nm. (...)
(03/08/2009 16:23:53)Le patron de Google quitte le conseil d'Apple pour éviter les conflits d'intérêt
La lune de miel entre Apple et Google est terminée. D'un commun accord, d'après un communiqué d'Apple, Eric Schmidt, CEO de Google, et Steve Jobs, CEO d'Apple, ont décidé que le premier quitterait son fauteuil au conseil d'administration de la firme à la pomme. Si le système Android pour les mobiles avait déjà refroidi les relations, le lancement d'un système d'exploitation pour ordinateur, Chrome OS, a fini de gâcher l'ambiance. Eric Schmidt siégeait au conseil d'Apple depuis août 2006. Et en mai dernier, alors que la commission de la concurrence américaine (Federal trade commission, FTC) examinait les relations entre les deux, il avait indiqué qu'il ne voyait pas de raison de se retirer. La FTC considère en effet les deux entreprises comme des concurrents sur plusieurs secteurs, et tient à s'assurer qu'il n'y a pas d'entente illégale biaisant la concurrence. Visiblement, Steve Jobs considère lui aussi que Google devient de plus en plus un concurrent. Après avoir loué le travail d'Eric Schmidt jusque-là, il écrit dans le communiqué : « Malheureusement, dans la mesure où, avec Android et maintenant Chrome OS, Google concurrence de plus en plus l'activité principale d'Apple, l'efficience d'Eric en tant que membre du conseil d'administration sera diminuée de façon très significative, puisqu'il lui faudra se récuser pour des parties encore plus importantes de nos réunions en raison de possibles conflits d'intérêts. » (...)
(03/08/2009 15:40:06)Avec Checkout gadget, l'e-commerce est à la portée de tous
L'e-commerce facile pour tous les internautes. C'est ce que promet Google en dévoilant Checkout gadget, un outil de création de boutique en ligne simplifié au maximum, permettant de monter son site marchant en quelques minutes. Pour ce faire, le mastodonte de la recherche en ligne associe son service de paiement - Checkout - et son tableur - Spreadsheet, une brique des Google Apps. Pour créer une boutique, il faut commencer par ouvrir un compte de vendeur sur Google Checkout. L'étape suivante consiste à remplir une feuille de calcul Spreadsheet en y renseignant les produits qui seront mis en vente et en précisant prix, quantités, frais d'expédition, URL de la photo d'illustration et description de l'objet. La suite est aussi simple. Après avoir enregistré la feuille de calcul sur les serveurs de Google via l'interface de Google Apps, Checkout prend l'utilisateur par la main afin de publier sa boutique. Il est possible d'opter pour une mise en ligne sur un blog confectionné avec Blogger, sur iGoogle, sur une page créée avec Google Sites ou sur un site Web traditionnel. Dans tous les cas, il suffit de remplir et cocher des cases pour parvenir à ses fins, tout étant extrêmement clair et simplifié. Il ne sera certes pas possible de bâtir le concurrent d'Amazon ni de faire trembler Cdiscount, mais tout le monde pourra créer son pas de porte sur Internet. Le service est, pour l'heure, estampillé de la mention 'Labs', ce qui signifie qu'il est encore à l'état de prototype et est susceptible de subir d'importantes modifications, d'être temporairement inaccessible, voire de disparaître définitivement. Il est donc prudent de ne pas se jeter sur Checkout gadget afin de créer une boutique et d'y mettre en vente des myriades de produits. D'autant que le statut 'Labs' s'accorde mal avec la gestion de données hautement sensibles inhérentes au e-commerce, comme les coordonnées personnelles des clients. (...)
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