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(03/08/2009 15:33:54)
Une carte Visa aux couleurs de Linux
Une carte de crédit pour soutenir le logiciel libre. Tel est le concept de la nouvelle carte de paiement Linux, du nom du système d'exploitation libre. Disponible uniquement aux Etats-Unis pour le moment, cette carte de crédit Visa Platinum permet aux consommateurs d'afficher leur soutien au logiciel libre, et à la Fondation Linux de collecter des fonds. "Cette carte de crédit est une réponse aux attentes de certaines personnes qui souhaitaient soutenir les activités de la Fondation Linux" explique Jim Zemlin, directeur de la Fondation Linux, association à but non lucratif qui regroupe diverses sociétés du secteur de l'informatique désireuses de soutenir l'OS Open Source. Alors que certaines personnes manifestent leur soutien en écrivant du code, ceux qui ne savent pas programmer peuvent ainsi facilement contribuer aussi au mouvement, explique Jim Zenlin. En plus de recevoir 50 dollars à chaque adhésion, l'association percevra également une partie des commissions sur chaque achat effectué avec la carte Linux. Cette carte à l'effigie du célèbre manchot Tux intègre un système de points qui permet aux détenteurs de les échanger contre des articles divers ou des billets d'avion par exemple. La "Linux Foundation Visa Platinum card" n'est pour le moment disponible qu'aux Etats-Unis, mais son développement sera étendu dans les prochains mois à d'autres pays, précise la Fondation Linux. (...)
(31/07/2009 17:03:49)Semestriels : Bull tient bon la barre
Jusqu'ici tout va bien. Didier Lamouche, le patron de Bull, peut se vanter de traverser la crise sans coup férir ou, à tout le moins, sans difficulté majeure. Le groupe français, après avoir connu des années de disette au début du millénaire, est parvenu à réorganiser ses activités en mettant l'accent sur les services pour aboutir sur un modèle, pour l'heure, pérenne. Au plus fort de la crise, Bull continue ainsi d'enregistrer une progression de ses revenus : ils croissent de 1,5% au premier semestre, à 558,6 M€. Même constat pour le résultat net ; si le bénéfice perd près de 60% en un an, à 2 M€, il pâtit d'une charge de restructuration de 7,7 M€, engagée pour la réduction des coûts fixes. La ventilation des revenus montre une prépondérance des services (241 M€, +0,4%) dans le CA du groupe. L'activité hardware et systèmes est celle qui enregistre la plus forte progression (+15,8%, à 180,6 M€), tandis que la maintenance recule de 4,6% sur le semestre, mais relève la tête au deuxième trimestre (-1,8%). Avec de tels résultats, la direction du groupe envisage l'avenir en rose et table sur une amélioration de son résultat d'exploitation pour l'ensemble de l'exercice. Il devrait désormais dépasser 25 M€, contre « au moins 20 M€ » envisagés jusqu'à présent. (...)
(31/07/2009 17:01:07)Les images 3D directement calculées sur un supercalculateur Blue Gene
Et si on pouvait se passer des processeurs graphiques pour obtenir la visualisation en 3D de larges volumes de données ? Des chercheurs de l'Argonne National Laboratory, un centre de recherches du ministère américain de l'Energie, se sont posés cette question et ont réussi à trouver un moyen de le faire, grâce à une technique logicielle de parallélisation.
Le but, expliquent-ils, était de supprimer un goulet d'étranglement traditionnel : en règle générale, une fois que le supercalculateur a compilé les données, celles-ci sont transmises à une ferme de calculateurs graphiques, qui se chargent de l'aspect visualisation. Dans ce processus, disent-ils, du temps et de l'espace disque sont gâchés.
A la place, les scientifiques ont exploité en parallèle les 160 000 coeurs de leur Blue Gene/P, un supercalculateur IBM de 557 Tflops (557 000 milliards d'opérations par seconde). « Nous avons été capables d'aller jusqu'à des volumes de 80 milliards de voxels », explique un des chercheurs (un voxel est l'équivalent dans un espace à trois dimensions du pixel pour la 2D ; il s'agit d'un mot-valise, formé par la concaténation de l'apocope de 'volume' et de l'aphérèse de 'pixel').
Pour démontrer leur savoir faire, les chercheurs ont ainsi calculé le rendu graphique en 3D de l'effondrement d'une supernova, créant ce qu'ils appellent « l'image la plus cool jamais créée sur un supercalculateur à l'Argonne National Laboratory » (cf. photo). (...)
Steve Ballmer est tout marri des réactions négatives du marché à l'accord Microsoft/Yahoo
« Personne n'a compris. » C'est un Steve Ballmer chagrin qui est revenu, devant un parterre d'analystes financiers réunis au siège de Microsoft, sur le partenariat signé entre le géant de l'édition et Yahoo. Plus précisément, le PDG du groupe de Redmond s'est attardé sur les réactions du marché qui, loin de faire dans le dithyrambe attendu, affiche au mieux un scepticisme prudent. L'accord, qui lie les deux géants de l'IT pendant dix ans, prévoit que le moteur de recherche Bing de Microsoft sera intégré sur les pages du portail de Yahoo. Celui-ci utilisera la plateforme publicitaire adCenter de son partenaire et récupèrera 88% des revenus engendrés par ce mécanisme pendant les cinq prochaines années. Présentée comme un partenariat gagnant-gagnant, l'association n'a cependant pas emballé les observateurs. Alors que le cours de l'action Microsoft progressait timidement dans la foulée de l'annonce officielle, le titre Yahoo engageait une vertigineuse baisse, avec un plus bas à 14,2 $, soit deux fois moins que ce qu'offrait Microsoft lorsqu'il était prêt à débourser 44,6 Md$ pour se payer le portail. Pour Steve Ballmer, « la sphère économique est celle où les gens sont les plus perdus » Parmi les attentes déçues, Wall Street et les porteurs de titres Yahoo - qui avaient déjà dû digérer de voir la manne de la revente à Microsoft leur passer sous le nez - espéraient un paiement par Redmond d'une mise de départ. Peine perdue, les premières retombées concrètes, estimées à 500 M$ par an pour le portail, attendront. Pour Steve Ballmer, l'absence d'échange monétaire explique la perplexité des investisseurs : « La sphère économique est celle où les gens sont les plus perdus. Que s'est-il passé ? Rien n'a été vendu. Rien n'a été acheté », a-t-il sardoniquement commenté. Mais le patron de l'éditeur peine à comprendre pourquoi l'accord scellé cette semaine mécontente Wall Street alors qu'il porte la promesse d'un demi-milliard de dollars de revenus supplémentaires annuels et de quelque 200 M$ d'économies en frais de fonctionnement. « C'est ce qui me choque », a poursuivi le CEO de Microsoft. (...)
(30/07/2009 16:31:59)Semestriels : France Telecom fier de sa résistance au contexte économique
« Confronté à l'accroissement de la pression réglementaire et à la détérioration continue de l'environnement économique, France Télécom affiche une bonne résistance au cours du 1er semestre 2009. » La baisse du chiffre d'affaires de 0,5% sur les six derniers mois n'affecte pas outre-mesure l'opérateur. France Telecom présente au contraire ses résultats comme un signe de très bonne tenue dans un contexte difficile. Au deuxième trimestre, indique-t-il, son CA n'a chuté que de 1,3% alors que le PIB moyen des pays dans lequel il officie chutait de 3,2%. L'autre facteur négatif serait l'impact réglementaire, la loi Chatel (taxant les FAI), notamment, mais aussi la baisse des terminaisons d'appel et des tarifs de gros d'accès haut débit. Dans le détail, en France, un des marchés qui résistent le mieux à la crise avec l'Afrique et le Moyen-Orient, dit France Telecom, l'opérateur enregistre de bons résultats sur son activité mobile (CA de 5 373 M€ en hausse de 6,4% par rapport au premier semestre 2008), grâce au développement des services de données (CA en hausse de 26%) et du revenu moyen par client que cela génère (+27%). L'opérateur dit également avoir géré efficacement les frais généraux et les coûts commerciaux liés à cette activité, ce qui lui permet d'afficher un résultat d'exploitation avant dotation aux amortissements et dépréciation (Ebitda) de 136 M€ (+6,8%). La part de conquête de France Telecom dans l'ADSL en France s'effondre Toujours en France, côté résidentiel, le CA chute de 1,5% à 7 073 M€. France Telecom explique cette baisse par la baisse du marché de la téléphonie fixe, compensée en partie par la croissance du CA de l'activité Internet. L'opérateur constate une légère hausse du revenu moyen par abonné ADSL, de 5% sur un an à 35 euros. [[page]]En revanche, sa part de marché s'effrite (48,7% contre 49,5% un an plus tôt) et surtout sa « part de conquête ADSL » (faculté à attirer des clients) s'effondre, à 26,0% contre 51,3% un an auparavant. FT estime que ses concurrents ont amélioré leurs capacités de distribution, et blâme les contraintes réglementaires qui l'empêchent d'être plus compétitif. Au final, l'opérateur estime que les impacts réglementaires, dont la taxe audiovisuelle instaurée par la Loi Chatel, comptent pour la moitié de l'Ebitda, qui s'établit à - 181 M€. 14% de hausse pour l'offre Business Everywhere en France Le second semestre verra une segmentation plus précise de l'offre mobile, indique France Telecom. L'opérateur se polarisera sur le haut de gamme, où il s'agira d'améliorer les offres de renouvellement pour les clients, et sur l'entrée de gamme, par le biais des opérateurs virtuels (MVNO) et avec une formule à 10 € / mois pour les bénéficiaires du RSA. En ADSL, France Telecom espère pouvoir proposer des offres plus attractives, avec des possibilités d'appels simultanés en VoIP, par exemple. Quant au marché entreprise, si les services de réseau, les services d'intégration et l'infogérance connaissent une belle croissance (FT aurait 718 000 clients Business Everywhere en France, 14% de plus qu'un an avant), le but de l'opérateur est d'accélérer le passage au tout IP, afin de pouvoir proposer « des services à valeur ajoutée ». (...)
(30/07/2009 14:29:35)Les boutiques Microsoft n'ouvriront pour l'instant qu'aux USA
Depuis le mois de février dernier et l'embauche d'un ancien de Wal-Mart, David Porter, dédié à ce projet, on savait que Microsoft envisageait l'ouverture de ses propres magasins. Histoire de concurrencer les Apple Store et les magasins de Sony. Kevin Turner, COO de Microsoft chargé de la stratégie mondiale de ventes et de marketing, et ancien de Wal-Mart, a confirmé le projet lors de la conférence partenaires à La Nouvelle Orléans mi-juillet. L'un des porte parole de l'éditeur, Franck Shaw, a fait de même. Selon Kevin Turner, Microsoft veut implanter ses magasins partout où Apple a déjà implanté des Apple Store. Il veut également s'attaquer à ceux de ATT et Sony, très présents aux Etats-Unis, tout en s'inspirant de ceux de Nike. Pour l'instant, le projet ne concerne que les Etats-Unis. Il est vrai que l'éditeur ambitionne de créer rapidement 100 magasins. Apple en compte 250 dans le monde, dont 200 aux Etats-Unis. Les produits grand public mis en valeur Microsoft réussira-t-il a présenter un profil de magasin et de produits aussi « glamour » que ceux d'Apple et Sony ? Le défi est de taille. Nos confrères américains du site Gizmodo viennent de publier des documents internes à Microsoft qui montrent l'avancement du projet. Il s'agit de 140 diapositives élaborées par un consultant. On y apprend que Microsoft devrait mettre en valeur dans ses magasins ses produits vedettes, Windows 7 et Office 2010, sans oublier sa Xbox, Windows Media Center (PCTV) et Windows Mobile. Il pourrait même en profiter pour relancer son baladeur Zune dans une nouvelle version qui sortira cet automne. L'agencement des magasins a été très étudié. Microsoft, ne possédant pas de PC, doit contourner la difficulté. Il a par exemple prévu des « answer bar » ou « windows bar » pour que le client soit plus à l'aise. Des anniversaires pourraient se dérouler à l'intérieur des magasins (en payant une location) ! L'éditeur a aussi prévu des sessions de formation, gratuites, d'une durée de 30 à 50 minutes. (...)
(30/07/2009 12:19:39)Semestriels : La maintenance continue de maintenir SAP largement à flot
Comme Oracle, SAP tient bon la barre au milieu de la tempête économique. La planche de salut de ces deux géants de l'édition est la même : la maintenance. Sur la même dynamique qu'Oracle - dont les revenus tirés de la maintenance ont progressé de 8% au trimestre dernier - l'éditeur allemand s'appuie sur le support pour afficher des chiffres satisfaisants. Ainsi, alors que les ventes de licences s'écroulent de 40% sur un an au deuxième trimestre (à 543 M€), les revenus issus du support de maintenance s'envolent de 22% pour atteindre 1,34 Md€. Le groupe a beau jeu d'expliquer que l'évolution des ventes de licences pâtit d'une comparaison peu flatteuse avec un trimestre record réalisé l'an passé, l'importance de la maintenance dans l'activité n'en reste pas moins flagrante. Et explique la ténacité de SAP à vouloir imposer une augmentation de 17% à 22% des tarifs de son support en dépit de l'indignation des utilisateurs. Au total, le chiffre d'affaires logiciels et services associés limite la casse, avec un recul de seulement 5%, à 1,95 Md€. Le CA global, qui inclut les services professionnels, s'aligne à 2,58 Md$, en baisse de 10%. Au cours des derniers mois, le premier éditeur européen a multiplié les efforts pour réduire sa structure de coût, comme en témoigne la baisse de 15% des dépenses d'exploitation. Les quelque 3 000 salariés contraints de quitter l'entreprise au premier semestre seront certainement satisfaits d'apprendre qu'ils ont contribué à améliorer de 4,4 points la marge opérationnelle, qui atteint désormais 25,1% du chiffre d'affaires. Tout cela concourt à doper le bénéfice net : il progresse de 4%, à 423 M€. Un « optimisme prudent » pour la suite Sur l'ensemble du premier semestre, le CA ressort en baisse de 6%, à 4,97 Md€, et le bénéfice net porte les stigmates d'un premier trimestre délicat en reculant de 4%, à 627 M€. L'évocation de la suite de l'exercice fiscal est l'occasion, pour les dirigeants du groupe, de faire montre d'un « optimisme prudent », pour reprendre les paroles du CEO Leo Apotheker, qui estime que le pire de la crise est passé. L'un des signaux d'amélioration repose sur l'évolution des revenus logiciels entre les deux premiers trimestres de l'exercice : ils ont progressé de 30%, ce qui représente l'une des améliorations séquentielles les plus importantes de l'histoire de l'entreprise. En dépit d'une prévision de CA logiciels+services revue à la baisse (recul de 4% à 6%, contre une précédente estimation de -1%), SAP séduit les observateurs en augmentant ses prévisions de marge opérationnelle : alors que le groupe tablait jusqu'alors sur une marge comprise entre 24,5% et 25,5% du CA, il s'attend désormais à ce qu'elle s'inscrive dans une fourchette de 25,5% à 27%. Les revenus seront certes moindres, mais la rentabilité ne s'en trouvera pas affectée, l'essentiel est ainsi sauf. (...)
(29/07/2009 17:19:30)Rueducommerce améliore son CA
Le site de vente en ligne rueducommerce publie les résultats de son 1er trimestre 2009/2010 (avril, mais, juin). Ce trimestre se termine par un chiffre d'affaires de 68,3 millions d'euros (ME), en progression de 3,5%. En fait, il faut apporter deux correctifs à ce chiffre brut. D'une part, à périmètre comparable, rueducommerce est en recul de 10,3%. Ce trimestre est donc fortement affecté par la crise. Il n'est positif qu'en tenant compte des deux acquisitions : TopAchat et Clust. Une troisième acquisition, Alapage.com, consolidée au 1er septembre prochain va encore renforcer les résultats du groupe. D'autre part, rueducommerce publie, à côté de son chiffre d'affaires, son « volume d'affaires ». Ce terme englobe le chiffre d'affaires proprement dit de la société et celui des partenaires e-commerçant agrégés au groupe dans sa « galerie ». Ce volume d'affaires a augmenté de 11,6% à 76 ME. La galerie compte aujourd'hui 520 partenaires et 600 000 produits. C'est lui qui fonde la croissance de la société. (...)
(29/07/2009 17:00:58)Les dépenses logicielles progresseront en 2010, prédit Gartner
Le Gartner n'est jamais avare de prophétie. Dans une récente étude, le cabinet prédit que les dépenses logicielles mondiales augmenteront l'an prochain et souligne qu'il s'agit d'un indice permettant d'affirmer que le marché de l'IT a d'ores et déjà connu le pire de la crise. Conduite auprès de mille professionnels de l'IT à travers la planète, l'étude montre que 28% des entreprises nord-américaines prévoient d'augmenter leur budget logiciel en 2010. Un quart des sociétés de la zone EMEA et 30% de celles situées en Asie envisagent d'en faire autant. L'enquête a été menée aux mois d'avril et de mai 2009, soit environ six mois après la prise de conscience globale que la crise était systémique et durable. La plupart des résultats financiers publiés au deuxième trimestre par les grands éditeurs comme Microsoft et IBM ont montré un recul des ventes. Néanmoins, ces mêmes acteurs n'ont cessé de faire part de leur optimisme pour l'an prochain, tablant sur des chiffres d'affaires en hausse. C'est cet optimisme, certes mesuré, que reflète l'étude conduite par Gartner. (...)
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