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(30/06/2009 16:49:45)

Hadopi : le Conseil d'Etat torpille le nouveau projet de loi

Le gouvernement n'a, semble-t-il, tiré aucune leçon du camouflet imposé par le Conseil constitutionnel à la loi Hadopi. Alors que celle-ci avait été jugée anticonstitutionnelle dans plusieurs de ses dispositions, le pouvoir exécutif s'est attelé dans l'urgence à la rédaction d'un nouveau texte. Le but : prévoir une sanction à l'encontre des internautes s'adonnant au téléchargement illicite tout en restant dans les limites de la Constitution. Ce dessein semble néanmoins n'être qu'un voeu pieux, tant le nouveau projet de loi accumule les atteintes à la Loi fondamentale. Selon nos confrères de la Tribune, le rapport du Conseil d'Etat sur le texte en gestation est accablant. Le Juge suprême aurait ainsi averti la Chancellerie, désormais chargée du projet, de plusieurs irrégularités dont le risque d'atteinte à la séparation des pouvoirs, à la proportionnalité des peines et à la présomption d'innocence. Le quotidien économique précise cependant, qu'en dépit de ces inconstitutionnalités, le gouvernement a décidé de poursuivre son projet et de présenter le texte au Sénat le 8 juillet. Il devrait ensuite être examiné par l'Assemblée nationale vers le 20 juillet. Nul doute que ces lectures seront suivies par une saisine du Conseil constitutionnel qui pourrait être, à nouveau, meurtrière. Soulignons, enfin, qu'Olivier Henrard, l'un des rédacteurs du premier projet de loi et jusqu'alors conseiller juridique de Christine Albanel, n'a pas fait les frais de l'échec d'Hadopi première version. Loin de quitter le ministère de la Culture, il vient d'être nommé directeur adjoint du cabinet du nouveau locataire des lieux, Frédéric Mitterrand. (...)

(30/06/2009 16:44:08)

Observatoire EITO : très légère reprise de la croissance pour 2010

Le marché européen des TIC devrait voir le bout du tunnel en 2010. C'est en tous cas le point de vue de l'Observatoire européen des technologies de l'information (EITO) et du Syntec Informatique. Selon eux, le marché devrait timidement renouer avec une croissance de l'ordre de 0,3% (718,6 Md€). En attendant, en 2009, le chiffre d'affaires généré en Europe par ce secteur continuera de chuter de 1,7% à 716,6 Md€. C'est largement en dessous des prévisions de l'EITO datant de novembre 2008 qui envisageait une croissance de 4% puis de 1,8%. Le marché des seules télécommunications devrait générer un CA de 362 Md€ en 2009 en Europe, en baisse de 0,1%. En France, le secteur se porte un peu mieux, avec une légère hausse de 0,7% à 55,7 Md€. C'est surtout le marché de l'Internet haut débit qui tire le secteur des télécoms (7,2% de croissance, 9,8% en France) alors que celui de la téléphonie fixe est en baisse significative (-6,8%) et que celui de la téléphonie mobile stagne. « La guerre des prix et les réglementations émanant de Bruxelles ont lourdement pesé sur les opérateurs de téléphonie mobile », explique Bruno Lamborghini, président de l'EITO. Les dépenses en matériel informatique baisseront de 2,2% en volume, les entreprises ayant tendance à repousser leurs investissements IT en raison de la crise. « Les clients sont plus sélectifs, ils attendent des nouvelles technologies qu'elles les aident à améliorer leur efficacité », commente Bruno Lamborghini. D'où le succès des services d'externalisation (+5%) par exemple. Enfin dernière catégorie, le secteur de l'électronique est en chute libre (-8,2%), notamment en raison de la baisse des ventes d'écrans plats. Les appareils photos numériques, les lecteurs MP3 et les GPS sont également en recul, alors que les lecteurs Blu-Ray et les consoles de jeux se maintiennent. Aussi importante qu'elle paraisse, la crise économique épargne relativement les TIC en France. L'Hexagone fait en effet partie des pays les moins ébranlés par la récession : -1,7% (112 Md€), contre -2% en Grande-Bretagne et -2,4% en Allemagne. En 2010, la France devrait arborer une croissance légèrement plus importante que la moyenne, à 0,4%. (...)

(30/06/2009 12:49:58)

SAP vise une marge opérationnelle de 35% en 2014

SAP projette d'atteindre les 35% de marge opérationnelle dans cinq ans. Cette indication, consignée dans un document interne à la société, ne constitue en rien une prévision, a précisé à Reuters un porte-parole de l'éditeur allemand d'ERP. Augmenter sa marge opérationnelle de façon significative a toujours constitué l'un des objectifs de SAP et l'éditeur a plusieurs fois indiqué qu'il visait les 35% mais sans préciser à quelle échéance, rappelle Reuters. Sur l'année 2008, la marge opérationnelle de SAP s'est élevée à 24,6% de son chiffre d'affaires (contre 26,7% en 2007). Elle se situe pour l'instant bien au-dessous de celle de ses concurrents directs Oracle et Microsoft. Ce dernier a réalisé l'an dernier une marge de 37,2 % (exercice clos fin juin 2008). Quant à Oracle, il vient d'achever son exercice fiscal sur une marge opérationnelle de 51% ! (quatrième trimestre fiscal, non GAAP). Sur 2009, SAP prévoit toujours de réaliser entre 24,5% et 25,5% de marge opérationnelle. (...)

(30/06/2009 12:19:11)

Steve Jobs de retour à la tête d'Apple

Après cinq mois et demi d'absence, Steve Jobs revient à la tête d'Apple. Pour l'instant, le fondateur d'Apple passera seulement une partie de la semaine dans les locaux de l'entreprise, travaillant chez lui le reste du temps. Steve Jobs, qui avait été soigné pour un cancer du pancréas en 2004, avait pris un congé de plusieurs semaines en janvier afin de traiter un déséquilibre hormonal qui lui faisait perdre du poids. Durant son absence, il a subi une greffe du foie comme l'a confirmé récemment le Methodist University Hospital Transplant Institute de Memphis. Le départ du patron d'Apple avait inquiété les investisseurs financiers, s'interrogeant sur la capacité de survie de l'entreprise sans ce personnage charismatique à sa tête, mais son retour a posé d'autres questions, sur sa capacité à reprendre les rênes, en particulier. Après la confirmation du retour de Steve Jobs, le cours de l'action d'Apple n'a que peu réagi, et a terminé la journée sur une légère baisse de 0,55 %. Durant l'absence du fondateur, ce sont Tim Cook, directeur opérationnel de la compagnie, et Phil Schiller, directeur marketing, qui diriger l'entreprise et fait monter le buzz sur les nouvelles annonces produits, notamment l'iPhone 3GS, déjà en rupture de stock dans de nombreux points de vente. (...)

(30/06/2009 12:04:42)

Saint-Denis ne veut plus d'antennes-relais, ou alors moins puissantes

La conférence participative parisienne sur les ondes électromagnétiques, consécutive au Grenelle des antennes, semble, à travers ses résultats, avoir fait des émules. A l'issue du conseil municipal du 25 juin, la commune francilienne Saint-Denis s'est ainsi opposée à toute implantation sur son territoire de nouvelles antennes-relais dont le seuil d'exposition dépasserait 0,6 volt/mètre. Ce seuil avait été retenu comme une limite maximum par les treize Parisiens composant le jury citoyen « ondes, santé, société » et, avant eux, était préconisé par plusieurs associations à l'occasion du Grenelle des antennes. La Ville de Paris, qui autorise actuellement les opérateurs à émettre jusqu'à 2 V/m, prévoit d'ores et déjà des tests afin que soit abaissée cette limite. Au-delà de Saint-Denis, qui évoque une « exigence de santé publique », d'autres municipalités, comme Courbevoie et Pau, ont en effet décidé d'expérimenter l'abaissement du seuil d'exposition. « Ce qui vaut pour Paris vaut également pour la banlieue », a confié à l'AFP Michel Ribay, l'adjoint au Maire de Saint-Denis chargé de l'Ecologie, pour expliquer la volonté de la cité voisine de la capitale. Par ailleurs, en plus d'interdire l'implantation de nouvelles antennes-relais, la ville mène des expérimentations visant à abaisser le seuil d'exposition des installations déjà en place. Sans qu'aucune vérité scientifique n'ait, pour l'heure, permis d'établir avec certitude le niveau au-delà duquel les ondes électro-magnétiques présentent un danger, le principe de précaution semble faire son chemin et séduit de plus en plus de communes. (...)

(29/06/2009 17:26:48)

Facebook critique les performances des nouvelles puces Intel et AMD

« Où sont les gains de performances promis ? » Telle est en substance la question que pose Jonathan Heiliger, vice-président en charge des opérations techniques chez Facebook. S'exprimant publiquement jeudi dernier lors de la conférence Structure de San Francisco organisée par GigaOm Network, il a pris à partie Intel et AMD en les accusant d'avoir survendu les capacités de leurs derniers processeurs pour serveurs : « Ce qui nous a le plus surpris, ce sont les gains de performances des nouvelles architectures des puces qui sont inférieures à ceux attendus. Nous ne voyons pas avec nos applications les progrès dont Intel et AMD se vantent dans la presse, affirme-t-il. Et, en ce moment même, nous cherchons à comprendre pourquoi. » Mais les fondeurs ne sont pas les seuls à subir les foudres de Jonathan Heiliger. Il s'adresse aussi aux constructeurs de serveurs qu'il accuse de ne pas vendre de produits adaptés aux besoins spécifiques de sociétés comme la sienne ou Amazon. « Nous avons des applications plutôt homogènes, qui nécessitent des serveurs bon marché avec une très bonne efficacité énergétique, explique-t-il. Et cela ne doit pas se traduire que par une nouvelle alimentation, mais c'est tout le système qui est concerné, jusqu'au processeur. » Si ce coup de gueule se justifie, certaines voix s'élèvent déjà pour défendre Intel et AMD, en conseillant à Facebook de revoir le code de ses applications qui s'appuient principalement sur PHP et MySQL, et donc ne pouvant profiter pleinement des systèmes multicoeurs et multithreadés les plus récents. (...)

(29/06/2009 17:07:44)

Nec vise la 3e place du stockage et des serveurs en 2015

Six mois après avoir annoncé qu'il renonçait à vendre sous sa marque des micro-ordinateurs, NEC vient d'annoncer sa stratégie produits et ses conséquences sur sa politique de distribution. Le constructeur a commencé par rappeler qu'il restait un poids lourd de l'OEM et le 1er acteur de l'informatique et de l'électronique au Japon. Il a déposé plus de 70 000 brevets en 2008 et emploie toujours près de 145 000 salariés dans le monde. Cela étant dit, NEC présente en France et en Europe un tout autre visage que celui qu'il offrait jusqu'à l'an dernier. Tout d'abord, l'Hexagone est moins une entité autonome qu'une des régions de la zone EMEA (Europe, Middle-East & Africa). Ensuite, la page « PC » est définitivement tournée : l'objectif prioritaire est de devenir avant 2015 le n°3 du stockage et des serveurs, derrière IBM et HP. « Le but n'est pas de coller de nouvelles rustines sur les systèmes d'information mais de proposer une offre réellement différenciée », affirme Thomas Luquet, Directeur Marketing Solutions de NEC. Cette ligne de conduite l'amène à se focaliser sur des « niches », telles que les systèmes à tolérance de panne ou les datacenters économes (Eco Centers). Le deuxième axe consiste à renforcer les synergies entre les différentes divisions du groupe NEC : écrans, serveurs, impression de badges, systèmes de billetterie, etc. Le constructeur entend ainsi démontrer qu'il est capable d'équiper entièrement ses clients avec des solutions verticales (stades, complexes commerciaux, aréoports...). Un nouveau réseau de distribution De fait, le réseau de distribution de NEC ne sera plus le même : en lieu et place des revendeurs qui passaient par des grossistes généralistes, on trouve désormais des intégrateurs ou des éditeurs indépendants (ISV) qui s'adresseront à des distributeurs à valeur ajoutée (VAD). Malgré ce changement de registre, NEC jure qu'il aura une politique de distribution « 100% indirecte ». « Le fait d'être une structure agile et de taille humaine n'est certainement pas un handicap aujourd'hui, à l'heure où les plus gros faiseurs sont contraints de proposer des certifications spécifiques à leurs partenaires pour que ceux-ci comprennent leur politique de licences », lance Thomas Luquet. Quant à savoir quel sera le rôle de NEC dans le domaine du poste de travail, le constructeur est catégorique : tout est orienté vers la virtualisation. « Notre offre de virtualisation du poste de travail est simple : le retour sur investissement doit être inférieur à 1 an, voire immédiat », explique Thomas Luquet. Aujourd'hui, NEC ne compte donc plus qu'une soixantaine de partenaires en Europe et ne souhaite pas aller au-delà de 100. Ils passeront par des revendeurs à valeur ajoutée, sachant que le partenariat pour la France n'a pas encore été finalisé. NEC souhaite avoir stabilisé son nouveau réseau d'ici la rentrée. (...)

(29/06/2009 16:42:46)

Le marché du PC moins affecté que prévu en 2009, selon Gartner

Gartner revoit légèrement à la hausse ses prévisions sur les ventes de PC pour 2009, à la faveur d'un premier trimestre meilleur que prévu et dans la perspective d'un redémarrage au quatrième trimestre. En mars dernier, le cabinet d'études prédisait sur l'année un recul des livraisons de l'ordre de -12%, à 257 millions d'unités. Mais le marché mondial des PC traverse la crise avec plus de résistance qu'anticipé, surtout dans le secteur du grand public, à l'exception des pays de l'Est. Gartner évalue un repli limité à -6%, soit 274 millions d'unités (contre 292 millions un an plus tôt). Pour 2010, Gartner table même sur un retour à la croissance, avec une progression des ventes dépassant les 10%. Les analystes restent toutefois prudents, ils estiment qu'il est encore prématuré de parler d'un redressement du marché. En 2009, les ventes d'ordinateurs portables devraient enregistrer une hausse de 4,1% en volume. Le chiffre d'affaires ne suit pas la même voie puisqu'il perd 12,8%, en raison de la chute du prix moyen des portables (parfois au-dessous de la barre des 400 dollars) et de la concurrence exercée par les mini-portables. Pour 2009, il devrait s'en vendre 21 millions d'unités et 30 millions en 2010. Les ventes de PC de bureau en revanche sont en chute libre (-15,7%), avec 125 millions d'unités écoulées. Quant à la sortie de Windows 7, le 22 octobre prochain, elle ne devrait pas influer sur les ventes de PC, selon les analystes, les consommateurs ayant pris l'habitude de laisser passer un délai d'observation d'un an environ avant de changer de système d'exploitation. (...)

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