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(30/04/2009 18:23:22)
Les patrons de l'IT française face à la crise #2: Rafi Haladjian, patron et cofondateur de Violet
Comment les entreprises IT françaises réagissent-elles face à la crise qui frappe l'économie ? Cette question, LeMondeInformatique.fr a décidé de la poser directement à leurs dirigeants, chaque vendredi, dans des entretiens vidéo. Les patrons de l'informatique hexagonale raconteront ainsi comment leurs sociétés vivent cette période difficile, comment elles font évoluer leur politique de ressources humaines en conséquence et enfin, comment elles utilisent les mesures mises en place par le gouvernement pour faire face. En contrepoint aux annonces de licenciements et de crises en série, LeMondeInformatique.fr essaie ainsi de vous offrir une bouffée d'optimisme. Après Viviane Ribero, présidente de Lefebvre Software, c'est au tour de Rafi Haladjian, patron et cofondateur de Violet, fabricant du célèbre lapin connecté Nabaztag, de partager ses idées sur la situation économique de 2009. Pour ce créateur d'entreprises en série (Francenet, Ozone, Violet), les temps sont durs, bien sûr, mais les bonnes idées doivent percer obligatoirement. Reste la difficulté de se développer à la fois sur son marché domestique, et de percer à l’international, quand on est un petit acteur français sur un marché innovant, sans vraiment de concurrent. La vidéo de l'entretien avec Rafi Haladjian, patron et cofondateur de Violet (7mn22). (...)
(30/04/2009 17:23:26)Le marché du test va croître de 10% par an jusqu'en 2012, selon PAC
Le marché du test applicatif a progressé de 17% en France en 2008, pour atteindre 600 millions d'euros en 2008, selon l'évaluation du cabinet d'études Pierre Audoin Consultants. D'ici à 2012, les perspectives de croissance du secteur sont en outre estimées à 10% par an. La progression sera tirée par les activités liées à l'externalisation, pour lesquelles PAC prévoit une hausse de 24% en 2009 (+30% en 2008). « Ce marché englobe l'ensemble de la sous-traitance en services effectuée autour du testing et de la qualification du système d'information [QSI] », explique Arnold Aumasson, senior consultant pour PAC France et auteur de l'étude. Cela comprend le conseil, l'intégration et la réalisation [assistance technique, forfait], ainsi que l'externalisation qui inclut la tierce recette applicative. Tests de charge et de performance, tests de non régression et fonctionnels Les services couvrent trois catégories de tests, rappelle Arnold Aumasson. D'abord, les tests de charge et de performance qui permettent de vérifier « que le système supporte une activité intense sur une longue période, sans dégradations des performances et des ressources applicatives ». Ensuite, les tests de non régression destinés à « vérifier que la nouvelle version d'un logiciel fonctionne de la même manière que la version précédente et que les évolutions n'amènent pas de mauvais fonctionnement ». Enfin, les services fournis comprennent aussi les tests fonctionnels qui servent à vérifier la conformité aux spécifications fonctionnelles et aux besoins des utilisateurs. « Certains types de tests restent exclus du périmètre car ils sont liés au développement, précise l'analyste de PAC. C'est le cas des tests unitaires et d'assemblage qui restent du ressort de l'équipe de développement et ne peuvent pas être confiés à une équipe tierce. » Le test est devenu une filière à part entière [[page]] Selon Arnold Aumasson, la démarche de test est de plus en plus indépendante du processus de développement d'applications et le marché est en complète structuration. Il y a quelques années, le test était la variable d'ajustement du développement. Mais avec la criticité croissante des systèmes d'information, la donne a changé. « En cas de dysfonctionnement, l'entreprise sait qu'une interruption du système d'information peut lui être préjudiciable tant en termes de gestion, que de relation client et d'image, rappelle l'analyste. Le test permet de limiter ces impacts. Les entreprises se sont donc structurées pour faire du test une filière à part entière au sein de laquelle on propose maintenant des plans de carrière. C'est devenu un métier. » Dans cette perspective, il entrevoit donc un réservoir de croissance énorme dans ce secteur. « De plus en plus souvent, pour des questions de pilotage des ressources, ou bien en dehors des périodes de développement, l'entreprise sous-traite les tests à des acteurs qui ont élaboré des méthodologies sur lesquelles ils ont capitalisées. A fortiori maintenant que l'activité est mieux comprise. » D'un point vue sectoriel, l'étude constate que les secteurs bancaire et télécoms représentent à eux deux la moitié du marché. Les banques, par ailleurs « au ralenti dans leurs investissements IT devraient afficher des dépenses en hausse de 9% par an en moyenne entre 2008 et 2012 », prévoit l'analyste de PAC. Des offres packagées, du conseil à l'externalisation [[page]] Pour répondre à la demande, les SSII ont élaboré des offres packagées qui démarrent en amont avec le conseil et vont jusqu'à l'accompagnement des entreprises dans l'externalisation de l'activité en France ou vers des pays à bas coût, décrit l'étude de PAC. Des prestataires de services plutôt bien perçus par leurs clients. Sur 300 responsables informatiques interrogés en début d'année par PAC, 87% se sont déclarés satisfaits de leurs fournisseurs. Parmi les principaux représentants du marché figurent des acteurs comme Cap Gemini, Atos, Sopra, Logica ou Steria. Il s'agit toutefois d'un secteur disparate sur lequel on trouve plusieurs catégories d'intervenants, précise l'analyste de PAC. En dehors des acteurs qu'il qualifie de généralistes, il distingue des « industriels » qui ont « des capacités de centres de services en France et qui peuvent donc proposer des coûts agressifs à des clients matures ». Parallèlement, il existe aussi des spécialistes qui se positionnent plutôt en amont du projet. « On est alors plus proche des métiers du conseil, avec des clients moins matures ». Il cite des sociétés telles que Map (division d'Altran), Optium, Oresys ou Acial, notamment. Enfin, on voit aussi une nouvelle catégorie de spécialistes à bas coûts : « Typiquement, les SSII indiennes qui souhaitent entrer sur le marché français », complète Arnold Aumasson. (...)
(30/04/2009 16:32:04)Yahoo rencontre les développeurs en France
Pour la troisième année consécutive, Yahoo a rencontré hier soir une soixantaine de développeurs français. Les dernières évolutions de la plateforme YDN (Yahoo Developper Network) leur ont été présentées par Christian Heilmann, « évangéliste » sur les questions de développement, et Sophie Major, responsable du réseau international de développement. Cette plateforme a été en partie réalisée grâce à leur contribution. YDN existe en effet depuis la première et timide ouverture de l'API de Yahoo aux développeurs, en mars 2005. Depuis, Yahoo a pris de l'assurance et s'est engouffré dans cette brèche, conscient que les idées des développeurs ne pouvaient qu'être profitables aux utilisateurs et au portail. En juillet dernier, Yahoo a fait un pas de plus en lançant Boss (Build your own search service) qui permet aux développeurs d'utiliser les algorithmes du moteur de recherche de Yahoo pour créer leur propre moteur et le personnaliser avant de l'intégrer à un site ou un blog. Ce service est gratuit tant que le nombre de requêtes ne dépasse pas les 10 000 par jour. Au-delà, Yahoo touche un dividende dont le montant n'est pas communiqué. FlickR, deuxième API la plus utilisée au monde Lors de son discours, Christian Heilmann s'est attardé sur les API les plus populaires (parmi les 35 qui ont été créées), comme FlickR, deuxième API la plus utilisée au monde, selon Yahoo (la Maison Blanche a d'ailleurs ouvert hier son compte FlickR), mais aussi Yahoo User Interface (une librairie de recensement des API du développeur), Pipes (service d'agrégation de flux, un peu comme Netvibes mais plus complexe car destiné aux développeurs) et YQL (un langage développé par Yahoo). A propos de l'arrivée de Carol Bartz à la tête de Yahoo, Christian Heilmann et Sophie Major ont salué sa politique d'ouverture vers les autres sites. « Carol veut permettre à nos utilisateurs d'intégrer nos API sur leurs sites préférés ou leurs blogs, ou d'en importer d'autres sur Yahoo ». Mais dès qu'il s'agit de parler d'un éventuel partenariat avec Microsoft autour de la recherche en ligne, le mutisme est de rigueur. « Toutes ces discussions se déroulent au niveau de la direction. S'il se passe quelque chose, nous le saurons en même temps que vous ! », a plaisanté commenté Sophie Major. (...)
(30/04/2009 15:49:10)Laval Virtual 2009 : des interfaces homme-machine 3D pour les années 2010 (vidéos)
La caméra du MondeInformatique.fr s'est promenée dans les allées de Laval Virtual et a croisé les projets de réalité virtuelle un peu fous d'étudiants venus du monde entier (voir la vidéo). Mais elle a aussi rencontré un incroyable robot du MIT (voir la vidéo). Nexi est un modèle dit MDS pour Mobile, Dexterous, Social (mobile, habile, social). Mikey Siegel, un des ingénieurs du Media Lab du MIT qui travaille sur Nexi a répondu à nos questions pour lever le voile sur cette intelligence artificielle aux yeux bleus. A l'occasion de ces 11e rencontres internationales de la réalité virtuelle, de nouvelles interfaces homme-machine ont aussi fait le bonheur des visiteurs (voir la vidéo). Ainsi, le Cubtile d'Immersion reproduit la technologie de la table tactile multipoint sur un cube. Personal Space Technologies réinvente de son côté la souris dans le monde de la 3D. Laval Virtual a aussi accueilli des projecteurs full HD calibrés en quelques minutes, une imprimante 3D ou encore une main robotisée qui imite celle de l'homme pour travailler en environnement hostile. - La vidéo du robot Nexi du MIT - La vidéo des applications professionnelles de réalité virtuelle sur Laval Virtual (...)
(30/04/2009 13:14:20)Trimestriels STMicro : 541 M$ de pertes et un chiffre d'affaires en baisse de 33%
L'activité de STMicroelectronics s'effondre au premier trimestre 2009 avec une baisse de 33% du chiffre d'affaires, à 1,6 Md$, et une perte nette de 541 M$. Mais les résultats sont « conformes au plan » de sa direction. Tous les secteurs clients du fabricant de composants électroniques, né de la fusion en 1987 du Français Thomson Semiconducteurs et de l'Italien SGS Microelettronica, sont en baisse : -47% sur l'automobile, -42% sur l'informatique, -41% sur l'industrie, -34% sur le grand public et -9% sur les télécoms. Les sites de production qui restent ne tournent qu'à 50% de leur capacité, d'où une chute de la marge brute. Déjà passée de 36,3% à 26,3%, celle-ci devrait rester à des niveaux similaires pour le trimestre en cours. La société annonce avoir déjà licencié 3 200 personnes sur les 4 500 départs prévus sur 2009. (...)
(30/04/2009 13:12:51)Bruxelles créé un consortium avec PAC pour promouvoir le logiciel en Europe
Parmi treize candidats, c'est Pierre Audoin Consultants que la Commission européenne a sélectionné pour diriger un consortium de promotion du logiciel et des services en Europe. Montant du contrat : 424 600 € sur quinze mois. Cette entité compte trois autres acteurs dont l'Idate (France), l'Institut Fraunhofer ISI (le CNRS allemand) et London Economics (Grande-Bretagne). Elle travaillera de concert avec la direction INFSO (Information society and media) de la Commission européenne afin de déterminer quel était l'impact économique et social de l'industrie et des services en Europe. « Jusqu'à présent, Bruxelles s'est essentiellement penché sur les problématiques liées aux télécoms, car il s'agit d'une industrie plus importante en termes de chiffre d'affaires et de salariés », déplore Frédéric Giron, directeur des études chez PAC. Mais Viviane Reding, Commissaire à la société de l'information, s'intéresse désormais au monde du logiciel car son impact est important en termes d'usage. Les dernières analyses concernant le marché des logiciels sont par ailleurs plutôt pessimistes. Une étude publiée par PAC en mars dernier prévoyait en effet un net ralentissement de la croissance du secteur pour 2009 : de 5 % en 2008 (210 Md€) elle devrait passer à 1%, voire 0% cette année. Le consortium espère ramener ce chiffre à 3% dans les cinq années à venir. Consciente de l'enjeu, Viviane Reding a commencé par étudier une série de recommandations rédigées par le Syntec Informatique en novembre 2008. Elle a également rencontré différents acteurs du monde du logiciel (éditeurs, SSII, syndicats...) La création d'un consortium s'est alors imposée, et Bruxelles a lancé un appel d'offres, remporté par PAC. Ce groupement sera chargé d'établir une cartographie des acteurs européens et de définir un ensemble de réglementations et de scénarios pour encourager la croissance de l'industrie logiciel européenne. « Un premier rapport sera remis à Viviane Reding en juin prochain, et les résultats de ce projet, qui durera environ quinze mois, seront présentés à la Commission européenne lors d'un atelier en juin 2010 », explique Frédéric Giron. Une soixantaine d'échanges individuels sont prévus avec quatre types d'acteurs clés du logiciel : les éditeurs (vente de licence et maintenance, y compris dans le domaine des jeux vidéos), les sociétés de services associées (SSII), les nouveaux services (SaaS, externalisation, cloud, machine-to-machine) et les sites de publicité en ligne (comme Google). Les associations professionnelles du secteur, les pouvoirs publics, les acteurs du capital-risque ainsi que les utilisateurs finaux prendront également part à ces entretiens. Enfin, le consortium a décidé de s'attaquer à tout ce qui pouvait entraver le développement de ce secteur en Europe : faciliter les financements, encourager la R&D et évangéliser les PME sur les gains qu'elles peuvent réaliser en étant correctement équipées. (...)
(30/04/2009 12:39:19)Hadopi : reprise des débats dans une ambiance électrique à l'Assemblée nationale
Les débats ont repris, à l'Assemblée nationale, sur le projet de loi Création et Internet après la gifle du 9 avril et le rejet surprise du compromis élaboré par la commission mixte paritaire. Si les députés ont dû attendre 1 heure du matin, cette nuit, pour voir la séance enfin levée, ils n'auront cependant guère avancé sur le fond du dossier, englués dans d'interminables batailles procédurales et autres rappels au règlement. Les travaux ont néanmoins permis de confirmer, comme l'avaient déjà indiqué les amendements adoptés en début de semaine par la commission des lois, que la majorité présidentielle n'entend faire preuve d'aucun assouplissement du texte et suivra une ligne dure jusqu'au vote final. Pour s'assurer que cette volonté sera suivie de faits, les députés de la majorité ont répondu massivement à l'appel lancé par leur président de groupe, Jean-François Copé : c'était donc un hémicycle bien garni qui débattait hier, jusque tard dans la nuit. Climat électrique, des députés de la majorité muselés Les députés de l'opposition étaient également fortement mobilisés pour combattre le projet de loi, et ont copieusement hué et invectivé la ministre de la Culture, Christine Albanel quand elle a souligné l'impérieuse nécessité d'adopter son texte afin de répondre à « la gravité de la situation pour nos industries culturelles, pour nos créateurs, pour des centaines de milliers de salariés et pour les entreprises du secteur culturel ». La ministre a également répété que le texte débattu est « moderne » et que l'accès à Internet ne constitue pas un droit fondamental. Certains élus de la majorité auraient pu porter une voix différente car tous ne suivent pas comme un seul homme la ligne officielle. Mais il semble que les caciques de l'UMP n'aient pas souhaité que des sons de cloches trop dissonants se fassent entendre. Lionel Tardy explique ainsi sur son blog que sa demande d'intervention, déposée la semaine dernière auprès du groupe UMP, n'a pas été retenue. « Je me suis donc fait suspendre, sans avertissement... ma connexion au micro de la tribune de l'Assemblée. Un avant goût de la loi Hadopi ? » (...)
(30/04/2009 12:35:37)Google veut lutter contre la grippe mexicaine
Google veut être partout, sur tous les fronts, et ne rechignerait pas à sauver l'humanité. Le géant du Web entend ainsi prendre part à la lutte contre la grippe mexicaine en tentant de pister la progression du virus. Pour cela, il se base sur son outil Flu Trends, inauguré en novembre 2008, qui évalue la propagation de la grippe saisonnière à partir des recherches d'informations sur la maladie effectuées par les internautes dans le moteur de recherche. Ce dispositif devrait « détecter les foyers de grippe plus tôt que tout autre système car il estime l'activité grippale presque en temps réel », explique Jeremy Ginsberg, l'un des développeurs du projet Google Flu Trends. Appliqué à la grippe mexicaine, l'outil pourrait, selon ses concepteurs, proposer des statistiques qui font encore défaut en raison du manque d'informations distillées par le Mexique. Baptisé Experimental Flu Trends for Mexico, le dispositif est, comme son nom l'indique, encore en phase de test. « Nous aurions préféré valider nos données et améliorer la précision de l'outil, indique Jeremy Ginsberg, mais nous avons décidé d'en mettre en ligne une première version pour aider les services de santé et les personnes concernées à avoir une représentation mise à jour de la progression de la maladie ». (...)
(30/04/2009 12:08:57)Gestion logistique : i2 Technologies accuse Oracle de violation de brevets
Une procédure judiciaire vient d'être intentée pour violation de brevets contre Oracle par le Texan i2 Technologies, éditeur de logiciels de gestion de la chaîne logistique (SCM, supply chain management). Onze brevets seraient concernés, déposés par l'éditeur texan entre juillet 1999 et mai 2008. i2 Technologies attend de son action une décision de justice qui bloque l'utilisation de ces brevets, mais il vise aussi le paiement de royalties et le versement de dommages et intérêts. L'éditeur rappelle que plus de 150 de ses logiciels de SCM sont protégées par des brevets. Oracle édite plusieurs gammes de solutions de SCM, mais les informations communiquées dans la plainte rédigée par i2 Technologies ne détaillent pas quels logiciels mettent en oeuvre indûment les onze brevets en question. Dans le document, le plaignant se borne à préciser les processus couverts par ses brevets. Il s'agit par exemple de fonctions de coordination de la planification, ou encore de méthodes permettant de dispatcher des produits manufacturés entre des distributeurs. En juillet dernier, l'éditeur allemand SAP, numéro 1 sur le marché des solutions de gestion de la chaîne logistique en 2007, selon Gartner, a accepté de payer 83,3 M$ à i2 Technologies pour clore un procès en violation de brevets. Les estimations de Gartner placent Oracle en 2e position sur ce marché SCM, suivi de JDA Software. Courant 2008, i2 avait fait l'objet d'une offre de rachat par JDA Software, opération qui n'a finalement pas abouti. En décembre, JDA a annoncé qu'il renonçait à son rachat en raison de la situation économique défavorable.
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HP intègre Insight Control à Microsoft System Center
HP annonce l'intégration de ses outils d'administration systèmes Insight Control dans la suite d'administration System Center de Microsoft. Insight Control comprend plusieurs outils de supervision pour les serveurs Proliant et les lames BladeSystem du constructeur. A compter de juin prochain, ils seront accessibles à partir de la console de Microsoft System Center. Les deux géants précisent qu'ils comptent accroître l'intégration entre leurs outils suivant une feuille de route qui s'étend jusqu'à l'an prochain. Rappelons qu'HP vient de lever le voile sur la suite d'administration BladeSystem Matrix qui englobe l'administration de ses serveurs lames et des éléments réseau et stockage qui s'y rattachent. (...)
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