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(19/06/2009 18:16:43)

Sun pourrait abandonner ses processeurs Rock

Selon le New York Times, Sun aurait interrompu tous les développements de ses puces Rock à 16 coeurs destinées aux serveurs haut de gamme. Ce processeur multithreadé devait ainsi doubler le nombre de coeurs du plus performant des processeurs Sun, l'Ultrasparc T2. Le projet a été une des priorités les plus élevées chez le Californien qui a engagé d'imposantes sommes d'argent dans sa mise au point. Rock devait être disponible dès 2008, puis Sun l'a repoussé au second semestre 2009. Ce sont ces retards, en particulier, qui ont transformé le projet en une lourde charge financière pour Sun. Qui plus est, entre temps, des puces de plus en plus performantes ont pu voir le jour chez IBM, Intel et AMD. Pour l'instant, Sun refuse de commenter ces rumeurs, mais les observateurs du marché comme Gordon Haff, consultant IT principal chez Illuminata, les estime néanmoins tout à fait crédibles. « Les développements ont souffert des réductions de budgets (liées aussi à des pertes de parts de marché sur les serveurs) mais aussi de défauts identifiés au cours du processus de développement de la puce, » selon un analyste financier. Pour ne rien arranger, depuis plusieurs mois, le départ de plusieurs employés d'importance chez Sun a aussi affecté le projet Rock. Le vice-président exécutif de la micro-électronique, David Yen a rejoint Juniper Networks en 2008, et Marc Tremblay, le CTO de cette même division est désormais chez Microsoft. Enfin, sans pour autant avoir entraîné directement la décision, le rachat de Sun par Oracle pourrait bien avoir porté le coup fatal à Rock. Au moment de l'annonce de l'acquisition, en avril, le CEO Larry Ellison a signalé sa préférence pour Solaris et Java au sein de l'offre Sun. Il a plus tard relativisé en précisant son intention de rester dans le marché du matériel et d'augmenter les investissements sur Sparc. Pour les analystes, Oracle pourrait ainsi conserver certaines puces de la gamme comme les Niagara ou les Sparc64 dans le haut de gamme. (...)

(19/06/2009 17:31:11)

La Grande-Bretagne projette le haut débit à 2 Mbit/s pour tous

Après la France et l'Allemagne, la Grande-Bretagne vient de finaliser son plan numérique. Un plan ambitieux qui, comme le plan allemand, souligne en creux les nombreuses insuffisances du plan français. Principal objectif du projet britannique : permettre à tous les foyers de se connecter à l'Internet à haut débit à un niveau minimum de 2 Mbit/s. En France, le plan présenté en octobre dernier par Eric Besson, alors secrétaire d'Etat à l'économie numérique, prévoyait un service haut débit « universel » à 512 Kbit/s seulement. Un niveau que tous les acteurs français jugent insuffisant pour proposer une véritable offre à haut débit. Deuxième objectif affiché par Londres : élargir l'accès au réseau à très haut débit au-delà des 50 à 60 % de foyers qui seront éligibles à cette offre. Et pour atteindre ces objectifs, le gouvernement britannique n'a pas oublié de mettre en place les sources de financement qui seront nécessaires pour pallier à l'insuffisance de l'investissement privé. Revue de détails. Le haut débit pour tous C'est le principal objectif de « Digital Britain ». Alors que 27 % des foyers britanniques (soit 2,75 millions) ont accès à Internet à des offres inférieures à 2 Mbit/s, le gouvernement anglais propose de fixer à 2012 la date pour instituer un accès à Internet à un débit minimum de 2 Mbit/s. Actuellement, le débit moyen est de 3 Mbit/s et le débit proposé à l'immense majorité des foyers (64 %) est compris entre 2 et 8 Mbit/s. [[page]] Pour financer la modernisation des réseaux, en zones rurales principalement, les pouvoirs publics indiquent qu'ils constitueront un fonds doté de 200 millions de livres, prélevés en partie sur la redevance audiovisuelle. D'un montant annuel de 3,6 milliards, cette redevance est versée intégralement à la BBC, qui est opposée à une baisse de ses ressources. Cap sur le très haut débit La mise en place d'un service universel du haut débit en 2012 n'est qu'une première étape en fait pour le gouvernement britannique. Le deuxième objectif est d'organiser le basculement rapide vers le très haut débit (FTTC, FTTH). Compte tenu des investissements réalisés et prévus par BT et Virgin Media (le câblo-opérateur), le gouvernement constate qu'en 2012, 50 % des foyers pourraient être éligibles à des offres d'accès d'au moins 20 Mbit/s. Un marché qui pourrait s'élargir si ces offres rencontrent le succès (permettant aux opérateurs de financer une nouvelle tranche de travaux). Mais le gouvernement estime que l'investissement privé ne pourra guère couvrir plus de 60 à 70 %. Pour le dernier tiers des foyers, Londres compte donc passer à l'action. L'objectif est de financer la construction des réseaux à très haut débit pour permettre à 90 % de la population d'y avoir accès en 2017. Pour cela, le gouvernement va mettre en place un prélèvement de 50 pence par mois sur chaque ligne en cuivre. Soit 150 à 175 millions de livres par an. Le haut débit mobile Pièce essentielle dans le développement du haut et très haut débit, la téléphonie mobile va voir la gestion du spectre être modifiée. Un dossier qui a provoqué une importante polémique en Grande-Bretagne, Vodafone et O2, qui se partagent la bande 900 MHz, ne souhaitant pas rétrocéder une partie de ces fréquences. [[page]] Pour régler le dossier et permettre aux autres opérateurs mobiles (Orange, T-Mobile et 3 UK) de poursuivre l'investissement dans les réseaux à très haut débit, le gouvernement reprend à son compte les propositions de la commission de gestion du spectre. Principal objectif : mettre un plafond aux fréquences que peut détenir un opérateur dans les bandes inférieures à 1GH, permettant de couvrir le pays à moindre coût. Comme l'Ofcom doit allouer les fréquences du dividende numérique réservées à la téléphonie mobile (entre 800 et 900 MH), cela signifie que si Vodafone et O2 veulent acquérir des fréquences dans ces bandes, les deux opérateurs devront rétrocéder une partie des fréquences 900 MH. Téléchargement illégal : un embryon d'Adopi Touchée aussi par les téléchargements illégaux de musique ou films, la Grande-Bretagne va améliorer la protection des ayants-droits. Ceux-ci pourront demander aux FAI d'envoyer des messages de mises en garde aux Internautes se livrant au piratage, dont l'adresse IP aura été identifiée. Par la suite, les ayants-droits pourront se retourner vers la justice pour obtenir réparation. Parmi les autres mesures envisagées par le gouvernement, figurent notamment la diminution du débit des lignes des pirates, voire le blocage de certaines fonctions. (...)

(19/06/2009 17:23:36)

Hadopi : la solution de rattrapage nuira aux ayants droit

Plus le dossier Hadopi progresse, plus le traitement qu'en fait le gouvernement ressemble à un condensé de mauvaises pratiques et de méconnaissances juridiques. Après le revers cinglant des députés le 9 avril et l'oeuvre sanglante du Conseil constitutionnel, l'exécutif pensait retomber sur ses pieds et rassurer artistes et industriels de la culture en imaginant un traitement expéditif des contrevenants. En évoquant le recours à des ordonnances pénales - comme pour les infractions au code de la route, c'est-à-dire sans comparution du contrevenant devant un juge - le gouvernement pensait convaincre de son inextinguible volonté de réprimer coûte que coûte le non respect du droit d'auteur. La réalité juridique risque néanmoins de contrarier les plans de Christine Albanel et de ses collègues du gouvernement. C'est du moins ce qu'indique le très didactique avocat-blogueur Maître Eolas, qui rappelle que la procédure basée sur l'ordonnance pénale n'est applicable que pour les délits dont la constatation ne souffre guère de doute. En matière de contrefaçon sur Internet, cela est loin d'être le cas : « il faut que le parquet apporte la preuve que l'oeuvre était protégée, que le téléchargeur savait qu'il téléchargeait une oeuvre protégée, et tout simplement identifier le téléchargeur, ce que l'adresse IP ne suffit pas à établir », souligne l'avocat. La seule constatation d'un téléchargement illégal et son signalement par l'Hadopi ne devraient donc pas suffire au juge judiciaire pour qu'il se penche sur l'affaire, les preuves étant insuffisantes. Par ailleurs, les ordonnances pénales ne peuvent être appliquées aux mineurs, qui représentent pourtant une part importante des contrefaçons en ligne. La portée de la loi s'en trouverait par conséquent encore plus réduite. Surtout, maître Eolas note que le code de procédure pénale éteint la possibilité pour une victime de demander des dommages-intérêts si une procédure d'ordonnance pénale est lancée. En d'autres termes, en cherchant à punir avec célérité les téléchargeurs, le gouvernement s'apprête à interdire au monde de la culture d'être indemnisé pour les atteintes faites à ses droits. C'est l'exact inverse des arguments inlassablement répétés par les membres de la majorité présidentielle pendant les débats parlementaires, qui répétaient à l'envi que la loi Hadopi devait rapporter aux créateurs. « Il y a pire ennemi des artistes que les pirates, note le blogueur avec malice : c'est l'Etat qui veut les protéger. » (...)

(19/06/2009 17:17:07)

HP et Alcatel-Lucent proposeront des offres de services communes

HP et Alcatel-Lucent ont signé hier, jeudi 18 juin, un accord mondial pour proposer des offres de services communes. Cet accord sera concrétisé au second semestre de cette année. Il comporte un volet annexe sur l'externalisation de l'informatique d'Alcatel-Lucent chez HP avec transfert d'effectifs. D'une durée de dix ans, cette « global alliance » entre les deux sociétés devrait générer des revenus de plusieurs milliards d'euros, à la fois pour HP et pour Alcatel-Lucent. C'est la seule précision chiffrée donnée par les deux partenaires qui se refusent à tout commentaire. Trois points sont plus particulièrement évoqués. D'abord, il est question d'une proposition aux opérateurs de télécoms, destinée à transformer leurs réseaux actuels en réseaux de convergence. Les deux partenaires créeront également des services pour les réseaux actuels et pour les réseaux anciens. Ensuite, HP et Alcatel-Lucent mettront sur le marché des solutions de communication destinées aux grands comptes, aux entreprises de taille moyenne et au secteur public. Le communiqué commun balaye large et parle d'un rapprochement entre les solutions IT de HP et celles d'Alcatel-Lucent dans la téléphonie sur IP (ToIP), les communications unifiées, la sécurité, la mobilité et les centres de contacts. Enfin, des solutions de bout en bout seront également mises au point, que ce soit pour le marché des opérateurs ou pour celui des entreprises. La distribution de ces nouvelles solutions se fera en direct et par des forces de ventes dédiées. Sauf la deuxième partie qui passera également par les revendeurs HP ou par des services en ligne, en mode SaaS. (...)

(19/06/2009 17:08:10)

La CFTC de HP France juge déloyal le projet de baisse des salaires

Des assemblées générales d'information ont réuni environ 800 salariés de HP France sur les sites franciliens et grenoblois de la société, hier, jeudi 18 juin, à l'appel des organisations syndicales. Entre transferts de salariés vers EDS, suppressions de postes et demandes de baisse de salaires, l'actualité sociale des derniers mois a été plutôt dense pour l'entreprise. En ce moment même, les représentants du personnel de HP sont consultés sur la baisse de salaire des contributeurs individuels, rappelle Jean-Paul Vouiller, délégué syndical CFTC chez HP France, dans un article publié le 17 juin sur le site Miroir social. D'ici fin juin, les salariés devraient donc se voir soumettre une proposition de baisse de salaire reposant sur le volontariat, avec application en septembre. Les managers de la société ont déjà été consultés sur le sujet. Par ailleurs, dans un sondage mené sur le blog de la CFTC de HP, sur 1700 votants, seuls 3% ont accepté l'idée d'une baisse de salaire. Les efforts financiers demandés aux collaborateurs avec l'objectif de conserver à l'entreprise ses ressources n'empêchent pas l'ombre d'un nouveau plan de licenciement de planer sur l'entreprise (15 000 suppressions de postes sont prévues en Europe sur deux ans). Dans ce contexte, la CFTC HP-EDS « rejette le projet de baisse de salaire présenté dans les CE » qu'il juge déloyal. Jean-Paul Vouiller rappelle que les réductions opérées seront définitives et sans contrepartie et que, en cas de départ, les indemnités seront calculées sur le salaire diminué. Le délégué syndical insiste aussi sur le fait que ces mesures reposent sur le volontariat et qu'un refus de la part d'un salarié ne pourra en aucun cas entraîner son licenciement. Malgré tout, les élus du CE européen redoutent les conséquences d'un refus et demandent notamment à la direction que les managers n'exercent pas de pression sur les salariés sur ce sujet. Pour la CFTC, ces démarches sont immorales, au regard des rémunérations perçues par les dirigeants de HP et des bénéfices réalisés par l'entreprise. Deux autres assemblées générales se tiendront sur les sites de Lyon et de Sophia-Antipolis de HP, les lundi 22 et mardi 23 juin prochain. (...)

(19/06/2009 16:02:53)

Google grappille encore des parts du marché américain de la recherche en ligne

Les derniers chiffres du cabinet Comscore sur le marché américain de la recherche en ligne indiquent que Google est désormais crédité de 65% des recherches pour le mois de mai, soit 9,3 milliards de requêtes sur un total de 14,3 milliards. Sur un mois, le numéro un a encore accru sa domination de 0,8 point. Les sites de Yahoo se placent en deuxième position avec une part de marché de 20,1% (-0,3). Quant aux sites de Microsoft, ils baissent de 0,2 point à 8%. En mai 2008, Google s'octroyait 61,8% de ce même marché. Il a donc gagné plus de 3 points en un an. Durant cette même période, Yahoo et Microsoft ont perdu 0,5 point. Les résultats de juin comptabiliseront pour la première fois les requêtes soumises à Bing, le moteur lancé par Microsoft fin mai. Pour ce premier mois d'existence, on mesurera surtout les retombées des 80 à 100 M$ que son éditeur a investi pour sa promotion. Soit deux fois plus que les 50 M$ que Google dépense en un an. (...)

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