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(05/05/2009 16:14:08)

Apple prépare ses propres composants pour mobiles

Tout indique qu'Apple travaille sur des processeurs, probablement graphiques. La société, qui a adopté l'architecture x86 pour ses ordinateurs à partir de 2006, s'intéresse de près au développement de composants pour ses autres produits, les iPhone, iPod et leurs successeurs. L'annonce, l'an dernier par Steve Jobs, d'un projet de SoC (System on a chip), le sésame de silicium des équipements électroniques portables, se précise jour après jour. Ce serait pour la société le meilleur moyen de continuer de creuser l'écart avec ses concurrents. Après lui avoir succédé au poste de directeur technique de la division graphique d'AMD, Raja Koduri vient de rejoindre Bob Drebin chez Apple. Il intègre une équipe qui ne cesse de grossir. Sur LinkedIn, le Wall Street Journal a relevé une centaine de profils de spécialistes des semi-conducteurs qui affichent leur appartenance à Apple après avoir quitté des sociétés comme Samsung et Intel. Il y a un an, Apple mettait la main sur PA Semi, un spécialiste de la conception de processeurs basse consommation dérivés de l'architecture PowerPC qui fut créé en 2003 par Dan Dobberpuhl, à l'origine des processeurs ARM. En janvier dernier, Mark Papermaster, transfuge d'IBM spécialiste des processeurs Power, était enfin autorisé par la justice à rejoindre Apple.  (...)

(05/05/2009 16:07:22)

IBM double sa prime pour les clients abandonnant Sun

Si IBM ne peut plus racheter Sun, il montre toujours de l'appétit pour ses clients. La société vient en effet d'annoncer le doublement de sa prime de bienvenue. Désormais, pour tout client migrant d'un serveur à base de processeur Sparc, Sparc64 ou UltraSparc vers une machine à base de Power System, IBM offrira une remise de 8 000 dollars par processeur pour les services de migration de la charge d'un serveur Sun à un serveur IBM comparable. Le possesseur d'un Sun Fire V890 octoprocesseur aurait ainsi droit à 64 000 $ de services. Cette annonce concerne bien sûr les serveurs commercialisés par Sun, mais également les serveurs vendus par Fujistu et basés sur les mêmes puces. Elle intervient alors même qu'IBM vient de lancer de nouveaux serveurs d'entrée et de milieu de gamme, ainsi que ses premiers serveurs lames, basés sur le processeur Power. Depuis son lancement (avec une prime de 1 000 dollars seulement par processeur y compris ceux d'HP, les Itanium, Mips et Alpha), c'est la deuxième hausse portant sur les processeurs de Sun. En novembre dernier, ce système de récompense avait été porté à 4 000 dollars par processeur Sparc. Pour IBM, cette stratégie de la prime à la casse fonctionne. En trois ans, Big Blue affirme avoir déjà aidé 1 640 clients à faire cette transition vers ses produits (venant de tous les autres constructeurs confondus), dont « près de la moitié » venant de Sun. (...)

(05/05/2009 12:46:20)

Des compétences nouvelles pour des SI durables

Les deuxièmes assises du développement de SI durables, qui se sont tenues le 30 avril, ont mis l'accent sur le besoin d'une révolution culturelle à la fois dans les entreprises et dans la formation des jeunes informaticiens. L'événement, organisé par la communauté S-IT-A (Sustainable IT Architecture), et dont LeMondeInformatique.fr était partenaire presse, a reçu le matin deux intervenants rares, Andrew Watson, vice-président et directeur technique de l'OMG (Object Management Group, consortium définissant des standards mondiaux de développement, tels qu'UML), et Bruno Lanvin, directeur exécutif du eLab de l'Insead (la branche recherche en économie numérique de l'école de management). Chacun dans son domaine, les deux hommes ont appelé à voir plus loin que la situation actuelle, afin de bâtir des systèmes d'information et des économies numériques pérennes. « Les dirigeants informatiques se comportent comme si ce qu'ils livrent aujourd'hui était la dernière chose qui sera jamais livrée », a expliqué Andrew Watson, dénonçant une tendance à « mettre tout son capital intellectuel dans le code », qui soit n'est pas durable, soit restera pendant des années, handicapant les évolutions futures. « Même les plateformes SOA changent régulièrement ». Il faut donc capturer et modéliser le savoir dans des outils de type BPM (gestion des processus métier) et des outils de génération de code à partir des modèles (MDA/MDD, architecture et développement guidés par les modèles), et organiser la modularité et l'orchestration avec des outils orientés SOA (Architectures orientées services). Attention à ne pas accentuer le manque en « e-skills » en voulant trop réduire les coûts, prévient l'Insead Mais bâtir des systèmes d'information prévus pour durer, cela passe aussi par la formation et le recrutement de gens capables de concevoir ces SI et de les faire évoluer. Cela peut paraître une évidence, mais comme l'a rappelé Bruno Lanvin, en période de crise, le réflexe typique est de réduire les coûts. Du coup, « on oublie la compétitivité et le fait de s'attacher des talents pour l'avenir ». Or, c'est pendant la crise, dit-il, qu'il faut s'assurer de la sortie de crise, au risque d'être complètement dépassé quand ce moment arrivera. Bruno Lanvin a appuyé son exposé sur deux études récentes de l'eLab corrélant les compétences en matière de nouvelles technologies (« e-skills ») en Europe et la compétitivité économique du Vieux Continent. Si la France apparaît relativement bien placée en matière de formation scientifique, on note une certaine désaffection des jeunes générations pour les métiers de l'ingénierie, surtout chez les jeunes femmes. Constatant que le manque de talents existait déjà avant la crise, Bruno Lanvin a appelé les entreprises présentes à « ne pas laisser s'échapper les talents », et les gouvernements européens à mettre des mécanismes en place pour encourager l'éducation scientifique. Vers une inadéquation entre les compétences, les politiques RH et les besoins des entreprises en matière de développement de SI durables [[page]] La première table ronde de ces Assises a bien mis en évidence l'inadéquation entre les compétences, les politiques de ressources humaines et les besoins des entreprises en matière de développement de systèmes d'information durables. Comme l'a dit Pierre-Frédéric Rouberties, ancien DSI aujourd'hui consultant indépendant et directeur adjoint du Ceisar (Centre d'excellence en architecture d'entreprise de l'Ecole centrale de Paris), « il faut des gens dotés d'une vision globale et architecturale, ce sont des compétences rares ». Seuls les informaticiens ayant passé du temps sur le terrain sont à même de pouvoir appréhender à leur juste mesure les enjeux et les systèmes. Encore faut-il être capable de leur offrir des perspectives d'évolution de carrière sans perdre leurs compétences. Jean-Pierre Latour, responsable des équipes transversales à la Smals (qui met en place le SI santé et social du gouvernement belge), a ainsi insisté sur la nécessité de mettre en place « des possibilités de carrière horizontale, avec des augmentations de salaires ». Ne pas oublier les méthodes de conception et l'architecture dans la formation des ingénieurs informaticiens Mais le plus gros effort à faire est auprès des jeunes générations, ont souligné les participants à la table ronde. Certes, a relativisé Philippe Tassin, consultant indépendant après avoir occupé de nombreux postes de direction informatique dans de grands groupes français, il faut savoir accueillir les jeunes, leurs idées et leurs nouvelles compétences pour éviter que les DSI ne soient par trop has been. Néanmoins, il faut aussi que ces jeunes aient une formation allant au-delà de la technologie, qu'ils aient des notions d'architecture de SI et de modélisation, notamment. Sylvie Servigne, enseignante-chercheuse à l'Insa de Lyon, a ainsi expliqué que l'Institut national des sciences appliquées s'efforce, au-delà de la formation d'informaticiens généralistes, de dispenser des enseignements en méthodes de conception et en urbanisation et architecture. Mais elle le reconnaît elle-même, ces jeunes ne peuvent avoir, à la sortie de l'école, les compétences et la maturité nécessaires pour encadrer des projets de grande envergure. D'où l'intérêt, comme le soulignait Bruno Lanvin, de mettre l'accent sur ces formations pour préparer l'avenir. (...)

(05/05/2009 12:37:37)

'Facebook', requête la plus tapée par les Français sur les moteurs de recherche

Avec 38,3 millions de requêtes dans les moteurs de recherche, 'Facebook' est le mot-clé le plus tapé par les internautes français en mars 2009 selon l'institut de mesure d'audience Médiamétrie. Facebook devance largement 'eBay' (13,8 millions de requêtes), 'Orange' (11,5), 'YouTube'(10,2) et 'Pages Jaunes' (10). Twitter pourrait être la prochaine surprise du classement : si le site de micro-blogging n'apparaît pas encore dans le top 30, il enregistre une belle croissance (158%), avec 65 000 requêtes en un mois. Facebook est par ailleurs le neuvième site le plus consulté en France, avec près de 13,7 visiteurs uniques en mars. Comme les mois précédents, l'indétrônable Google arrive en tête des sites les plus fréquentés, avec 29,36 millions visiteurs uniques, loin devant Windows Live/MSN (21 millions), Orange (19,4 millions), Free (16,7 millions) et Yahoo (15,4 millions). Skyrock, longtemps chouchouté par les Français pour ses Skyblogs, arrive seulement en 24e position. En mars 2009, l'Hexagone comptait plus de 33,9 millions internautes (âgés de plus de 11 ans), soit 63,5% de la population française. A lui seul, Facebook dénombre 13,7 millions de membres sur le territoire, soit un internaute français sur trois, contre 2,2 millions un an plus tôt (+518%) et à peine 106 000 en avril 2007. Dans le monde, le site créé en 2004 par Mark Zuckerberg totalise depuis peu 200 millions de membres. Seul hic au tableau, Facebook n'apparaît pas dans le top 50 des sites qui proposent de la publicité et des services. Preuve que si le réseau social a rencontré son public, il est toujours à la recherche d'un modèle économique qui tienne la route. (...)

(05/05/2009 12:07:32)

Antitrust : Bruxelles auditionnera Microsoft début juin

La Commission européenne entendra les arguments de Microsoft début juin. C'est en effet entre le 3 et le 5 que l'éditeur se présentera devant l'exécutif européen pour avancer ses éléments de défense dans le cadre de la procédure censée faire la lumière sur l'éventuel abus de position dominante tirée de l'inclusion d'Internet Explorer dans Windows. Cette audition ne constitue pas une étape obligée de l'enquête ouverte par Bruxelles mais Microsoft a tenu, lorsqu'il a transmis fin avril par écrit ses premières réponses aux accusations formulées par le régulateur européen de la concurrence, à les étayer oralement. Initiée par une plainte du Norvégien Opera Software, l'affaire vise à corriger l'atteinte à la concurrence et à l'innovation causée par la livraison systématique du navigateur Internet de Microsoft avec ses systèmes d'exploitation. Dans le sillage d'Opera, d'autres grands acteurs de l'IT sont venus se greffer au dossier, dont Google, Mozilla, la Free Software Foundation et le Comité européen pour les systèmes interopérables. De son côté, Microsoft a enregistré le soutien de l'Association for competitive technology, qui fédère, aux côtés d'Oracle et de Verisign, plusieurs PME du secteur technologique. L'ensemble de ces acteurs aura accès à la réponse adressée par Microsoft, à la fin du mois dernier, à Bruxelles ainsi qu'à l'audition programmée début juin. Microsoft joue gros dans cette affaire, la Commission disposant d'un vaste arsenal répressif incluant l'amende (on se souvient par exemple des 899 M€ réclamés en février 2008 par Bruxelles), l'injonction de fournir Windows avec plusieurs navigateurs ou de désactiver Internet Explorer dans l'OS. Cette dernière voie semble recueillir les faveurs de l'éditeur, qui inaugure dans Seven une fonction permettant de supprimer complètement son navigateur. Paradoxalement, dans le même temps, Microsoft a accompagné le lancement d'Internet Explorer 8 d'une mise à jour critique pour Windows - via Windows Update - faisant automatiquement du nouveau produit le navigateur par défaut du poste de travail. (...)

(04/05/2009 17:48:03)

IBM répond à Cisco UCS et HP Matrix avec Dynamic Infrastructure

IBM utilise désormais le nom de "Dynamic Infrastructure" pour présenter l'ensemble de son offre sous un jour cohérent. Le constructeur y intègre la diversité de son offre serveurs, qui s'étend des grands systèmes aux serveurs x64 en passant par les systèmes Unix, ainsi que la richesse de son catalogue stockage et réseau pour se poser en interlocuteur unique auprès de ses clients. Le tout est, bien sûr, accompagné d'une offre de services pour les accompagner dans leurs choix sur le long terme. Dynamic Infrastructure répond ainsi à l'UCS de Cisco et aux Bladesystem Matrix de HP, d'autres tentatives de s'assurer que les clients n'auront pas à chercher ailleurs ce dont ils ont besoin. Parmi la vague d'annonces qui donne corps à Dynamic Infrastructure, on trouve quatre serveurs - deux lames et deux racks - animés par des processeurs Power6+. Au niveau du stockage, IBM propose les baies DS5000 en milieu de gamme, fruit d'un accord OEM avec LSI sur ses Engenio 7900, et toute une palette de logiciels pour optimiser les ressources de stockage. Parmi eux, on notera que l'outil d'optimisation TotalStorage Productivity Center devient Tivoli Storage Productivity Center (TSPC) v4.1. Cet outil supporte, bien sûr, des offres de concurrents tels HDS, NetApp et EMC. Quant aux fonctions de Tivoli Storage Manager 6, elles visent la hiérarchisation du stockage. Côté réseau, IBM a renforcé ses liens avec Brocade en signant un accord OEM pour revendre l'ensemble de son catalogue réseau et rappelé qu'il collaborait aussi avec Juniper. En creux de ces déclarations, on comprend que Cisco, qui vient marcher sur ses plates-bandes avec UCS, n'est plus un passage obligé dans l'offre réseau de Big Blue. (...)

(04/05/2009 17:34:14)

Google ne serait pas le père de la marque Android

Mais qui est le père d'Android ? Peut-être pas Google. C'est en tout cas ce qu'affirme Eric Specht, un entrepreneur de l'Illinois qui a décidé d'attaquer le géant de Mountain View ainsi que l'Open handset alliance (OHA). Cet organisme fédère près d'une cinquantaine de grosses pointures du secteur IT qui soutiennent l'OS de Google (Samsung, Vodafone, Sony Ericsson, Asus, Samasung, LG...). Fondateur d'Android Data (éditeur de solutions de sécurité pour les sites Web), Eric Specht a obtenu des autorités américaines le droit de se servir de la marque en 2002. Il réclame 94 M$ de dommages et intérêts pour contrefaçon ainsi que l'interdiction pour Google de continuer à exploiter ce nom. Selon Eric Specht, la ressemblance des marques pourrait créer une confusion chez les consommateurs. D'ailleurs lui-même affirme avoir cru jusqu'à présent que l'Android de Google était matériel, et non pas logiciel. D'où, probablement, la lenteur de sa réaction. De son côté, Google a lancé son système d'exploitation pour mobile en octobre 2007. Il l'a baptisé Android suite au rachat très discret en juillet 2005d'une start-up éponyme, spécialisée dans le développement de logiciels pour mobiles. Andy Rubin, directeur de la plateforme mobile de Google, était d'ailleurs le PDG de la start-up. En toute logique, Google a voulu déposer ce nom auprès de l'USPTO (US Patent and trademark office) parallèlement à la commercialisation de sa plateforme. Cinq mois plus tard, le bureau des brevets américain a rejeté sa, Android étant déjà attribué. Selon le magazine Forbes, Google n'a toutefois pas l'intention de se laisser faire. Android Data a en effet mis la clé sous la porte en mai 2004, avant d'être recréé quelques mois plus tard. Selon Google, Eric Specht aurait ainsi perdu la paternité de la marque. (...)

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