Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 11321 à 11330.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(21/04/2009 09:57:41)
Oracle-Sun, et HP en troisième larron ?
Alors que tout le monde spéculait sur l'éventuel rachat de Sun par IBM, des rumeurs avaient circulé sur un tandem Oracle-HP pour s'offrir Sun et le démanteler. Sachant qu'Oracle n'a aucune expertise dans la conception et la vente de matériels, l'hypothèse revient bien sûr sur le devant de la scène, après le rachat annoncé de Sun par Oracle. Pour Henry Peyret, analyste chez Forrester, Oracle pourrait éventuellement avoir un intérêt à conserver la technologie de datacenters packagés sous forme de containers, mais c'est tout. Andy Butler, de Gartner, estime lui aussi que si Oracle a envie d'être présent dans le matériel, il y a des chances qu'il cherche à se débarrasser d'une partie du catalogue de Sun. HP serait-il l'acquéreur, dans ce cas ? Notre envoyée spéciale à Berlin, à la conférence Technology@Work de HP, a posé la question. HP n'a pas souhaité apporté de commentaires, expliquant qu'il était « encore trop tôt » pour se prononcer.
Téléchargez gratuitement la documentation relative aux solutions Oracles |
|
|
Les fondateurs de The Pirate Bay condamnés, et après ?
La condamnation des quatre confondateurs de The Pirate Bay a été saluée comme une victoire par l'ensemble des ayants droit engagés dans la lutte antipiratage. Au-delà du symbole, elle ne changera pourtant pas grand-chose à l'échange de fichiers illégaux sur le Web. Tout d'abord, parce que trois jours après la condamnation, le site est toujours bien actif. Les serveurs ont déjà été en partie déplacés aux Pays-Bas, donc hors d'atteinte de la justice suédoise. Il faudrait une décision de la Cour européenne de justice pour obtenir leur fermeture, et d'ici là, rien n'empêche de les transporter à l'autre bout de la planète. De plus, les quatre condamnés ont déjà annoncé qu'ils n'ont pas les moyens de payer les dommages et intérêts de plus de 31 millions de couronnes suédoises (soit environ 2,80 millions d'euros) qui leur sont demandés, et comptent bien au contraire interjeter appel. D'autre part, comme la fin de Napster n'a pas signifié la fin du téléchargement de musique en ligne, la fin éventuelle de The Pirate Bay ne marquera pas la fin de l'échange de fichiers en peer-to-peer. D'autres sites moins connus, comme isoHunt ou Demonoid, prendront juste le relais. Pour Ben Edelman, professeur à l'Harvard Business Course et spécialiste de la régulation sur Internet, les moteurs de recherche traditionnels - tels Google, Live Search ou Yahoo - pourraient aussi les remplacer : il suffit d'ajouter « torrent » au nom du produit (film, musique, logiciel) recherché pour obtenir toutes les sources que l'on souhaite. À moins que d'ici là, le streaming, plus discret, et la possibilité de télécharger les vidéos en cours de lecture n'aient mis définitivement le vieux système du peer-to-peer aux oubliettes. Mentionnons enfin l'augmentation des offres de téléchargement sur des réseaux privés virtuels (tels que iPredator, lancé par... The Pirate Bay), le recours à la cryptographie rendant caducs les dispositifs prévus par la loi Création et Internet, dans la mesure où les FAI ne pourront identifier la nature des paquets de données transitant sur leurs réseaux. (...)
(20/04/2009 17:57:56)Le marché de la « gestion des talents » porteur malgré la crise
La « gestion des talents » couvre aussi bien celle des « compétences » au sens propre (celui de la GPEC, gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) que l'évaluation, la formation, la fidélisation et la motivation du personnel, le recrutement, les campagnes de promotion pour susciter des candidatures, etc. Le champ est donc large mais, selon une étude du cabinet Markess, encore peu couvert par des solutions informatiques adéquates et le marché est donc susceptible d'une forte croissance. Ainsi, seules 28% des organisations possèdent déjà une solution informatique et 21% sont en train de s'équiper, 11% le prévoyant d'ici 2011. Malgré la crise, 36% des répondants à l'enquête de Markess International estiment que le budget consacré aux outils informatiques de gestion des talents va croître (dont 6% pour qui la croissance sera supérieure à 20%). 43% estiment que le budget va stagner et seuls 21% qu'il va baisser. Selon Markess, le marché des logiciels et services de gestion des talents sera donc en 2011 de 270 millions d'euros, soit 10% du marché des solutions informatiques de gestion des Ressources Humaines. D'abord retenir les talents internes Le premier objectif d'une gestion des talents est, pour 45% des répondants, de retenir les talents déjà en possession de l'organisation en les fidélisant, en les motivant, en réduisant le turnover... A l'inverse, 19% des répondants souhaitent en premier lieu attirer des talents extérieurs et, enfin, 15% veulent commencer par détecter les talents, notamment les « talents émergents ». Plus de 50% des répondants estiment qu'il y a toujours, malgré la crise, une véritable guerre des talents. Les solutions informatiques visent avant tout à suivre les entretiens annuels, le suivi des objectifs et des performances (49% des répondants le font, 25% le mettent en place en ce moment et 21% l'envisagent d'ici 2011). Le recrutement externe n'est un usage d'une telle solution que pour 43% aujourd'hui (19% déploient actuellement une solution et 21% l'envisagent d'ici 2011). Une fonction très appréciée est la création de portails de « self-service » pour les salariés de l'organisation. En marge du PGI Une des caractéristiques de ce marché, au milieu des logiciels de GRH, est que la majorité des utilisateurs actuels ou potentiels estiment préférable d'utiliser un logiciel propre, spécialisé, en marge du PGI de l'entreprise alors même que la paye, par exemple, est une des fonctions de base de ce même PGI. L'étude « gestion des talents se base sur une enquête en ligne et sur 150 interviews de décideurs (71% de DRH, 21% de DG et 8% de DSI), à raison de 25% dans l'industrie, 13% dans la banque-assurance et 10% dans le secteur public. 53% des répondants appartiennent à des organisations de plus de 2000 salariés et 77% à des organisations rattachées à un groupe. Pour compléter, 16 entretiens auprès de prestataires du domaine ont été réalisées. (...)
(20/04/2009 16:50:36)La télédéclaration de l'impôt sur le revenu simplifiée à l'extrême
Cette année, la déclaration en ligne de l'impôt sur le revenu se simplifie à l'extrême. L'administration fiscale présente deux améliorations en ce sens. Elle propose d'abord une procédure rapide ("en 3 clics") pour les contribuables qui se contentent de valider les éléments déjà portés à sa connaissance. Cette annonce, qui concernerait 31 millions de foyers, est le corollaire de l'intégration dans les déclarations préremplies des revenus de capitaux mobiliers. L'autre changement, c'est la possibilité de déclarer ses revenus sans avoir l'obligation d'utiliser un certificat électronique. Bercy assure que la sécurisation au moyen de trois identifiants apporte toutes les garanties. Toutefois, il est toujours possible de procéder à sa déclaration en la sécurisant avec son certificat, lequel est toujours requis pour pouvoir consulter son compte fiscal en ligne. Le ministère espère que ces procédures d'identification allégées vont inciter d'autres foyers à adopter la télédéclaration. Pour celle des revenus 2007, le nombre de télédéclarants avait frôlé les 7,4 millions, soit 21% des contribuables concernés. Une proportion quasi identique à l'année précédente après une hausse de 30% par rapport à 2006. En novembre dernier, le ministère du Budget a reconnu que le coût du projet Copernic (automatisation des recettes, dont fait partie la télédéclaration pour l'impôt sur le revenu) était passé de 900 M€ à 1,8 Md€. (...)
(20/04/2009 16:05:46)Oracle-Sun : un sacré coup à l'Open Source, pour Forrester
Henry Peyret, analyste principal chez Forrester, l'avoue d'emblée : « Je n'avais pas du tout pensé à l'hypothèse d'un rachat de Sun par Oracle. » D'ailleurs, sur le papier, la synergie n'est pas évidente : Oracle n'a aucune expérience dans le matériel, il y a beaucoup de recouvrement dans le logiciel, aucun des deux acteurs n'a de branche services, et la stratégie de Sun dans l'Open Source était plutôt de constituer une offre concurrente à celle d'Oracle. Et quant aux objectifs financiers fixés par Oracle (plus de 1,5 Md$ de marge brute supplémentaire la première année), Henry Peyret dit en rester pantois, vu les performances économiques actuelles de Sun. Interview. LeMondeInformatique.fr : Quel est votre sentiment après l'annonce de cette acquisition ? Henry Peyret : D'abord je pense que cela fera énormément de mal à l'Open Source. Oracle a fait de l'Open Source pour soutenir Linux, mais sur les autres segments, les offres Open Source sont fortement concurrentes. J'étais encore chez Oracle la semaine dernière, pour parler de leur stratégie middleware. J'ai évoqué la tendance au 'lean software', portée notamment par l'Open Source, qui va vers plus de simplicité - les clients choisissant uniquement les composants dont ils ont besoin - et des coûts réduits. Or Oracle n'en parle absolument pas, leur stratégie est de vendre uniquement du bundle, toujours plus cher. Il va falloir qu'Oracle précise rapidement ses intentions sur l'Open Source. Pensez-vous qu'il y ait une chance qu'Oracle annonce finalement son intention de se séparer de l'activité hardware ? Je dirais qu'il y a une chance qu'Oracle se sépare des activités de type processeurs et lames, et reprenne à son compte la stratégie de Sun avec ses containers [une offre de datacenters autonomes livrés dans des containers, NDLR]. Si Oracle continue cette démarche tout en y ajoutant de la base de données et de l'ERP [progiciel de gestion intégré], on pourrait quasiment arriver à un système d'information sur étagère, ce serait très impressionnant. Il pourrait livrer à un client une boîte Oracle Applications pour 1000 utilisateurs comprenant tout ce qu'il faut : ERP, middleware, serveurs, climatisation, etc. Oracle pourrait aussi devenir un acteur majeur du cloud ? Oui, bien sûr. Toutefois, il lui manquera ce qui a manqué à Sun : la partie services. Jonathan Schwartz avait une bonne stratégie, Sun aurait pu avoir du succès s'il avait racheté une société de services, comme HP ou IBM ; c'est lui qui aurait dû racheter EDS. Oracle devrait le faire aussi. Racheter gros. S'il achetait Capgemini, par exemple, il deviendrait plus puissant qu'IBM, avec en outre la crédibilité conférée par l'offre d'ERP. Cette omniprésence du rouge Oracle ne va-t-elle pas créer un effet dissuasif, comme ce fut le cas avec le bleu IBM ? Oh, si, mais l'effet dissuasif existait déjà. Parmi les anciens clients de BEA, beaucoup regardent du côté de l'Open Source.
Téléchargez gratuitement la documentation relative aux solutions Oracles |
|
|
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |