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(27/05/2009 18:02:06)

Un supercalculateur européen devient le 3e plus puissant du monde

Le haut du Top 500 des plus puissants super calculateurs est traditionnellement occupé par des monstres américains. Pourtant, Jugene, installé au centre de recherche allemand Forschungszentrum Jülich devrait se hisser de la 11e place jusque sur la 3e marche du podium à l'occasion du prochain classement fin juin. La machine vient d'être mise à jour par IBM et est désormais animée par un total de près de 295 000 processeurs PowerPC 450 à 850 MHz installés par quatre sur des Blue Gene/P. Il devient ainsi également le troisième supercalculateur au monde à atteindre le Petaflop (un million de milliards d'opérations en virgule flottante à la seconde). Le centre de recherche de Jülich spécialisé dans la physique et le supercalcul s'appuie sur cette ressource de taille pour ces travaux dans les domaines de la santé, de l'énergie et de l'environnement. Ce beau bébé nécessite d'ailleurs qu'on l'alimente avec une puissance électrique de 2,2 Mwatts. Jugene est installé aux côtés de deux autres supercalculateurs, dont JuRoPa (Jülich Research on Petaflops Architectures) constitué de serveurs Bull et Sun à base de Xeon 5570. (...)

(27/05/2009 17:29:11)

Intel dévoile un peu plus ses Nehalem EX, pour 2010

Deux jours avant l'annonce de l'hexacoeur Opteron (Istanbul) de son concurrent AMD, Intel a tenu à occuper le terrain. Bien qu'il ait confirmé que la déclinaison octocoeurs de son architecture Nehalem EX ne sera pas disponible avant l'an prochain, le numéro un du silicium a tenu à en divulguer opportunément quelques détails. Avec six à huit coeurs par puce et la possibilité de s'insérer dans des serveurs avec quatre à trente-deux processeurs, les Nehalem EX repoussent les limites d'une architecture déjà présente dans les Core i7 (machine de bureau) et dans les Xeon 5500 (quadricoeurs pour serveur biprocesseur). Intel positionne ses Nehalem EX par rapport à ses Xeon 7400, des quadri et hexacoeurs pour serveurs acceptant 16 processeurs qui ont été annoncés en septembre dernier. Les premiers Nehalem EX, connus sous le nom de code Beckton, seront gravés en 45 nm et embarqueront, parmi leurs 2,3 milliards de transistors, 24 Mo de mémoire cache de niveau 3, contre seulement 8 Mo sur les Xeon 5500 et 16 Mo sur les Xeon 7400. Ils supporteront l'Hyperthreading et le TurboBoost. Ils gèreront quatre QPI (QuickPath Interconnect, l'équivalent de l'Hypertransport d'AMD). Par rapport aux Xeon 7400, les Nehalem EX devraient avoir 9 fois plus de bande passante mémoire. La possibilité d'utiliser des barrettes DDR3 moins chères Bien sûr, les Nehalem EX exploiteront de la mémoire DDR3. Mais il semble qu'Intel s'oriente vers des barrettes "unbuffered", ce qui sous-entend que l'on trouvera sur les cartes-mères des tampons mémoires séparés et que le prix des barrettes DDR3 nécessaires sera moins élevé que celles requises pour les Xeon 5500. Un élément important quand on sait qu'un quadri-Nehalem EX pourra accepter jusqu'à 512 Go de mémoire en barrettes de 8 Go. Le fondeur insiste aussi beaucoup sur l'intégration de MCA Recovery (Machine Check Architecture), une technologie de correction des erreurs internes propre jusque-là à ses processeurs Itanium. Si tout se passe comme Intel l'indique, le Nehalem EX arrivera sur le marché en même temps que son Itanium quadricoeur (Tukwila), dont la sortie vient d'être encore différée. Ce dernier n'aura plus beaucoup d'atouts face à ces Nehalem EX survitaminés, sauf sa capacité à s'intégrer dans des systèmes très haut de gamme comptant jusqu'à 128 processeurs. Seul HP commercialise ce type de systèmes dans sa gamme Integrity. Itanium, présenté en son temps (en 2001) comme la voie d'évolution royale des processeurs Pentium vers le 64 bits, s'oriente irréversiblement vers une fin de carrière comme processeur propriétaire. (...)

(27/05/2009 15:41:17)

L'appel à projets numériques du plan de relance est ouvert

La secrétaire d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, a lancé officiellement ce matin l'appel à projets de R&D du volet numérique du plan de relance du gouvernement. Cet appel concerne les deux sujets que NKM souhaite voir se développer grâce à cette mesure : les serious games et le web 2.0. "Les fonds seront débloqués en 2009" Pour commencer, dès aujourd'hui et jusqu'au 6 juillet, les structures candidates peuvent déposer un dossier de réponse à l'appel d'offre dont tous les détails se trouvent sur telecom.gouv. Dans un second temps, à l'automne, des commandes publiques viendront compléter le dispositif. « Les dossiers d'appel d'offre seront dépouillés entre le 7 juillet et le 30 août et les conventions de financement signées dans la foulée, insiste la ministre. Quoiqu'il en soit, les fonds seront débloqués en 2009. » Les initiatives de 'serious games' se voient allouer un total de 30 M€ dont 20M€ par appel d'offre et 10M€ par le biais de commandes publiques, alors que 20 M€ reviennent au web 2.0, répartis à parts égales entre les deux dispositifs. Selon NKM, les subventions d'un projet devraient être comprises entre 100 k€ et 1 M€. Une PME engagée dans un projet avec d'autres acteurs pourra se voir attribuer un montant représentant jusqu'à 45% de son investissement (30% pour une entreprise plus importante dans le même cas). Pour les candidats qui postulent seuls, les aides atteindront 45% de l'investissement pour un effectif inférieur à 50 personnes, 35% jusqu'à 250 personnes, et 25% au delà. Les demandes doivent concerner le développement d'un service innovant du web et les projets ne pas avoir démarré avant la demande d'aide. Capitaliser sur des compétences technologiques qui ignorent leur potentiel économique [[page]]« Par cet appel à projets, nous cherchons aussi à capitaliser sur des compétences technologiques qui ne sont pas forcément formalisées, ajoute Nathalie Kosciusko-Morizet. Les acteurs eux mêmes ne sont pas conscients de la valeur économique de leur projet. » Pour la ministre, le web 2.0 est sans doute celle des deux thématiques identifiées qui est la plus porteuse d'avenir car elle ne concerne pas des produits finis, fermés, mais au contraire des innovations évolutives. « J'attends de cette démarche que l'on capitalise sur les acteurs du web, mais aussi un électrochoc pour l'administration. » NKM aimerait entre autres voir émerger des interfaces d'accès aux nombreuses données disponibles dans les services publics comme l'empreinte carbone de certains produits ou des comparatifs de prix. A cet égard, les projets proposés à l'appel d'offre pourront tout aussi bien concerner des applications que des interfaces d'accès vers ses données pour développer des applications. A la recherche d'innovations d'usage autant que d'innovations technologiques La démarche vise les « éditeurs de logiciels et de jeux vidéos, les entreprises productrices et agrégatrices de contenus en ligne, les centres de recherche, établissements publics à caractère industriel et commercial, les entreprises du secteur de la formation et enfin, les associations. » Quant aux publics ciblés par les projets proposés, il s'agit des « entreprises désireuses de moderniser leurs outils de formation interne et leurs systèmes d'information internes, voire leurs interfaces clients; les administrations pour les mêmes raisons de formation et pour la modernisation des services rendus aux administrés par l'utilisation de plateformes collaboratives, et enfin le grand public en tant qu'utilisateur de certaines applications de 'serious gaming' et en tant qu'internautes. » Les projets seront jugés en particulier pour leur caractère innovant puisque le financement est destiné aux dépenses de R&D. Fidèle aux convictions qu'elle affiche depuis son arrivée au ministère, NKM a cependant rappelé que cette innovation pourra aussi bien provenir de l'usage que de la technologie. Certains types de projets seront privilégiés comme ceux engageant une collaboration entre plusieurs parties prenantes, ceux portés par les PME, ceux comportant en leur sein de futurs utilisateurs, etc. La labellisation par un pôle de compétitivité sera aussi un atout. En attendant "une deuxième étape en plus forte rupture" Par leur nature même, les aides ne peuvent néanmoins revenir qu'à des structures déjà existantes. On pourrait le regretter dans la mesure où, dans le monde bouillonnant du web 2.0, les idées innovantes naissent la plupart du temps dans les esprits de leurs inventeurs avant même que ceux-ci aient songé à créer une entreprise. Etant donné le délai de quelques semaines pour le dépôt de dossiers, difficile pour eux de même imaginer utiliser le statut d'auto-entrepreneur. Pour postuler, reste à ces porteurs de projets à aller chercher l'appui d'une entreprise existante, d'une association ou encore d'une collectivité locale. Il semble que les adeptes du web 2.0 puisse néanmoins compter sur la ministre du numérique. « Cet appel d'offre, ce n'est pas la fin de l'histoire, affirme-t-elle ainsi. Au contraire, ce n'est que le début. Je veux ensuite une deuxième étape en plus forte rupture. » (...)

(27/05/2009 14:19:55)

Jahia v6 intègre les contenus propriétaires et Open Source

A la fois solution de portail et application de gestion de contenus Web et documentaires, le logiciel Open Source Jahia développe ses capacités d'agrégation multisources. L'Enterprise Edition v6 tout juste livrée (disponible sous licence Jahia) se connecte à des applications externes en s'appuyant sur le Jahia United content bus pour traiter données structurées et non structurées. Ce bus fonctionne avec des connecteurs spécifiques pour accéder à des référentiels de contenus propriétaires. Il supporte la spécification JSR 170 (ou JCR) vers les référentiels de contenus Java (via le projet Apache Jackrabbit), ainsi que les protocoles d'échange de fichiers CIFS, FTP et WebDAV. Et du côté portail, la v6 intègre nativement la bibliothèque Apache 2.0 Pluto, supportant mashups, gadgets, flux RSS et spécifications JSR 168 et 286. « Pour les entreprises qui gèrent des projets Web, la notion de contenus s'est très largement étendue », explique Elie Aubray, PDG de Jahia en rappelant qu'avec l'explosion des outils sociaux, les utilisateurs ne comprennent plus que les fonctions auxquelles ils accèdent chez eux ne soient pas disponibles sur leurs applications d'entreprises. « Le positionnement de Jahia est issu de l'expérience client, tout élément pouvant potentiellement devenir un contenu à gérer -fichiers pdf, jdo (Java data objects) ou bureautiques, flux RSS, etc. Quelle que soit la technologie utilisée, on doit être capable d'intégrer dans la même page, des portlets, du HTML, des flux RSS, des widgets, des contenus SAP, Sharepoint, Filenet, Documentum, Alfresco... ». Le logiciel se connecte par ailleurs à tout type d'annuaire LDAP. L'utilisateur de Jahia Enterprise Edition dispose d'une interface de travail unifiée, basée sur Ajax, « qui présente d'emblée la page telle qu'elle sera publiée en ligne », précise Elie Aubray. La v6 permet d'éditer les contenus de différentes sources directement sur la page, sans passer par des fenêtres de gestion séparées. A noter qu'elle peut générer des contenus vers l'iPhone d'Apple et qu'elle supporte Google Analytics. L'utilisation de Jahia Enterprise Edition est soumise à un abonnement annuel. Le logiciel est aussi vendu sous forme de licence classique. Parallèlement, Jahia propose une Community Edition sous licence GPL. Environ 300 clients payants ont des projets en production, indique Elie Aubray en citant SNCF, Saint-Gobain, le Parlement européen (une quarantaine de projets), l'UNFPA, Manpower ou l'Université de Lausanne (400 projets). (...)

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