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(17/06/2009 18:01:38)

Energy Star renforcé pour les équipements informatiques au 1er juillet

Les ordinateurs, photocopieurs et imprimantes devront se conformer à une norme Energy Star plus exigeante à partir du 1er juillet prochain. Un accord vient d'être signé dans ce sens entre la Commission européenne et l'Agence américaine pour la protection de l'environnement (EPA), gardienne du standard. La mise en application de ces nouvelles spécifications pour les équipements informatiques de bureau ou pour la maison devraient induire, selon les organismes concernés, des économies d'énergie de près de 22 TW/h sur les 4 à 6 ans de durée de vie des produits - soit environ la consommation annuelle de l'Irlande selon la Commission. Les ordinateurs devraient représenter 18 de ces 22 TW/h. D'ores et déjà, 70 PC, 43 portables et tablettes, 18 photocopieurs, 32 imprimantes, 19 scanners et 14 fax ont déjà reçu le label. Energy Star est un programme, né en 1992, d'identification et de labellisation de l'efficacité énergétique des équipements de bureau. Il s'est intéressé tardivement à l'informatique et ne tient compte des serveurs que depuis mai 2009. Il inclura bientôt le stockage et les consoles de jeu. (...)

(17/06/2009 17:35:14)

EnterpriseDB fait évoluer son SGBD compatible Oracle et change de direction

EnterpriseDB, connu pour proposer un SGBD compatible Oracle à moindre prix, annonce les versions 8.3 de Postgres Plus et de Postgres Plus Advanced Server. Cette évolution apporte en particulier la possibilité d'installer en mémoire tout ou partie d'une base qui sert essentiellement à la consultation. Infinite cache, qui ne nécessite aucune modification de code, apporte, bien sûr, un net gain de performance. Postgres s'améliore aussi sur son principal élément différenciateur : la compatibilité avec le SGBD d'Oracle. Il reçoit également des outils supplémentaires pour faciliter les migrations. Quelques jours avant l'annonce de cette version 8.3, Alfresco et EnterpriseDB signaient un partenariat aux termes duquel Alfresco Enterprise, l'outil de gestion de contenu du premier, et le SGBD du second bénéficieront désormais d'un support technique commun. Enfin, la version 8.3 de Postgres arrive dans un EnterpriseDB qui vient de changer de direction. Après avoir passé les six dernières années chez Red Hat à différents postes de haut niveau dans la vente et le marketing, Ed Boyajian, a été nommé président et directeur général. Il succède à Andy Astor qui se concentre sur le "business development". Cette nomination intervient moins de trois mois après qu'un groupe d'investisseurs, au rang desquels figure IBM, a injecté 10 M$ dans la société. Sur ces entrefaites, celui-ci avait annoncé que la version 9.7 de son SGBD DB2 intégrait désormais Postgres... (...)

(17/06/2009 16:47:12)

Le marché des serveurs continue de s'effondrer mais l'embellie approche

Le marché des serveurs restera moribond jusqu'en 2011, estime IDC, mais le pire semble avoir été atteint. Si l'institut d'études a revu à la baisse ses prévisions pour le 2e trimestre 2009 et table sur un recul de 29,6% de la valeur de ce marché, il estime que le rythme de décroissance devrait ralentir dès le troisième trimestre. « Bien que nous prévoyions un recul de 22,1% pour 2009, le plus gros de la contraction du marché est derrière nous. En effet, d'ici à la fin du 3e trimestre (...) le marché montrera des signes importants de stabilisation. IDC croit que de nombreux utilisateurs commenceront à prendre des décisions stratégiques en ce qui concerne leurs plateformes informatiques avant la fin de 2009 pour anticiper l'activité de 2010 », indique le cabinet. La valeur du marché des serveurs, après une baisse de 22,1% en 2009, devrait céder encore 0,4% en 2010. Au total, il aura, selon IDC, enregistré huit trimestres consécutif dans le rouge. Il faudra attendre 2011 pour que sa valeur évolue à nouveau positivement : elle progressera de 2,9% par rapport à l'année précédente, avant de gagner 3,3% en 2012 et 3,1% en 2013. Tout au long de ces trimestres de disette, les serveurs haut de gamme seront les plus affectés : pour la seule année 2009, leurs ventes reculeront de 35% en valeur, contre une baisse inférieure à 10% pour le matériel de moyenne gamme. (...)

(17/06/2009 16:19:06)

Le prix de la 4eme licence de téléphonie mobile monte à 240 millions d'euros

La procédure d'attribution de la quatrième licence de téléphonie mobile semble s'engluer. Le gouvernement a relevé le prix du lot des 5 MHz tout en retardant de facto l'échéance. Parallèlement, d'aucuns prêtent à Bouygues Telecom l'intention de retarder le processus par la voie judiciaire. Surtout ne pas répondre aux questions sur la 4e licence de téléphonie mobile ! Tel semble la consigne passée et appliquée par les responsables gouvernementaux en charge des télécoms en ce moment. Au lendemain de l'annonce en catimini -via un entretien rapide de Luc Chatel, secrétaire d'Etat à l'Industrie, avec l'AFP- il parait impossible de comprendre les raisons qui ont motivé l'avis consultatif de la Commission des participations et des transferts de relever le prix du lot des 5 MHz réservé à un nouvel entrant, un avis que le gouvernement compte suivre. Au lieu des 206 millions d'euros annoncés par le gouvernement devant la représentation nationale lors du débat organisé au Parlement en début d'année sur la quatrième licence, le prix est désormais fixé à 240 millions d'euros. Pour autant, si le tarif est désormais connu, le gouvernement paraît toujours aussi peu pressé de donner le coup d'envoi du processus d'attribution. Dans son entretien avec l'AFP, Luc Chatel a en effet précisé qu'il allait saisir pour consultation les instances concernées (l'Arcep), avant de publier, d'ici la fin juillet, le décret fixant les modalités d'attribution. Le sujet des consultations est d'autant plus mystérieux que le gouvernement a déjà tous les éléments à sa disposition, l'Arcep lui ayant transmis depuis longtemps son avis sur le dossier. Des opérateurs tentés de faire traîner le dossier De plus, lors de la nomination de Jean-Claude Mallet à la tête de l'Arcep début janvier (remplacé depuis par Jean-Ludovic Silicani), le gouvernement avait promis de lancer la procédure avant la fin du mois de février, puis avait finalement évoqué la fin mars. L'attribution de la licence prend donc encore une fois quelques semaines de retard supplémentaires, sans que l'on puisse avoir la certitude que cette nouvelle échéance sera respectée. Les opérateurs mobiles en place ont en effet tout intérêt à retarder le plus longtemps possible l'arrivée d'un nouvel acteur. Comme le relevait récemment le magazine Challenges sur son site, la clause permettant à un quatrième acteur de récupérer 5 MHz dans la bande 900 MHz tombe dans un an (en juin 2010). Autrement dit, si le dossier traîne suffisamment les opérateurs en place n'auraient pas à rétrocéder une partie des fréquences qu'ils utilisent, tout en compliquant la tâche du nouvel entrant qui avec 5 MHz seulement verrait sa capacité de développer son réseau sur l'ensemble du territoire significativement réduite. D'où l'intention prêtée notamment à Bouygues Telecom de poursuivre le combat contre la quatrième licence en attaquant le décret devant la justice. Une hypothèse que n'exclut pas non plus France Télécom pour faire constater que « le principe d'équité n'a pas été respecté ». Iliad, dernier candidat en lice ? [[page]]Si tel devait être le cas, il serait difficile pour le gouvernement de lancer la procédure d'attribution, compte tenu de l'incertitude juridique qu'une telle plainte ferait peser sur le dossier. Un environnement qui ne va pas faciliter la tâche des candidats potentiels. Alors que de nombreux noms circulaient en début d'année, la liste semble d'ailleurs s'être réduite. KPN, qui avait pris contact avec Alcatel-Lucent, a affirmé depuis n'être pas intéressé par la licence, alors que Virgin Mobile France, qui regarde le dossier, indique aussi ne pas avoir besoin de la licence pour poursuivre son développement. Geoffroy Roux de Bézieux, PDG du MVNO, s'inquiète de la capacité du nouvel entrant à déployer les points hauts, compte tenu de la polémique sur la nocivité des antennes-relais. Sauf coup de théâtre, Iliad pourrait donc bien être le seul candidat à tenter l'aventure. La fuite du gouvernement face à ces questions La quatrième licence de téléphonie mobile, et plus généralement l'ensemble des sujets télécoms, sont manifestement des épines dans le pied du gouvernement. Pour s'en convaincre, il suffit de rappeler que sur une question aussi importante, il n'a pas cru bon de rédiger un communiqué ou d'organiser une conférence de presse pour expliquer et motiver son choix sur le prix de la licence, et s'est contenté d'un rapide entretien de Luc Chatel avec l'AFP. Depuis deux ans que ce dossier est sur la table, le gouvernement s'est d'ailleurs fait remarquer par sa capacité à fuir les questions. D'où les rumeurs récurrentes portant sur le chantage à l'emploi que pourraient exercer certains des opérateurs en place, peu pressés de faire de la place à un quatrième acteur, et qui amènerait l'Elysée à repousser, sans cesse, les décisions. (...)

(17/06/2009 13:01:07)

Hadopi : Christine Albanel plaide pour un traitement expéditif des infractions

Après la censure de la loi Hadopi par le Conseil constitutionnel, le ministère de la Culture réfléchit aux mécanismes à mettre en place pour que soient sanctionnés les internautes téléchargeurs. Comme nous l'indiquions en début de semaine, une seconde loi devrait être présentée dans les jours qui viennent, qui complètera le texte retoqué et prévoira l'entrée en jeu du juge judiciaire. Lors de la séance de questions au gouvernement de l'Assemblée nationale, Christine Albanel a confirmé : « nous allons présenter un texte de loi très court pour articuler la fonction pédagogique de l'Hadopi avec l'intervention du juge, pour donner à celui-ci les moyens d'agir, et pour donner aussi la possibilité de procédures accélérées ». Après avoir évoqué la création de tribunaux de grande instance dédiés au traitement du contentieux né d'Hadopi, la ministre de la Culture introduit donc désormais l'idée d'une justice expéditive. Selon l'AFP, la rue de Valois pourrait opter pour une comparution devant un juge unique, voire pour des ordonnances pénales. Celles-ci sont utilisées notamment dans les cas de contraventions au code de la route : après la constatation de l'infraction, la sanction est prononcée sans audience, donc sans débat contradictoire. Le contrevenant a certes la possibilité de contester l'existence du fait reproché, mais cette opposition est l'exception et non la règle. Prévu pour accélérer le traitement des infractions mineures, ce mécanisme est loin de faire la part belle aux droits de la défense. C'était déjà le cas de plusieurs dispositions de la loi Hadopi, finalement censurées par le Conseil constitutionnel. (...)

(17/06/2009 12:02:09)

Salesforce.com propose un accès gratuit à sa plateforme de développement en ligne

L'éditeur de logiciels de CRM Salesforce.com espère attirer davantage de développeurs et d'éditeurs vers Force.com, sa plateforme de développement d'applications en ligne, en proposant un accès gratuit. Gratuit, certes, mais limité. Ainsi, Force.com Free Edition donne la possibilité de développer une seule application, à déployer sur un maximum de cent utilisateurs. L'offre inclut toutefois une formation en ligne, des exemples d'applications et un environnement de test. L'accès payant, lui, démarre à 50 dollars par utilisateur et par mois. Selon Salesforce.com, 110 000 applications personnalisées auraient déjà été développées sur la plateforme Force.com. L'un des arguments avancés par l'éditeur en faveur de son environnement est qu'il permettrait aux entreprises de concevoir des applications plus rapidement que les outils traditionnels. Il avance un récent rapport de Nucleus Research qui s'est penché sur 17 projets Force.com. En moyenne, les développeurs interrogés auraient pu créer les applications 4,9 plus vite que dans un environnement Java ou .Net, grâce, explique Nucleus, à la possibilité de configurer rapidement les interfaces utilisateurs, aux composants préconstruits et aux workflows personnalisables. Sans oublier que les applications Force.com sont déployées dans l'environnement de production de Salesforce.com, ce qui évite aux développeurs d'avoir à se préoccuper de choisir la base de données et le serveur d'application et leur permet de passer plus de temps sur le test de l'application. China Martens, analyste au cabinet d'études 451 Group, reconnaît que Salesforce.com aimerait effectivement bien être positionnée comme un choix possible face à Java et .Net. (...)

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