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(23/04/2009 17:10:28)

Microsoft enrichit Windows Live de vingt nouvelles applications

Microsoft étoffe sa plateforme Windows Live, déjà relookée en novembre dernier, avec l'ajout de vingt applications développées par des éditeurs indépendants. Windows Live en comporte désormais une bonne trentaine. Après une simple mise à jour, Windows Live Messenger apparaît par exemple dans le Webmail et l'internaute peut connaître le statut de ses contacts sans avoir besoin d'ouvrir Messenger. Le géant de Redmond a également multiplié les partenariats pour améliorer sa plateforme et la rendre la plus communicante possible (Wordpress, Overblog, Viadeo, Copainsdavant...). D'après les analystes, l'enrichissement de Windows Live est une manière pour Microsoft de la rendre plus attractive et surtout de retenir ses utilisateurs qui commencent à se servir des outils de communication (messagerie instantanée, courrier électronique) d'autres sites, comme l'incontournable Facebook. D'ailleurs Microsoft ne désespère toujours pas de concurrencer Facebook. Un pari qui semble pourtant difficile à tenir. Le réseau social de Mark Zuckerberg est désormaisle plus utilisé en France et il caracole en tête des sites communautaires avec 200 millions de membres dans le monde. Une enquête réalisée par l'institut de rechercher Clickstream Technologies révèle par ailleurs que l'utilisation de Facebook est passée de 16 à 32% entre juillet 2008 et février 2009 alors que celle de Windows Live stagne. (...)

(23/04/2009 17:02:18)

DB2 9.7 d'IBM est compatible avec Oracle via EnterpriseDB

S'il ne fallait retenir qu'une amélioration dans la liste de celles qu'apporte la version 9.7 (Cobra) à la base de données DB2 d'IBM, c'est la compatibilité avec celle d'Oracle. IBM a signé un accord avec EnterpriseDB, éditeur du SGBD libre Postgres compatible Oracle. L'intégration de Postgres dans DB2 permet à IBM d'affirmer que son logiciel dispense les entreprises où il cohabite avec Oracle d'avoir à maintenir deux SGBD. Avec cette mise à jour, IBM facilite la migration vers DB2 des applications développées avec d'autres bases. Big Blue souligne que DB2 9.7 gère désormais nativement les données au format XML, ce qui améliore nettement ses performances et qu'il progresse au niveau de la gestion de l'espace de stockage. DB2 9.7 arrivera en juin accompagné d'Infosphere Warehouse 9.7, son outil de datamining. En 2007, sur un marché mondial des SGBD en hausse de 12,6% à 18,8 Md$, les estimations d'IDC donnait à Oracle, en hausse de 13,3%, une part de 44,3%. IBM, numéro deux, avait aussi progressé plus vite que le marché (+13,3%), mais n'obtenait que 21% de part du marché. Il était talonné par Microsoft, en hausse 14%, avec une part de marché de 18,5%. Les estimations pour l'année 2008 ne sont pas encore disponibles.

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(23/04/2009 16:42:05)

Grenelle des antennes : la transparence des débats clamée par l'Etat ne convainc pas les associations

Il y avait foule, ce midi, au ministère de la Santé, pour la présentation de la table ronde « Radiofréquences, santé et environnement », renommée officieusement Grenelle des antennes. Soucieux de montrer son implication, le gouvernement y était représenté par trois de ses membres : Roselyne Bachelot, Nathalie Kosciusko-Morizet et Chantal Jouanno, respectivement ministre de la Santé, secrétaire d'Etat à l'Economie numérique et secrétaire d'Etat à l'Ecologie. Si le but de l'événement est louable - établir le degré de nocivité des ondes radio, concilier l'usage de masse des technologies exploitant ces ondes et l'absence de risque sanitaire - les fruits de cette première table ronde sont plutôt maigres, en dépit de la satisfaction affichée par les trois ministres. Aucune mesure concrète n'a en effet émergé de cette rencontre mélangeant élus, organismes publics, industriels et associations, sinon la promesse de trois ateliers organisés au cours du mois de mai, censés faire le tour des nombreuses questions relatives aux radiofréquences, et suivis par une réunion de conclusion le 25 mai. Certes, si le besoin s'en faisait sentir, les trois représentantes du gouvernement assurent que d'autres rencontres complèteront cet arsenal, comme l'auraient d'ores et déjà réclamé plusieurs participants à la table ronde d'aujourd'hui. « L'Etat prendra ses responsabilités » C'est d'ailleurs aux participants de ces réunions qu'il reviendra d'avancer des propositions : « C'est aux acteurs de nous dire les niveaux d'équipement ou de sécurité qu'ils souhaitent », a ainsi indiqué Chantal Jouanno. En face, « l'Etat prendra ses responsabilités », à l'issue d'un « débat transparent » mené dans un « esprit d'ouverture ». Officiellement donc, les pouvoirs publics partent du postulat « qu'aucune certitude ne doit être considérée comme définitivement acquise », comme l'a rappelé Roselyne Bachelot. Néanmoins, la lettre de mission adressée à cette dernière par le Premier ministre semble indiquer que l'accent doit porter davantage sur les risques - supposés ou réels - induits par les téléphones mobiles que ceux nés des antennes-relais. « L'hypothèse d'un risque pour la santé pour les populations vivant à proximité des antennes-relais de téléphonie mobile ne peut être retenue », écrit François Fillon. Le message paraît avoir été correctement reçu par la ministre de la Santé, qui a multiplié les rappels à des mesures de bon sens concernant le bon usage des mobiles : pas d'utilisation par les jeunes enfants, pas de conversation dans un train, ni dans une voiture, même en tant que passager. Si Chantal Jouanno s'est aventurée à évoquer un éventuel moratoire sur l'implantation d'antennes-relais en attendant la remise du prochain rapport de l'Afsset (Agence française de sécurité sanitaire, de l'environnement et du travail) en septembre, elle a rapidement souligné que cette proposition était celle des associations et qu'une telle décision devait relever d'une concertation interministérielle. « Un discours de la méthode », selon les associations [[page]] Sur les trottoirs bordant le ministère, les représentants de quelques associations montraient un visage moins souriant que le triumvirat ministériel. « On s'est retrouvé avec trois ministres pour parler de la forme du débat. On en est resté aux balbutiements », a ainsi déploré Stephen Kerckhove, le délégué général d'Agir pour l'environnement. La perspective de répondre aux innombrables problèmes soulevés par les ondes radio en seulement trois réunions le laisse dubitatif : « On mélange vitesse et précipitation. L'aboutissement des travaux dès le mois de mai est irréaliste : on en est encore au discours de la méthode. Les associations ont demandé un abaissement du seuil [d'exposition des ondes] à 0,6 v/m mais ça s'est perdu dans les limbes. On parle et on nous répond sur la méthode. » Même scepticisme en ce qui concerne la nature des participants à la table ronde : « Les médecins, les assureurs, les experts étaient absents, on espère qu'ils seront associés à l'avenir. » Nathalie Kosciusko-Morizet se montre pragmatique sur cette question en affirmant que « toutes les associations spécialisées ont été invitées [et que] toutes celles qui ne l'ont pas été le sont sans problème ». Pour Janine Le Calvez, la présidente de l'association Priartem (Pour une réglementation des antennes-relais de téléphonie mobile), le débat ne démarre « pas sur les bases qu'on aurait souhaitées. Nous avons fait preuve d'esprit d'ouverture, je ne suis pas sûre que ce soit le cas de l'Afom (Association française des opérateurs mobiles), qui veut que la ministre de la Santé clame que les normes actuelles sont les bonnes. » Qu'il s'agisse d'Agir pour l'environnement ou de Priartem, les opérateurs sont clairement désignés comme les principaux obstacles à toute évolution de la réglementation. « Ils répètent toujours la même chose, renchérit Stephen Kerckhove : on veut bien discuter si on ne change pas les choses ». Et Janine Le Calvez de dénoncer le contenu du CD Rom distribué aux participants de la table ronde : « Parmi les décrets et autres textes censés être officiels, on trouvait plusieurs documents de l'Afom et rien qui n'émanait des associations. » Surtout, la présidente de Priartem s'emporte contre les « positions clairement orientées » des ministres, qui tendent à minimiser a priori les risques induits par les antennes-relais pour se concentrer sur les dangers des téléphones. Une erreur à corriger rapidement, au risque de voir Priartem se retirer des débats. (...)

(23/04/2009 16:04:54)

Trimestriels IBM : le chiffre d'affaires baisse mais la rentabilité progresse

Les résultats, en baisse, du premier trimestre d'IBM ont été quelque peu éclipsés par l'annonce du rachat de Sun par Oracle, ce dernier renforçant ainsi sa concurrence directe avec Big Blue. Deux semaines plus tôt, Sun aurait refusé une offre d'acquisition d'IBM jugée trop basse. Sans confirmer cette rumeur, Mark Loughridge, directeur financier d'IBM, a indiqué disposer d'une trésorerie suffisante (12,3 Md$) pour toute opportunité d'acquisition significative qui pourrait se présenter. Le fournisseur cherche à réaliser des investissements susceptibles d'enrichir ses solutions destinées au cloud computing, notamment. Sur les trois premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires d'IBM recule de 11%, à 21,7 Md$, et son bénéfice net de 1%, à 2,3 Md$, par rapport au premier trimestre 2008. Toutefois, le bénéfice par action progresse de 4% à 1,70 dollar, soit légèrement au-dessus de ce qu'avaient prévu les analystes (1,66 dollar). Et la marge brute augmente de 1,9 point à 43,4%, grâce à une rentabilité améliorée obtenue sur les services et les logiciels. Malgré les revenus en baisse, des prévisions de profits inchangées pour 2009 Toutes les divisions d'IBM accusent une baisse de revenus sur le trimestre écoulé, en grande partie causée par la variation de taux de change, souligne IBM. L'activité Services voit son chiffre d'affaires diminuer de 10% (seulement 2% après correction des taux de change), réparti entre Global Technology Services (8,8 Md$) et Global Business Services (4,4 Md$). L'activité Logiciels a décru de 6% (+2% après ajustement des taux de change), à 4,5 Md$. Les revenus issus des solutions middleware (WebSphere, Information Management, Tivoli, Lotus, Rational) baissent de 5% (+4% après correction des taux de change) à 3,6 Md$. Quant au chiffre d'affaires de la division Systems & Technology, il baisse de 23% sur le trimestre, à 3,2 Md$. Enfin, l'activité de financement, Global Financing, enregistre une diminution de 9%, à 578 M$. En dépit de ces résultats mitigés, Big Blue maintient ses estimations de profits sur l'année 2009, établis à 9,20 $ par action, et déclare être en avance sur ses objectifs à plus long terme, à savoir dépasser les 10 à 11 dollars par action pour l'année suivante. Si Mark Loughridge, le directeur financier, se déclare confiant sur ce point, c'est en raison des mesures engagées par IBM en 2008 pour améliorer sa productivité et réduire ses dépenses. Ces efforts ont commencé à payer. « Une grande partie de nos restructurations a été conduite avant la fin de l'année, notamment aux Etats-Unis, mais les améliorations que nous allons en retirer sont encore devant nous », a-t-il déclaré. (...)

(23/04/2009 15:28:41)

Trimestriels VMware : la croissance est stoppée par la crise

L'activité de VMware a plus marqué le pas qu'attendu au cours du premier trimestre de son exercice fiscal 2009. L'éditeur tablait sur un chiffre d'affaires en hausse de 8% par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent. Elle n'a été que de 7,3% à 470 M$. Toutefois, il améliore nettement sa rentabilité opérationnelle avec un résultat opérationnel en hausse de 79% à 87 M$. Les ventes de nouvelles licences ont baissé de 12% à 257 M$ tandis que le chiffre d'affaires de la maintenance a augmenté de 56%. Cette activité représente désormais 37% du CA total. Rattrapé par la crise (le trimestre précédent était encore en hausse de 25%), VMware souffre plus à l'international qu'aux Etats-Unis. L'international a progressé désormais moins vite (+ 6% à 226 M$) que les Etats-Unis (+ 8% à 244 M$), alors que c'était l'inverse auparavant. VMware ne prévoit pas d'embellie au cours du trimestre en cours. Au contraire. Il table sur un CA étale par rapport à l'an dernier, voire sur une légère baisse. (...)

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