Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 11181 à 11190.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(06/05/2009 17:05:27)

Microsoft supprime encore 3000 postes et pourrait aller au-delà

Dans un mail adressé à l'ensemble des salariés, Steve Ballmer a confirmé hier que Microsoft poursuivait le plan de suppressions de postes présenté en janvier dernier et pourrait même aller plus loin. L'éditeur avait annoncé qu'il allait tailler dans les effectifs à hauteur de 5%, soit environ 5 000 postes. La deuxième charrette devrait toucher 3000 personnes dans le monde, qui s'ajoutent aux 1 400 déjà remerciées en début d'année. Steve Ballmer a indiqué qu'il allait surveiller de près l'impact de la récession économique sur le groupe et que de nouvelles décisions pourraient être prises, sans toutefois préciser quel délai de réflexion il se donnait. Initialement, ce plan de restructuration devait s'étaler sur 18 mois, mais il est fort probable que Microsoft atteigne ses objectifs avant, sans doute pressé par les mauvais résultats du troisième trimestre 2009. Pour la première fois depuis sa création, il y a 23 ans, Microsoft a vu son chiffre d'affaires baisser (-5,6%), et ce malgré les mesures de réduction des coûts mises en place en octobre 2008. Peu touchée par cette deuxième vague, la filiale française de Microsoft ne s'émeut pas de cette annonce. Seuls deux postes (à envergure internationale) sont concernés sur les 1 300 que compte l'éditeur dans l'Hexagone. « Les personnes touchées seront reclassées, comme en janvier », indique Pascal Vaché, délégué syndical CFTC et représentant du personnel chez Microsoft France. Selon lui, la France dispose par ailleurs d'un statut particulier auprès de Microsoft, car cette filiale reste rentable avec une croissance du chiffre d'affaires de l'ordre de 10%. (...)

(06/05/2009 16:52:44)

Citrix transforme l'iPhone en client léger pour applications d'entreprise

Dans sa vague d'annonces, Citrix, qui investit Las Vegas cette semaine pour son Synergy Show, place sous les feux de la rampe l'extension au monde des mobiles de son savoir-faire sur les clients légers. La compatibilité emblématique de Citrix Receiver avec l'iPhone et la ressemblance de Dazzle, futur outil de mise à disposition des applications, avec l'AppStore d'Apple permet à Citrix de mettre en avant la modernité de son offre dans un monde IT professionnel décrit comme arc-bouté sur un modèle client-serveur rigide et coûteux à administrer. Présenté en 2008 comme une extension du protocole de présentation ICA, qui fonde l'offre client léger de Citrix depuis des années, Citrix Receiver est disponible sur iPhone et Windows. Des mises à jour des anciennes versions d'ICA pour Symbian, Windows Mobile et MacOS X sont attendues. Le portage sur Android, le système d'exploitation de Google, est aussi prévu. Ce client léger "universel" permet d'afficher des applications virtualisées soit par XenApp, Citrix Desktop ou XenServer. Cela permettra à des utilisateurs profesionnels d'accéder aux applications d'entreprise depuis leur terminal préféré. Côté serveur, Citrix promet, d'ici la fin de l'année, Dazzle. Il prendra en charge la mise à disposition des applications en fonction de règles préétablies et la gestion de leur activation. Il sera adossé à une logithèque baptisée Citrix Merchandising Server. Citrix Receiver et Dazzle seront mis à disposition gratuitement auprès des clients de Citrix. (...)

(06/05/2009 16:45:38)

3% du plan de relance finalement consacrés au numérique

Très attendues, les premières mesures liées au numérique du plan de relance de l'économie française ont été annoncées ce mercredi matin en conseil des ministres. Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat au développement de l'Economie numérique, et Patrick Devedjian, ministre chargé de la mise en oeuvre du plan de relance de l'économie française, ont présenté trois leviers qui devraient "inscrire résolument notre pays dans la sortie de crise par l'innovation et les secteurs d'avenir". Le volet le plus important concerne l'accélération du déploiement du très haut débit. La Caisse des dépôts et consignations devra consacrer 250 M€ par an sur trois ans et prendre l'initiative de mobiliser des acteurs sur le terrain afin de doubler l'objectif, de 4 à 8 millions, du nombre de prises en fibre optique d'ici à 2012. Les deux autres mesures regardent "le domaine de l'innovation et les usages", et prennent la forme d'appels à projets, dotés de 50 M€ au total. Nathalie Kosciusko-Morizet souhaite ainsi "développer une politique volontariste en faveur du 'serious gaming', utilisation de techniques issues du jeu vidéo pour réaliser des outils professionnels. [...] 30 millions d'euros seront consacrés à la réalisation de projets de 'serious gaming' dans le domaine de l'éducation, de la formation et de la défense, portés par des studios de jeu vidéo et leurs clients". Le 'serious gaming' est en effet en plein développement aux Etats-Unis, sous l'impulsion notamment du Pentagone. Dans son essai sur le 'storytelling', ou "l'art de fabriquer des histoires et formater les esprits", Christian Salmon décrit très bien comment le ministère américain de la Défense s'en est emparé pour préparer ses officiers à la situation en Irak. Du Web 2.0 dans la communication gouvernementale Le Web 2.0 a eu également droit de cité au conseil des ministres, le volet numérique prévoyant 20 M€ pour des projets "permettant la mise en place de solutions collaboratives dans le domaine des services mobiles et de l'accès aux données publiques". Certainement inspirés par le site mis en place par l'équipe Obama, les ministres expliquent que ces projets représenteront "un complément intéressant d'un effort de modernisation de la communication institutionnelle de nombreux secteurs, dont l'administration". Au total, le volet numérique représente donc 800 M€ sur un plan de relance de 26 Md€, soit 3% des dépenses. Christine Balagué, présidente de l'association Renaissance numérique, qui critiquait l'absence d'un volet numérique dans le plan de relance, salue ce premier effort... tout en attendant la suite. "Sur le haut débit, cela n'a rien à voir avec un vrai plan de relance, indique-t-elle. Et sur les usages, nous qui nous battons pour réduire la fracture numérique, nous sommes très déçus." Christine Balagué aurait ainsi aimé voir des mesures en faveur des seniors : "Plus ils sont équipés, moins ils occasionnent des dépenses de santé, et plus ils font appel aux services de proximité." De même, "une filière de reconditionnement, qui coûterait 1 M€, permettrait d'équiper les foyers défavorisés et serait créateur d'emplois non qualifiés, pour des gens en réinsertion sociale". Si elle juge les mesures prises sur le 'serious gaming' et le Web 2.0 intéressantes, Christine Balagué attend donc des mesures visant davantage à réduire la fracture numérique en permettant à davantage de Français de s'équiper et de se connecter à Internet. "Le numérique est un outil anti-crise, souligne-t-elle. Pour essayer de trouver un emploi, pour optimiser ses achats, ou encore pour maintenir un lien social." NB : cet article a été retouché pour donner la somme entière sur trois ans consacrée au volet numérique. (...)

(06/05/2009 15:45:55)

La FTC enquête sur la promiscuité de Google et Apple

La Federal Trade Commission américaine (équivalent de l'Autorité de la régulation de la concurrence en France) se penche sur Google et Apple afin de déterminer si les relations qu'entretiennent les deux sociétés n'enfreignent pas les lois antitrust. Eric Schmidt (PDG de Google) et Arthur Levinson (ancien DG de Genetech, une société spécialisée dans les biotechnologies) possèdent chacun un siège au conseil d'administration des deux sociétés. Et c'est là que le bât blesse selon la FTC, qui s'appuie sur l'article 8 de la loi Clayton de 1914. Peu utilisée, cette loi interdit à une personne d'occuper un poste administratif dans deux sociétés rivales afin de ne pas fausser les relations de concurrence. Or Google et Apple sont tous les deux positionnés sur le marché de la téléphonie mobile et de la navigation sur Internet (Chrome pour Google, Safari pour Apple). Interrogé par le Wall Street Journal, Sanford Litvack, expert judiciaire spécialisé dans les problèmes d'abus de position dominante, a déclaré qu'il espérait que les autorités seraient « agressives pour faire respecter les lois antitrust », et ce en dépit de la récente nomination d'Eric Schmidt en tant que conseiller scientifique et technologique par Barack Obama. En septembre 2008, Sanford Litvack a épluché les termes de l'accord Google/Yahoo pour le compte du DoJ (équivalent américain du ministère de la Justice). Découragé par les conditions imposées par le DoJ à l'issue de cette enquête (dévoiler et faire valider les moindres détails de leur contrat par la justice américaine), Google avait fini par jeter l'éponge. (...)

(06/05/2009 13:07:15)

LinkedIn souffle sa 6e bougie avec 40 millions de membres

LinkedIn fête aujourd'hui ses six ans avec 40 millions de membres dans le monde, contre 22 millions il y a un an (+82%). En Europe, le réseau social professionnel compte 10 millions d'inscrits dont 800 000 dans l'Hexagone, soit 200 000 de plus qu'en novembre 2008, date à laquelle le site a lancé sa version francophone. LinkedIn a encore du mal à trouver un modèle économique viable. Ce dernier repose sur cinq piliers : les abonnements premiums, la publicité, les espaces entreprises (dont Viadeo, son principal concurrent dans l'Hexagone s'est inspiré en décembre 2008), la publication de sondages et d'offres d'emploi. La société n'est est rentable que depuis deux ans et demi. Elle a dégagé un chiffre d'affaires de 100 M$ en 2008, mais refuse désormais de communiquer sur ses revenus. En un an, le nombre de groupes de discussion créés sur LinkedIn est passé de 50 000 à 300 000. Onze applications ont été développées pour le réseau social, comme Slide Share par la société éponyme, Blog Link qui permet de relier le réseau social à son propre blog, développé par SixApart, ou My Travel par Tripit (pour organiser ses voyages d'affaire) ainsi qu'une application pour l'iPhone. Pour comparaison, Facebook compte 200 millions de membres et 52 000 applications, plus publiques que professionnelles il est vrai, mais LinkedIn et ses onze API font pâle figure face à ce concurrent. (...)

(06/05/2009 11:09:23)

SpringSource s'offre Hyperic pour la supervision des applications Java

Springsource ne cache plus ses ambitions dans le domaine du déploiement d'applications Java d'entreprise. Après avoir lancé son dm server et racheté Groovy, l'éditeur Open Source s'est offert les actifs logiciels d'Hyperic, éditeur d'une offre de supervision des performances applicatives. Les deux entreprises se connaissaient bien, Springsource s'appuyant déjà sur l'offre Hyperic pour son Application Management Suite. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé. En revanche, sur son blog, le patron d'Hyperic, Javier Soltero, explique qu'il restera à la tête du développement des outils d'administration, et qu'il continuera de développer l'offre de supervision pour les applications en mode cloud computing, en tant que directeur technique de l'offre produits d'administration de Springsource. (...)

(05/05/2009 17:34:59)

Disney achète 27,3% du capital d'Hulu.com

Disney vient d'acquérir 27,3% du capital d'Hulu.com, la plateforme de diffusion de vidéos appartenant à NBC Universal, News Corp et le fonds d'investissement Providence Equity Partners. Disney disposera de trois sièges au sein du conseil d'administration d'Hulu, soit autant que NBC et News Corp. Financé par la publicité, Hulu diffuse gratuitement des vidéos issues de grands acteurs de l'industrie culturelle, mais, à la différence de YouTube ou de Dailymotion, il ne permet pas aux internautes d'en publier eux-mêmes. Une précaution qui lui permet d'éviter les déboires rencontrés par YouTube (propriété de Google), poursuivi en justice par Viacom, l'un des géants des médias américains, pour violation massive et intentionnelle des droits d'auteur. Lors du lancement de la version bêta d'Hulu, en octobre 2007, ABC et CBS avait refusé de rejoindre NBC et News Corp. En mars 2008, le site proposait une centaine de films ainsi que 250 épisodes de séries comme Buffy et les vampires ou les Simpsons. Les internautes pourront désormais visionner des séries diffusées sur la chaîne de télévision ABC (Lost, Desperate Housewives...), des émissions de téléréalité ainsi que des programmes provenant des archives des studios Walt Disney. En termes d'audience, Hulu est encore très loin derrière YouTube - 2,5% de l'ensemble des vidéos visionnées en ligne contre 40,9% pour la filiale de Google - mais sa fréquentation est en forte hausse (+42% en février 2009 par rapport à l'année précédente). Hulu mise avant tout sur le contenu professionnel et non pas amateur, un peu comme l'avait fait Joost, la plateforme de télévision en ligne lancée par les créateurs de Kazaa et de Skype, mais sans succès. Histoire d'allécher un peu plus les internautes, Hulu a annoncé en septembre dernier qu'il comptait diffuser des vidéos sur le Web avant même qu'elles ne passent à la télévision. (...)

(05/05/2009 17:27:07)

Bruxelles presse Barack Obama de transférer la gouvernance d'Internet à un organisme multilatéral

Dans un message vidéo posté hier, Viviane Reding, Commissaire européenne à la société de l'information, demande au président américain Barack Obama de revoir la gouvernance de l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers). Cette société de droit privé californien sous tutelle du Département américain du commerce gère l'ensemble des domaines de haut niveau et le répertoire principal d'Internet dans le monde. L'accord qui lie l'Icann et le gouvernement américain arrive à échéance le 30 septembre prochain. C'est l'occasion, selon Viviane Reding, pour revenir sur l'extrême proximité entre les Etats-Unis et le régulateur du Web. La Commissaire souhaite désormais que l'Icann devienne totalement privé et soit placé sous l'égide d'un « G-12 pour la gouvernance d'Internet. » Ce groupement compterait deux représentants pour l'Amérique du Nord, autant pour l'Europe et pour l'Afrique, et trois pour la région Asie/Océanie. Viviane Reding voudrait également que le président de l'Icann siège sans droit de vote et que les organismes internationaux compétents disposent d'un statut d'observateur. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >