Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 10781 à 10790.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(19/06/2009 15:54:35)

Trois écueils à éviter pour virtualiser un datacenter, selon le Gartner

Si l'évolution des systèmes d'information vers la virtualisation parait irrévocable, les voies qui y conduisent n'en sont pas moins parsemées de chausse-trappes. Bien qu'il considère cette technologie comme essentielle à la mutation des datacenters, Philip Dawson, spécialiste de la virtualisation au Gartner, n'en garde pas moins sa lucidité. Pour lui, il est encore trop tôt pour tout virtualiser. « Il y a trois ans, j'ai écrit une note de trois pages sur ce qu'il ne fallait pas virtualiser. Les trois types d'écueil de l'époque restent d'actualité, même si les choses ont évolué dans le bon sens. » Ainsi, pour Philip Dawson, il ne faut pas tenter de virtualiser les environnements qui sont en contact avec des éléments "physiques". Il entend par là les applications qui doivent supporter des contraintes temps réel, telles que celles qui sont liées à la production industrielle, à la robotique et, aussi, aux marchés financiers. Même si elles se sont atténuées, ses réserves sur la virtualisation des environnements très transactionnels sont aussi toujours valables. "Beaucoup de progrès ont été faits pour adapter les entrées/sorties aux systèmes virtualisés. Mais d'autres sont encore nécessaires pour supporter d'importantes charges de traitement transactionnel. Si les périphériques PCI ont progressé en terme d'accroissement de la bande passante et de débit, la gestion de la cohabitation de plusieurs applications qui sollicitent toutes les entrées-sorties demeure perfectible. Pour les grosses applications transactionnelles, la virtualisation doit être utilisée davantage pour sa haute disponibilité que pour la consolidation." Le cas des applications de paiement électronique cumule à la fois les handicaps des applications transactionnelles et "physiques". Enfin, il reste la dimension "commerciale", autrement dit la politique de licence et de support des éditeurs vis-à-vis de la virtualisation. Ainsi, Microsoft "n'a encore rien fait de restrictif pour la virtualisation de ses applications. Mais il faut faire attention aux versions." En revanche, il est de notoriété publique qu'Oracle pratique une politique d'obstruction pour empêcher ses utilisateurs de virtualiser leurs applications sur des environnements concurrents. (...)

(18/06/2009 17:13:36)

D'anciens managers IT créent un site pour l'emploi des seniors

Pour sortir de l'ornière un important projet informatique chez un client, réaliser l'intégration IT d'une société tout juste acquise ou attaquer un nouveau marché, les SSII doivent trouver des profils expérimentés. Des missions qu'elles pourraient tout particulièrement confier à des seniors. C'est sur cette idée que s'est créé le site emploi « it-senior-manager.fr », animé par un réseau de neuf associations d'anciens managers et dirigeants d'entreprises du secteur IT. Depuis son ouverture, il y a un mois, une dizaine d'annonces ciblées ont été diffusées vers les membres du réseau, après un filtrage assuré par ses bénévoles. En se regroupant, ces associations constituent un vivier d'expertise de 3 000 personnes, entre 45 et 65 ans, qui ont fait leurs armes chez Oracle, Steria, Unilog, Capgemini, Xerox, Apple France, SG2, Sun et Accenture. Leur pouvoir d'attraction sur les employeurs est sans conteste plus important que celui de chaque groupe agissant chacun de son côté, argumente Franck Lacombe, responsable du projet et président d'Escape, l'association des anciens de CapGemini. Agir ensemble et promouvoir d'autres formes d'employabilité « 10% environ des membres de nos différentes associations sont à la recherche d'un emploi ou ont envie de bouger. Après avoir mené séparément diverses initiatives, nous avons décidé d'agir ensemble et d'essayer de promouvoir d'autres formes d'employabilité, comme le CDD, le portage salarial ou le management de transition, auxquels les SSII n'ont culturellement pas l'habitude de recourir ». Dans le secteur des services, il n'y a pas le réflexe de l'interim managérial tel qu'on peut le trouver chez les petits éditeurs de logiciels, explique-t-il. Les éditeurs se sont souvent créés sur une innovation technologique apportée par des ingénieurs. « Il manque parfois la composante financière ou marketing qui amène le fonds d'investissement partenaire à faire appel à l'intérim managérial. Cela n'existe pas vraiment en SSII », poursuit Franck Lacombe, qui est aussi associé fondateur d'Evolena, une société spécialisée dans le conseil aux dirigeants de l'IT. Les entreprises ayant besoin de ressources IT expérimentées peuvent déposer leurs offres sur le site « it-senior-manager.fr ». Celles-ci sont ensuite routées vers les associations partenaires. Le réseau propose aussi un coaching RH pour accompagner et développer les « talents » retrouvés. (...)

(18/06/2009 16:03:45)

Alcatel-Lucent transfère son informatique et plus de 1000 salariés chez HP

Selon notre confrère Les Echos, Alcatel-Lucent annonce la signature d'un accord avec HP au travers duquel il confie ses équipements informatiques dans le monde. Selon le quotidien, qui cite des sources syndicales, il devrait découler de cette décision le transfert de 1 022 salariés d'Alcatel-Lucent vers le groupe américain. En France, cela devrait concerner 200 personnes. Le partenariat entre les deux groupes, d'une durée de 10 ans, les conduira à proposer ensemble des prestations informatiques et télécoms conjointes. A noter que HP a confirmé récemment la suppression de 5 700 postes en Europe. En France, il a proposé des baisses de salaires à l'ensemble de ses salariés. (...)

(18/06/2009 14:57:32)

Intel va revoir les marques de ses processeurs pour postes de travail

Intel va progressivement faire le ménage dans les marques de ses processeurs pour postes de travail (portable et desktop). A partir de l'an prochain, les noms de Core 2 (Duo, Quad) et de Centrino vont passer à la trappe. La marque Centrino survivra pour les modules de communication sans fil, qu'ils soient Wi-Fi ou Wimax, une technologie alternative à la 3G et à l'UMTS qu'Intel soutient très activement. Les successeurs des Core 2 et Centrino seront remplacés par des processeurs regroupés sous la marque Core i. Les actuels Core i7 (premiers quadricoeurs haut de gamme à architecture Nehalem lancés en novembre dernier) vont être rejoints par des Core i5 (milieu de gamme) et par des Core i3 (entrée de gamme). Ces lignes de produits ne feront plus directement référence à l'architecture des processeurs ni à leur usage en fonction de leur consommation. Ils seront classés selon leurs performances, un même processeur pouvant être référencé sous le nom de Core i3 ou de Core i5 selon sa fréquence. Autour de l'offre Core i, le fondeur conserve les marques Celeron, Pentium et Atom. La marque Celeron sera associée aux machines tout en bas de la gamme et celle de Pentium pour les PC un peu plus performants. Atom étant, de son côté, le nom des processeurs destinés aux netbooks et aux téléphones mobiles qu'Intel aimerait bien équiper en masse. (...)

(18/06/2009 13:25:25)

40 grands de l'IT travailleront à l'interopérabilité des gestions d'identités

De très grands noms de l'IT viennent de lancer l'initiative Kantara pour promouvoir l'interopérabilité entre les différents services et outils de gestion d'identités. Parmi la quarantaine de membres répertoriés, on retrouve Oracle, Intel, PayPal, AOL, CA, Novell, Fidelity Investments, Liberty Alliance, Boeing, Internet Society et British Telecom. Roger Sullivan, vice-président pour la gestion d'identités chez Oracle, également président de Liberty Alliance et de Kantara, rappelle que « les grands fournisseurs, les grandes entreprises et les startups ont développé une grande quantité d'applications et de services autour de la gestion d'identités, créant une forte fragmentation technologique de ce marché et un grand besoin de s'y intéresser. » Des travaux qui s'appuieront sur des standards ouverts Même si plus de 40 grands fournisseurs soutiennent déjà Kantara, ce qui lui donne une vraie masse critique, l'initiative souhaite attirer plus de personnes ou de groupes qui pensent pouvoir contribuer à ses travaux. Pour cette raison, il est possible à n'importe qui de participer aux discussions et aux projets, même sans cotiser. Il y a déjà 20 travaux et groupes de discussion en cours dans Kantara, qui s'appuieront sur des standards ouverts, des protocoles et des spécifications telles que la gestion d'identités en ligne OpenID, le protocole d'authentification de l'origine des données OAuth et le Single Sign On pour le web SAML 2.0 (Security assertion markup language). (...)

(18/06/2009 12:44:24)

SAP soutient l'action de Planet Finance auprès des institutions de micro-crédit

SAP a décidé d'apporter son savoir-faire technologique à Planet Finance, l'association créée par Jacques Attali il y a dix ans pour soutenir les acteurs du micro-crédit dans le monde. Pour l'éditeur de logiciels de gestion, il ne s'agit pas d'une action localisée mais d'un partenariat globalisé, sur trois ans, qui va inclure l'ensemble de la communauté SAP. C'est le PDG de la société, Léo Apotheker, qui l'a annoncé hier mercredi 17 juin à Paris, conjointement avec l'ancien conseiller du président François Mitterand. Depuis plusieurs mois, le fournisseur d'ERP affiche sa volonté de s'impliquer sur les questions de développement durable, tant au travers de ses logiciels que par la réduction de son empreinte carbone. Cette fois, il veut participer à des actions sociales menées contre l'extrême pauvreté et contribue à un premier projet en Afrique, dans le nord du Ghana, visant à améliorer le revenu des producteurs de beurre de karité. « En travaillant avec les opérateurs mobiles, nous espérons améliorer la chaîne de valeur qui va du récoltant aux grands acheteurs internationaux, expose Léo Apotheker. Nous pouvons apporter des pratiques de gouvernance, des programmes d'éducation et de formation ». L'engagement financier et technologique de SAP aux côtés de Planet Finance comporte en fait trois volets. Redévelopper le logiciel de gestion de dossiers de crédit Pour commencer, d'ici fin 2009, l'association disposera pour ses propres processus de gestion d'une suite intégrée (gestion financière, des ressources humaines, des projets et des connaissances, ainsi que fonctions décisionnelles), fournie gratuitement par l'éditeur. Active dans une soixantaine de pays, l'organisation de Jacques Attali dispose en effet d'un réseau international de 38 bureaux. Ensuite, SAP va aider à redévelopper le logiciel Microfit que l'association propose aux institutions de micro-finance (de moyenne et grande taille) pour gérer leurs dossiers de crédit. Cette future version devrait être fournie en mode SaaS (software as a service) pour en réduire le coût d'accès. Ce sont très probablement les équipes des offres en ligne SAP Business ByDesign et SAP on-demand qui plancheront sur ce sujet. « L'un des facteurs bloquants de la micro-finance, c'est le taux d'intérêt », explique Jacques Attali. Le micro-crédit coûte cher car il implique de nombreuses interventions. « L'impact des nouvelles technologies permettra de réduire le taux d'intérêt. Il faut permettre aux plus petites institutions de micro-finance de réduire leur frais de fonctionnement. » En optimisant les processus de gestion des dossiers de prêt. Doper l'activité à la base de la pyramide économique [[page]]Enfin, dans le troisième volet du partenariat, SAP s'illustre, comme de nombreux autres grands acteurs des TIC, par la participation à des projets concrets de développement d'entreprises dans les pays pauvres. Le projet mené au Ghana est un programme pilote qui sera porté à une plus large échelle en cas de succès. « C'est l'un des pays les plus prometteurs d'Afrique, affirme Jacques Attali. La moitié de la population vit au-dessous du seuil de pauvreté, mais cette proportion est beaucoup plus élevée dans d'autres pays. » 90% des femmes de la région nord ramassent des noix de karité. L'objectif du programme est de permettre à ces femmes de se constituer en groupe et de se former pour organiser efficacement la récolte, la transformation et la vente du beurre de karité servant en cuisine et en cosmétologie. Chaque groupe sera équipé d'un téléphone portable pour s'informer sur les cours du marché des produits, faciliter le suivi du négoce et s'affranchir ainsi des intermédiaires manquant de sérieux. « Vis-à-vis des femmes, les intermédiaires captent la richesse sans apporter de valeur, explique Léo Apotheker. Nous voulons aider ces femmes à mieux vendre leurs produits en s'organisant de manière un peu plus industrielle. L'un des moyens que nous avons pour le faire, c'est la technologie. » Le PDG de SAP rappelle les progrès réalisés en Afrique, depuis plusieurs années, sur l'infrastructure de téléphonie mobile. « On va s'appuyer sur cette infrastructure pour permettre aux acteurs économiques locaux de prospérer. Notre partenariat vise à fournir les moyens pour doper l'activité à la base de la pyramide économique. » Le dirigeant veut néanmoins « rester modeste ». « Nous démarrons par un projet pragmatique qui peut améliorer la situation de personnes qui sont dans la pauvreté absolue ». SAP aimerait entraîner son écosystème à sa suite SAP a également l'ambition d'entraîner l'ensemble de son écosystème dans son sillage, sous diverses formes « dons, fourniture d'expertise... ». S'il est encore trop tôt pour évaluer l'enthousiasme des partenaires, Léo Apotheker constate qu'il y a beaucoup d'engouement autour de ce projet. « Il y a 1,4 million de personnes dans notre communauté. Si nous parvenons à susciter leur intérêt, nous aurons créé une belle vague. » Le PDG de SAP rappelle qu'il compte parmi ses clients les toutes premières entreprises d'agro-alimentaires et de cosmétiques. « Toutes veulent un modèle plus responsable. Et nous sommes capable d'être l'intermédiaire entre ces grandes entreprises et les petites pour augmenter la chaîne de valeur ». Interrogé sur le montant de l'effort financier consenti par SAP dans son partenariat avec Planet Finance, Léo Apotheker n'a pas souhaité répondre. Il se contente de renvoyer sur le rapport publié en mai par sa société où figure le montant des sommes investies dans les projets de responsabilité sociale (rubrique Corporate Social Responsability). Jacques Attali, de son côté, assure que « la somme est conséquente ». (...)

(18/06/2009 12:01:23)

Pour le Gartner, la virtualisation est avant tout une affaire de management

Pour Philip Dawson, vice-président recherche au Gartner Group et spécialiste de la virtualisation, les grands utilisateurs, y compris les Français, sont passés de la phase d'interrogation à celle de l'action vis-à-vis de cette technologie. « 60% de nos clients, qui sont des grands comptes, ont déjà appliqué la virtualisation, sous une forme ou sous une autre. » Pour les PME, la problématique diffère. Leur taille ne leur permet pas de réaliser beaucoup d'économie d'échelle et leurs orientations technologiques dépendent plus des choix de leurs fournisseurs que de la technique elle-même. La consolidation ne se résume pas à la réduction du nombre de serveurs De passage à Paris, Philip Dawson a insisté sur la dimension architecturale et organisationnelle des changements qu'engendre la virtualisation. « C'est plus une affaire de management que de technique. » Pour lui, l'adoption de cette technologie se déroule en trois phases. La première, baptisée consolidation, ne consiste pas seulement à concentrer les serveurs sous-utilisés par le biais de machines virtuelles regroupées sur un nombre réduit de machines. Elle doit s'accompagner d'une remise à plat et d'une profonde réorganisation. "Regrouper une douzaine d'applications annexes sur une seule machine revient à rendre celle-ci critique pour le système d'information. De plus, aucun fournisseur ne vous dira qu'il faut en profiter pour se débarrasser des applications inutiles". Faire disparaître quelque 20% de la charge de traitement est aussi un facteur important dans l'optimisation qu'entraîne la virtualisation. La phase de consolidation est aussi le moment de repenser toutes les composantes du système d'information, en particulier le stockage. Au cours de cette période, les DSI doivent aussi commencer à développer une forme de "méta administration", à la fois requise et permise par la virtualisation. Il faut sans tarder mettre en place des outils de mesure, de contrôle de SLA (Service level agreement, niveau de service) et de gestion de la haute disponibilité. Cette reprise en main de l'architecture ouvre l'accès à la deuxième phase, celle de "l'agility", un anglicisme qui englobe à la fois les idées d'agilité et de souplesse. La possibilité de migrer à chaud des applications ouvre en effet des perspectives immenses en terme d'optimisation des ressources. La virtualisation est aussi affaire d'investissement Une fois les deux premières phases achevées, la DSI peut s'intéresser à l'informatique en cloud. Celle-ci dispose de tous les paramètres clés pour faire appel à des ressources ou à des services externes sans risque de pertes de contrôle. "Sous-traiter une partie de l'infrastructure ne doit surtout pas se traduire par une perte d'autonomie au niveau de l'architecture, précise Philip Dawson." Ne penser la virtualisation que comme une source d'économies est une erreur. "A chaque phase, il faut investir, insiste Philippe Dawson. Il faut bien comprendre que pour économiser au niveau des immobilisations, il faut consentir à investir une partie de ces économies dans l'exploitation." Sauf à vouloir se retrouver dans la situation antérieure à celle de la virtualisation du SI. En plus inextricable. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >